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Le Togo

Togo destination originale

Le Togo, c'est le plus petit État d’Afrique de l’Ouest francophone, une étroite bande de terre qui séduit par ses paysages ruraux typiques, ses traditions fortes, son artisanat ancestral et l’hospitalité de ses habitants. Il possède des parcs nationaux vallonnés et une culture empreinte de magie et de rituels. Partir à la découverte de ses collines, ses forêts, ses plages et ses cocoteraies promet un voyage d'évasion pour tous vos sens. Au Togo, le tourisme est un secteur économique à fort potentiel de croissance et une des priorité du Pays est d'augmenter le flux des visiteurs étrangers.  
  • Nombre de touristes internationaux par an : 496 000
  • Nombre de touristes par km2 en 2017 : 8.7
  • La meilleure période pour s'y rendre : de Novembre à Février

Maroc: des dizaines de sangliers envahissent des villes en plein confinement

Sangliers

Des vidéos filmées dans plusieurs villes du Maroc montrent des dizaines de sangliers se balader en toute quiétude dans des quartiers résidentiels déserts en raison du confinement sanitaire imposé pour lutter contre le coronavirus.


Depuis l’instauration de l’état d’urgence sanitaire dans le royaume chérifien et l’imposition du confinement total de la population, plusieurs villes du pays sont envahies par des troupeaux de sangliers. Des vidéos partagées sur les réseaux sociaux montrent ces visiteurs de jour en train de fouiller les quartiers de certaines villes à la recherche de la nourriture.

Ainsi, une séquence tournée dans la ville d’Ifrane, dans le nord-ouest du pays, montre un troupeau de près d’une trentaine de sangliers traverser un quartier résidentiel.


Une autre vidéo publiée par un habitant de Cap Spartel, dans la région de Tanger, montre un groupe de femelles accompagnées de leurs marcassins se balader tranquillement dans un quartier de la ville.

Coronavirus. La vie privée, prochaine victime de la pandémie ?

 Alors que les gouvernements à travers le monde prennent des mesures drastiques pour combattre l’épidémie de Covid-19, des ONG s’inquiètent des conséquences de cette lutte pour la vie privée. Parmi leurs inquiétudes : la géolocalisation des smartphones.


Surveiller les citoyens via leurs smartphones peut aider à contenir la pandémie de coronavirus, mais aussi coûter cher en libertés publiques et respect de la vie privée.


Les ONG s’inquiètent.
De la Chine à Israël, des gouvernements contrôlent les déplacements des personnes grâce à des moyens électroniques. En Europe et aux États-Unis, des firmes technologiques ont commencé à partager des données rendues anonymes pour mieux surveiller la propagation du virus.
Ces pratiques interrogent les ONG de défense des droits humains. Les gouvernements exigent de nouveaux pouvoirs de surveillance extraordinaires pour contenir le Covid-19 , constate l’une d’elles, la Electronic Frontier Foundation, dans un communiqué.


Ces pouvoirs pourraient envahir notre vie privée, réduire la liberté d’expression et peser lourdement sur les groupes vulnérables, continue-t-elle. Les autorités doivent prouver que de telles mesures sont efficaces, scientifiques, nécessaires et proportionnées.
Hong Kong demande aux personnes arrivant de l’étranger de porter des bracelets de suivi, et Singapour a une équipe de détectives numériques pour surveiller ceux qui sont en quarantaine.
En Israël, le service de sécurité intérieure (Shin Bet) a commencé à utiliser des technologies sophistiquées et des données télécoms pour pister les civils.
La Chine va jusqu’à attribuer des codes couleurs aux smartphones (vert, jaune, rouge), qui déterminent où un citoyen peut aller ou pas.

Normalisation de la surveillance
Selon l’ONG Freedom House, Pékin en profite aussi pour renforcer la censure, en bloquant certains sites web ou accès à internet.
Nous observons des choses inquiétantes, montrant que les régimes autoritaires utilisent le Covid-19 comme prétexte […] pour restreindre les libertés fondamentales, en allant plus loin que les besoins de santé publique ne l’exigent, a déclaré Michael Abramowitz, le président de cette organisation.
Certains militants font le rapprochement avec les attaques du 11 septembre 2001 aux États-Unis, qui avaient ouvert la porte à une surveillance renforcée au nom de la sécurité nationale.
Il y a un risque que le recours à ces outils ne se normalise et continue même quand la pandémie ralentira, note Darrell West, qui dirige le Centre pour l’innovation technologique de la Brookings Institution.
Le problème de la surveillance en temps d’urgence, c’est que les gens vont s’habituer, abonde Ryan Calo, chercheur à l’université de Washington et affilié au Centre pour internet et la société de Stanford.
Il admet cependant la nécessité de trouver un compromis difficile entre les impératifs sanitaires et la sensation d’être traqué en permanence.

