Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Les pays qui comptent le plus de milliardaires



Milliardaires : 819
Ville comptant le plus de milliardaires : Pékin (131)
Personne la plus riche : Pony Ma Huateng avec 47 milliards $US
Pékin est élue « capitale milliardaire du monde » pour la troisième année d'affilée. La richesse combinée des super riches de Chine représente 2,5 billions, soit 3,2% du PIB mondial.


Diapositive 21 sur 21: 1. Grande Chine





Milliardaires : 571
Ville comptant le plus de milliardaires : New York (92)
Personne la plus riche : Jeff Bezos avec 123 milliards $US
L'âge moyen chez les milliardaires américains est 66 ans, soit trois ans de plus que la moyenne mondiale. Leur richesse combinée équivaut à 3 billions $US, soit un peu plus que le PIB de la France.




Milliardaires : 131
Ville comptant le plus de milliardaires : Bombay (55)
Personne la plus riche : Mukesh Ambani avec 45 milliards $US
Le pays se hisse en 3e position grâce à la richesse combinée de ses milliardaires, qui a augmenté de 49% depuis l'année dernière, atteignant un total de 454 milliards $US.



Milliardaires : 118
Ville comptant le plus de milliardaires : Londres (70)
Personne la plus riche : Leonard Blavatnik avec 20 milliards $US
Le Royaume-Uni a progressé dans le classement avec 29 milliardaires supplémentaires, dont la richesse combinée a augmenté de 41% depuis 2017, atteignant cette année les 416 milliards $US.



Milliardaires : 114
Ville comptant le plus de milliardaires : Hambourg (10)
Personne la plus riche : Georg F.W. Schaeffler avec 30 milliards $US
Le pays est passé de la 3e à la 5e place cette année, car 34 de ses habitants super riches ont émigré.


Milliardaires : 83
Ville comptant le plus de milliardaires : Genève (22)
Personne la plus riche : Jorge Paulo Lemann avec 31 milliards $US
La richesse combinée des milliardaires suisses a augmenté de 39%, atteignant les 330 milliards $US, et le pays compte cette année 6 milliardaires de plus.

Milliardaires : 71
Ville comptant le plus de milliardaires : Moscou (62)
Personne la plus riche : Alexei Mordashov avec 20 milliards $US
La Russie ne comprend que des milliardaires partis de rien, dont la richesse combinée a augmenté de 22% depuis l'année dernière et s'élève à 318 milliards $US.


Milliardaires : 51
Ville comptant le plus de milliardaires : Paris (36)
Personne la plus riche : Bernard Arnault avec 78 milliards $US
La capitale mondiale du luxe peut se targuer d'avoir une richesse combinée de 409 milliards $US, soit 35% de plus que l'année dernière.

Milliardaires : 49
Ville comptant le plus de milliardaires : São Paulo (28)
Personne la plus riche : Joseph Safra avec 18 milliards $US
Avec six milliardaires supplémentaires depuis 2017, le Brésil a une richesse combinée de 175 milliards $US. Environ 60% de ces riches ont hérité de leur fortune.

Milliardaires : 49
Ville comptant le plus de milliardaires : Toronto (14)
Personne la plus riche : James et Arthur Irving avec 26 milliards $US
La richesse des milliardaires du pays a augmenté de 21% depuis l'année dernière, atteignant un total de 160 milliards $US.
Milliardaires : 46
Ville comptant le plus de milliardaires : Tokyo (31)
Personne la plus riche : Masayoshi Son avec 21 milliards $US
Malgré quatre nouveaux milliardaires, le Japon a perdu des places au classement.
Milliardaires : 44
Ville comptant le plus de milliardaires : Non disponible
Personne la plus riche : Leonardo Del Vecchio avec 25 milliards $US
Le pays est descendu dans le classement depuis l'année dernière, mais est parvenu à ajouter trois milliardaires à sa liste.


Milliardaires : 44
Ville comptant le plus de milliardaires : Bangkok (43)
Personne la plus riche : Charoen Sirivadhanabhakdi avec 21 milliards $US
Charoen Pokphand, l'un des plus gros conglomérats mondiaux, est à l'origine de l'émergence de la plupart des milliardaires du pays.

