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Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis


Il y a quelques décennies encore, à la place des gratte-ciel et des centres commerciaux luxueux de Dubaï et d’Abou Dabi, il y avait le désert. En peu de temps l’homme a réussi à conquérir ces territoires en les aménageant pour une vie confortable. Mais la nature résiste.

Retrouvez les photos du désert qui «grignote» les autoroutes de ce pays arabe dans ce diaporama.


Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Une autoroute ensevelie par
 les sables aux Émirats arabes unis


Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis



Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Un échangeur automobile enseveli par 
les sablesaux Émirats arabes unis.

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Aux Émirats, les villes se trouvent dans un 
désert qui est très chaud, 
très sec et impitoyable.

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Une route ensevelie par les sables
 aux Émirats arabes unis,

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Ces photos prouvent que le désert n’entend
 pas céder ses droits même au XXIe siècle.

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis


Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Dubaï, jadis petite ville portuaire, 
est devenu une mégapole 
en seulement quelques décennies.

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Des routes ensevelies par les sables 
aux Émirats arabes unis

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Mais la nature peut prendre sa revanche 
comme le montrent ces photos 
surréalistes et apocalyptiques.

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Une route ensevelie par les sables 
aux Émirats arabes unis,

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
une autoroute ensevelie par les sables
 aux Émirats arabes unis,

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Sur la photo: des routes ensevelies
 par les sables aux Émirats arabes unis.

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Une route ensevelie par 
les sables aux Émirats arabes 

Royaume des sables: le désert engloutit les autoroutes des Emirats arabes unis
Un échangeur automobile enseveli 
par les sables aux Émirats arabes unis






Entre le" plus" et le "moins", il y a toute une histoire..


Les arabes marocains sont des marocains qui connaissent une langue de moins...Et les amazighs sont des marocains qui connaissent une langue de plus...( entre le" plus" et le "moins", il y a toute une histoire...)

Pourquoi vous ne devriez pas dormir avec un ventilateur dans la chambre


Résultat de recherche d'images pour "ne pas dormir avec un ventilateur dans la chambre"
Quand il fait chaud, on aime dormir au frais. Pour cela, le ventilateur devient notre meilleur ami, même dans notre chambre à coucher. Pourtant, dormir toute la nuit avec un ventilateur en route pourrait avoir des effets néfastes sur votre santé.
On le sait, c'est la canicule. Pour tenir le coup, on squatte les lieux climatisés, on évite le métro, on boit beaucoup d'eau et notre ventilateur est devenu notre meilleur ami. À tel point qu'on l'emporte partout, en particulier dans notre chambre pour dormir ou faire une sieste.
Il faut dire qu'avec la chaleur actuelle, il est compliqué de trouver le sommeil. Cependant, il semblerait que faire fonctionner un ventilateur toute la nuit dans la chambre ne soit pas vraiment une bonne idée.


Dormir avec un ventilateur : quels sont les risques ?
Il y a la fois des avantages et des inconvénients à dormir avec un ventilateur allumé. Si un ventilateur permettrait de conserver une bonne température ambiante, d'avoir une bonne circulation de l'air, il pourrait aussi être très dangereux pour votre santé.
À chaque fois que vous allumez votre ventilateur, toute la poussière et les particules qui se sont posées sur ses lames vont voler dans les airs. Dormir avec un ventilateur pourrait ainsi vous causer de fortes réactions allergiques, à cause de la poussière ou du pollen qui pénétreraient vos sinus. Les personnes souffrant d'allergies, d'asthme ou de rhume des foins devront donc absolument éviter de s'endormir avec un ventilateur dans leur chambre.
L'air sec que les ventilateurs produisent peut aussi causer de sacrés désagréments. Il dessèche votre peau, votre gorge et provoque généralement une irritation de vos yeux. Toutes vos muqueuses et les passages nasaux peuvent se retrouver impacter par une sécheresse à cause de l'air sec. Vous allez sûrement souffrir de toux.
La diffusion constante d'air sec pourrait affecter vos sinus. Si la sécheresse est vraiment extrême, votre corps pourrait alors produire plus de mucus pour essayer de les soulager. Vous allez ainsi vous retrouver avec le nez bouché et des maux de tête.

Comment rafraîchir sa chambre sans ventilateur ?
Pour éviter de suer toute la nuit sans pour autant recourir à l'utilisation d'un ventilateur, il existe des astuces toutes simples pour se rafraîchir.
Évitez d'ouvrir vos volets de votre chambre et laissez la fenêtre ouverte, pour empêcher le soleil de rentrer mais favoriser l'air qui passe. Dans votre lit, privilégiez le linge en coton, qui reste frais toute la nuit.
Avant d'aller dormir, buvez beaucoup d'eau fraîche et éliminer l'alcool ou la caféine. Et surtout, optez pour une bonne douche froide avant de vous glisser dans votre lit. Vous pouvez également conserver un brumisateur au réfrigérateur toute la journée et le placer sur votre table de chevet, pour éviter les coups de chaud durant la nuit.