Loi des grands nombres
Le débat se concentre surtout sur la géolocalisation via les smartphones. Depuis le début de la pandémie, plusieurs applications ont été développées pour suivre la propagation du virus.
Celle conçue par des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) détermine par exemple si l’utilisateur a croisé le chemin d’une personne contaminée. Un concept qui ne pourra évidemment marcher que si cette application est très largement utilisée.
Des ingénieurs de l’université Cornell proposent eux de partager sa position géographique et son statut (infecté ou pas) pour recevoir des alertes sur les cas de contamination à proximité.
Mais gare à la fausse sensation d’être en sécurité, avertit Ryan Calo. Selon lui, les données récoltées sur la base volontaire seront sans doute truffées d’erreurs.
Une autre application, baptisée Covid-Watch, permet de partager des données sur son emplacement et sa santé, grâce au Bluetooth, sans compromettre sa vie privée.
Nous l’avons conçue de façon à ce qu’une personne qui attrape le Covid-19 puisse envoyer une alerte aux gens à proximité sans qu’ils ne puissent l’identifier, explique Tina White, diplômée de Stanford et cofondatrice de Covid-Watch.
L’application est en cours de développement. Avec son équipe de chercheurs, Tina White veut proposer une alternative aux mesures autoritaires adoptées dans certains pays.
Comme l’application ne servira que si elle est très répandue, elle précise que la technologie serait fournie gratuitement. Et suggère que les deux principaux systèmes d’exploitation des smartphones, Android et Apple, l’ajoutent en option lors d’une mise à jour afin d’assurer son adoption par le plus grand nombre.

Covid 19 : « la réussite » de tous les élèves dans le public en Arabie Saoudite.

Le ministre saoudien de l’Éducation, Hamad bin Mohammad Al-Sheikh, a annoncé jeudi « la réussite » de tous les élèves de l’enseignement public et ce dans le contexte de l’épidémie du Covid-19.


« Dans le sillage des efforts déployés par les responsables pour faire face aux circonstances exceptionnelles dues à la pandémie du Coronavirus et alors que les programmes d’enseignement à distance ont été achevés grâce aux efforts louables de nos enseignants et administrateurs, le ministère a décidé de faire passer tous les élèves de l’enseignement public aux classes supérieures et de la poursuite du processus d’enseignement », a écrit le ministre Al-Sheikh dans un tweet suivi, jeudi, par un communiqué.


Le communiqué a également fait état du maintien de l’enseignement à distance et de l’ajout d’autres matières comme l’apprentissage du Coran.

La Nouvelle-Calédonie

Destination originale méconnu

La Nouvelle-Calédonie, cette île au bout du monde en Océanie qui rime avec eau translucide, lagons bleus et sable blanc est une destination dépaysante à souhait. Elle regorge de paysages paradisiaques et de forêts vierges et sa culture est haute en couleurs. L'île principale Grande Terre n'est que de panoramas sauvages, entre immenses plages, cascades et forêts luxuriantes tandis que l'île des Pins et autres petits îlots abritent de véritables trésors coralliens. Une destination qui, de par sa distance en décourage plus d'un. Mais une fois sur place, c'est un joyau pour les amateurs de farniente, de chocs culturels et de plongée.
  • Nombre de touristes internationaux par an : 121 000
  • Nombre de touristes par km2 : 6.3
  • La meilleure période pour s'y rendre : De Juin à Novembre

En Californie, le nombre réel de cas du Covid-19 serait largement supérieur aux chiffres officiels

Une étude menée par des chercheurs de l'université de Stanford (Californie) indique que le nombre de réel de contaminations serait sans doute plus de 50 fois supérieur aux chiffres annoncés.


Des chercheurs de Stanford ont testé lors du premier week-end d’avril 3330 volontaires du comté de Santa Clara, recrutés par Facebook, et estiment qu’entre 2,5 % et 4,1 % de la population locale a été contaminée par le coronavirus, soit entre 50 et 85 fois le nombre de cas alors confirmés dans cette région.
Dans leur étude, mise en ligne vendredi et qui n’a pas encore été évaluée par un comité de lecture d’une revue scientifique, les auteurs calculent ensuite que le taux de mortalité réel du coronavirus est de moins de 0,2 %.
Les anticorps sont la réponse du système immunitaire aux infections. Ils peuvent procurer une immunité : pour certains virus, à vie, mais pour d’autres moins d’un an. 


La méthode employée dans cette étude a des limites, notamment car les femmes blanches étaient plus nombreuses à se porter volontaires, dans une région très hispanique, et l’équipe a dû redresser les données brutes afin que l’échantillon soit représentatif de la population locale. 
Mais les auteurs, dont Eran Bendavid et Jay Bhattacharya de Stanford, estiment que leur étude, réalisée en un week-end, « démontre la faisabilité des enquêtes de séroprévalence sur des échantillons de population aujourd’hui et à l’avenir ».
Ce type de tests sanguins, dits de sérologie, est en effet plus simple que les tests de diagnostic, qui requièrent une analyse moléculaire à partir d’un échantillon prélevé au fond du nez. Une goutte du sang des volontaires, depuis leurs voitures, a ici été prélevée. Il en existe plusieurs, plus ou moins précis, le taux de « faux négatifs » pouvant être relativement élevés selon les fabricants.
D’autres études plus vastes ont été lancées aux États-Unis et ailleurs à plus grande échelle, dans le but crucial de déterminer combien de gens ont été contaminés, et combien restent susceptibles d’attraper le microbe.
Les résultats devront nourrir les décisions des pouvoirs publics alors qu’ils préparent le déconfinement, en particulier aux États-Unis.

