L’histoire se réécrit et se révise constamment. C’est pourquoi il y a des faits que nous avons appris à l’école, qui au fil de l’avancement des recherches et des techniques, passent dans la classe des mythes et des légendes. Mais souvent, on ne le sait pas et on continue de propager des erreurs. Il est temps de réviser vos connaissances !
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
15 faits historiques erronés
L’histoire se réécrit et se révise constamment. C’est pourquoi il y a des faits que nous avons appris à l’école, qui au fil de l’avancement des recherches et des techniques, passent dans la classe des mythes et des légendes. Mais souvent, on ne le sait pas et on continue de propager des erreurs. Il est temps de réviser vos connaissances !
Il y a 16 ans, disparaissait Hassan II.
Il y a 16 ans, le 9 Rabie II 1420 de l’hégire (correspondant au 23 juillet 1999), disparaissait le Roi Hassan II.
Ses obsèques se sont déroulées le 25 juillet 1999 à Rabat. Il repose au Mausolée Mohammed V, à côté de son frère Moulay Abdallah.
Les obsèques ont été un moment historique de ferveur et d’émotion. La foule qui a accompagné le cortège a été estimée entre 2,5 millions et 3 millions de personnes. De nombreux moyens de transport publics avaient été interrompus pour freiner le flot de Marocains venus des autres villes rendre un dernier hommage au monarque disparu.
80 à 100 chaînes de télévision arabes et occidentales avaient retransmis les obsèques en direct. De nombreux chefs d’État et de gouvernement, venus d’une soixantaine de pays, étaient également présents.
Obsèques de feu SM Hassan II -
Ses obsèques se sont déroulées le 25 juillet 1999 à Rabat. Il repose au Mausolée Mohammed V, à côté de son frère Moulay Abdallah.
Les obsèques ont été un moment historique de ferveur et d’émotion. La foule qui a accompagné le cortège a été estimée entre 2,5 millions et 3 millions de personnes. De nombreux moyens de transport publics avaient été interrompus pour freiner le flot de Marocains venus des autres villes rendre un dernier hommage au monarque disparu.
80 à 100 chaînes de télévision arabes et occidentales avaient retransmis les obsèques en direct. De nombreux chefs d’État et de gouvernement, venus d’une soixantaine de pays, étaient également présents.
Obsèques de feu SM Hassan II -
Des solutions naturelles pour chasser les mouches
Pas la peine de tuer les mouches pour s'en débarrasser. Il existe en effet des solutions naturelles efficaces et quelques règles de bon sens à suivre pour les tenir à distance.
Petites, grosses, vertes ou noires, il n’y a rien de plus énervant que d’entendre tournoyer une mouche au-dessus de sa tête. Et que l’on soit en ville, à la campagne, près de la mer, d’un lac ou à la montagne, il est impossible d’y échapper ! Et c’est encore pire s’il y a des animaux en pâture à proximité !.
Petites, grosses, vertes ou noires, il n’y a rien de plus énervant que d’entendre tournoyer une mouche au-dessus de sa tête. Et que l’on soit en ville, à la campagne, près de la mer, d’un lac ou à la montagne, il est impossible d’y échapper ! Et c’est encore pire s’il y a des animaux en pâture à proximité !.
Vive les plantes répulsives !
Parmi les astuces les plus efficaces,
- vous pouvez, installer sur votre terrasse des géraniums odorants ou un pot de basilic dans la cuisine : tous les deux sont des répulsifs naturels et efficaces.
- La menthe marche aussi très bien
- Autre parfum honni des mouches : le clou de girofle. Posez dans une coupelle une orange coupée en deux, piquée d’une quinzaine de clous. Remplacez l’agrume au bout de deux ou trois semaines. C’est un très bon moyen de faire fuir les mouches, mais aussi les moustiques !
- Par ailleurs, certaines huiles essentielles s’avèrent efficaces, parmi lesquelles la citronnelle, le basilic, la lavande, la menthe poivrée, la tanaisie commune et le géranium. Quelques gouttes suffisent. Sachez aussi que l’odeur d’ail insupporte l’insecte.
- Enfin, vous pouvez composer des bouquets d’œillets d’Inde, de lavande ou de tanaisie, Et en plus ça sera joli dans la maison !