Le Jour du dépassement de la Terre

Le 1er août 2018, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la planète peut renouveler en un an. Cette date, calculée par le Global Footprint Network, représente donc l’Earth Overshoot Day, ou Jour du dépassement de la Terre en français.

Alors que nos pressions sur les ressources ne cessent d’augmenter, la bio-capacité de la Terre (la surface de zones terrestres et marines biologiquement productives), elle, se réduit progressivement au niveau mondial. En raison de ce décalage entre la demande et l’offre en ressources naturelles, il nous faudrait aujourd’hui l’équivalent de 1,7 Terre pour subvenir à nos besoins.

Le Jour du dépassement continue d’avancer, passant du 30 septembre en 1998 au 1er août cette année, la date la plus précoce jamais enregistrée. Cela est en partie lié à l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et donc de notre empreinte carbone, ainsi qu’à l’augmentation des surfaces en terres cultivées.



Grottes au Maroc

C’est près de Taza, aux alentours du parc national de Tazekka, que l'on dénombre le plus grand nombre de grottes, pas moins de 365. Celle de Friouato est la plus célèbre et la plus visitée par les touristes. Mais elle est fermée depuis 2016 après un accident mortel. Deux importants obstacles empêchent l’exploitation optimale de ce patrimoine touristique: une ambiguïté juridique et l’insécurité. Le microcosme des spéléologues tire la sonnette d’alarme.

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La grotte de Friouato a été découverte en 1930 par un groupe de Marocains et d’explorateurs français -Élisabeth et Norbert Casteret-. Mais elle ne fut ouverte au grand public qu’aux années 1980. Ce gouffre, profond de 285 mètres, comprend notamment 4 km de progression. Il est composé de stalactites, de lacs et de rivières souterrains, de galeries, de puits argileux, d’écritures rupestres et d’autres tableaux de roches multicolores…  

Le plus grand nombre de grottes marocaines se trouve dans la région de Taza, aux alentours du parc national Tazekka. Pour atteindre ce dernier à partir de la ville de Fès, le mieux est d’emprunter la route secondaire n°311 qui mène jusqu’à Taza. A peine une vingtaine de km après le barrage Bab Louta, relevant de la commune de Tahla, on est déjà en pleines forêts de cèdre de l’Atlas, de chênes et de thuya, et ça continue jusqu’à Bab Boudir (une commune rurale relevant de Taza, 7.000 âmes), à une vingtaine de km de Taza. Tazekka («pyramide» en berbère), c’est le nom de la montagne culminant à près de 2.000 mètres d’altitude. Ce mont reçoit de bonnes quantités de neige d’octobre au mois d’avril, et alimente en eau abondante le parc naturel du même nom. C’est l’un des plus beaux parcs naturels du pays, grand de 12.000 hectares, riche de sa flore, sa faune et ses 500 espèces de plantes, dont le cœur est la cédraie. La pluviométrie dans cette région du Moyen Atlas est d’ailleurs la plus forte du pays, avec près de 2.000 mm par an, sur une moyenne nationale ne dépassant pas 600 mm. Et c’est l’abondance de ces eaux qui explique bien, selon les géographes et les spéléologues, le nombre important de grottes dans cette région du Maroc, des gouffres creusés depuis des millénaires par l’action des eaux météoriques. On y dénombre pas moins de 365 -sur le millier découvert jusqu’à aujourd’hui au Maroc-, «dont seulement quelque 220 sont répertoriées», nuance Mamoune Amrani Marrakchi, enseignant chercheur à l’Université Hassan-II de Casablanca.

grotte_bon.jpg

Mamoune est un passionné de la spéléologie depuis sa jeunesse, et d'explorateur amateur des grottes, il en devient un professionnel. C’est lui qui a créé le seul centre de formation en spéléologie au Maroc, dans la même université, et fondé, déjà en 1989, l’Association marocaine de spéléologie (AMS), après une thèse de fin de cycle soutenue en France intitulée «Spéléologie et possibilités d’un tourisme des profondeurs».

Le plus grand d’Afrique du Nord et le plus célèbre de ces gouffres est Friouato, qui veut dire en berbère «le gouffre du vent». Comme toutes les merveilles de la nature, s’est tissée autour de la grotte toute une légende, une histoire d’amour malheureuse, encore racontée jusqu’à nos jours par les habitants de la région. Elle nous rappelle celle tissée autour des deux lacs Isli et Tisli non loin d’Imilchil. Une jeune et belle fille du coin nommée Yto avait un amant qui s’appelait Assoukh. La famille s’opposant à leur mariage, ce dernier fut contraint d’épouser une autre jeune fille. Inconsolable, Assoukh finit par mettre fin à ses jours dans un autre gouffre (non loin de la région) qui porte désormais son nom. Meurtrie aussi par le chagrin de la séparation, sa dulcinée alla verser toutes ses larmes au bord du gouffre de Friouato, de son vrai nom Friito «le gouffre de Yto».

