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Les animaux domestiques les plus étranges

LES ANIMAUX DOMESTIQUES LES PLUS ÉTRANGES


Chiens, chats, hamsters et perruches sont tous des animaux domestiques que nous sommes habitués de voir. Pourtant, la liste des animaux qu’il nous est permis d’adopter est longue, et plusieurs des espèces qui y figurent sont assez étranges.

Chiens, chats, hamsters et perruches sont tous des animaux domestiques que nous sommes habitués de voir. Pourtant, la liste des animaux qu’il nous est permis d’adopter est longue, et plusieurs des espèces qui y figurent sont assez étranges.

LE CAPYBARA


Le capybara est originaire d’Amérique du Sud et peut mesurer jusqu’à plus d’un mètre de long et peser 100 livres. D’ailleurs, Caplin Rous, un capybara vivant avec une famille texane, est devenu plutôt populaire à travers les réseaux sociaux.

Le capybara est originaire d’Amérique du Sud et peut mesurer jusqu’à plus d’un mètre de long et peser 100 livres. D’ailleurs, Caplin Rous, un capybara vivant avec une famille texane, est devenu plutôt populaire à travers les réseaux sociaux.

LE KINKAJOU


Le kinkajou est surtout domestiqué en Amérique centrale, mais il peut aussi être adopté ailleurs. Par exemple, Kito est le seul kinkajou d’Écosse. Si vous en désirez un, il est important de savoir qu’il peut vivre jusqu’à 25 ans.

Le kinkajou est surtout domestiqué en Amérique centrale, mais il peut aussi être adopté ailleurs. Par exemple, Kito est le seul kinkajou d’Écosse. Si vous en désirez un, il est important de savoir qu’il peut vivre jusqu’à 25 ans.

LE PHALANGER VOLANT


Originaire d’Australie, le phalanger volant devient de plus en plus populaire en tant qu’animal domestique. Sa très petite taille (il mesure en moyenne 17 centimètres et pèse 85 grammes) fait de lui un animal agréable même dans les plus petits appartements.

Originaire d’Australie, le phalanger volant devient de plus en plus populaire en tant qu’animal domestique. Sa très petite taille (il mesure en moyenne 17 centimètres et pèse 85 grammes) fait de lui un animal agréable même dans les plus petits appartements.

LA MOUFFETTE


Bien qu’elles soient peu populaires en raison de leur odeur, leurs propriétaires les décrivent comme des animaux intelligents, sensibles et curieux. Le secret? Les glandes odorantes des mouffettes peuvent facilement être opérées dès qu’elles sont âgées de 4 semaines.

Bien qu’elles soient peu populaires en raison de leur odeur, leurs propriétaires les décrivent comme des animaux intelligents, sensibles et curieux. Le secret? Les glandes odorantes des mouffettes peuvent facilement être opérées dès qu’elles sont âgées de 4 semaines.

LE PHASME


Depuis des années, ces insectes sont utilisés dans les salles de classe pour apprendre aux enfants comment prendre soin d’un être vivant. De plus en plus de familles commencent à les adopter à la maison.

Depuis des années, ces insectes sont utilisés dans les salles de classe pour apprendre aux enfants comment prendre soin d’un être vivant. De plus en plus de familles commencent à les adopter à la maison.

LE HÉRISSON


La popularité des hérissons comme animal domestique date de la sortie du jeu vidéo Sonic, en 1991. Contrairement aux porcs-épics, ils ne peuvent lancer leurs épines, ce qui fait d’eux de bons animaux domestiques. Il est même possible de leur apprendre à faire leurs besoins dans une litière.

La popularité des hérissons comme animal domestique date de la sortie du jeu vidéo Sonic, en 1991. Contrairement aux porcs-épics, ils ne peuvent lancer leurs épines, ce qui fait d’eux de bons animaux domestiques. Il est même possible de leur apprendre à faire leurs besoins dans une litière.

L’ÂNE MINIATURE


Par le passé, les ânes trouvaient leur utilité lorsqu’on avait des objets lourds à porter. Aujourd’hui, les ânes miniatures sont des animaux domestiques qui, selon l’association nationale des ânes miniatures aux États-Unis, sont affectueux et appréciés des enfants.  

