Le Royaume du Maroc a produit 1 million de tonnes d’oranges sur une superficie de 57.817 hectares.En 2018, dernière année des données mondiales, la production d’oranges au Maroc était de 1019 millions de kg soit environ 1 million de tonnes sur une superficie de 57.817 hectares, ce qui lui confère sa 15ème place.
En Afrique du Sud, la production avoisinait les 1,77 millions de tonnes d’oranges cultivées sur 43291 hectares (4,10 kg/m2), la Turquie, 1,9 millions de tonnes sur 50.806 hectares (3,74 kg/m2) et pour l’Espagne, 3,6 millions de tonnes et une superficie de 139.626 hectares, 2,61 kilos par mètre carré. Le Brésil arrive en tête de liste des plus grands producteurs d’oranges au monde avec 16.713,53 millions de kilos. En effet, la superficie de terre que le Brésil a consacrée en 2018 à la production d’orange était de 589.139 hectares, avec un rendement par mètre carré de 2,84 kilos, comme le montrent les données préparées par Hortoinfo de Faostat, l’agence statistique de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Le deuxième producteur mondial est la Chine avec 9.103,91 millions de kilos d’orange produits en 2018, sur une superficie de 504.683 hectares et un rendement de 1,80 kilos par mètre carré. L’Inde occupe le troisième rang mondial pour la production d’oranges, avec un volume de 8.367 millions de kilos, une superficie de 613.000 hectares et un rendement de 1,36 kilos/m2. Toutefois, avec la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19), la réalité est devenue tout autre. En effet, le marché des oranges, comme celui de la plupart des agrumes d’ailleurs, se caractérise par une demande exceptionnellement élevée et des prix tout aussi élevés. De même, l’Égypte s’est démarquée en devenant en mars le plus grand exportateur d’oranges au monde, dépassant ainsi l’Espagne.
Toutefois, avec la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19), la réalité est devenue tout autre. En effet, le marché des oranges, comme celui de la plupart des agrumes d’ailleurs, se caractérise par une demande exceptionnellement élevée et des prix tout aussi élevés. De même, l’Égypte s’est démarquée en devenant en mars le plus grand exportateur d’oranges au monde, dépassant ainsi l’Espagne.
Donald Trump a un nouvel ennemi, "The Lincoln Projet". Objectif? Empêcher sa réélection à la présidentielle de novembre 2020.
PRÉSIDENTIELLE AMÉRICAINE - Cette fois, l’attaque ne vient pas des “démocrates qui ne font rien”, comme il se plaît à les appeler, mais de républicains résolus à empêcher la ré-élection de Donald Trump lors de la présidentielle du 3 novembre 2020.
Ce mardi 5 mai, le président des États-Unis a qualifié de ”ratés” et de “républicains qui n’en ont que le nom” un petit groupe d’adversaires issus de son propre parti... leur offrant en même temps une notoriété nouvelle et bienvenue. “Avec tout ce que j’ai fait pour les juges, les impôts, la réglementation, la santé, l’armée, les anciens combattants et pour protéger notre second amendement, ils devraient adorer Trump”, s’est-il indigné ce mardi.
Ces opposants venus de l’intérieur sont les membres du Lincoln Project, à l’origine d’une vidéo accablante pour Donald Trump, très relayée ces dernières 24h.
Intitulé “Mourning in America” - “le deuil aux États-Unis”, le clip a été publié le 4 mai et s’inspire du slogan et d’un clip de la campagne de Ronald Reagan pour sa réélection en 1984 “Morning in America”.
Mais alors que l’original inspirait la prospérité et l’optimisme, ce nouveau clip montre des maisons délabrées, des usines vides et des files d’attente de gens masqués. Le résultat de la présidence Trump, aggravée par sa gestion de la crise du coronavirus.
“Plus de 60.0000 Américains sont décédés d’un virus mortel que Donald Trump a ignoré. Nous voyons l’économie qui tombe en ruine, plus de 26 millions d’Américains sont au chômage”, affirme la voix off de cette vidéo d’une minute. “Sous la direction de Donald Trump, le pays est plus faible, plu malade et plus pauvre. Maintenant, les Américains s’interrogent: si on a quatre ans de plus comme ça, est-ce que l’Amérique existera toujours?”
La vidéo, qui cumulait en moins de 24h près de 6 millions de vues, a été relayée par de nombreuses personnalités ouvertement anti-Trump comme Alyssa Milano.
Donald Trump’s failed presidency has left the nation weaker, sicker,
and teetering on the verge of a new Great Depression.
There’s mourning in America.
“The Lincoln project” contre Trump (quitte à pousser les démocrates)Derrière ce clip, un groupe de responsables républicains et ex-républicains conservateurs, qui ont pour certains fait partie de l’entourage de George W. Bush et parmi lesquels on trouve George Conway, le mari de la conseillère de la Maison Blanche Kellyanne Conway.