Découverte en 1930 par un groupe de Marocains et d’explorateurs français -Élisabeth et Norbert Casteret-, cette cavité se transforme, depuis, au fil des ans, en un site touristique très visité par les nationaux et les étrangers. Mais elle ne fut ouverte au grand public qu’aux années 1980. Voilà un gouffre profond de 285 mètres, 4 km de progression, composé de stalactites, de lacs et de rivières souterrains, de galeries, de puits argileux, d’écritures rupestres et d’autres tableaux de roches multicolores….
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L'entrée du parc naturel de Tazekka

C’est le plus fréquenté, aussi bien par les «grottarts» (les touristes des grottes) que par les spéléologues, malgré son accès difficile et l’obscurité qui y règne: il faut être équipé de torches et être obligatoirement accompagné d’un guide pour s’y aventurer. Mais il y a un hic. A notre grande déception, en y arrivant en ce mois de mai 2018, nous trouvons la grotte fermée aux visiteurs. Depuis sa porte d’entrée, on peut apercevoir le parc de Tazekka, et au loin, quelques sommets du Moyen Atlas, dont Bouiblane, le plus haut avec ses 3.190 mètres. Mais impossible de descendre dans le gouffre pour apprécier ses trésors. Sa fermeture remonte à 2016, lorsqu’un accident tragique s’y produisit: une enseignante accompagnant ses élèves lors d’une excursion scolaire y trouva la mort suite à un éboulement rocheux. Ses élèves ont subi quelques blessures sans gravité, mais l’incident tira la sonnette d’alarme sur l’état de sécurité de cette cavité, et poussa la commune Bab Boudir qui l’exploite à la fermer aux visiteurs, en attendant quelques réparations et aménagements qui rendraient le site plus sûr.
Devant l’entrée du gouffre, nous ne trouvons le moindre visiteur, seulement un jeune diplômé chômeur natif de la région, qui attend patiemment quelques curieux qui viendraient éventuellement demander des renseignements sur la grotte, son histoire et ses secrets. Azzouz Bouabid, c’est son nom, est un licencié en histoire, son mémoire de fin d’études a porté justement sur la réserve de Tazekka et le tourisme des profondeurs, et ça tombe bien puisqu’il connaît, du moins partiellement, les raisons de la fermeture de la grotte. L’incident tragique a bien eu lieu, et c’est la raison de sa fermeture, «mais elle n’est pas la seule», nuance-t-il. Autour de son exploitation et les rentrées d’argent qu’elle génère, il y aurait un conflit fratricide entre la commune Bab Boudir, dont elle relève, et le Commissariat aux eaux et forêts et à la lutte contre la désertification (CEFLCD). Après avoir titré le foncier du parc naturel Tazekka qui lui appartient, dans la foulée de sa labellisation par l’Unesco en tant que patrimoine culturel universel de l’humanité, le CEFLCD réclame ses droits d’exploitation du site puisqu’il se trouve sur son périmètre titré. De réunion en réunion entre les deux entités, aucun accord n’a été trouvé, les deux adversaires finissent par porter l’affaire devant le tribunal administratif de Fès. En attendant le jugement, le site est fermé.

 Grotte Chaâra, la plus longue du Maroc (7.650 m)
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Mamoune Amrani dans la rivière de la grotte Chaâra près de Taza (Ph. J.M)


Des grottes, on en trouve partout au Maroc. Le pays est pour la spéléologie un terrain particulièrement favorable, eu égard à l’importance des affleurements de formation calcaire s’étendant sur une superficie de cent mille km2, et par la portée considérable des réseaux karstiques qu’elles renferment. Il s’agit donc d’une richesse scientifique, économique, écologique, touristique et sportive.
Ces grottes se trouvent dans la région de Beni Mellal-Azilal, dans la région d’Agadir, dans l’Oriental…, mais le plus grand nombre se trouve dans la région de Taza. A 28 km de Bab Boudir, dans cette dernière, la grotte Chaâra (appelée aussi rivière souterraine) est décrite comme un toboggan caché par une forêt de chênes verts, débouchant sur une immense galerie annonçant le départ d’une balade souterraine du Moyen Atlas, dans le lit même de la rivière Chaâra. Rivière permanente et active le long des quatre saisons. Le total de son développement, fixé provisoirement à 7.650 m (voire 10 km selon certains) fait d’elle la deuxième plus longue grotte du Maroc et la quatrième d’Afrique. «C’est la grotte la plus difficile de la région de Taza. Elle est horizontale, c’est la plus belle des spéléothèmes au Maroc», estime Mamoune Amrani Marrakchi, spéléologue. Appelés aussi concrétions, les spéléothèmes sont des dépôts minéraux précipités dans une cavité naturelle souterraine.