Par le passé, les ânes trouvaient leur utilité lorsqu’on avait des objets lourds à porter. Aujourd’hui, les ânes miniatures sont des animaux domestiques qui, selon l’association nationale des ânes miniatures aux États-Unis, sont affectueux et appréciés des enfants. Le jeune Australien Jack Johnson et ses amis Pot et Cuddle Pie le prouvent bien.

LE BERNARD-L’ERMITE


Le bernard-l’ermite est fréquemment aperçu sur les plages, mais il s’avère qu’il constitue un animal de compagnie intéressant lorsqu’on s’en occupe bien. Pour le rendre bien heureux, il faut savoir qu’il aime beaucoup être entouré de ses pairs. Il est donc conseillé d’en avoir plusieurs.

Le bernard-l’ermite est fréquemment aperçu sur les plages, mais il s’avère qu’il constitue un animal de compagnie intéressant lorsqu’on s’en occupe bien. Pour le rendre bien heureux, il faut savoir qu’il aime beaucoup être entouré de ses pairs. Il est donc conseillé d’en avoir plusieurs.

LA CHÈVRE MINIATURE


On pense souvent aux chèvres comme des animaux de ferme, mais ce sont aussi des animaux domestiques depuis longtemps : Abraham Lincoln en avait une à la Maison-Blanche durant sa présidence.

On pense souvent aux chèvres comme des animaux de ferme, mais ce sont aussi des animaux domestiques depuis longtemps : Abraham Lincoln en avait une à la Maison-Blanche durant sa présidence.

LE COCHON NAIN


Le cochon nain domestique le plus connu est sans doute Max, dont George Clooney a affectueusement pris soin pendant 18 ans. Certaines unités de police les utilisent même pour renifler la drogue, puisqu’ils sont faciles à entraîner.

Le cochon nain domestique le plus connu est sans doute Max, dont George Clooney a affectueusement pris soin pendant 18 ans. Certaines unités de police les utilisent même pour renifler la drogue, puisqu’ils sont faciles à entraîner.

LE WALLABY


Natif d’Australie, le wallaby ressemble beaucoup à un kangourou, mais en plus petit. Il a malgré tout besoin de beaucoup d’espace, puisqu’il adore sauter à toute vitesse.

Natif d’Australie, le wallaby ressemble beaucoup à un kangourou, mais en plus petit. Il a malgré tout besoin de beaucoup d’espace, puisqu’il adore sauter à toute vitesse.

LES COQUERELLES SIFFLANTES


Alors que la majorité des gens pense qu’il s’agit d’un des animaux les plus dégoûtants, ils sont considérés dans certains endroits, au Madagascar par exemple, comme des animaux domestiques. Les coquerelles sifflantes de Madagascar ne volent ni ne mordent pas, et semble-t-il qu’elles font un joli bruit, comme des cigales.

Alors que la majorité des gens pense qu’il s’agit d’un des animaux les plus dégoûtants, ils sont considérés dans certains endroits, au Madagascar par exemple, comme des animaux domestiques. Les coquerelles sifflantes de Madagascar ne volent ni ne mordent pas, et semble-t-il qu’elles font un joli bruit, comme des cigales.

LE SERVAL


Dans la nature, ces félins sont des chasseurs hors pair, tuant leur proie une fois sur deux. Mais une fois domestiqués, ils sont affectueux comme des chats. Il est toutefois à noter qu’ils sont beaucoup plus gros.

Dans la nature, ces félins sont des chasseurs hors pair, tuant leur proie une fois sur deux. Mais une fois domestiqués, ils sont affectueux comme des chats. Il est toutefois à noter qu’ils sont beaucoup plus gros.

LE CHINCHILLA


Pour prendre bien soin d’un chinchilla, il faut savoir que sa fourrure est si dense que l’eau peut difficilement la pénétrer. Il se nettoie plutôt en se roulant dans la poussière, qui absorbe la saleté et le sébum.

Pour prendre bien soin d’un chinchilla, il faut savoir que sa fourrure est si dense que l’eau peut difficilement la pénétrer. Il se nettoie plutôt en se roulant dans la poussière, qui absorbe la saleté et le sébum.