Le 17 décembre 2019, à la veille de la mise en accusation de Donald Trump dans son procès en destitution, le “Lincoln Project” voit le jour, par le biais d’une tribune dans le New York Times. Comme l’indique leur nom, les fondateurs se réclament de l’héritage d’Abraham Lincoln, 16e président des États-Unis, adulé pour avoir mis fin à l’esclavage et réunifié le pays à l’issue de la guerre de Sécession. Tout l’inverse de Donald Trump, dont l’élection a créé un fossé entre ses partisans et ses détracteurs selon les créateurs de l’organisation.
“Le président et ses acolytes ont remplacé le conservatisme par une foi vide menée par un prophète bidon. Le patriotisme et la survie de notre nation face aux crimes, à la corruption et à la nature corrosive de Donald Trump sont un objectif plus noble que nos simples opinions politiques. En tant qu’Américains, nous devons lutter contre les dommages que ses partisans et lui font à la loi, à la Constitution et à l’image américaine”, écrivent les fondateurs du Lincoln Projet.
Leur objectif est très simple: “battre Trump et le Trumpisme dans les urnes”, et ce, même si cela signifie donner l’avantage aux rivaux démocrates, au Congrès ou même dans le Bureau ovale. “Élire des démocrates qui respectent davantage la Constitution que des républicains est un effort louable”, peut-on lire en guise de présentation sur le site. Pour cela, l’organisation est conçue sur la base de levées de fonds, réinvestis ensuite en partie dans des campagnes publicitaires comme celle qui a provoqué la colère du président. Fin mars, le groupe avait levé environ 2,5 millions de dollars.
Le coup de pouce involontaire de Trump
Cette ligne de conduite a poussé Donald Trump à affubler les membres du Lincoln Project du surnom du “RINO” pour “Republicains In Name Only”, soit “des républicains qui n’en ont que le nom”.
Lundi soir, au lendemain d’une interview qui s’est justement déroulée aux pieds de la statue d’Abraham Lincoln à Washington -le seul de ces prédécesseurs dont il salue régulièrement le travail- Donald Trump s’est défoulé contre le “Lincoln Project”, accusé de “faire honte” à “Abe l’honnête”, le surnom du président emblématique.
Ce mardi, il semblait toujours ruminer sa colère , en s’exprimant sur le sujet face à la presse avant de quitter Washington pour une visite dans l’Arizona. “Je changerais le nom pour l’appeler le ‘Projet des Losers’”, a-t-il lancé. “Ce sont des losers républicains”.
De leur côté, les intéressés se frottent les mains des remarques du président. “L’idée est d’avoir la plus grande audience possible, et évidemment, lorsque le Président tweete à votre sujet, votre audience augmente”, a souligné ce mardi auprès de CNN Jennifer Horn, une des cofondatrices.
“Il peut s’énerver contre nous via Twitter autant qu’il le veut, mais plus souvent les gens verront ce clip, plus Donald Trump perdra des votes”, a tweeté le compte de l’organisation ce mardi, en appelant à contribuer pour diffuser la vidéo “Le deuil aux États-Unis” à la télévision.
On y voit des petits élèves de différents pays, dans leurs salles de classes avec leurs professeurs. Salles de classe qui peuvent être très rudimentaires et situées à l'extérieur pour certaines. Des photos qui mettent en exergue la diversité, l'importance de l'instruction mais aussi la différence flagrante des moyens.. Des photos saluant aussi le formidable travail des professeurs à travers le monde.
Jalalabad en Afghanistan :
Nairobi au Kenya :
Sur la frontière avec la Chine, au nord de Hanoi, au Vietnam.
Près de Bogota, en Colombie.
Tunis en Tunisie.
Islamabad, au Pakistan.
Rabat au Maroc.
Durban en Afrique du Sud.
Minas en Uruguay.
Boston Latin School, Massachusetts aux États-Unis.
A Trafalgar Square, l'aide alimentaire est désormais distribuée en grande partie à ceux que la pandémie prive de travail. A Londres, ce ne sont plus les touristes mais de longues files d'attente qui traversent Trafalgar Square. Ici, une aide alimentaire est distribuée, désormais en grande partie à ceux que la pandémie a privé de travail. Il y a deux mois, Paulo, venu du Portugal, a été licencié, comme beaucoup d'autres travailleurs européens qui oeuvraient dans l'hôtellerie et la restauration.
"Je travaillais dans un restaurant", explique Paulo, " j'ai perdu mon emploi et je ne pouvais plus payer mon loyer. Je n'ai nulle part où aller, je n'ai rien, pas même de nourriture". Les associations tentent de compenser l'activité des centres d'accueil londoniens, désormais fermés afin d'éviter des foyers d'infection. Des restaurateurs indiens préparent chaque jour des centaines de repas, et plusieurs milliers de portions sont emballées et distribuées toutes les semaines dans la capitale britannique. "C'est le pire moment pour se retrouver à la rue", indique Mikkel Juel Iversen, fondateur de l'association "Sous le même ciel", "parce qu'il n'y a absolument rien. D'habitude, vous pouvez glaner des restes, il y a des centres ouverts, avec des équipements, mais là il n'y a plus rien". Beaucoup d'Européens récemment licenciés et qui vivent ici se retrouvent maintenant dans un no man's land, sans vols de rapatriement, avec très peu d'économies et aucun moyen de gagner sa vie. Le gouvernement britannique assure fournir un hébergement à 90 % des sans abri dans tout le pays, en payant des nuits d'hôtel : 1 800 chambres rien qu'à Londres, dans une dizaine d'établissements. Mais pour certains acteurs du secteur social, la situation reste préoccupante à long terme. "Les hôtels qui sont ouverts pour l'instant vont fonctionner pendant environ six semaines, d'après ce qu'on a compris, et pour la suite, rien n'est clair", note Lucy Abraham. "Et de nombreuses personnes hébergées dans ces lieux n'ont pas accès aux aides publiques; beaucoup d'entre eux sont arrivés il y a moins de cinq ans et n'ont pas droit au statut de résident permanent". Après plus d'une quarantaine de jours de confinement, nombreux sont les anciens salariés de l'hôtellerie, de la restauration, ou du nettoyage à se demander si une page de leur vie ne s'est pas tournée pour de bon.