Une maison propre
Comme la mouche apprécie la chaleur et l’humidité, elle a tendance à se reproduire dans les matières organiques et les déchets. « Evitez par conséquent de laisser traîner des restes de nourriture dans les casseroles ou les poêles, ou de la vaisselle sale dans l’évier. Et nettoyez régulièrement votre réfrigérateur. » Ne laissez pas non plus les fruits mûrir et se décomposer. Pour la poubelle, privilégiez les sacs de petite contenance.Videz-les le plus souvent possible et lavez votre poubelle fréquemment .Vous pouvez la désinfecter avec du vinaigre blanc, qui a tendance à éloigner les insectes.. Mélanger le vinaigre avec le produit pour nettoyer les vitres contribue aussi à en diffuser l’odeur et à éloigner les nuisibles.
Courants d’air et lumières éteintes
Dans la maison, faites régulièrement des courants d’air, les mouches ne les apprécient pas. « Si vous n’arrivez pas à vous en débarrasser, la solution la plus fiable est d’installer des moustiquaires aux portes et aux fenêtres. Il existe aussi des rideaux spéciaux à placer aux portes d’entrée de l’habitation. » Autre solution, faire un composteur et le placer le plus loin possible de votre maison : les mouches s’y donneront rendez-vous et vous serez tranquilles. Et, le soir, ne laissez pas les lumières allumées si vous n’en avez pas besoin.
Royaume-Uni : découverte d'un Coran datant de la naissance de l'Islam
Une des plus anciennes versions manuscrites du Coran, qui remonterait à la fin du VIe siècle ou au début du VIIe, a été découverte dans la bibliothèque de l'Université de Birmingham (Royaume-Uni).
Les feuillets manuscrits étaient conservés depuis près d'un siècle au sein d'une collection de livres et de documents du Moyen-Orient, sans que personne ne soupçonne leur ancienneté.
C'est lorsqu'une chercheuse, l'Italienne Alba Fedeli, s'est penchée sur le texte pour sa thèse de doctorat que l'université a décidé de réaliser une datation au carbone 14. «Le résultat est surprenant», explique David Thomas, spécialiste dans cette université de l'islam et de la chrétienté. L'analyse a permis d'aboutir à la conclusion que le manuscrit avait été écrit entre 568 et 645 de notre ère, avec un degré de certitude de 95,4%.
Or, d'après la tradition islamique, le prophète Mahomet a vécu entre 570 et 632. «L'analyse du parchemin montre qu'il y a une forte probabilité que l'animal dont provient la peau vivait du temps du prophète Mahomet ou peu de temps après», ajoute David Thomas.
Des versets des chapitres ou sourates 18 à 20, écrits à l'encre en hijazi, un style calligraphique arabe ancien, sont reproduits dans ce manuscrit qui, selon Alba Fedeli, provient du même codex que des feuillets conservés à la Bibliothèque Nationale de France à Paris.
Le président de la mosquée centrale de Birmingham, Muhammad Afzal, a déclaré que «tous les musulmans du monde aimeraient avoir la chance de voir ce manuscrit».
Les feuillets manuscrits étaient conservés depuis près d'un siècle au sein d'une collection de livres et de documents du Moyen-Orient, sans que personne ne soupçonne leur ancienneté.
C'est lorsqu'une chercheuse, l'Italienne Alba Fedeli, s'est penchée sur le texte pour sa thèse de doctorat que l'université a décidé de réaliser une datation au carbone 14. «Le résultat est surprenant», explique David Thomas, spécialiste dans cette université de l'islam et de la chrétienté. L'analyse a permis d'aboutir à la conclusion que le manuscrit avait été écrit entre 568 et 645 de notre ère, avec un degré de certitude de 95,4%.
Or, d'après la tradition islamique, le prophète Mahomet a vécu entre 570 et 632. «L'analyse du parchemin montre qu'il y a une forte probabilité que l'animal dont provient la peau vivait du temps du prophète Mahomet ou peu de temps après», ajoute David Thomas.
Le président de la mosquée centrale de Birmingham, Muhammad Afzal, a déclaré que «tous les musulmans du monde aimeraient avoir la chance de voir ce manuscrit».
L'un des « plus vieux » manuscrits du Coran
découvert à Birmingham
découvert à Birmingham
Avec la famille kényane du président Obama
Le clan Obama, Luthuli avenue, Nairobi, 1986. De gauche à droite, Saïd, son plus jeune oncle. Mustapha Abo Obama, demi-frère, né du premier mariage du père d’Obama. À droite d’Obama, Roy, autre demi-frère, converti à l’islam, il s’appelle désormais Malik.
La famille de Barack Obama au Kenya espère rencontrer le président américain qui arrive à Nairobi, ce vendredi. Obama a déjà rencontré les siens au Kenya à trois reprises, mais il s’y rend pour la première fois en tant que locataire de la Maison Blanche. Son caractère et son ascension ont marqué sa famille africaine, pour le meilleur et pour le pire. Les Obama du Kenya estiment que ses racines africaines ne sont pas non plus étrangères à sa fulgurante ascension. Enquête à Nairobi et au village de son père à Kogelo.