L’AXOLOTL


Cet animal, qui ressemble à un petit dragon, peut vivre dans un aquarium. Il s’agit d’une sorte de salamandre en voie de disparition. Contrairement aux animaux d’aquarium qui semblent généralement peu émotifs, l’axolotl a toujours l’air de sourire.

Cet animal, qui ressemble à un petit dragon, peut vivre dans un aquarium. Il s’agit d’une sorte de salamandre en voie de disparition. Contrairement aux animaux d’aquarium qui semblent généralement peu émotifs, l’axolotl a toujours l’air de sourire.

LE PIGEON


La plupart des Canadiens considèrent ces oiseaux comme des rats volants, surtout dans les grandes villes. Mais certaines personnes savent apprécier leurs qualités et les adopter : lorsqu’ils sont bien nourris, ils apprennent rapidement à revenir vers leur maître. C’est d’ailleurs un des passe-temps de Mike Tyson.

La plupart des Canadiens considèrent ces oiseaux comme des rats volants, surtout dans les grandes villes. Mais certaines personnes savent apprécier leurs qualités et les adopter : lorsqu’ils sont bien nourris, ils apprennent rapidement à revenir vers leur maître. C’est d’ailleurs un des passe-temps de Mike Tyson.

LE SINGE


Le singe domestiqué le plus connu est sans aucun doute Mally, le capucin qui appartenait à Justin Bieber. Cependant, pour posséder un tel animal, il faut s’assurer d’avoir les bons papiers, ce que le chanteur populaire n’avait pas fait.

Le singe domestiqué le plus connu est sans aucun doute Mally, le capucin qui appartenait à Justin Bieber. Cependant, pour posséder un tel animal, il faut s’assurer d’avoir les bons papiers, ce que le chanteur populaire n’avait pas fait.

LE FENNEC


Dans la nature, le fennec utilise ses grandes oreilles pour chasser des insectes ou des rongeurs la nuit tombée. Faites attention! Sa façon de socialiser avec les humains est de leur mordiller le bout des doigts.

Dans la nature, le fennec utilise ses grandes oreilles pour chasser des insectes ou des rongeurs la nuit tombée. Faites attention! Sa façon de socialiser avec les humains est de leur mordiller le bout des doigts.

LE PYTHON, LE BOA ET LE COBRA


Les pythons, boas et cobras sont des serpents très dangereux, voire mortels. Qui plus est, ils peuvent coûter très cher : en 2007, un Torontois a été condamné à un an de prison et à une peine de 17 000 $ parce que son cobra s’était échappé.

Les pythons, boas et cobras sont des serpents très dangereux, voire mortels. Qui plus est, ils peuvent coûter très cher : en 2007, un Torontois a été condamné à un an de prison et à une peine de 17 000 $ parce que son cobra s’était échappé.

LA TARENTULE


Selon Amanda Gollaway, propriétaire du commerce Tarantula Canada, certaines espèces sont vraiment agréables. Elle ajoute qu’elles sont pratiques puisqu’elles ne prennent pas beaucoup d’espace et nécessitent peu d’entretien.

Selon Amanda Gollaway, propriétaire du commerce Tarantula Canada, certaines espèces sont vraiment agréables. Elle ajoute qu’elles sont pratiques puisqu’elles ne prennent pas beaucoup d’espace et nécessitent peu d’entretien.

Histoire : Les lignes de chemins de fer oubliées au Maroc


Le royaume a considérablement évolué en termes d’infrastructures ferroviaires ces dernières décennies, avec notamment la modernisation de son système. Mais dans cet élan, plusieurs lignes de chemin de fer faisant une partie de l’histoire du royaume ont été, depuis fort longtemps, abandonnées. Retour sur la vie d'un réseau ferré à plusieurs vitesses.


La première voie ferrée au Maroc a été inaugurée en 1859. Construite par les Espagnols, elle reliait Tétouan à l'oued el Marchi, dans le nord. Les deux Royaumes étant en guerre, ce rail était principalement dédié au transport militaire. Il aurait été fermé et démonté en 1882, deux ans après la fin du conflit. Pour la petite histoire, il s’agit de l’un des premiers chemins de fer d’Afrique après ceux de l’Egypte.