Une ville américaine préservée du Covid-19




Point Roberts, au sud de Vancouver.
Point Robert, au sud de Vancouver.

La petite ville de Point Roberts fait partie des États-Unis, mais elle n’est reliée par voie terrestre qu’au territoire canadien. Une bizarrerie géographique qui l’a jusque-là tenue à l’abri du Covid-19. Mais qui pourrait se retourner contre ses habitants.

Le Bhoutan

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Le Bhoutan est un royaume méconnu situé au pied de l'Himalaya, réputé pour détenir le record mondial du "bonheur brut par habitant" ! La spiritualité jouant un rôle majeur dans cette société, il possède de nombreux et merveilleux sites bouddhiques. Ses paysages se mêlent aux temples avec une fascinante architecture et ses sites culturels sont incroyablement. En 1987, le Bhoutan a décidé de restreindre les flux touristiques pour se préserver. Peu de voyageurs ont donc exploré ce royaume qui ne laisse pas le tourisme de masse entrer, ce qui en fait un pays particulièrement énigmatique. Un monde à part à découvrir absolument !
  • Nombre de touristes internationaux par an : 255 000
  • Nombre de touristes par km2 : 5.4
  • La meilleure période pour s'y rendre : Mars / Mai / Octobre / Novembre

Covid 19 : Les accidents thrombo-emboliques principal facteur létal ?


Les accidents thrombo-emboliques sont-ils le principal facteur létal des infections à Covid.19, ou seulement un facteur aggravant parmi d’autres ?
Le risque d’évènements thrombotiques, notamment pulmonaires serait élevé dans les infections à Covid-19 et une cause majeure de mortalité. Elle n’aurait pas toujours été prise en compte dans les formes graves et pourrait être l’objet d’une prophylaxie ciblée dans les formes précoces.

Le 16 mars dernier, un article paru dans la revue RSNA (Radiological Society of North America) rapporte les cas, à Wuhan, de deux chinois infectés par le virus Covid19, dont l’état respiratoire, avec la survenue d’une embolie pulmonaire aigüe, s’est brusquement aggravé. Cette publication n’émeut personne : le fait que des infections virales ou bactériennes, puissent favoriser des thromboses veineuses, c-a-d la formation au sein des veines de caillots de sang, eux-mêmes susceptibles de générer des embolies par migration d’un fragment de ceux-ci dans les poumons, est connu de longue date. Ce risque de surcroit est accru chez des patients hospitalisés et alités, tous les médecins le savent, pourquoi se focaliseraient-ils sur cet aspect de la maladie ?

Le 11 avril dernier le Pr italien Sandro Giannini (orthopédiste), directeur de l’institut d’orthopédie Rizzoli à Bologne (établissement réquisitionné pour accueillir des personnes infectées), déclare sans ambages et précaution verbale que la cause principale de mortalité des patients Covid19 est « la formation de multiples microthromboses dans les vaisseaux pulmonaires ». Elles sont difficiles à soupçonner précise-t-il, car pouvant survenir en l’absence de thrombose veineuse des membres inférieurs associée, leur cause habituelle. Difficiles aussi à voir en échographie au lit du malade (qui n’est pas transportable pour un autre examen quand il est intubé). Or ventiler un sujet quand le sang ne circule plus dans ses vaisseaux obstrués par des caillots, est évidemment inutile. Ce qui donc tuerait, poursuit le Pr Giannini, ne serait pas ventilatoire mais circulatoire, lié à une maladie thromboembolique pour laquelle existent des traitements efficaces qu’on aurait jusqu’à présent sous-utilisés.


Ce médecin ajoute que c’est l’inflammation générée par le virus en début d’infection qui abime les vaisseaux et crée un terrain propice à la thrombose, d’ou l’intérêt d’utiliser précocement des anti-inflammatoires, médicaments qui à ce stade, ont été jusqu’à présent déconseillés. Un propos qui a du sens. A peu prés au même moment un réanimateur américain diffuse sur le web un video-clip, qui fait le tour du monde, ou il explique que les patients qu’il a vu mourir, avaient un syndrome qui ressemble davantage à un déficit progressif en oxygène, comme en très haute altitude, plutôt qu’à une pneumopathie virale grave, bref à un tableau davantage en faveur de ce que peut induire un phénomène vasculaire thrombotique, que respiratoire pur. Que doit-on penser de ces déclarations qui impliqueraient de changer les priorités thérapeutiques?


coscas

Le point de vue du Pr Raphaël Coscas (en photo), chirurgien vasculaire à l’Hôpital Ambroise Paré, AP-HP, Boulogne-Billancourt : Une prévention précoce sur des terrains prédisposés est indispensable


Covid-19 : Le monde vers un déconfinement


Alors que certains pays décident de prolonger l’Etat d’urgence sanitaire, d’autres tentent de sortir progressivement du confinement en assouplissant les mesures drastiques prises pour lutter contre le COVID-19.