Milliardaires : 41
Ville comptant le plus de milliardaires : Sydney (18)
Personne la plus riche : Gina Rinehart avec 12 milliards $US
Avec 14 nouveaux milliardaires, le pays a grimpé dans le classement.

Milliardaires : 31
Personne la plus riche : Eduardo Saverin avec 11 milliards $US
La communauté de milliardaires de l'île-nation est composée principalement d'immigrants, avec 21 milliardaires d'origine chinoise. Quant à Saverin, il est Brésilien.
Milliardaires : 30
Ville comptant le plus de milliardaires : Istanbul (27)
Personne la plus riche : Murat Ulker et sa famille avec 3,7 milliards $US
Le pays a gagné un milliardaire de plus cette année, mais a chuté dans le classement.

Milliardaires : 26
Ville comptant le plus de milliardaires : Non disponible
Personne la plus riche : Carlos Slim Helu et sa famille avec 67 milliards $US
Le pays a fait son entrée dans le top 20 en 2018.
Milliardaires : 25
Ville comptant le plus de milliardaires : Non disponible
Personne la plus riche : Amancio Ortega avec 73 milliards $US
La nation est l'une des plus riches d'Europe et a ajouté deux nouveaux milliardaires à sa liste depuis l'année dernière.

Milliardaires : 24
Ville comptant le plus de milliardaires : Dubaï (19)
Personne la plus riche : Khalifa bin Zayed Al Nahyan et sa famille, avec 17 milliards de $US
Le pays a reculé dans le classement malgré l'ajout de quatre nouveaux milliardaires.

Les acteurs du conflit syrien




La guerre en Syrie a débuté en mars 2011 par la répression de manifestations prodémocratie mais s'est ensuite complexifiée avec l'implication de groupes jihadistes et de puissances régionales et internationales.
Le conflit a fait plus de 350.000 morts et des millions de déplacés et réfugiés.
Une opération menée par les Etats-Unis, la France et le Royaume Uni a été menée samedi avant l'aube contre des cibles du régime en Syrie, accusé d'une attaque chimique le 7 avril contre la ville de Douma, alors contrôlée totalement par les rebelles.


Voici les principaux acteurs du conflit syrien:
  • Régime et alliés
- L'armée du président Bachar al-Assad, qui comptait 300.000 hommes dans ses unités combattantes en 2011, a vu ses effectifs baisser de moitié.
Elle est soutenue par 150.000 à 200.000 miliciens prorégime, y compris des Syriens, des Irakiens, des Iraniens et des Afghans. Par ailleurs, 5.000 à 8.000 combattants du Hezbollah libanais se battent à ses côtés.
- Alliée de poids de Damas, la Russie intervient depuis septembre 2015. Son implication a permis aux troupes gouvernementales de reprendre plusieurs zones clés, comme la ville d'Alep et l'enclave rebelle dans la Ghouta orientale, près de Damas.
- Autre allié de poids, l'Iran a envoyé des milliers de combattants en Syrie et fournit des conseillers militaires.
L'armée contrôle désormais plus de 56 % du territoire, notamment les principales villes (Damas, Alep, Homs et Hama), selon le géographe français Fabrice Balanche. Environ 70 % des habitants vivent sur ce territoire.


  • Rebelles
Au début du conflit, les rebelles s'étaient regroupés sous la bannière de l'Armée syrienne libre (ASL), laissant progressivement place à une myriade de factions, allant des rebelles sans affiliation religieuse aux groupes islamistes.
Représentant initialement quelque 100.000 combattants, leur poids s'est largement réduit à mesure des défaites infligées par le régime.
L'opposition armée, qui vient de perdre son dernier bastion aux portes de Damas, dans la Ghouta orientale, ne tient plus que 12 % du pays selon M. Balanche.
Le chiffre englobe notamment les territoires dominés par Hayat Tahrir al-Cham, organisation jihadiste contrôlée par l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda et implantée dans la province d'Idleb (nord-ouest).
Moins de 15 % de la population vit en territoire rebelle, selon M. Balanche.