Par la suite, il faudra attendre 1907, au lendemain de la Conférence d’Algesiras, pour voir apparaitre une nouvelle voie ferrée. La France, qui vient d’obtenir (avec l’Espagne) la gestion de la police des ports du Royaume, lance le projet du port de Casablanca. Et le nouveau rail sert essentiellement à transporter le matériel lié à la construction. Outre le fait qu’il ait servi à la réalisation du plus grand port marocain, il marquera également une sombre page de l’histoire. Mécontents de l’ingérence de la France dans les détails des contrôles douaniers, les populations de Chaouia réclameront l’arrêt des travaux du port et la démolition de la voie ferrée. Face à l’indifférence des autorités locales, la population déclenche une émeute le 30 juillet, huit ouvriers européens dont quatre Français sont tués, ce qui conduira au bombardement du 7 août 1907 qui entraina à mort de nombreux Marocains dans la capitale économique.




Un an plus tard, alors que le général d’Amade vient de prendre en main la pacification dans la plaine de Chaouia, le premier chemin de fer à voie étroite est inauguré. Il relie Casablanca à Berrechid et sert au ravitaillement en animaux et au transport des marchandises. Au départ, le transport est assuré par des mulets. Les habitants le baptisent alors «Babor del Bghal» (le bateau des mulets). 


A l’arrivée de la première locomotive à vapeur, ils l’ont baptisée «el machina» (la machine). C’est donc là l’origine de ce mot employé dans les différents dialectes marocains pour désigner le train. En 1908, deux nouvelles lignes lancées par les Espagnols relieront Melilla au nord du Maroc et c’est ainsi que les projets de lignes vont se concrétiser au fur et à mesure.

Plus de 50 ans après l’Indépendance, le Maroc s’est particulièrement développé dans le domaine du transport ferroviaire, si bien que dans son dernier rapport, le Forum économique mondial classait le Maroc n°1 en Afrique en termes d’infrastructures ferroviaires. Il y a en effet eu la création de nombreuses lignes, puis la modernisation du système ferroviaire marocain entamée depuis quelques années. Dans cette évolution cependant et alors que la couverture totale un territoire n’est toujours pas assurée, plusieurs lignes historiques du Royaume sont tombées aux oubliettes. Leur évocation devrait surprendre les plus jeunes, ou susciter la nostalgie des plus âgés.

  • Ain Defali-Ain Aicha.
Ce tronçon qui remontre la vallée de l’Ouergha est ouvert en 1925, un an après l’arrivée des rails à Ain Defali. La ligne est alors d’une importance considérable à l’époque pour l'armée française, car elle sert au ravitaillement des postes du front nord.

  • Kenitra-Ouezzane
Les travaux de ce tronçon sont lancés en fin 1922 et sa mise en service n’est effective qu’une année plus tard. Cette ligne dite d’utilité locale servait principalement au ravitaillement des postes du front nord.

  • Rabat – Khemisset

Cette ligne à voie étroite (0,60 m) voit le jour ans les années 20, en témoignent un plan de la ville de Rabat de 1928, ainsi que le Guide Bleu de 1930. D’une longueur de 95 km, elle reliait Rabat à Khemisset en passant par Souk El Arbaa, Tifelt et Dar Caid Bou Driss. Ici était assuré non seulement le transport des produits locaux, mais aussi celui des habitants qui faisaient la navette matin et soir de la province vers la capitale, pour le travail notamment.


  • Guercif-Midelt
L’ouverture totale de cette ligne s’est faite progressivement entre 1919 et 1930. C’était une ligne de chemin de fer à voie étroite de 0,60 m qui, selon les anecdotes, était la «plus mystérieuse» du genre. Composée de 11 stations, la ligne était à la base conçue pour acheminer les minerais extraits des mines de Mibladen et d’Aouli, afin de les expédier vers les cargos en attente de chargement au port de Nemours (Algerie). C’était également l’une des principales voies de déplacement des familles sénégalaises dont les chefs étaient venus au Maroc renforcer les troupes françaises.