Une société a été mandatée pour surveiller les étudiants qui composent via notamment la caméra de leur ordinateur pour éviter la triche lors des examens à distance.
La webcam remplacera les surveillants
des salles d'examens pour les étudiants
de Rennes 1 cette année.
Les étudiants de l'université Rennes 1, qui regroupe les facultés de droit et d'économie, les sciences et les facultés de médecine et de pharmacie - vont être télé-surveillés pendant leurs examens de fin d'année. Un système rarement mis en place en France et même inédit dans cette faculté bretonne. Les étudiants vont passer leurs partiels en ligne et ils seront donc filmés pour éviter la triche. Les épreuves doivent avoir lieu en majorité en mai et en juin.
Chaque étudiant a reçu un mail début avril pour le prévenir, dans lequel l'université indique : "Vous serez peut-être amenés à composer en ligne grâce aux services d'une entreprise spécialisée dans la surveillance d'examen à distance". L'entreprise s'appelle Managexam. Elle pourra avec un logiciel qui s'utilise via la caméra et l'ordinateur du candidat permettre de surveiller l'identité de celui-ci mais aussi de dénicher les tricheurs. Le logiciel peut également détecter les recherches internet inappropriées dans la situation, l'utilisation d'un second écran ou encore la présence d'une autre personne dans la pièce.
Un système qui ne convient pas pour plusieurs organisations syndicales, qui demandent l'annulation de toutes les épreuves. La télésurveillance peut rajouter du stress selon Solidaires et pose également la question du respect de la vie privée et de la sécurité des données. Un point sur lequel Caroline Tahar, la directrice déléguée à l'information, à l'innovation pédagogique et au numérique à l'université Rennes 1, se veut rassurante : "Ils vont déposer leurs travaux sur notre plateforme universitaire, c'est un gage de sécurité pour le travail déjà. L'entreprise propose de déposer les devoirs sur sa plateforme mais nous voulions garder la main. Puis le service juridique a énormément travaillé sur le sujet. On est extrêmement attaché à la protection des données".
Pour les porteurs de lunettes, le masque, devenu obligatoire pendant le confinement, pose un problème de taille : la buée.
Bien se laver les mains avant d'enfiler le masque, faire attention à recouvrir le nez et la bouche, éviter de le toucher, l’enlever avec précaution sans mettre les mains sur le visage... Mais pour les porteurs de lunettes de vue, un problème se pose parfois dès la première expiration: la buée. Par un effet de condensation, l’air chaud expiré par le nez ou la bouche vient se poser sur les verres, plus froids, ce qui forme de la buée sur les lunettes. Pour éviter ce phénomène, plusieurs astuces existent.
Laver les lunettes à l’eau savonneuse
Laver ses lunettes au préalable avec de l’eau savonneuse, de les secouer puis de les laisser sécher à l’air libre ou avec un mouchoir doux. Ce lavage au savon permet en fait de laisser une fine couche sur l’ensemble du verre qui devrait empêcher les molécules d’eau de produire de la buée, celles-ci se répartissant alors “uniformément en une couche transparente”. Cette technique ne fonctionnera pas toute la journée mais devrait faire l’affaire pendant quelques heures.
Placer un mouchoir entre le masque et la peau
Placer un mouchoir entre le masque et la peau. Comme le montre ce médecin dans la vidéo ci-dessous, il suffit de plier un mouchoir et de le placer entre le haut du masque, sur l’arrête du nez, et la peau. Le mouchoir ainsi positionné absorbe l’humidité de l’air expiré et la buée ne se forme pas.
Rabattre la partie supérieure du masque
Pour ce faire, et si le haut de votre masque est suffisamment lâche, il suffit de plier le quart supérieur avant de le porter. C’est en tout cas ce que conseille le département de la police métropolitaine de Tokyo, et ce que vous pouvez voir dans la vidéo japonaise ci-dessous. Cette astuce fonctionne bien entendu uniquement pour les masques en tissu et assez grands, car elle réduit de fait la taille de ceux-ci, ce qui peut nuire à son fonctionnement.