Il s’agit de la Chine qui a décidé, le 8 avril après deux mois de quarantaine, de lever les restrictions de déplacements des habitants de la région de Wuhan, berceau de la pandémie, où le Covid-19 a surgi en décembre dernier.

Prolongeant l’état d’alerte jusqu’au 26 avril, l’Espagne a autorisé, pour sa part, le 14 du mois courant la reprise progressive de l’activité des secteurs économiques non-essentiels pour sauver l’économie de l’effondrement tout en gardant un œil vigilant sur l’évolution de la pandémie.

De son côté, le Danemark amorce son déconfinement avec la réouverture, le 15 avril, des crèches, des garderies et des écoles primaires pour les enfants de moins de 11 ans, première étape d’un processus qui devrait se poursuivre dans les jours à venir.

Le gouvernement danois prévient que les restrictions resteront en place pendant des mois, que les frontières demeurent fermées et que les voyages à l’étranger sont toujours déconseillés.

L’Allemagne décide, quant à elle, d’assouplir les mesures drastiques prises pour lutter contre le COVID-19. Les magasins de moins de 800 mètres carrés vont pouvoir rouvrir à partir du 20 avril, de même que les écoles à partir du 4 mai si la pandémie de nouveau coronavirus reste contenue.

La Finlande va, à son tour, lever les barrages routiers isolant la région de sa capitale Helsinki. Les déplacements entre la région d’Uusimaa, foyer de l’épidémie de nouveau coronavirus en Finlande, et le reste du pays étaient interdits depuis le 28 mars.

Même son de cloche pour l’Autriche, où le gouvernement fédéral a commencé à assouplir les mesures de précaution imposées à certaines activités économiques et à la vie publique depuis la mi-mars, selon un programme qui prévoit un retour progressif à la normale.

Dans la même veine, le gouvernement tchèque présente un plan en cinq étapes visant à lever progressivement, du 20 avril au 8 juin, les mesures de confinement imposées au pays depuis la mi-mars, en raison de la pandémie de coronavirus. Le ministère de l’Education indique que les écoles et les universités reprendront à partir du 20 avril, mais qu’elles ouvriraient pas complètement avant les vacances d’été qui commencent le 1er juillet.

Le Norvège entamera la semaine prochaine la réouverture de certaines institutions publiques et privées après un arrêt d’un mois pour aider à prévenir la propagation du Covid-19. Les crèches rouvriront le 20 avril, alors que les écoles primaires, de la première à la quatrième année, accueilleront leurs élèves une semaine après.

La levée du confinement est toutefois loin d’être à l’ordre du jour dans plusieurs autres pays en Afrique, en Europe ou en Asie, qui décident de prolonger l’état d’urgence afin de mettre fin à la propagation du COVID-19.

Au Canada, l’exécutif québécois a décidé de prolonger la fermeture des entreprises et des commerces non essentiels jusqu’au 4 mai, soit trois semaines de plus que prévu initialement.

En Italie, le Premier ministre Giuseppe Conte a décidé de prolonger au 3 mai les mesures de confinement qui devaient prendre fin le 13 avril.

La Pologne opte également pour une prolongation jusqu’au 26 avril de la fermeture des écoles et des universités, tandis que les frontières devront rester fermées jusqu’au 3 mai.

Le président portugais a décidé aussi le prolongement de l’état d’urgence jusqu’au 1er mai, alors que le gouvernement irlandais décide de maintenir jusqu’au 5 mai le confinement.

De son côté, l’Arabie saoudite annonce le prolongement jusqu’à nouvel ordre du couvre-feu décrété le 23 mars, au moment ou l’Inde décide de faire durer son confinement général de la population jusqu’au 03 mai.

Ailleurs, le Président Emmanuel Macron décide le 15 avril de maintenir le confinement général, décrété le 17 mars, jusqu’au 11 mai.

Par ailleurs, plusieurs pays viennent à peine de commencer le confinement. Les autorités de la République démocratique du Congo (RDC) ont imposé, le 6 avril, un confinement de deux semaines pour la commune Gombe de Kinshasa, centre névralgique de la capitale, où sont concentrées plus des deux tiers des activités commerciales, considérée comme l’épicentre de la pandémie.

Au Gabon, le Premier ministre Julien Nkoghe Bekalé a annoncé, le 10 avril, le confinement du Grand Libreville à partir du 12 avril à minuit pour une durée de 15 jours.

COVID-19 : Comment le Maroc est parvenu à déplacer des montagnes.


En moins d’un mois, le Maroc a réussi à déplacer des montagnes sur tous les plans. Il est passé d’un pays qui souffre de tous les maux à un pays qui se distingue à l’échelle mondiale par sa gestion d’une pandémie qui a mis à genoux les puissances mondiales. Cherchons l’erreur.