Patrimoine biologique qu’il faut protéger de la pollution qui le guette
La grotte Friouato est en effet un bijou qui allèche nombre de protagonistes, elle reçoit jusqu’à 20.000 visiteurs annuellement, et ce chiffre a sauté jusqu’à 30.000 après la projection par
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La porte d'entrée de la grotte Friouato fermée aux visites depuis la chute mortelle en 2016 d'une enseignante qui accompagnait un groupe d’élèves en excursion scolaire dans la commune de Bab Boudir (Ph. J.M)
la chaîne 2M, entre 2005 et 2009, d’un film documentaire sur le site appelé «Les mille et une grottes du Royaume», coréalisé par Mamoune Amrani lui-même. Ce dernier nous lève le voile un peu plus sur le sort de cette grotte et les raisons réelles de sa fermeture. Le problème de gestion est général à toutes les grottes du Royaume, nous signale-t-il, et pas l’apanage de Friouato.
«Juste après l’accident de la grotte Friouato, les autorités locales m’ont appelé pour consultation, en tant qu’expert et président de l’Association marocaine de spéléologie et de la Fédération regroupant plusieurs ONG. J’ai envoyé un courrier au procureur du Roi à Taza pour attirer son attention sur l’ambiguïté juridique qui empêche l’exploitation de ce gouffre dans les meilleures conditions possibles, car il y a un vide en la matière», précise notre spéléologue. Selon lui, personne ne sait à qui appartient réellement ce patrimoine et qui devrait le gérer: le ministère de l’Intérieur? Du Tourisme? De la Culture? De l’Education nationale?... Au départ, le problème s’est posé surtout pour la grotte du Chameau dans l’Oriental. «Elle subit le même sort que Frioauto: la fermeture», poursuit notre interlocuteur.
Celle de Friouato appartient en principe à la commune de Bab Boudir, et cette dernière la cédait à un gérant privé. Au moment de l’accident, en 2016, c’est «l’association Firouato pour le développement du tourisme» appartenant à une grande famille dans la région qui l’exploitait, en contrepartie de 60.000 DH par an. Sauf que cette dernière n’a pas déboursé ses arriérés, «soit la somme de 1,2 millions de DH», selon une source des Eaux et forêts. Après l’accident, la commune décide alors de fermer la grotte jusqu’au recouvrement de ses dettes, et porte l’affaire devant la justice pour réclamer de l’association qui exploitait le gouffre le payement de son passif. «Nous avons envoyé un courrier à 7 ministères, reprend Amrani, pour demander au moins un cadre juridique afin de délimiter les responsabilités. Ces cavernes sont une richesse inestimable de notre pays, un patrimoine biologique qu’il faut protéger de la pollution qui le guette, des tonnes d’ordures se déversant sur elles chaque jour en toute impunité», déplore notre interlocuteur. Le conflit autour de l’exploitation de la grotte Friouato n’oppose donc pas la commune Bab Boudir et les Eaux et forêts, mais bien la première et la famille qui gère ce bien. Selon une source du parc naturel de Tazekka, -lequel relève du Commissariat aux eaux et forêts-, le directeur de ce dernier aurait proposé, pour débloquer la situation de la grotte et la rouvrir aux visiteurs, de procéder à un nouvel appel à projet pour son exploitation. «La commune Bab Boudir s’y oppose formellement, craignant que la même association débitrice remporte le marché», indique notre source.

Le Nicolas Hulot marocain en spéléologie
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«C’est le Nicolas Hulot marocain en matière de spéléologie», décrivent quelques-unes de ses connaissances, tellement il connaît ce domaine pour avoir, depuis déjà les années 1980, exploré les plus importantes grottes du Maroc. Plus, à son actif, la création d’un centre de formation en spéléologie à l’Université Hassan-II de Casablanca, l’Association marocaine de spéléologie (AMS) en 1989, et la Fédération marocaines des spéléologues. Mamoune Amrani Marrakchi, c’est de lui qu’il s’agit, a aussi coréalisé un film documentaire sur le sujet titré «Les mille et une grottes du Royaume», passé entre 2005 et 2009 sur la chaîne 2M. Sauf que la comparaison avec l’explorateur français le met un peu mal à l’aise. Nicolas Hulot est un homme d’affaires, rétorque-t-il, «aux moyens gigantesques. Moi, j’essaie, avec les moyens modestes dont je dispose, de donner le meilleur de moi-même en matière de spéléologie, faire connaître cette passion et cette science aux Marocains, et les aider à s’y lancer s’ils le désirent». Le documentaire sur les grottes produit par 2M a été en effet réalisé avec des moyens basiques, soit «l’indispensable matériel pour filmer», se rappelle-t-il: 2 simples caméras, un seul caméraman, et deux mulets.... Le commentaire du film, c’est lui-même qui l’a écrit, mais c’est Brahim Salaki qui l’a fait écouter aux téléspectateurs. Une partie de ce documentaire a été consacrée à la grotte Friouato, située à une vingtaine de km de Taza, la plus connue dans cette région, et la plus visitée par les touristes. C’est la première aménagée pour le grand public aux années 1980. Elle recevait jusqu’à 20.000 visiteurs par an. «L’année de la projection du documentaire, ce sont 30.000 visiteurs qui sont allés la découvrir», précise notre spéléologue. Mamoune s’est initié à la spéléologie alors qu’il était encore lycéen, ce fut aux années 1970, quand il est parti, seul, escalader un jour les cascades d’oued El Maleh près de Mohammédia. Cette première exploration l’a marqué à vie. Puis il est parti à Paris, faire ses études de géographie et d’urbanisme. Il y est resté 10 ans, pendant lesquels il s’est frotté aux chevronnés des grottes au sein d’un club de spéléologie parisien. Sa thèse de fin de cycle, il l’a consacrée aux «Grottes au Maroc et tourisme des profondeurs».
Rentré au pays, il dédie toute son énergie et ses connaissances à la spéléologie, dans le cadre de l’Association marocaine de spéléologie (AMS) qu’il a créée en 1989. Enseignant chercheur à l’Université Hassan-II de Casablanca, Pr Amrani Marrakchi met en place, en 2014, le Centre universitaire de formation en spéléologie. Entre autres objectifs visés, outre la spéléologie proprement dite: créer des passerelles, dit-il, «avec d’autres disciplines et autres branches de recherche comme l’hydrogéologie, la biologie, la sismologie, la météorologie, l’étude de la faune et de la flore cavernicoles… Or, faute d’un laboratoire sur place pour analyser nous-mêmes ces dernières, ce sont des chercheurs étrangers qui viennent prendre des espèces de cette faune et flore pour le faire dans leurs propres laboratoires».