  • Oujda-Bou Arfa

Cette ligne est lancée en 1931. Ici, la richesse minière du sous-sol de l’Oriental est le principal motif de la création de ce chemin de fer. En effet, le projet est né en 1914, lorsqu’un gisement de manganèse est découvert à 300 km au sud d’Oujda. Mais les priorités militaires liées aux opérations de la guerre du Rif contre Abd el Krim (1921-1926) retardent sa réalisation. Lorsqu’elle est finalement mise en service, la ligne est d’abord essentiellement minière.
Suite au conflit maroco-algérien, la voie sud de Bou Arfa sera abandonnée et le Maroc réorientera la ligne en la reliant à la voie Oujda-Fès. Mais depuis quelques années, la ligne a été réhabilitée. Elle est depuis exploitée par un train touristique.







Qatar. L'émirat désertique veut produire 70% des légumes consommés


Le projet test s'est concentré sur les tomates mais la technique pourra être utilisée pour d'autres légumes populaires au Qatar, comme les concombres, les aubergines et les courgettes.

L'émirat désertique du Qatar va lancer un grand programme pour que d'ici 2023, 70% des légumes consommés par ses habitants soient cultivés localement.
Désertique, le pays qatari envisage pourtant de produire quatre fois plus de légumes qu'actuellement d'ici 2023. C'est en tout cas ce que viennet d'indiquer les responsables du plus grand groupe agricole qatari. Depuis deux ans, un projet pilote baptisé Zulal Oasis, consistant à faire pousser des tomates dans des serres, sans sol et en utilisant de l'eau d'irrigation recyclée, s'est effectivement révélé un « grand succès », selon les mots de Nasser Mohamed Al Hajri, PDG du groupe Hassad Food, qui a conduit les opérations à l'ouest de Doha.
« La technologie s'est révélée parfaitement adaptée au climat du Qatar », se félicite Nasser Mohamed Al Hajri, précisant que « les résultats avaient dépassé les attentes concernant le rendement et la qualité ».



Face à ce succès, le groupe a donc décidé d'étendre ce projet afin de permettre d'augmenter de façon notable, d'ici huit ans, la production locale de légumes. Actuellement, selon la saison, entre 11 et 16% des légumes consommés par les Qatariotes sont cultivés dans l'émirat, contre un objectif fixé à 70% d'ici 2023.
Des niveaux élevés de récolte « sans tenir compte des saisons »
Si le projet test s'est concentré sur les tomates, la technique pourra être utilisée pour d'autres légumes populaires au Qatar, comme les concombres, les aubergines et les courgettes. « La technologie de Zulal Oasis est un modèle de production durable à long terme, avec la capacité de produire des niveaux élevés de récolte douze mois par an, sans tenir compte des saisons », poursuit le PDG de Hassad Food.
La question de la sécurité alimentaire est une préoccupation majeure au Qatar, qui importe la grande majorité de la nourriture consommée par ses habitants. Un programme plus vaste de sécurité alimentaire nationale, visant à augmenter l'autonomie du Qatar en termes d'alimentation, a d'ailleurs été lancé en 2013, et s'étale, lui, jusqu'en 2030.

HISTOIRE DE L’ENSEIGNEMLENT AU MAROC

LE PAYSAGE EDUCATIF MAROCAIN JUSQU’AU XXe SIECLE


L’histoire du Maroc montre que l’enseignement a toujours été, dans le pays, une préoccupation prioritaire, une source de réflexion sans cesse renouvelée, un choix de société constamment affirmé.
Lorsqu’en 1912, les Français instaurent le Protectorat et mettent en avant leur souci d’assistance et de formation d’un peuple, ils ne s’imaginaient  pas pénétrer dans un pays au passé éducatif si ancien et si riche.
Si les noms des universités de Bologne, Oxford, Cambridge, la Sorbonne, évoquent les institutions universitaires les plus anciennes et les plus prestigieuses du monde, les Français, découvrant le Maroc, lui reconnaîtront pourtant la paternité du joyau le plus ancien du patrimoine universitaire mondial : la Qaraouiyine de Fès, créée au IXe siècle et devançant ainsi de trois bons siècles sa cadette italienne de Bologne.