En effet, le Maroc a poussé des murs d’hôpitaux et a réalisé en un temps-record ce qu’il n’est pas parvenu à faire durant des années. Toutes les forces vives du pays se sont mobilisées pour relever l’un des défis majeurs auxquels l’Etat s’est confronté. Mais pourquoi donc ? Sommes-nous habitués à travailler sous la pression ? Comment expliquer la persistance des dysfonctionnements de notre tissu économique et de notre société ?

Des questions légitimes lorsqu’on fait l’inventaire de tout ce qui a été réalisé en si peu de temps. Toutes les réponses apportées à des dysfonctionnements de fond qui trainent depuis des années. Toutes les décisions prises en quelques jours et dont les retombées sur la société s’avèrent importantes. Certes, on ne peut qu’être fiers de la manière dont le Maroc a géré cette pandémie. Mais cela n’empêche de mettre la lumière sur notre capacité à faire beaucoup plus et surtout beaucoup mieux. Cette crise nous a démontrés que rien n’est impossible ni irréalisable. 350 mesures ont été décidées pour atténuer les effets sanitaires, économiques et sociaux de la pandémie. Autrement dit, il suffit d’une forte volonté politique et d’une mise à disposition des moyens nécessaire au service des secteurs prioritaires pour aller de l’avant.

La santé publique a redoré son blason
A commencer par le secteur la santé. Considéré comme étant l’un des secteurs les plus défaillants, ce secteur vital, souvent critiqué à cause d’une mauvaise gouvernance, a réussi à faire face à une pandémie dévastatrice avec à ce jour moindres de pertes humaines comparativement à des pays voisins. Avec des mesures préventives et seulement 2 Mds de DH supplémentaires, le secteur a réalisé des miracles en matière d’équipement des structures de soins. La capacité litière dans le système de santé marocain a doublé passant de 1.640 à 3.000 lits de réanimation ainsi que l’acquisition de nouveaux équipements respiratoires. Les 44 hôpitaux et 32 centres de consultation destinés à la prise en charge des malades Covid-19 ont été mis à niveau.


Mais pas seulement, le Maroc a réussi à construire en un temps-record (6 jours) des hôpitaux militaires de campagne dans différentes villes du Royaume.


Autre exploit impensable il y a quelques jours, la construction en seulement 15 jours d’un hôpital de campagne équipé de tout le matériel médical nécessaire au niveau de Casablanca. Pour un budget de 45 MDH les autorités locales ont aménagé les 20.000 mètres carrés de l’Office des Foires et Exposition de Casablanca (OFEC) pour renforcer la capacité litière de la capitale en tête de liste des villes les plus touchées.


En quelques jours, le secteur public de la santé a réussi à redorer son image. Espérons seulement que la leçon du Covid-19 puisse servir à redonner au secteur public la place qu’il est censé occuper. Que les efforts des blouses blanches, en première ligne de cette guerre, ne partent pas en fumée. Et que la mise à niveau de l’hôpital public devienne réellement une priorité nationale.

Quand l’industrie retrousse ses manches

Quant au secteur industriel, locomotive de la croissance économique, il a sorti une carte (joker) longtemps gardée dans les tiroirs.

La pandémie a secoué le secteur le poussant à recourir à l’innovation pour garantir son autosuffisance en matière de produits de première nécessité en ces temps de crise. La décision du Maroc à produire ses propres masques, par exemple, a fait les choux gras de la presse internationale. Certaines puissances mondiales se sont même demandées comment un pays en voie de développement comme le Maroc est parvenu à mettre à la disposition de sa population des masques devenus obligatoires par l’OMS. Mieux encore, comment arrive-t-il à subvenir à ses besoins et en exporter.



Le secteur du textile, l’un des secteurs frappés de plein fouet par cette crise, a montré qu’il était en mesure de s’adapter et de repositionner son activité pour subvenir aux besoins prioritaires du Maroc en matière de matériel sanitaire (masques, blouses…). C’est un signal fort qu’il envoie à la communauté internationale.

Cette pandémie est donc l’occasion pour le secteur de revoir ses cartes et de mettre le curseur là où il faut pour renforcer sa compétitivité et sa notoriété à l’échelle mondiale.

Autre exploit du secteur industriel, grâce aux compétences nationales, le Maroc est parvenu à se forger une place dans la cour des grands en matière d’innovation sanitaire.


Là encore, en quelques jours, des chercheurs de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) de Benguérir sont parvenus à développer et concevoir un respirateur artificiel 100% marocain. Un appareil dont les matières premières et pièces sont disponibles au Maroc. Une fierté mais surtout un soulagement dans un contexte marqué par une forte tension sur le marché des respirateurs.


La leçon à tirer est que l’industrie marocaine est toute a fait capable d’apporter sa valeur ajoutée et s’imposer sur l’échiquier mondial. Il suffit de construire les ponts entre la recherche & développement et le tissu industriel. Et de tisser des liens entre les inventeurs/chercheurs et les industriels.