“Pince mi”
Pour pallier le problème de la buée sur les lunettes, une entreprise de tôlerie française, SMG, a développé un accessoire en inox à ajouter aux masques: le “Pince mi”. cette petite pièce à mémoire de forme permet de pincer le haut du masque, qui s’adapte alors parfaitement au nez. Ainsi, l’air expiré ne s’évacue plus uniquement par le haut du masque.
C'est une nouvelle startup technologique qui vous aide à mesurer précisément votre température corporelle sans contact.
De quoi s'agit-il ? C'est un thermomètre infrarouge révolutionnaire qui mesure précisément la température corporelle de tout le monde. Cela été développé pour mesurer la température d'une distance sécurisée. Que ce soit une surface ou une personne. Il utilise des ondes infrarouges pour capturer la température corporelle et obtenir les résultats en quelques secondes. Pointez le thermomètre et en appuyant simplement sur la poignée, il exerce automatiquement sa magie. Vous pouvez mesurer à la fois de façon interne (pour détecter la température) ou externes (pour tester les objets).
Qu'est-ce qui rend SMARTFEVER si spécial ? SMARTFEVER peut être utilisé de façon universelle. Vérifiez que votre enfant n'a pas de fièvre ou testez la nourriture de votre bébé ou l'eau du bain! Les études ont été conduites à travers le monde et le thermomètre infrarouge est de plus en plus vu comme une façon plus sûre et meilleure de mesurer la température de votre enfin et surveiller leur santé. SMARTFEVER est aussi le thermomètre que les "Médecins privés" utilisent parce qu'il a la même haute qualité que leur équipement médical. Cependant, il ne coûte qu'une fraction du prix.
La Russie a enregistré mardi un nouveau bond de dix mille cas détectés de coronavirus, soit la plus rapide progression en Europe de la pandémie pour le troisième jour consécutif, avec un bilan de mortalité limité. Le virus, qui a notamment contaminé et envoyé à l'hôpital la semaine dernière le Premier ministre Mikhaïl Michoustine, puis le ministre de la Construction Vladimir Iakouchev, a cette fois emporté un haut-responsable du secteur spatial.
Car alors que de nombreux pays européens amorcent un déconfinement progressif, la Russie connaît une propagation de la pandémie bien plus rapide qu'ailleurs en Europe, où le Royaume-Uni, pays du continent le plus touché avec plus de 30.000 morts, n'a par exemple rapporté que 4.000 cas supplémentaires lundi. Selon les chiffres officiels, 10.102 nouveaux cas ont été enregistrés lors des 24 dernières heures, à peine moins que les deux jours précédents. La Russie compte désormais 155.370 cas. Mais le bilan officiel des décès attribués au Covid-19 est de 1.451 morts, soit un taux de mortalité très faible par rapport à ce qui a été enregistré en Italie, en Espagne ou aux Etats-Unis. Les autorités russes affirment que cela est dû à la fermeture rapide des frontières, au grand nombre de tests effectués et à un suivi des infections, mais des voix critiques mettent en doute ces chiffres, soupçonnant notamment que de nombreux décès ne soient pas comptabilisés car attribués à d'autres pathologies. Selon un décompte de l'AFP, la Russie se classe 18ème dans le monde en nombre de morts de l'épidémie, tandis qu'elle est 7ème pour le nombre de cas. L'agence spatiale russe Roskosmos a annoncé mardi qu'Evguéni Mikrine, directeur général adjoint de RKK Energia, l'une des principaux groupes russes de construction spatiale, était mort à 64 ans du coronavirus. Début avril, ce haut responsable s'était rendu au cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan, pour le lancement d'un vaisseau vers la Station spatiale internationale. Dans un message de condoléances, le président Vladimir Poutine a salué mardi sa "contribution inestimable" au programme spatial russe.
Moscou, épicentre de la maladie La semaine dernière, le chef de Roskosmos, Dmitri Rogozine, avait indiqué que 173 employés du secteur spatial russe souffraient du coronavirus, et que six en étaient morts. Au sommet de l'Etat, le porte-parole du Premier ministre a affirmé mardi que Mikhaïl Michoustine se sentait "bien" et que son traitement se passait "comme prévu". Le vice-Premier ministre Andreï Belooussov a néanmoins été nommé chef du gouvernement par intérim par Vladimir Poutine dès l'annonce de son hospitalisation jeudi. M. Poutine lui-même ne participe plus qu'à des réunions par visioconférence depuis le début du mois d'avril. Malgré la progression de la pandémie, le pays se prépare officiellement, à partir du 12 mai, à la levée progressive des mesures de confinement en vigueur depuis la fin du mois de mars. A Moscou, épicentre de la maladie avec plus de la moitié des cas déclarés dans le pays, des masques chirurgicaux et des gants jetables ont commencé mardi à être mis en vente dans le métro. Ces équipements sont vendus dans des distributeurs automatiques entre 20 et 50 roubles (25 et 65 centimes d'euros). Ils devraient être disponibles dans les prochains jours dans 15 stations du métro moscovite. En parallèle, des médias indépendants ou proches de l'opposition ont appelé mardi les soignants russes -- en particulier dans les régions où les systèmes de santé sont moins performants qu'à Moscou -- à signaler les pénuries de matériel de protection en remplissant un formulaire anonyme. "Nous comprenons votre peur d'être licencié, de subir des sanctions ou des poursuites pour la publication d'informations objectives", indique l'appel publié sur le site du journal Novaïa Gazeta. Des pénuries de masques ont été signalées dans le pays. Plusieurs médecins russes ont par ailleurs publié une liste de plus de 100 des leurs décédés du coronavirus, affirmant se méfier des statistiques officielles.