A ce vide juridique dont souffrent les grottes s’ajoute leur insécurité. Particulièrement celle de Friouato, où eut lieu le drame d’avril 2016. Mamoun Amrani l’explique ainsi: «Nous sommes dans un pays calcaire, avec un passé tectonique important qui a provoqué des fissures à l’intérieur de ces grottes, des éboulements de roches sont ainsi fréquents. Autre problème, celui de gel-dégel. La glace qui se constitue pendant l’hiver dans ces fissures se dégèle pendant la saison chaude, et donc c’est le volume de l’eau qui augmente, provoquant l’explosion de la roche». Pour résoudre ce problème et éviter d’autres drames dans le futur, la Fédération marocaine (FMS) des spéléologues a préparé tout un dossier technique sur le danger d’insécurité qui guette les grottes, et pas seulement celle de Friouato. Pour cette dernière, elle a proposé d’injecter du béton pour colmater les fissures qui ronge la roche et empêcher ainsi l’infiltration des eaux à l’intérieur. Et couvrir la roche d’un filet métallique de sécurité. «La FMS n’a encore reçu aucune réponse à sa requête», déplore M. Amrani.

Le parc de Tazekka et ses 13.737 hectares
Au sud-ouest de la ville de Taza, s’imposent au visiteur le massif de Tazekka et sa cédraie. C’est là où a été créé, en 1950, le Parc national de Tazekka (PNT), sur une superficie initiale de
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580 ha. Cette dernière s’est étendue, en 2005, à 13.737 ha. La faune du Tazekka, selon un document du Haut-commissariat aux eaux et forêt et à la lutte contre la désertification (dont relève le parc), comprend plus de 30 espèces de mammifères, dont le sanglier, le hérisson d’Algérie, le lièvre, l’écureuil, le porc épic, le chacal, le renard, la belette, la loutre, la genette et la mangouste, 83 espèces d’oiseaux dont les plus remarquables sont des rapaces utilisant les falaises du site. Deux espèces de grands mammifères ont été réintroduites dans ce parc, il s’agit du cerf de Berbérie, qui peut atteindre jusqu’à 200 kg (il dispose désormais d’un enclos de 500 hectares), et du mouflon à manchettes.
Le parc national de Tazekka offre en outre aux visiteurs une diversité biologique remarquable caractérisée par la présence de formations forestières très anciennes, datant de plus de 600 ans. Au parc se trouve l’une des grottes les plus profondes du pays, le gouffre de Friouato, qui constitue une curiosité tant pour les spéléologues que pour les passionnés amateurs des grottes.

Les îles Kuriat en Tunisie, îles des tortues


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Les îles Kuriat en Tunisie, îles des tortues


Les îles Kuriat sont situées au nord-est du Cap de Monastir, à environ 20 km du continent. Ce sont deux petites îles couvrant 270 ha environ pour Qurya El Kbira, et 50 ha pour Qurya Sghira. Ces petites émergences de terre constituées par des grés appartiennent à des hauts fonds et occupent une position pseudo-anticlinale au milieu d’un fossé comblé par une formation sédimentaire très épaisse. Elles sont caractérisées par une morphologie plate et basse. Ces îles constituent une escale migratoire pour une avifaune d’importance internationale, comme le goéland railleur, classé comme espèce vulnérable. Elles sont l’un des principaux sites de nidification de la tortue Carettacaretta au sud de la Méditerranée, et de ce fait constituent un écosystème vulnérable.