Car en l’absence d’une visibilité sur la reprise de l’économie mondiale, sur l’ouverture des frontières, sur la relance des commandes…, l’industrie marocaine n’a d’autres choix que de revoir sa stratégie afin de tirer profit des opportunités qu’offre cette crise sanitaire.

Focalisons notre savoir-faire et nos compétences sur des secteurs à forte valeur ajoutée à travers lesquels le Maroc peut faire la différence. C’est l’occasion ou jamais pour favoriser et encourager le tissu économique national et, par conséquent, réduire notre dépendance vis-à-vis de l’étranger.

Le social devenu priorité

Là encore, le constat est impressionnant. Le Maroc a soigné quelques plaies profondes dont souffre la société depuis des décennies. A commencer par les sans-abris. Quand tout le monde est confiné chez lui sous un toit, cette frange de la population reste la plus exposée au Covid-19.

Heureusement, depuis l’entrée en vigueur de l’Etat d’urgence sanitaire, tutelle, autorités locales, territoriales, société civile…, se sont mobilisées pour prendre en charge les oubliés de l’Etat. Il y a beaucoup moins de SDF (sans domicile fixe) qui rodent dans les rues. Les plus chanceux ont désormais un toit, de la nourriture, des soins médicaux…, en gros une existence plus humaine et plus digne.

Selon les derniers chiffres (4 avril) communiqués par le directeur de l’Entraide nationale, près de 3.000 sans-abris ont été pris en charge et environ 2.000 le seront dans les prochains jours.


Aussi 160 individus ont pu retourner auprès de leurs familles dont notamment des enfants de la rue. Certes nous ne sommes pas encore à 100% de prise en charge des SDF mais c’est déjà un pas en avant vers des personnes vulnérables longtemps ignorées par la société. Il n’a fallu à l’Etat que quelques jours pour mener une grande opération d’hébergement des sans-abris. Pourquoi donc nous ne l’avons pas fait auparavant ?

Autre question et pas des moindres : que deviendront ces SDF après la fin de la pandémie ? Seront-ils de retour à la rue et abandonnés à nouveau à leur propre sort ?

Sur le registre des aides aux plus démunis, en moins d’un mois l’Etat a trouvé la méthode pour subvenir aux besoins des ramedistes voire même développer une application pour les non-ramedistes. Comme quoi quand on veut, on peut. Et pourtant, le projet du Registre social unique, démarré il y a bientôt deux ans, peine à voir le jour. Il aurait servi à apporter , dans les temps, l’aide nécessaire aux plus nécessiteux. Rappelons qu’après pratiquement un mois de confinement, les non-ramedistes n’ont toujours pas perçu d’aide.



Conclusion, les Marocains sont fiers de leur pays et de ses dirigeants qui, sous instructions royales, ont montré une capacité inouïe à gérer une crise pas comme les autres en priorisant l’humain à l’économique. Nonobstant, il est important, une fois la crise dépassée, de dresser le bilan, non seulement des dégâts humains et économiques, mais des réalisations afin de les pérenniser. Les sacrifices de ceux qui sont en front-office de cette guerre et de ceux qui ont perdu la vie ne doivent pas partir en fumée. La reprise et la relance doivent se faire de façon différente en intégrant tous les nouveaux paramètres. Les Marocains n’accepteront plus un retour en arrière en matière d’acquis sociaux, sanitaires, digitaux et gouvernementaux.

C’est une nouvelle page du Maroc qui s’ouvre bien que la relance de la machine économique s’avère rude.

L'oiseau pleureur

Deux frères vivaient ensemble. Depuis longtemps, ils avaient enterré leur père et, à part l'un l'autre, ils n'avaient personne au monde. Ils s'aidaient mutuellement, et vivaient dans l'affection et la bonne entente fraternelle. Ils gagnaient pauvrement leur vie en allant à la pêche. Chaque matin, dès que pointait le jour, ils prenaient leurs filets et allaient en mer. Parfois, lorsqu'il leur arrivait de prendre un poisson particulièrement beau, ils ne le vendaient pas, mais le rapportaient chez eux, le faisaient cuire et le mangeaient.
L'aîné, qui avait compassion de son cadet, mettait toujours sur l'assiette de son frère le corps du poisson entier, ne gardant pour lui que la tête. Le plus jeune, constatant la répétition du fait, hocha un jour la tête en se demandant pourquoi son aîné ne le laissait pas goûter lui aussi à la tête. « Serait-ce un morceau particulièrement délicat », se demandait-il. « Est-ce pour cela que mon frère se le garde toujours ? » Et ainsi prit naissance dans son coeur un sentiment de haine pour son frère aîné. Et un jour qu'ils avaient pris place dans leur barque pour aller en haute mer, le plus jeune profita de ce que l'aîné, le dos tourné, se penchait hors de la barque, pour le pousser à l'eau !
« Et maintenant, je pourrai me régaler moi aussi des têtes de poisson ! » se dit le plus jeune en se frottant les mains. Il rapporta le produit de la pêche à la maison, fit frire le plus beau poisson, et se mit tout de suite à attaquer la tête. Mais quoi ? Sur cette tête, il n'y avait pour ainsi dire rien à manger. Rien que des grosses arêtes comme des os, et pour les joues, elles n'avaient pas un goût particulier. Ce n'est qu'alors que le cadet comprit que son grand frère l'aimait tant qu'il lui laissait toujours le meilleur, et ne lui donnait jamais la tête qui ne valait rien. Il pleura amèrement, et courut vers la mer, qui s'étendait là, sombre et triste.
- Frère, ô mon pauvre frère, où es-tu ? criait le cadet, bien malheureux, mais personne ne lui répondit. Seule la mer mugissait, et les vagues se soulevaient. C'est en vain que le cadet appela son aîné, personne ne lui répondit. Pour finir, il se décida à aller chercher son frère au fond de la mer. Il sauta à l'eau, et la surface des flots se referma sur lui pour toujours. Plus personne ne l'a jamais revu, depuis lors.
On raconte qu'il s'est noyé, et que son âme s'est changée en l'esprit de l'oiseau pleureur qui fait interminablement des cercles en planant au-dessus de la mer, et en pleurant désespérément son frère perdu.