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Ce que les Français découvrent aussi, c’est que, à l’instar de toutes les sociétés musulmanes, le Maroc dispose déjà d’un réseau d’enseignement primaire et secondaire.
En effet, à la veille du protectorat, 150.000 élèves fréquentent les écoles coraniques et 2.500 les médersas.


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L’école coranique, petite école primaire appelée Msid, assurait aux jeunes enfants, dès l’âge de cinq ans et quelle que soit leur origine sociale, une formation fondée sur la mémorisation des sourates du Coran.

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En principe ouvertes à tous, ces écoles étaient cependant largement mieux organisées dans les villes que dans les campagnes.
A l’âge de douze ou treize ans, les élèves les plus doués et les plus méritants pouvaient accéder au second stade de l’apprentissage dans une mosquée ou dans une zaouïa, où ils mémorisaient, utilisant toujours la méthode du « par cœur », les principes fondamentaux de la grammaire et du droit islamique.


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Puis, si leur fortune le leur permettait, ils entraient dans une médersa prestigieuse, ou à la Qaraouiyine elle-même, comme leurs illustres ainés, savants et intellectuels du monde musulman, lesquels ont tous effectué des stages, plus ou moins prolongés, à Fès, la capitale du savoir : du géographe Al-Idrisi au médecin et philosophe Ibn Tofail, 


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Géographe Al-Idrisi 
Muhammad ibn ?Abd al-Malik Ibn Tufayl
 Ibn Tofail
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 en passant par le voyageur Ibn Batouta et surtout le maître à penser du IVe siècle, Ibn Khaldoun.
Il est intéressant de noter l’effervescence et l’engouement suscités par les études dans une médersa, et justifiés sans doute par les conditions exceptionnelles qu’offrait cette dernière, aux chanceux qui la fréquentaient.
Réjouissances intellectuelles, certes, auprès des plus grands maîtres (mudarris), mais également hébergement, aide financière (bourses, prise en charge des élèves venant de l’extérieur par une riche famille de la ville) et divertissements mémorables : tous les ans, en effet, était célébrée la fête du « Sultan des tolbas » 

La fête des Tolbas

laquelle consistait à élire un étudiant qui, fictivement, recevait tous les pouvoirs du sultan (avec son accord!!!), formait un makhzen et une administration de parodie, dont les membres étaient chargés de collecter les fonds nécessaires à l’organisation d’un grand pique-nique, au cours duquel les étudiants parodiaient leurs professeurs et des personnages de l’administration dans des sketches où ils jouissaient d’une liberté totale.
Liberté totale, mais de courte durée: le reste du temps, la médersa restait, et c’était là sa fonction première, un 1ieu d’étude et de recueillement. Et la colère du Sultan pouvait être terrible si des manquements à ces règles étaient observés: ainsi, la médersa Al Labbadine fut-elle démolie parce que des étudiants y avaient invité des jeunes filles.
Jusqu’au XXe siècle, l’enseignement au Maroc reste donc une affaire presque exclusivement masculine.
Mais, déjà, bien avant l’instauration du Protectorat français, le système éducatif marocain ne se limite pas aux seules institutions du royaume chérifien, mais coexiste avec des institutions d’origines très diverses.
Ainsi, le premier établissement juif de l’Alliance Israélite Universelle a ouvert en 1862 à Tétouan,

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 bientôt suivi d’autres dans les principales villes marocaines. Les Français n’avaient pas non plus attendu le Traité de Fès pour lancer le principe des écoles franco-arabes dans les villes et le plus souvent dans les consulats.
En 1912 donc, les Français recensent les institutions existantes, comparent leurs capacités d’accueil et de formation avec les objectifs qu’ils se sont fixés en matière d’enseignement et mettent peu à peu en place un système intégrant les données locales et les apports du pays de tutelle.
Le but annoncé est de généraliser l’accès à l’enseignement et de l’élargir à un pourcentage plus conséquent de la population en âge d’être scolarisée.
Ce point de vue est partagé par le Maréchal Lyautey 