1er AOÛT - Pourquoi fête-t-on l’armée au Liban ?

Au cœur de l’été, le Liban fête son armée chaque 1er août. Une sorte de fête nationale bis, héritage d’un processus d’indépendance qui s’étala sur plusieurs années au plus fort de la seconde guerre mondiale.
Si c’est le 22 novembre 1943 que la classe politique libanaise obtient l'indépendance du Liban, il faudra presque deux ans pour que la jeune nation libanaise « récupère » le commandement de sa propre armée. En effet, les régiments d’infanterie formés de Libanais qui étaient sous autorité du mandat français passeront sous total commandement libanais le 1er août 1945, date à laquelle l’armée française se retira totalement.  Ce jour fut consacré en tant que fête nationale de l’Armée. 
Pour les Libanais, leur armée symbolise la nation solide et unifiée au regard d’un État souvent mis à mal par les vicissitudes de la politique locale et de la géopolitique régionale. Les Libanais, toutes confessions confondues, adhèrent à ce symbole d’unité nationale et reconnaissent l’armée comme vecteur de cohésion sociale.

Au pied de l’Acropole se cache une merveille


Rares sont les touristes à s’aventurer au pied du rocher de l’Acropole, à Athènes (Grèce). Dommage. C’est là que se trouve Anafiotika, un vieux quartier populaire totalement atypique.


« L’Acropole ?… C’est par là » : les habitants d’Anafiotika ne se lassent pas de répondre quotidiennement aux touristes perdus dans les ruelles de leur minuscule et méconnu quartier à l’architecture cycladique, incrusté dans le rocher sacré.
Maisons blanches, fenêtres lilliputiennes comme c’est la tradition dans les Cyclades venteuses de la mer Égée, cette centaine d’habitations en pierre de 50 m² environ, toutes simples, sont construites sur le versant nord-est du site antique de l’Acropole et de ses temples illustres comme le Parthénon, haut lieu touristique du pays.


« Nous n’avions aucune idée de ce quartier, si particulier, et c’est par hasard que nous l’avons découvert en descendant du Parthénon », se réjouit Mila Mihaylova, touriste bulgare de 25 ans, qui profite de l’ombre du jasmin grimpant sur les murs des courettes pour se protéger du soleil. Anafiotika est l’un des vieux quartiers populaires du centre historique de l’Athènes moderne, avec une édification remontant à 1834.
« À l’époque, des ouvriers des Cyclades en mer Égée et surtout de l’île d’Anafi, connue pour ses tailleurs de pierre, ont été appelés par le roi Othon Ier pour reconstruire Athènes, capitale du jeune État grec » d’alors, rappelle Eri Paklatzidi, ingénieure civile du service archéologique d’Athènes.
Athènes avait en effet été détruite après la guerre d’indépendance (1821-1829) contre les Ottomans et « ces ouvriers devaient alors construire les bâtiments officiels, dont le palais royal, devenu après l’abolition de la monarchie en 1973 la résidence du Président de la République », précise-t-elle.


Voyage dans le temps 
Pour loger leurs familles, les Anafiotes ont alors construit leurs maisons dans le style de leur île, et à la limite de la légalité, au pied du rocher de l’Acropole et à la lisière du centre historique et très touristique de Plaka, quartier bourgeois de style néoclassique. 
« Anafiotika a une valeur historique, c’est un voyage dans le temps représentant l’architecture populaire avec des éléments cycladiques », explique l’architecte Panayiotis Paraskevopoulos, habitant de Plaka. Au fil des ans, certaines de ces maisons ont été abandonnées ou récupérées par de nouveaux locataires, et il reste aujourd’hui peu de descendants des familles anafiotes.
À la fin des années 1960, les maisons ont été intégrées dans la zone archéologique d’Athènes et une vingtaine ont été démolies trente ans plus tard pour permettre la restitution de l’ancienne promenade pédestre autour de l’Acropole, dans le cadre du lifting général de la capitale en vue des Jeux olympiques d’été 2004.



Cependant, la plus grande partie du quartier a été sauvegardée après avoir été érigée au rang de « patrimoine architectural » par le ministère de la Culture. Une décision qui implique une série de restrictions et réglementations en cas de rénovation, toute extension ou construction supplémentaire ayant été interdite.
« Désormais le ministère est propriétaire de cette zone » et veille à la préservation de ces maisons, souligne Mme Paklatzidi. Mais en réalité ce sont surtout les quelque 40 familles y résidant toujours qui veillent sur la survie du quartier, s’accordent à dire autorités et experts.


La menace Airbnb
L’infrastructure de la majorité de ces maisons reste « basique et ne répond pas souvent aux critères modernes de logement, mais la ténacité et l’attachement des habitants à leur quartier » empêchent leur écroulement, indique M. Paraskevopoulos.
De leur côté, les habitants peinent souvent à faire face à la bureaucratie et s’inquiètent de la tendance à l’exploitation de la zone, l’une des plus touristiques du pays. « Ce n’est pas facile à vivre, ici », avoue Alexandra Katsourani, résidente depuis une trentaine d’années à Anafiotika et membre d’un comité de protection du quartier.