  • Jihadistes
- Les deux principales forces jihadistes rivales sont l'organisation Etat islamique (EI) et le groupe Hayat Tahrir al-Cham.
- L'EI a conquis de vastes régions en Syrie et en Irak voisin, avant de proclamer un "califat" en 2014 sur ces territoires à cheval entre les deux pays. Cible de multiples offensives, du régime mais aussi d'une coalition kurdo-arabe soutenue par Washington, l'EI a subi de nombreux revers, perdant ainsi sa capitale de facto en Syrie, Raqa. Le groupe contrôle moins de 5 % du territoire syrien selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.
- Hayat Tahrir al-Cham contrôle toujours la majeure partie de la province d'Idleb, actuellement le théâtre de guerres intestines entre des jihadistes et des rebelles.

  • Kurdes
Réprimés pendant des décennies, les Kurdes ont profité du retrait de l'armée syrienne pour établir dans le nord une administration semi-autonome sur les territoires sous leur contrôle.
En 2016, ils ont proclamé une "région fédérale" sur leurs territoires et organisé leurs premières élections en septembre.
Les YPG (Unités de protection du peuple), leur principale milice armée, forment le noyau dur des Forces démocratiques syriennes (FDS), composées également de combattants arabes et soutenues par la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis. Ils ont été aux premières ligne de la lutte anti-EI en Syrie.
Depuis janvier, la milice est confrontée à une offensive de la Turquie, qui a déjà reconquis l'enclave kurde d'Afrine, dans le nord-ouest et menace de poursuivre son avancée vers d'autres territoires à l'est.
Les YPG contrôlent 28 % du territoire syrien, où vit environ 15 % de la population.

  • Turquie, Arabie, Qatar
La Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar ont soutenu au début de la révolte la rébellion majoritairement sunnite contre M. Assad.
Aujourd'hui, Ryad et Doha sont marginalisés, et Ankara a noué une alliance inédite avec Moscou.
Avec la Turquie, Moscou et Téhéran ont ainsi réussi à instaurer des "zones de désescalade" dans le pays -notamment à Idleb- sans toutefois faire cesser totalement les combats.
Sur le plan militaire, la Turquie appuie des supplétifs syriens, engagés contre les jihadistes mais aussi contre les combattants kurdes, et a déployé des troupes dans le nord syrien depuis 2016.

  • Coalition internationale
Emmenée par Washington, la coalition regroupe plus de 60 pays, dont la France et la Grande-Bretagne, et a mené des frappes aériennes contre l'EI depuis 2014, en appui à des troupes au sol.
Avec la fin des grandes batailles contre les jihadistes, les frappes ont baissé en intensité.
Quelque 2.000 soldats américains sont déployés dans le nord syrien, essentiellement des forces spéciales présentes pour combattre l'EI et entraîner les forces locales dans les zones reprises aux jihadistes.

Au sultanat d'Oman, le Dhofar encensé


Résultat de recherche d'images pour "carte sultan oman, dhofar"

L'histoire du Dhofar a l'odeur de l'encens. Son commerce est à l'origine de l'incroyable prospérité de ses cités antiques. C'est d'ici que des navires chargés de la précieuse résine cinglaient vers l'Égypte et la Méditerranée en remontant la mer Rouge. D'ici aussi que des caravanes de dromadaires s'ébranlaient pour atteindre ces mêmes destinations en traversant l'immensité de sables du Rub al-Khali, le «Quart vide» si bien conté dans le récit Le Désert des déserts, du Britannique Wilfred Thesiger qui l'a exploré dans les années 1940.

Résultat de recherche d'images pour "arbre de l'encens"

Résultat de recherche d'images pour "arbre de l'encens"

La résine de l'encens solidifiée comme des cristaux roux de sucre se consume en volutes dans les brûle-parfum. 

Résultat de recherche d'images pour "l'encens"

Résultat de recherche d'images pour "l'encens"

Ses effluves entêtants flottent partout dans l'air du souk de Salalah qui en propose des sachets à profusion. 