L’arbre généalogique des Obama du Kenya est fourni. Son grand-père était polygame et son père a été marié plusieurs fois. Obama a peu connu son géniteur, et il a rencontré pour la première fois sa famille africaine lors d’un voyage au Kenya en 1986. Son demi-frère, Abo Obama, s’en souvient avec émotion. Quadragénaire corpulent et jovial, il reçoit dans une maison aux murs saumons défraichis à Kogelo, le village familial logé au sommet d’une douce colline sur la rive orientale du lac Victoria. Il avait 18 ans lorsqu’il a rencontré, ému aux larmes, Barack. « On a grandi loin de l’autre, mais quand il m’a vu, il a juste dit : « Abo » ! Comme si on se connaissait depuis longtemps. Il ressemblait énormément à mon père, donc les larmes sont venues, elles ont coulé sur ses joues à lui aussi. Comme notre père est mort quand j’étais jeune, il était une figure paternelle pour moi ».
Barack, alors âgé de 25 ans, a sermonné Abo comme un grand-frère. « J’étais encore bouleversé par la mort de mon père, d’où sans doute, mes difficultés au lycée. Barack m’a encouragé à poursuivre mes études. Il m’a dit : si tu étudies, et si tu travailles dur, tu réussiras dans la vie, et tu réaliseras tes projets ». Abo a bien décroché un petit diplôme en marketing à l’Institut polytechnique de la région, mais ses notes ne lui ont pas permis de pousser les portes de l’université. Aujourd’hui, Abo explique, sans vraiment convaincre, qu’il s’occupe d’une charité, et il envisage une carrière en politique, mais il semble désœuvré, et sans le sou. A l’issue de l’entretien, il a lourdement insisté, en vain, pour être dédommagé.
« Toi tu n’as pas besoin de travailler, tu es le cousin d’Obama ! Il t’envoie des containers de dollars »
Obama famille : Barack et Pascal Hussein Obama, cousin d’Obama et fils de Zeituni, décédée l’an dernier.Collection privée
Les Obama conservent tous soigneusement les photos prises à l’occasion des voyages kényans de Barack. A Nairobi, dans le quartier de Buruburu, le salon de la modeste maison de Pascal Hussein Obama, cousin du président, a des allures de musée. A côté de l’inévitable cliché de la « first family », Pascal Hussein a encadré une lettre de condoléances rédigée à la main, après la mort de sa mère Zeituni, sur un papier à en tête de la Maison Blanche. Un tout autre univers. « Obama, il est tout là-haut, il est président des Etats-Unis. Il est américain, et il travaille pour les Etats-Unis, même s’il a des racines kenyanes. Nous ne sommes pas dans le même monde, lui il fait son truc et moi je fais le mien », explique, réaliste, l’auto-entrepreneur au regard triste et grave.
On est surpris de découvrir un livre sur le footballer français Eric Cantona à côté de quelques ouvrages consacrés à Obama sur ses étagères bien rangées. « Ce sont tous de bons livres », explique ce sportif accompli qui a fait de la boxe et du Karaté. « J’ai lu ces livres, mais je ne suis pas Obama à la radio et à la télévision », reconnaît Pascal Hussein, jean et T-shirt délavés. A l’écouter, le succès de son cousin ne lui apporte que des ennuis. « Dans la rue, les gens essaient tout le temps de te soutirer de l’argent. Ils me disent : mais toi tu n’as pas besoin de travailler, tu es le cousin d’Obama, il t’envoie des containers de dollars ! Alors que moi, là, je suis fauché, je vis grâce à mes économies ».
Récemment, une voisine est venue lui demander de financer le voyage et les études de son fils aux Etats-Unis. « Je l’ai accueillie, je lui ai servi le thé, et quand je lui ai dit que c’était trop cher pour mes moyens, j’ai bien vu qu’elle ne me croyait pas. Elle a contre-attaqué en me demandant de lui prêter dix mille shillings (un peu moins de 900 euros, NDLR). Je lui ai fait la même réponse. A la fin, c’est fatigant, donc maintenant je cherche à éviter les gens ». Pascal Hussein a une petite activité d’import-export dans le textile sur la côte kényane. Ses affaires ont souffert des attaques terroristes des shebabs, mais il espère relever la tête et s’offrir bientôt un voyage aux Etats-Unis pour discuter tranquillement avec son cousin, loin des Kényans.
« A chaque fois qu’Obama est venu au Kenya, sa carrière a fait des bonds »
Said Obama, le plus jeune oncle d’Obama, à Kogelo.