Le Covid-19 sorti d’un laboratoire chinois Washington "enquête"

Des responsables américains évoquent la piste d'une origine naturelle d'un virus qui aurait pu s'échapper à cause d'une erreur humaine.


Des chercheurs chinois dans un laboratoire de détection du Covid-19 à Wuhan (illustration).
Des chercheurs chinois dans un laboratoire 
de détection du Covid-19 à Wuhan 
  • Le secrétaire d’Etat Mike Pompeo a indiqué que les Etats-Unis « enquêtaient » pour faire toute la lumière sur les origines du virus.
  • Plusieurs médias américains évoquent la piste d’un virus d’origine naturelle, qui aurait pu s’échapper d’un laboratoire de Wuhan.
  • Donald Trump critique le « manque de transparence » de la Chine et Emmanuel Macron estime qu’il y a des « zones d’ombre ».
Une vue aérienne du laboratoire P4 
de Wuhan, en Chine 

 C’est une information qu’il faut prendre avec prudence. Les Etats-Unis n’excluent pas que le coronavirus à l’origine de la pandémie qui a déjà tué plus de 137.000 personnes dans le monde provienne, bien que d’origine naturelle, d’un laboratoire chinois à Wuhan, et évoquent une « enquête » pour faire toute la lumière. Il ne s’agit pas de la théorie du complot sur une arme biologique qui aurait mal tourné.
« Nous menons une enquête exhaustive sur tout ce que nous pouvons apprendre sur la façon dont ce virus s’est propagé, a contaminé le monde et a provoqué une telle tragédie », a déclaré le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo sur la chaîne Fox News.
Le nouveau coronavirus est soupçonné d’être apparu fin 2019 dans un marché en plein air de la ville chinoise de Wuhan, où sont vendus des animaux exotiques vivants. Les experts ont découvert qu’il était proche d’un virus présent chez des chauves-souris, qui aurait muté et se serait transmis à l’une des espèces vendues sur le marché, d’où le virus aurait ensuite contaminé des humains. L’animal intermédiaire n’a pas été identifié avec certitude. Coup sur coup, deux médias américains ont toutefois rapporté ces derniers jours des informations qui ouvrent une autre piste.

La sécurité du laboratoire en question

Selon le Washington Post, l’ambassade des Etats-Unis à Pékin, à la suite de plusieurs visites à l’Institut de virologie de Wuhan, avait alerté à deux reprises, il y a 2 ans, le département d’Etat américain sur les mesures de sécurité insuffisantes dans ce laboratoire qui étudiait les coronavirus chez les chauves-souris.
Surtout, Fox News rapporte que « plusieurs sources », dont la chaîne ne précise pas la nature, pensent désormais que l’actuel coronavirus émane de ce même laboratoire. A la différence de plusieurs thèses complotistes largement démenties par les experts, selon lesquelles il aurait pu s’agir d’un agent pathogène créé par les autorités chinoises, voire d’une arme bactériologique, ce média conservateur américain évoque un virus naturel, étudié dans le laboratoire.
Sa « fuite » ne serait pas volontaire, mais due aux mauvais protocoles de sécurité de cet institut pourtant censé respecter les normes les plus strictes. Dans cette hypothèse, le « patient zéro » serait donc un employé du laboratoire, qui aurait propagé le virus dans la population après avoir été accidentellement contaminé.

Il y a des « zones d’ombre », selon Macron

Interrogé jeudi, un porte-parole de la diplomatie chinoise, Zhao Lijian, a démenti cette possibilité. « De nombreux experts médicaux réputés dans le monde estiment que l’hypothèse d’une soi-disant fuite n’a aucune base scientifique », a-t-il déclaré, estimant que l’origine du virus devait faire l’objet d’études de spécialistes. Mais le sommet de l’Etat américain, en refusant de l’exclure, semble accréditer cette piste.
Interrogé mercredi à la Maison Blanche, Donald Trump s’est montré évasif. « Je peux vous dire que nous entendons de plus en plus cette histoire. Nous allons voir », a répondu le président américain, assurant que cette « horrible situation » faisait l’objet d’un « examen très approfondi ». Son secrétaire d’Etat n’a lui démenti ni les informations du Washington Post, ni celles de Fox News.