Les plus gros insectes sociaux du monde ont pris pied sur la côte ouest américaine
Sa taille est aussi légendaire que son agressivité. Vespa Mandarinia, aussi appelé frelon géant, a été vu en Amérique du Nord au mois d’avril, près de Seattle. Une information que les autorités locales prennent très au sérieux tant l’insecte constitue un danger pour la faune locale, comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo en tête de cet article.
Avec ses 7,5 centimètres de longueur, il ferait passer notre frelon d’Europe pour un freluquet: ce frelon, dont l’habitat va de l’Inde au Japon en passant par le Vietnam et la Malaisie, est aussi extrêmement venimeux. Au Japon, 50 personnes meurent chaque année de piqûres de frelons géants, dont le poison peut provoquer un choc anaphylactique fatal.
Mais si les hommes ont de bonnes raisons de s’inquiéter, c’est la faune locale qui ferait surtout les frais d’une implantation de l’autre côté du Pacifique de ces essaims. Capables d’attaquer n’importe quel animal en réponse à une provocation, une autre particularité de ces frelons est qu’ils peuvent attaquer d’autres nids, qu’ils soient d’abeilles ou de guêpes, en bande organisée pour se nourrir.
C’est cette terrible habilité, unique chez les hyménoptères sociaux, qui a attiré l’attention sur l’arrivée de ces tueuses sur le sol américain. Comme le rapporte CNN, c’est un apiculteur qui a sonné l’alarme, après avoir retrouvé ses abeilles déchiquetées en morceau par milliers. Face à cette espèce invasive qui menace gravement des abeilles déjà très fragilisées, les autorités locales s’activent à retrouver les nids au plus vite.
A la plage David près de Bouznika, un homme d’origine française écrase en voiture, un troupeau de mouton appartenant à un jeune berger. La vidéo publiée sur les réseaux sociaux a scandalisé la toile, poussant nombreuses associations à réagir à ce crime.
Dans la vidéo publié sur les réseaux sociaux, on y voit un homme sur la Plage David près de Bouznika, on y voit un véhicule gris foncer sauvagement et volontairement, dans un champs sur un troupeau de mouton qui passait, devant le regard désemparé du jeune berger.
La scène se serait produite le samedi 2 mai 2020. L’auteur de ce crime, serait un certain Michel S., pizzaïolo et membre de l’Association Essanaoubar Sud Lotissement qui a tué de sang froid de nombreux moutons. Très rapidement, les officiers de la Gendarmerie royale de Mansouria sont intervenus après avoir reçu une plainte, déposée le samedi et ont procédé à l’arrestation du Français qui, selon de nombreuses sources n’en serait pas à son premier acte barbare.
Qu'ils vivent dans les étages ou au rez-de-chaussée, les Néerlandais semblent toujours garder leurs rideaux et leurs volets ouverts. Cette coutume hollandaise date de l’époque calviniste. Des citoyens honnêtes n’ont rien à cacher et avec les rideaux bien ouverts, tout le monde peut vérifier si les autres sont également honnêtes.
A Amsterdam, les passants sont parfois surpris d'apercevoir à travers une fenêtre l'intérieur d'une maison. Les gens du coin vivent aux yeux de tous.
Pas de rideaux et de grandes vitres Mais pourquoi les vitres sont-elle si grandes que vous pouvez partager votre vie avec vos voisins ? Beaucoup de fenêtres sont des vitres de déménagement, autrement dit des fenêtres amovibles. Quand vous déménagez, vous pouvez enlever ces fenêtres pour faire passer les meubles. C’est la raison pour laquelle beaucoup de maisons sont équipées d’un crochet ou une installation de levage. Les escaliers dans les maisons hollandaises sont souvent très étroits et inclinés, monter et descendre des grands meubles via l’escalier est donc quasiment impossible. Une autre raison est la structure et le coût. Le verre est bien moins cher que la brique. Surtout les anciennes fenêtres en vitrage simple. Aujourd’hui les choses ont changé. L’isolation et le double, voire triple vitrage rendent les fenêtres bien plus chères. Les bâtiments modernes ont des fenêtres bien plus petites.
Véritable monument de la culture kabyle, le musicien s'est éteint à Paris, à l'hôpital Bichat, des suites d'une maladie contre laquelle il se battait depuis des années.
Idir s'est éteint à Paris, à l'hôpital Bichat, dans la nuit de samedi 2 à dimanche 3 mai, des suites d'une maladie contre laquelle il se battait depuis des années. La mort d’Idir fait pleurer l’Algérie Ses chansons ont bercé l’enfance de nombreux Algériens et donné de la visibilité à la lutte pour la reconnaissance de la culture berbère.