« Nous nous battons pour maintenir nos maisons : il faut à la fois respecter les réglementations avec des moyens financiers limités et surtout veiller à empêcher toute tentative de nous transformer en Airbnb géant », déplore-t-elle. Le ministère de la Culture se veut rassurant et l’exploitation commerciale de la zone en hôtels ou restaurants est interdite. Mais beaucoup d’habitants s’inquiètent que certains nouveaux locataires puissent céder à la tentation de faire une exploitation touristique de leur maison, et que les assurances du ministère restent « lettre morte ».
C’est que « toute la Grèce a été bradée ces dernières années… », rappelle Alexandra Katsourani, en allusion aux privatisations tous azimuts (des sociétés publiques aux biens immobiliers de l’État) pendant les huit dernières années de crise, réclamées par les créanciers de la Grèce en échange des prêts internationaux.


Aux USA, de mystérieuses flèches géantes en béton


Dans les années 1920, un système de fléchage et de signaux lumineux a été mis en place pour guider les pilotes de la poste aérienne qui traversaient les États-Unis d’Est en Ouest. Ces grosses flèches n’ont pas totalement disparu mais s’abîment, dans l’indifférence générale.
Au début du XXe siècle, les pilotes n’avaient pas de GPS pour les guider dans les airs. Mais outre-Atlantique, ils pouvaient compter sur un système dont on peut encore observer les vestiges : des grosses flèches en béton parsemées sur le territoire américain, de New York à San Francisco. 


Ces installations historiques datent des années 1920. À cette époque, les États-Unis viennent d’inaugurer une route aérienne qui relie la côte Est à la côte Ouest et qui doit permettre de livrer du courrier plus rapidement. Mais le service manque de flexibilité : les avions ne peuvent pas voler la nuit tombée ou si les conditions météorologiques sont trop mauvaises. Afin de les aider à se repérer, le ministère du commerce crée un système ingénieux.
Les phares des pilotes 
Environ tous les quarante kilomètres, les pilotes de la poste aérienne passaient au-dessus d’une tour en acier de 15 mètres de haut surmontée d’un signal lumineux rotatif, accompagnée d’une énorme flèche en béton au sol, allant jusqu’à 21 mètres de long et peinte en jaune pétant. À peu près 1 500 installations sont mises en place entre 1926 et 1931.

Ce système tombe en désuétude dès les années 1940 avec l’arrivée des communications radio. Les signaux lumineux ont progressivement été démontés jusqu’au début des années 1970 et les flèches ont été laissées à l’abandon. Une partie a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale pour éviter d’aider involontairement les ennemis.
S’il est impossible de savoir exactement combien il en reste, une recherche sur Google Maps (Historic Airways Beacons) permet de voir celles qui ont été répertoriées. Certaines sont encore en très bon état. D’autres en revanche, abîmées par l’homme et la nature, sont méconnaissables.
À la chasse aux flèches
Aujourd’hui, ces vestiges du siècle dernier ne sont pas protégés par une quelconque reconnaissance historique et seulement une petite partie des Américains a conscience de leur existence. C’est ce qui a poussé un couple de retraités californiens à partir à la chasse aux grosses flèches. Depuis 2013, Charlotte et Brian Smith sillonnent les États-Unis pour débusquer ces vieilles installations.

  
Sur leur site dédié à cette cause, Arrow Accross America, ils compilent leurs trouvailles, mettent des photos qui rendent compte de leur état, notent leur géolocalisation. À ce jour, ils ont parcouru plus de 35 400 kilomètres et ont visité 19 États au cours de quatre grandes expéditions. Ils sont eux-mêmes allés photographier 94 flèches sur les 123 qu’ils ont repérées. Les autres ont été vérifiées par des contributeurs.


« Notre but est d’informer les gens et de souligner l’importance de ces flèches dans l’histoire de l’aviation américaine », expliquent-ils au bout du fil. Ils ont notamment remarqué que plusieurs de ces blocs de béton avaient récemment été peints, décorés. « Des éléments importants comme de la peinture d’époque ou des marquages sont dissimulés. Cela compromet leur inscription au patrimoine », préviennent-ils.
Grâce à leur travail de sensibilisation et aux actions individuelles de quelques personnes qui se battent pour que ces flèches soient inscrites au patrimoine américain, le couple espère que leur caractère historique sera bientôt reconnu.

Pourquoi la Chine se lance à la conquête de la face cachée de la Lune ?