L'arbre à encens est un petit feuillu endémique de la région. Ses plantations aux alignements semblables aux champs d'oliviers s'étirent à 40 kilomètres au nord, dans le wadi Dawkah. L'endroit illustre si bien la biosphère à encens qu'il a été inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco. «L'arbre est entaillé trois fois dans l'année pour obtenir le liquide qui sèche sur le tronc où il est récolté avant la mousson. Puis il doit rester au repos trois ans», explique Ahmed. De la pointe de son couteau, le guide fait une petite incise dans l'écorce, qui s'effeuille comme du papier d'Arménie. Aussitôt ça sent bon. Ahmed voudrait montrer toutes les richesses de son pays. Avec son 4 × 4 flambant neuf, il surfe sur les dunes, que l'on voudrait parcourir à pied mais le «dune bashing» est tendance. Puis il file à vive allure sur la mauvaise piste en direction de la cité perdue d'Ubar. Sur la route de l'encens, c'était la dernière escale des caravaniers, qui s'y approvisionnaient en eau avant d'entrer dans l'interminable Quart vide. La cité perdue se situe au niveau du village de Shisr, mais on a l'impression d'être au milieu de nulle part. Ubar, c'est Iram, le pays des Adites, arrière-petits-enfants de Noé selon le Coran, l'Atlantis des sables 

Le tourisme, nouveau carburant de l’Arabie saoudite

Riyad mise sur l’immense site antique d’Al-Ula pour ouvrir le pays au tourisme haut de gamme. Un enjeu politique majeur pour le prince héritier Mohammed Ben Salman.
Dans le nord-ouest de la péninsule arabique, en plein désert, à mille kilomètres des tours de Riyad, les Saoudiens investissent dans un nouveau filon. Sa valeur ne se mesure pas en barils de pétrole mais en regards éblouis et en silences béats. L’endroit s’appelle Al-Ula, et c’est une mine d’or : un territoire grand comme la Belgique et quasiment vierge, jalonné de tombeaux antiques taillés dans la roche, de graffitis plurimillénaires, de palmeraies verdoyantes et de concrétions aux formes spectaculaires.



Sur le site d’Al-Ula, en Arabie saoudite, on trouve d’impressionnants tombeaux creusés à même la roche. Ils ont été édifiés il y a plus de deux mille ans par les Nabatéens. Cette civilisation préislamique est aussi à l’origine des fameuses ruines de Petra, en Jordanie, qui sont visitées par des touristes du monde entier. La monarchie, dont l’économie est dépendante du pétrole, souhaite développer le tourisme pour diversifier ses activités. L’Arabie saoudite a noué un partenariat avec la France pour valoriser le site. Il a été signé lors de la visite du prince Mohammed Ben Salman, mardi 10 avril 2018. Le projet comprend notamment un musée sur la civilisation Nabatéenne. Ce chantier est estimé entre 50 milliards et 100 milliards d’euros, dont une partie va être récupérée par l’Etat français. Cependant, la rigueur religieuse pourrait freiner le tourisme de masse. Pour préparer le développement du site, l’Arabie saoudite va commencer par émettre pour la première fois des visas touristiques. Le pouvoir vise 30 millions de visiteurs annuels d’ici à 2030. 
En d'autres termes, ce trésor jailli des sables, jumeau de la célèbre nécropole nabatéenne de Pétra, dans le sud de la Jordanie, devrait bientôt briller sur la carte du tourisme mondial.
Avec l’aide de la France, le royaume a entrepris de le transformer en une destination de voyage haut de gamme, mêlant villégiatures de luxe, découverte de l’Arabie préislamique et expéditions au grand air.

Le Groenland

C'est sur la bande de terre montagneuse périphérique que l'on retrouve exclusivement les habitants ainsi que la faune et la flore. En hiver, cette bande côtière est cernée par la banquise à l'exception du sud-ouest de l'île (environ jusqu’à la capitale Nuuk). En effet une branche du courant du Gulf-Stream y empêche la mer de geler. La côte n'en bénéficiant pas, elle possède un climat plus hostile et un dégel de la banquise plus court. Ceci explique que seuls deux villages y existent : Angmagssalik et Ittoqqortoormiit. Ce dégel, qui se déroule de la fin mars jusqu'en juillet, s'appelle la débâcle. La reformation progressive de la banquise a lieu vers le mois de novembre. Aucun réseau routier n'existe entre les différents villages et seuls des ferries (rarement des avions) relient les villages entre eux en été. En hiver, des hélicoptères permettent d'assurer certains ravitaillements des villages pour la plupart isolés par la banquise. Les sommets les plus hauts du pays sont situés dans le même massif sur la côte est.