« Les gens sont tristes. On a perdu un géant »… Dans le village d’Ait Lahcène, perché sur un replat à 800 mètres d’altitude, face à la chaîne montagneuse du Djurdjura, les habitants n’ont « pas de mot » pour décrire leur tristesse. C’est ici, à 140 kilomètres d’Alger et 35 kilomètres de Tizi-Ouzou, que le chanteur Idir, est né en 1949. Il n’est pas seulement un artiste, c’est un ambassadeur de la chanson algérienne en général et de la chanson kabyle en particulier Idir a connu un succès mondial, non prémédité, avec une berceuse qu'il avait composée, A Vava Inouva ("mon petit papa"). Cette chanson, qui donnera son titre à son premier album sorti en 1976, est considérée comme le premier tube international venu d'Afrique du Nord. Elle sera traduite en quinze langues. Le jeune homme, qui avait étudié la géologie, n'avait pas du tout prévu de faire carrière dans la chanson.
H O M M A G E S
Idir : l'envol du rosignol, par Yasmina Khadra
Idir nous a quittés. Il s’en est allé sur la pointe des pieds pour ne déranger personne. Il s’est éteint comme un chant d’été à la fin de la colonie, comme se taisent les légendes en Algérie, son pays, son angoisse, son inconsolable litanie. Idir n’a fait que quitter un exil de transition pour un exil définitif puisqu’il a été contraint de quitter sa terre natale pour aller chercher ailleurs l’écho de sa voix, tel un troubadour errant en quête de sa voie. Il va beaucoup manquer à nos joies si chahutées de nos jours par nos peines et nos désillusions, mais son absence sera pour nous, Algériens, et pour ses fans de partout, un grand moment de recueillement. Quant à son silence de mortel, ce n’est que politesse afin que retentisse l’hymne de toutes les résiliences, des montagnes de Kabylie jusqu’aux confins de l’Atakor, et du vertigineux Tassili aux plages de Ben M’hidi. J’ai rencontré Idir trois petites fois. La première, à Chenoua-plage vers la fin des années 1960. La deuxième, au CCA à Paris que je dirigeais, lorsqu’il avait accepté d’animer bénévolement deux soirées d’affilée tant la demande était immense et la salle si minuscule pour un artiste de son envergure. La troisième, lors d’un concert auquel il nous avait conviés, mon épouse, mes enfants et moi, à Vitrolles, une ville de Provence. Mais mon meilleur souvenir a eu lieu en Inde, à un festival du livre, il y a une dizaine d’années. Un riche lecteur avait offert une soirée en mon honneur. Il avait une surprise pour moi. Lors du dîner, une troupe de danseuses en sari flamboyant nous a gratifié d’un superbe ballet tandis qu’une chorale chantait Avava Inouva…. en hindi. Ce fut une très belle surprise. Repose en paix, Idir. Et dors bien. Nous continuerons tes rêves en écoutant les chansons que tu nous as légués, en héritage et en serment.
Lounis Aït Menguellet : "Il y a quelque chose d'immortel chez Idir".
Coup dur en cette belle matinée de printemps ! Pour moi le départ de Idir marque la fin d'une époque pour notre chanson. À ma dernière visite, il me disait qu'il était peu probable qu'il monte encore sur scène à cause de sa respiration assistée. On s'était mit à imaginer un moyen de dissimuler une bonbonne d'oxygène à côté de lui sur la scène qui lui permettrait de chanter à son aise. Nos idées, agrémentées de son sens de l'humour bien connu, se sont transformées en une bonne partie de rigolade. La mort n'était pas au programme, aucun de nous n y pensait. Repose en paix mon ami, ce que tu as laissé t'assure l'immortalité. Mes plus sincères condoléances à ses enfants et à toute sa famille.
Le Président Algérien, Abdelmadjid Tebboune : Perte d'une pyramide de l'art algérien.
Samedi soir, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a adressé ses condoléances à la famille du chanteur, estimant que l’Algérie perdait « une pyramide de l’art algérien ». Le ministère de la Culture lui a embrayé le pas, rappelant dans un communiqué publié ce dimanche que « l’Algerie, avec la perte d’Idir, tourne une page prestigieuse de l’art engagé ».
Le nombre de contamination augmente en Allemagne selon le dernier bilan officiel, alors que le pays commence son déconfinement partiel à partir de lundi.
Le Chef de l'institut de Robert Koch, Lothar Wieler
Le nombre de cas de contamination confirmés au coronavirus en Allemagne a grimpé à 162 496, selon les données publiées dimanche 3 mai par l’Institut Robert Koch (RKI) pour les maladies infectieuses. L’Allemagne a enregistré 793 nouveaux cas en 24 heures et 74 nouveaux décès ce qui porte le nombre de morts à 6 649. Le déconfinement commence en ordre dispersé outre-Rhin. La levée des restrictions est déjà bien enclenchée dans ce pays, où les écoles rouvrent progressivement dans certains régions lundi.