La Chine a lancé, lundi 21 mai, un satellite chargé d’assurer les communications entre la Terre et un petit robot, qui devrait se poser sur la face cachée de la Lune courant 2018. Lors de l’arrivée du robot téléguidé sur la Lune, le satellite se trouvera à un endroit lui permettant d’assurer des échanges avec la Terre, tout en ayant dans sa ligne de visée la face cachée de la Lune. La face cachée de la Lune désigne l’hémisphère de l’astre lunaire qui n’est pas visible de la Terre. Elle est photographiée depuis 1959 mais elle n’a jamais été explorée.

Ce sera le deuxième véhicule téléguidé chinois envoyé sur la Lune. En 2013, la Chine y avait déjà fait débarquer un rover nommé « Lapin de jade ». La Chine investit des milliards d’euros dans son programme spatial, coordonné par l’armée. Le pays espère avoir une station spatiale habitée d’ici à 2022, et envoyer à terme des humains sur la Lune.





Les oiseaux dorment-ils en volant ?

Certains oiseaux passent le plus clair de leur temps en vol. Ils se nourrissent et se reproduisent dans les airs, mais qu'en est-il la nuit ? La majorité des oiseaux dorment perchés ou sur le sol, sauf une espèce qui dormirait en planant à 1,5 km de haut, dans le ciel...
Une grande partie des espèces d'oiseaux dorment la nuit, comme l'Homme. Bien sûr, il existe des espèces nocturnes, 

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l'eider à duvet ou le grand-duc d'Europe par exemple, et certaines espèces dorment aussi bien de nuit que de jour. Pour le reste, une fois le soleil couché, les oiseaux dorment, mais où est une question loin d'être complètement élucidée. Lorsque les étourneaux sont en France, on peut les observer se regrouper à la tombée de la nuit, pour trouver ensemble un nichoir. Ceux-ci ne dorment pas en vol, et comme la grande majorité des oiseaux, ils cherchent pour dormir un endroit similaire à leur lieu de nidification.

Le martinet noir, un oiseau qui dormirait en volant

Le lieu et le mode de sommeil dépendent grandement de l'espèce considérée, il existe encore beaucoup de zones d'ombres sur la façon dont dorment les oiseaux. À ce jour, on ne peut assurer que certaines espèces dorment en volant, mais de fortes suspicions planent sur le martinet noir. Ce petit oiseau est migrateur, il quitte l'Afrique équatoriale à la fin de l'hiver et couvre, jusqu'à la fin de l'été, une grande partie de l'Eurasie.


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Le martinet passe la majeure partie de sa vie dans les airs. Ses pattes sont si petites qu'elles ne lui permettent pas d'initier son vol depuis le sol. En réalité, les seules pauses qu'on lui connaît sont durant la nidification, où il couve. Il perche en altitude, car le martinet ne sait se mettre à voler autrement qu'en se laissant tomber, profitant de la vitesse de chute pour amorcer son vol. Les juvéniles, une fois sortis du nid, passent deux ans en vol constant, ils ne se posent jamais.

S'il n'est pas prouvé avec exactitude que le martinet dort en volant, l'idée est tout de même communément admise. La nuit, les radars les perçoivent, les oiseaux se regroupent et « dorment » en volant en cercle, jouant avec les inversions de température pour se laisser planer.

Un zoo égyptien peint un âne et le fait passer pour un zèbre


Les directeurs de ce zoo égyptien pensaient certainement que cela passerait inaperçu auprès des visiteurs. Mais leur stratagème n'a pas vraiment marché.

Dans un post sur sa page Facebook, Mahmoud A. Sarhan a partagé une photo de ce que le zoo du Caire présente comme un zèbre. Mais à y regarder de plus près, l'animal ressemble étrangement à un âne. Oreilles allongées, crinière différente et rayures brouillons... Les gestionnaires du parc auraient donc peint des rayures sur la robe de l'âne, qui se seraient mises à couler avec la chaleur. Pas très malin, d'autant que plusieurs vétérinaires ont confirmé qu'il ne s'agissait pas d'un équidé africain.


Le cannabis thérapeutique va être autorisé au Royaume-Uni


Le cannabis thérapeutique va être autorisé au Royaume-Uni sur prescription à partir de l'automne, a annoncé jeudi le ministre britannique de l'Intérieur Sajid Javid. "Cela aidera les patients avec des besoins médicaux spécifiques mais cela ne constitue en aucun cas un premier pas vers la légalisation du cannabis à usage récréatif", a déclaré le ministre dans un communiqué.


Quel est le plus grand oiseau volant ?

Le plus grand oiseau volant serait le grand albatros ou albatros hurleur, avec une envergure qui peut atteindre 3,70 m, devançant ainsi le condor des Andes avec 3,50 m d'envergure. La particularité du grand albatros ? Être un champion du vol plané sur de longues distances.


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Albatros hurleur ou grand albatros

Le plus grand oiseau volant serait le grand albatros ou albatros hurleur, avec une envergure qui peut atteindre 3,70 m, devançant ainsi le condor des Andes avec 3,50 m d'envergure. La particularité du grand albatros ? Être un champion du vol plané sur de longues distances.

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Condor des Andes.