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qui s’est toujours personnellement intéressé aux questions relatives à l’éducation, et qui souhaite former une pépinière de jeunes gens, médiateurs entre deux sociétés qu’il souhaite faire coexister en harmonie. Ces derniers sont appelés à former l’élite intellectuelle avec laquelle il entend coopérer.
Ainsi s’ébauche, lentement, un système où la multiplicité et la diversité rivalisent, mais où comme dans la période précoloniale, les jeunes Marocains ne trouvent pas tous leur place. Les Français se heurtent, en effet, aux mêmes difficultés que celles rencontrées les décennies précédentes par le pouvoir marocain et que ce dernier devra de nouveau tenter de surmonter à l’Indépendance: difficultés qui tiennent à une conjonction de facteurs (de l’accroissement de la pression démographique à la diversité croissante de la demande scolaire), facteurs qu’engendre une société en perpétuelle mutation et qui expliquent la trop lente progression du taux d’alphabétisation

LE SYSTEME EDUCATIF MAROCAIN SOUS LE PROTECTORAT


L’enseignement organisé par les Français, au Maroc, demeure donc assez élitiste et ne recrute souvent que des enfants issus des classes dirigeantes, dont les parents sont associés à l’action du Protectorat : c’est le cas des « Ecoles de fils de notables », 

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qui devaient en principe délivrer un apprentissage fondé sur les deux langues, arabe et français, mais où l’arabe n’apparaîtra en fin de compte qu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. Ces écoles, qui ne comptent que 1.468 élèves en 1913, en accueillent 21.400 à la veille de la seconde guerre mondiale, pour atteindre 314.800 en 1955.
Puis les élèves accédaient au second cycle dans les collèges dits « musulmans » créés par les Français, où ils bénéficiaient de conditions pédagogiques de premier choix, qui permettaient aux meilleurs d’obtenir le « Baccalauréat marocain ». Les effectifs de ces établissements demeureront beaucoup plus limités, puisqu’ils comptent 608 élèves en 1938, 6712 en 1955. Par ailleurs, les lycées français, qui accueillaient exclusivement des élèves européens, ouvrent leurs portes, à partir de 1944, à des élèves marocains (12% des-effectifs en 1951).
Furent créées également, mais avec beaucoup moins de moyens, des écoles urbaines pour les enfants des classes moyennes et des écoles rurales franco-musulmanes, dans lesquelles était délivrée une formation professionnelle. Là encore, les effectifs restèrent limités (1.300 élèves en 1938, 7.500 en 1955).
Mais la diversité ne s’arrête pas là : des écoles franco-israélites viennent compléter le réseau déjà existant de l’Alliance Israélite Universelle, des écoles franco-berbères sont créées dans l’Atlas ou dans les plaines du sud du pays: « respecter la diversité de la population » disent les uns, « diviser pour mieux régner », rétorquent les autres.

Parallèlement, subsiste un système traditionnel marocain d’enseignement coranique; apparaissent même des écoles privées musulmanes, symbole de la naissance du mouvement nationaliste dans les années 30.

Pourquoi rêvons-nous ?

LE RÊVE, CETTE COMPLEXITÉ CÉRÉBRALE, ÉCHAPPE ENCORE UN PEU AUX CHERCHEURS


Le monde des rêves est fascinant, notamment parce qu'il demeure mystérieux. En effet, cette complexité cérébrale échappe encore aux chercheurs, qui n'ont pu proposer que des hypothèses pour tenter d'expliquer le rôle de nos évasions oniriques nocturnes. Le point dans cette galerie !


TROUVER DES SOLUTIONS AUX CASSE-TÊTES QUI NOUS TOURMENTENT DURANT L'ÉVEIL


Trouver des solutions aux casse-têtes qui nous tourmentent durant l'éveil. Selon l'une des théories avancées par les chercheurs, les rêves nous permettraient de classer les nombreuses informations reçues durant la journée. Ainsi, certaines données seraient rangées tandis que d'autres seraient tout simplement supprimées, ce qui expliquerait que nos idées nous paraissent souvent plus claires le matin, après une bonne nuit de sommeil.


TROUVER DES SOLUTIONS AUX CASSE-TÊTES QUI NOUS TOURMENTENT DURANT L'ÉVEIL


De cette façon, les rêves nous permettraient de prendre des décisions, trouver l'idée du siècle et/ou de résoudre certains problèmes plus facilement, d'où l'expression "La nuit porte conseil".