Sans humains à l’horizon, les abeilles sont libres de butiner. Le confinement aura indéniablement fait du bien à la nature. Après les animaux sauvages qui se promènent dans les villes désertes, c’est maintenant les abeilles qui font leur retour en force. C’est l’agréable découverte qu’a fait un apiculteur alsacien, Pierre Stephan. Il raconte avoir un début de saison incroyable. « En l’espace de trois jours, j’ai eu des rentrées de nectar exceptionnelles. Autour de 4 kilos par jour… je n’ai jamais vu ça, en 20 ans de métier. »
En ce début de saison, les butineuses rapportent le nectar des fleurs de pissenlit, d’aubépine et des arbres fruitiers. Sans promeneurs, bucherons, touristes ou agriculteurs dans les horizons, les abeilles s’en donnent à cœur joie. Une nouvelle plutôt réjouissante quand on sait que les abeilles sont de plus en plus menacées à cause des pesticides notamment, et du manque de nourriture au printemps et en automne. « L’an dernier, j’étais découragé au point où je pensais m’arrêter », confie Pierre Stephan. « Cette année, c’est comme une renaissance, il y a des fleurs partout et c’est calme comme jamais. »
Habituellement, cet apiculteur professionnel produit six tonnes de miel par an. Cette année, même si Pierre Stephan s’attend à bien plus, il ne prélèvera pas trop de nectar à ses abeilles. « Je leur laisse toujours toute la couronne de miel autour de la reine et du couvain. Elle n’a jamais été aussi pleine, mais c’est leur réserve, pour qu’elles aient tout ce dont elles ont besoin. Ça les rend plus résistantes en période de sécheresse ou de grand froid. »
Les sternes arctiques s'accouplent pour la vie mais ne voyagent pas ensemble. Les retrouvailles après de longues migrations n'en sont que plus intenses.
Ces oiseaux qui pèsent en moyenne 125 grammes, parcourent plus de 70.000 kilomètres. Pour certains les compteurs ont enregistré jusqu’à 80.000 kilomètres de voyage. Les enregistreurs de positions utilisés ont été mis au point par des chercheurs du British Antarctic Survey (BAS), à l’origine pour étudier les migrations de l’albatros.
Après avoir passé les mois d’été austral, de décembre à mars, près de l’Antarctique, notamment en mer de Wedell, la sterne arctique remonte vers le nord. Sa trajectoire forme une sorte de S au-dessous de l’océan Atlantique, partant d’abord vers l’Afrique puis obliquant vers l’Amérique à la hauteur du Brésil, remontant les côtes américaines jusqu’aux régions boréales.
L'épidémie a commencé au début des vacances du nouvel an chinois, et tout se termine par des congés. Les Chinois rêvent de cette trêve de cinq jours qui a commencé hier. Pékin a assoupli les mesures liées au covid-19, résultat, un flot de voitures sur les principales autoroutes du pays. Le trafic a doublé, voire triplé par rapport à d'habitude.
Les Chinois vont voir leurs proches, dont ils ont été privés pendant le confinement. Ils choisissent aussi l'avion pour se déplacer, et les prix attractifs les y encouragent. Près de trois millions de voyages, par les airs, sont prévus pour cette petite semaine de congé du 1er mai. Les Chinois se précipitent vers les destinations touristiques. Mais leur accès est restreint. Ils doivent réserver par internet, et les autorités de la forêt nationale de Tianmenshan,ont décidé de n'accueillir que 30% de visiteur.
Ni l'un, ni l'autre ! Et ce n'est pas un champignon non plus. Ainsi baptisé en référence à un film d'horreur américain, le "blob" est en fait une cellule géante à plusieurs noyaux. Peut-être l'avez-vous déjà croisé au détour d'un chemin forestier, sous la forme d'un tapis mousseux jaune, sans vous douter que vous aviez sous les yeux un casse-tête pour l'arbre du vivant.
Plus connu sous le nom de Physarum polycephalum, le blob a très longtemps été rangé avec les... champignons. D'ailleurs, la plupart des articles historiques sur le sujet se trouvent dans des revues consacrées à la mycologie. Ensuite, il fut classé chez les protistes, un règne fourre-tout abandonné aujourd'hui. Depuis le séquençage de son génome en 2015, il fait partie des amibozoaires, un groupe d'unicellulaires un peu primitifs. Mais sa classe a conservé le nom de myxomycètes ("champignons gluants").
Le blob a tout pour exciter la curiosité des biologistes. Il rampe, dévore tout sur son passage, dispose de 750 types sexuels et peut atteindre la taille de 10 m2 en laboratoire. Bien que dépourvu de cerveau, il est capable d'apprendre et même d'enseigner. Et son comportement varie selon son origine géographique ! Si son mode de reproduction ressemble à celui des champignons (il disperse ses spores dans la nature), sa façon de se nourrir est typiquement animale : c'est un prédateur qui pratique la phagocytose, c'est-à-dire qu'il engouffre sa nourriture. Mais alors que le champignon ne mange que par absorption de micro-éléments, le blob peut ingurgiter des bactéries, se délecte de champignons et, en laboratoire, raffole des flocons d'avoine.
Une cellule capable d'apprendre Dans sa façon de manger et de ramper, le blob est proche d'un animal. Mais ses pigments cellulaires jaunes et roses le rapprochent des plantes. Même son génome laisse les généticiens perplexes. Outre qu'ils présentent de nombreuses caractéristiques de cellules animales, les gènes de Physarum polycephalum traduisent un organisme d'une complexité moléculaire inégalée au sein des unicellulaires.