Carte du Groënland


Paris est à 4 heures d’avion, Moscou 5 heures, le Pôle Nord à moins de 3 heures. S’immerger au Groenland, c’est être à la fois près et loin - très loin - de tout. C’est toute l’aventure que va vivre ce soir Philippe Gougler, sur la route des icebergs. Le Groenland, c’est quatre fois la France pour une population d’à peine 57 000 habitants. Autant dire que vivre au Groenland, c’est accepter de vivre seul, au contact d’une nature incroyablement sauvage.
A l’image de ces glaciers donnant naissance aux icebergs, ces monstres de glace que Philippe Gougler côtoiera de très près, au terme d’une navigation épique !
Philippe partira aussi découvrir la très lucrative pêche au flétan qui rapporte jusqu’à 500 000€ par an à Paoluk, un pêcheur d’Uummannaq, la 3ème ville du pays.
Aussi bien sur que sous la glace, le voyage de Philippe se poursuivra avec Inoungouak, un cuistot de l’extrême, le seul chef étoilé de l’île. Sa quête du jour ? Des moules bleues aussi belles que succulentes !
Le périple de Philippe se terminera au cœur du Scoresby Sund, un fjord incroyablement préservé. C’est simple : il y a moins de monde à traverser la région qu’à fouler le Pôle Nord !






Les inuits du Groenland sont un peuple extraordinaire qui a réussi à survivre dans un des environnements les plus terribles de la planète grâce à une faculté d'adaptation unique.





Royaume-Uni : une girafe reste coincée dans une voiture de tourisme


Une girafe du parc animalier de Bewdley a passé sa tête à l’intérieur d’une voiture.


L'animal curieux et probablement en quête de friandises, parvient à rentrer sa tête par la fenêtre du véhicule. La jeune femme surprise et amusée par la situation tente alors de sortir son téléphone portable pour filmer la scène. Pris de panique par l'animal curieux et intrusif, les occupants du véhicule remontent alors la vitre mais en seulement quelques secondes, la tête de l'animal est coincée. La girafe se retrouvant bloquée retire donc sa tête et fait voler la vitre en éclats sous les cris apeurés de la passagère de la voiture.