Rien que le fait qu’il faille poser ces questions, rien que le fait que nous n’en connaissons pas les réponses, que la Chine n’a pas partagé les réponses, cela en dit long, a dit Mike Pompeo.Ce que nous savons, c’est que ce virus est né à Wuhan, en Chine, a-t-il relevé.Ce que nous savons, c’est que l’Institut de virologie de Wuhan n’est qu’à quelques kilomètres du marché de rue. Il y a encore beaucoup à apprendre, a-t-il insisté.
Emmanuel Macron a estimé de son côté qu’il existait des zones d’ombre dans la gestion de l’épidémie de coronavirus par la Chine, déclarant au Financial Times qu’il y avait « des zones d’ombre » : « Manifestement des choses qui se sont passées qu’on ne sait pas ». 

La Birmanie (Myanmar)


La Birmanie officiellement le "Myanmar" était encore coupé du Monde il y a 20 ans, il a conservé une tradition rurale et spirituelle qui en font un des pays les plus dépaysants du monde. Il possède un grand potentiel touristique et un Patrimoine culturel extrêmement riche, mais une grande partie de l'industrie reste à développer. Depuis 2011, le tourisme responsable en Birmanie est encouragé, après des années de boycott. Le tourisme évolue à la vitesse de l'éclair dans ce pays qui était encore inconnu de la majorité des touristes il y a dix ans. Ce pays d'une incroyable spiritualité est réputé pour son accueil qui n'existe nulle part ailleurs. Voyager en Birmanie, c'est découvrir des milliers de pagodes et de bouddhas et voyager dans le temps le sourire aux lèvres du matin au soir.
  • Nombre de touristes internationaux par an : 3 443 000
  • Nombre de touristes par km2 : 5.1
  • La meilleure période pour s'y rendre : de Décembre à Mars




La Moldavie


C'est le seul Pays européen de la liste. Un Pays hors du temps, recouvert d'églises orthodoxes et de monuments médiévaux et une population réputée généreuse qui vous accueillera les bras ouverts. Vous pourrez partir pour des promenades à travers champs et collines sans ne croiser personne. Si vous recherchez une destination originale et à portée de main, c'est pour vous !​ La Moldavie étant délaissée des touristes, elle est encore très peu connue et vous promet une escapade pleine de tranquillité, loin des foules et des afflux de vacanciers !
  • Nombre de touristes internationaux par an : 145 000
  • Nombre de touristes par km2 : 4.3
  • La meilleure période pour s'y rendre : De Mai à Septembre​



Pour le Professeur Raoult, l'épidémie "disparaît" à Marseille

Une possible disparition du coronavirus au printemps ? C'est ce qu'assure Didier Raoult. Dans une vidéo publiée sur le site de l’institut qu'il dirige, le microbiologiste affirme même que l'épidémie est en recul à Marseille.
Des données que l'Agence régionale de santé ne souhaite pas commenter. De son côté, elle recense une baisse des nouveaux cas détectés en Provence-Alpes-Côte d'Azur depuis une semaines, 310 nouveaux cas le 6 avril dernier, contre 132 ce mardi.

Covid-19: A quand le pic de la pandémie au Maroc?

Pouvons-nous connaitre la date du pic de la pandémie du Covid-19 au Maroc? L'avons nous dépassé ou pas encore? Comment peut-on déterminer cette date? Les réponses avec Pr. Hamza El Hamzaoui, au micro de MEDI1TV.
Le Pr. Hamza El Hamzaoui, anesthésiste-réanimateur au CHU Mohammed VI de Marrakech prévoit le pic de la pandémie vers le 20 avril.
"Vers la semaine du 20 avril on en aura fini avec les périodes d'incubation du virus et on sera au pic des cas confirmés. C'est-à-dire qu'on aura terminé les 15 jours d'incubation des cas importés, puis les 15 jours d'incubation des cas locaux et après les 15 jours d'incubation des cas contact", explique le professeur.


Le Paraguay

Pays inconnu Paraguay destination non touristique

Le Paraguay est un Pays rural qui attire un marché du tourisme essentiellement domestique, rares sont les touristes internationaux. Ce petit Pays est enclavé entre le Brésil, l'Argentine et la Bolivie, il n'a donc aucune plage à proposer, ce qui lui vaut d'être boudé des touristes. Cependant, le Paraguay possède beaucoup de charme pour ceux qui recherchent avant tout une destination authentique et un accueil chaleureux, loin des sentiers battus. C'est donc pour vous, amoureux des destinations inexplorées, une occasion en or de jouer les explorateurs. 
  • Nombre de touristes internationaux par an : 1 537 000
  • Nombre de touristes par km2 : 3.8
  • La meilleure période pour s'y rendre : de Mai à Septembre