Juillet 2015.RFI/Nicolas Champeaux
Saïd, le plus jeune oncle de Barack Obama, est plus cérébral. Ses gestes sont appliqués, sa voix est caverneuse. Il s’exprime lentement dans un anglais impeccable, « l’anglais de la Reine » dit-on ici en référence aux anciens colons. Il salue le remarquable parcours de son neveu, mais le chef d’entreprise se situe presque au même niveau que Barack. « Il nous consulte, et il nous tient au courant de ses décisions bien avant qu’elles ne soient publiques. On a su très tôt qu’il allait briguer le poste de sénateur dans l’Illinois. Même chose pour ce voyage au Kenya. Il m’en a parlé l’an dernier à Washington, alors que ce voyage a été annoncé seulement il y a quelques mois. Saïd ne va pas jusqu’à dire qu’il existe une onction magique à Kogelo, mais c’est tout comme.Barack est venu ici avec Michèle, et quelques années plus tard, il l’a épousée. Il est venu ici en 2006 et deux ans plus tard il était élu président. A chaque fois qu’Obama est venu au Kenya, sa carrière a fait des bonds ».
Barack Obama a attendu 25 ans avant d’aller à la découverte de ses racines africaines à Nairobi et Kogelo. « C’était un voyage studieux, se souvient son demi-frère Abo. Il ne s’est jamais plaint, il était très à l’aise, il voulait tout savoir sur la culture, sa famille, sa tribu. Il a voulu rencontrer tout le monde, surtout les anciens, ce qui n’est pas facile, car dans les familles des tribus luos, nous sommes très nombreux, et éparpillés. Il prenait des notes, il posait des questions, je pense qu’il avait aussi un livre en tête ».
Les rêves de mon père, l’autobiographie d’Obama, a été publiée en 1995. Juriste diplômé de Harvard, Obama nourrissait peut-être déjà des ambitions politiques. Son appartenance au groupe ethnique luo, le troisième du pays, l’a sans doute armé pour le combat, avance son oncle Saïd. « Les luos ont été la communauté la plus éduquée du pays, et ils n’acceptent pas les choses sans broncher. Ils se battent. C’est sans doute pourquoi en politique, on les retrouve souvent dans l’opposition ».
Barack Obama a lui opté pour le poste suprême, qu’il a décroché grâce à son adhésion aux valeurs ardemment défendues par la famille Obama, et en premier lieu le travail, explique son cousin Pascal Hussein. « Le père d’Obama, mon oncle, était un homme dur. Ils croyaient tous en la vertu du travail dans la famille. Ma mère, Zeituni, était pareille. Elle a eu des postes dans la compagnie aérienne East African Airways, puis dans la compagnie nationale d’énergie, et enfin dans la grande brasserie du pays. Quand on était encore petits, elle faisait souvent trois à quatre heures supplémentaires au bureau le soir pour se maintenir à niveau. Travailler dur c’est dans les veines des Obama ».
Le marché de Kogelo, juillet 2015.
Les Obama sont déçus qu’il ne vienne pas les rencontrer sur la terre de ses ancêtres à Kogelo en fin de semaine, mais la plupart sont compréhensifs. « Moi je suis allé voir Obama à la Maison Blanche, et j’ai observé. Les gens ici doivent comprendre la prééminence du protocole aux Etats-Unis. Obama ne fait pas ce qu’il veut, il y a un programme, des priorités, et on devrait déjà se réjouir qu’il vienne au Kenya ».
Le mandat d’Obama arrivera à échéance dans un an et demi. Il a déclaré mercredi dernier qu’une visite privée au Kenya lui aurait permis de voir autre chose qu’une chambre d’hôtel et un centre de conférence. Mais Abo insiste. Il souhaite qu’il vienne à Kogelo en tant que président. « Cela aura un impact énorme sur les investisseurs s’il vient alors qu’il est encore à la Maison Blanche, cela ferait énormément de bien à la communauté. Ce ne sera pas la même chose s’il vient en tant que personne privée. Donc si je le vois à Nairobi cette semaine, c’est ce que je lui dirais. Je vais lui demander de trouver du temps pour caser une autre visite. Au Kenya, nous avons une vision très négative des gens qui ne sont plus en poste. On les considère comme des produits périmés. Ceci étant dit, nous l’aimons, il nous aime, et il sera à jamais le bienvenu à Kogelo ».
Pascal Hussein Obama, cousin de Barack,
dans sa maison au quartier Buruburu de Nairobi.