Exceptionnel, donc, et pourtant délaissé par la recherche. Jusqu'à ce qu'une équipe japonaise révèle, dans les années 2000, des capacités inimaginables pour des êtres uni cellulaires : prise de décision, évaluation des risques, expression de variabilités individuelles... Les éthologistes ont alors reconsidéré l'intérêt du blob.
En testant des souches génétiquement distinctes, on met en évidence des différences de comportement entre les souches japonaise, américaine et australienne.
Ainsi, le blob australien sécrète plus de calcium et en détecte des quantités infimes dans l'environnement, alors que l'américain en sécrète très peu et le perçoit moins bien. Deux australiens vont l'un vers l'autre, quand deux américains partent chacun dans leur coin...
Au vu de ces compétences, les scientifiques ont émis l'hypothèse que le blob est capable d'apprendre. Des blobs ont été entraînés à ignorer leur répulsion naturelle pour la caféine, la quinine et le sel, et à traverser un pont recouvert de ces substances pour accéder à de la nourriture. Ils ont traversé le pont en cinq jours !
Des veines partagent les informations Et ce n'est pas tout : Physarum polycephalum peut transmettre ses connaissances par simple fusion avec un homologue inexpérimenté. Les scientifiques ont rassemblé 2 000 blobs dits "habitués", entraînés à ignorer leur aversion pour le sel, et 2 000 blobs dits "naïfs", puis effectué diverses combinaisons naïfs/ habitués. Dès qu'il y avait un habitué dans le lot, les autres savaient.
Comment l'information est-elle partagée entre les blobs ? Grâce à une sorte de veine se formant trois heures après la fusion de deux blobs. Au sein de sa cellule multinucléique, le blob est parcouru par un réseau de veines dans lequel circule le cytoplasme contenant les nutriments. En début de fusion, il y a juste un partage de cytoplasme. Puis, d'un seul coup, on voit nettement une veine apparaître. D'ailleurs, il n'y a pas de partage de l'information si les blobs sont séparés avant la formation de la veine.
La découverte a de quoi dérouter. Sous quelle forme l'information circule-t-elle dans cette mystérieuse veine ? ARN messagers, protéines ? Pour le moment, le processus reste inconnu. Une question de plus à résoudre pour lever le mystère de cet être vraiment pas comme les autres.
S'il ressemble à une plante, se nourrit comme un animal et se reproduit comme un champignon, le blob n'appartient pourtant à aucune de ces catégories.
Mis en contact avec deux blobs (H) qu'on a "habitués" à ignorer leur aversion pour le sel, un blob "naïf" (N) se met à traverser un pont recouvert de sel pour atteindre de la nourriture.
Preuve que les blobs transmettent un apprentissage, via la veine qui se forme entre eux, au niveau de la zone de contact.
On pourrait y voir un décor de science-fiction, mais les images sont bien réelles. Pluton est l’astre le plus éloigné de la Terre dans le système solaire. C’est au printemps 1930 que Clyde Tombaugh, un Américain de 26 ans, localise Pluton à 5 milliards de kilomètres de la Terre. Il faut lui trouver un nom, et les savants de l’Antiquité avaient déjà donné le nom du Dieu des messagers à Mercure, la planète la plus rapide dans le ciel. Mars la rouge, porte le nom du Dieu de la guerre.
Le nom du Dieu des enfers : Pluton
C’est finalement une Anglaise de 11 ans, Venetia Burney, qui propose pour cette planète d’où il est impossible de revenir le nom du Dieu des enfers : Pluton. Le 1er mai 1930, le consensus international est fait. Les savants de l’Observatoire de Paris approuvent, mais se trompent sur la taille de Pluton. En effet, Pluton est plus petite que la Terre et la Lune. En 2006, elle perd son statut de planète et est considérée comme “planète naine”.
On croit à une histoire fantastique, mais ça ne l'est pas. Prunes, pêches, cerises et des dizaines d'autres fruits poussant tous sous le même arbre. Difficile à croire ? Pourtant une telle plante existe, et on l'appelle, non sans raison, "l'arbre de Frankenstein". ce concept, le génie du professeur d'université américain Sam Van Aken, professeur d'art à l'Université de Syracuse, New York. Grâce à des greffes, l'érudit a réussi à faire pousser un arbre qui peut donner 40 types de fruits différents.
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Dans plusieurs États américains, dont le Massachusetts, le New Jersey, le Maine, New York et la Pennsylvanie, il est déjà possible de trouver des spécimens de cette super-plante très particulière. Le premier arbre, en effet, a été planté en 2011, et depuis lors il n'a jamais cessé de surprendre.
Le projet de Van Aken n'est pas seulement une expérience de greffe naturelle pour créer des produits uniques et optimiser les cultures. Avec leurs couleurs rose, violet et blanc, ces arbres sont de véritables œuvres d'art, de fabuleux mélanges entre l'ingéniosité de l'homme et le potentiel infini que la nature a à offrir !