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TROUVER DES SOLUTIONS AUX CASSE-TÊTES QUI NOUS TOURMENTENT DURANT L'ÉVEIL


Pour illustrer cette hypothèse, les chercheurs nous rappellent notamment que le chimiste russe Dimitri Mendeleïev (1834-1907) a eu l'idée de classer les éléments dans le fameux tableau périodique, qui porte son nom, après avoir fait un rêve.« J'ai vu dans un rêve un tableau où tous les éléments tombaient à la bonne place.», aurait-il déclaré.

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FAVORISER LA MÉMORISATION À LONG TERME


Favoriser la mémorisation à long terme. Une autre théorie avancée par les chercheurs est que le sommeil - et plus particulièrement les rêves - joue un rôle essentiel dans le processus de mémorisation. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il est fortement conseillé aux étudiants d'avoir dormi minimum 7h avant de se rendre à un examen.


FAVORISER LA MÉMORISATION À LONG TERME


Une nuit de sommeil comprend plusieurs phases: l'endormissement, le sommeil profond et le sommeil paradoxal. Au cours de la période de sommeil paradoxal, notre cerveau est très actif et c'est à ce moment-là que rêves et cauchemars surviennent, mélanges de faits réels vécus, d'éléments imaginaires et d'émotions fortes.


FAVORISER LA MÉMORISATION À LONG TERME


Ainsi, pendant cette période, le cerveau enregistre des associations entre des faits et des émotions, qui permettent de consolider la mémorisation à long terme.


SE DÉFOULER POUR NE PAS CRAQUER


Se défouler pour ne pas craquer. Une autre approche, plus psychanalytique cette fois, veut que nos rêves nous permettent de digérer des émotions fortes - refoulées ou non - qui nous envahissent durant la journée afin de ne pas craquer sous la pression.


LA THÉORIE DE L'EFFET SECONDAIRE


La théorie de "l'effet secondaire"Enfin, certains pensent que les rêves n'ont pas de rôle spécifique et qu'ils constituent un "effet secondaire" du sommeil paradoxal, durant lequel certaines parties du cerveau sont actives alors que d'autres se reposent. Nos images oniriques seraient ainsi l'équivalent d'un écran de veille d'ordinateur, dont le contenu n'a pas d'importance du moment qu'une partie de la machine reste active.

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ET SI TOUT ÉTAIT VRAI


Et si tout était vrai...Vous l'aurez compris, de nombreuses théories ont été énoncées sur le sujet ! Toutefois, si l'on y réfléchit bien, aucune de ces hypothèses n'en contredit une autre. Il se pourrait donc qu'elles soient toutes vraies:Si nos jambes nous permettent de nous déplacer et notre nez de sentir les odeurs, nos rêves et cauchemars, par contre, n'ont peut-être pas de fonction spécifique. Ils seraient simplement la conséquence de l'activité cérébrale qui se déroule durant notre sommeil paradoxal et raconteraient une histoire, construite à partir des informations ainsi que des émotions emmagasinées pendant l'éveil. Lorsque nous rêvons, nous serions tout simplement en train de penser, tout comme nous le faisons durant la journée, mais notre état de repos agrémenterait nos réflexions d'éléments imaginaires.Et c'est ce même état de repos qui expliquerait le fait que nos idées sont souvent plus claires au réveil que la veille. En effet, pendant notre sommeil, nous exerçons moins de contrôle sur nos pensées, qui peuvent ainsi vagabonder librement et analyser toutes les informations dont nous disposons avant d'en faire une synthèse.Enfin, pendant que nous rêvons/cauchemardons, nous évacuons aussi certaines peurs, rancoeurs et autres émotions qui prennent beaucoup de place dans notre esprit, ce qui nous permet de nous défouler et donc d'être soulagés le lendemain.Ça se tient, non ? Qu'en pensez-vous ?

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La plage d’Agadir, l’une des plus belles au Maroc

Visitons la plage d'Agadir, l'une des plus belles au Maroc (vidéo)

L’une des plus belles plages au Maroc est celle d’Agadir. Longue de 9 km, elle arbore encore cette année le pavillon bleu grâce à la mobilisation des autorités locales et des associations.