Obama famille : À gauche en shirt blanc,
Pascal Hussein Obama, cousin d’Obama,
assise, Zeituni, tante d’Obama, décédée l’an dernier
Pascal Hussein Obama, cousin de Barack,
à Nairobi. Juillet 2015.
Mustapha Abo Obama, demi-frère de Barack,
dans sa maison de Kogelo. Juillet 2015.
Mama Sarah Obama, 94 ans, à la tête d’une formation qui porte
son nom pour développer les infrastructures scolaires de Kogelo.
Obama l’appelle grand-mère affectueusement,
même si elle est la deuxième épouse de son grand-père.
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«Welcome», une première caméra à reconnaissance faciale pour surveiller sa maison
Elle sait distinguer les visages connus des éventuels intrus: « Welcome », première caméra de surveillance dotée d’une technologie de reconnaissance faciale, est commercialisée par une start-up française. Cette caméra «intelligente» envoie sur le smartphone de l’utilisateur le nom des personnes préalablement identifiées et le prévient également lorsqu’un visage inconnu est détecté. «Il n’existe pas dans le monde d’autre caméra pour le domicile qui soit équipée d’une telle technologie de reconnaissance faciale», assure Fred Potter, cofondateur et directeur général de Netatmo, société française spécialisée dans les objets connectés. «L’application gratuite permet de vérifier sur smartphone, tablette ou ordinateur qui est à la maison, d’accéder à la vidéo en direct et de consulter les événements passés», a-t-il détaillé.
Compatible avec les systèmes d’exploitation iOS et Android et vendue à 199 euros, la caméra dispose d’un objectif de 130 degrés capable de filmer la nuit. Mais elle peut aussi être utilisée pour enregistrer en haute définition des moments passés en famille. Elle a reçu quatre prix lors du dernier salon de l’électronique CES à Las Vegas. « Les autres caméras sur le marché ont un côté intrusif car elles avertissent de chaque mouvement sans faire de distinction », affirme Fred Potter. «On répond à plusieurs besoins : savoir si les enfants sont bien rentrés de l’école, s’il y a un inconnu chez soi, si les parents âgés vont et viennent conformément à leurs habitudes, ou si la personne qui s’occupe de votre résidence secondaire passe ou pas», détaille-t-il.
L’utilisateur peut choisir de désactiver l’enregistrement ou de se faire envoyer des notifications au cas par cas. Netatmo garantit la sécurité des données par «un algorithme de chiffrement (cryptage) de niveau bancaire ».
Vendue au même prix, la caméra «Home» d’une autre société française, Withings, ne dispose pas de la reconnaissance faciale mais vérifie la qualité de l’air et détecte les bruits.
L’utilisateur peut choisir de désactiver l’enregistrement ou de se faire envoyer des notifications au cas par cas. Netatmo garantit la sécurité des données par «un algorithme de chiffrement (cryptage) de niveau bancaire ».
Vendue au même prix, la caméra «Home» d’une autre société française, Withings, ne dispose pas de la reconnaissance faciale mais vérifie la qualité de l’air et détecte les bruits.
A l’inverse de sa concurrente disponible depuis septembre 2014, «Welcome» ne stocke pas ses données dans le «Cloud» mais dans une carte mémoire SD, et ne fait pas payer d’abonnement mensuel supplémentaire pour les conserver.
INSPIREZ, EXPIREZ... LA NOUVELLE MÉTHODE POUR DES ABDOS EN BÉTON
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L'exercice est simple, facile à faire et visiblement ultra efficace. Tout est dans la respiration.
Pour un ventre plat et une taille affinée, un seul exercice suffit ! Avec le stomach vacuum, une méthode essentiellement basée sur la respiration, il suffit d'expirer au maximum l’air de ses poumons en tentant de « rapprocher » son nombril de sa colonne vertébrale et tenir la position quelques secondes.
Pour un ventre plat et une taille affinée, un seul exercice suffit ! Avec le stomach vacuum, une méthode essentiellement basée sur la respiration, il suffit d'expirer au maximum l’air de ses poumons en tentant de « rapprocher » son nombril de sa colonne vertébrale et tenir la position quelques secondes.
Sollicités, les muscles abdominaux profonds se renforcent et d’après Rich Sturla, coach sportif interviewé par le site britannique « Get The Gloss », cet exercice couplé à une bonne alimentation et un mode de vie sain, donnerait des résultats visibles au bout de quelques semaines de pratique.
Allongée, les jambes pliées, pieds à plat sur le sol et l’estomac vide afin d’optimiser les résultats, vous pouvez aussi choisir une position assise à genou et les mains au sol, ou encore assise sur une chaise voire même debout. Un exercice qu'on peut donc pratiquer tranquillement chez soi ou au bureau.
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...