Grand Nord canadien


Philippe Gougler nous emmène dans le Grand Nord canadien, au cœur de l’hiver dans des paysages féeriques ! La neige et la glace comme un écrin apparemment figé pour ces aventuriers qui ont choisi de vivre loin de la ville, au contact d’une nature sauvage étonnante.
"Ici, c'est un paradis, mais il ne faut pas le dire !"
Le sourire de Bob en dit long et c’est avec lui que Philippe commence son voyage, dans le Yukon.
Bob est ouvreur de piste, spécialiste de la survie en eau glacée. Tous ceux qui veulent travailler sur la glace doivent passer entre ses mains pour acquérir la culture de l’hiver.
“Ici, vous pouvez faire des kilomètres et des kilomètres sans croiser personne. Les étendues sont immenses mais je me sens beaucoup moins seul ici que si j’habitais dans une grande ville !”
La ville, c’est ce qu’ont voulu fuir les habitants de Yellowknife. Ils vivent sur un lac gelé 6 mois par an...
Ici, pas de taxe et la liberté est totale, sous les ciels constellés d’aurores boréales.
Les “Givrés du lac” ne manquent pas de ressources, à commencer par la solidarité !
"Je fais le plus beau métier du monde"
L’aveu vient de Marcelle. Autour d’elle et de Philippe, une dizaine de chiens se préparent à partir à l’entraînement.
Marcelle est musher, comprenez éleveuse de chiens de traineaux. Elle aussi a fait le choix de la nature, loin de tout… Sauf de son mari Gilles !
Leur vie est une aventure au quotidien, que Philippe va découvrir, à commencer par la conduite d’un traineau tiré par six chiens, avec des pointes à plus de 15km heure !
Le Grand Nord est très peu peuplé. Dans certains secteurs, à peine un habitant au kilomètre carré. Alors, croiser des Inuits, plongeurs sous la banquise, est une chance, un privilège !
Ils plongent sous la glace au péril de leur vie pour pêcher les clams, une friandise pour eux. À 1 dollar pièce, l’occasion d’arrondir les fins de mois !
Et puis il y a les trappeurs, comme Emily. Ceux qui, en osmose avec la nature, passent l’hiver à traquer le castor. « La vie dans la nature, si elle est vécue dans le respect de la nature, donne de la paix aux êtres humains ».
Et quand Emily ne « trappe » pas, elle met sa connaissance de la traque et du Grand Nord au service de la science. Dans un vaste plan de recensement du glouton, « le diable des forets », en voie de disparition dans le Grand Nord canadien.
"Le froid, ça nous rend plus forts..."
Une rencontre au hasard dans les rues de Dawson City, au nord du Yukon. Il fait moins 30° celsius et Philippe fait la connaissance du caractère trempé des gens du Grand Nord.
Ici, comme il y a un siècle, on cherche encore la pépite qui changera la vie !
Dawson City, c’est la ruée vers l’or au quotidien, sauf l’hiver ! Tout est bloqué mais tout rappelle cette fièvre liée aux fantasmes les plus fous. Ambiance western, avec ses saloons, sa musique et ses légendes… Comme celle de l’orteil gelé que Philippe s’apprête à découvrir courageusement.
Dans ce décor incroyable, il ne manque plus que les bisons.
Ils sont là en fait, ils se cachent, par milliers ! Alors qu’ils avaient disparu, les autorités du Yukon ont décidé de les réintroduire. Et ça a marché…
Un peu trop bien même !


Le Grand Nord canadien, plus précisément le Yukon, est un territoire montagneux, une immensité sauvage couverte d'une forêt boréale. Cette terre d'aventure et d'aventuriers est évoquée par Jack London dans ses romans «L'Appel de la forêt» et «Croc-Blanc». Encore aujourd'hui, les mushers et leurs chiens de traîneaux traversent la région jusqu'à l'Alaska. Jérôme Pitorin part sur la trace de ces héros du Grand Nord dans un bus aménagé, en raquettes, en kite-ski ou encore en moto-neige, le tout par -40° Celsius, invitant à partager son expédition, de Whitehorse jusqu'au parc de Tombstone, en passant par une ville où l'ambiance du Far West règne toujours : Dawson City.         

                                       

Moins de sacs plastique dans les eaux britanniques



Selon une nouvelle étude, le nombre de sacs en plastique dans les mers entourant le Royaume-Uni est en diminution depuis 2010. Dans le même temps, d’autres objets, comme les bouteilles en plastique, sont, eux, de plus en plus présents.
C’est une petite victoire contre la pollution. Le nombre de sacs plastique retrouvés dans les eaux entourant le Royaume-Uni régresse actuellement. Dans une étude publiée dans le journal Science of the Total Environment fin février, des chercheurs avancent qu’il y a 30 % de sacs plastique en moins dans les déchets marins collectés depuis 2010 que dans ceux récupérés avant cette période. Pour arriver à ce constat, ils ont analysé les résultats de 39 études réalisées en mer entre 1992 et 2017 autour du Royaume-Uni.

Réduire les déchets marins


« Nous avons observé une baisse conséquente du nombre de sacs plastique récupérés dans les filets de pêche depuis 2010. Cette recherche suggère qu’en travaillant ensemble nous pouvons réduire et lutter contre le problème des déchets marins », avance Thomas Maes, co-auteur de l’étude et scientifique spécialisé dans les déchets marins au CEFAS (Centre for Environment, Fisheries and Aquaculture Science - Centre des Sciences de l’Environnement, de la Pêche et de l’Aquaculture). Selon les chercheurs, cette régression pourrait provenir de plusieurs facteurs : introduction de frais de paiement pour les sacs plastique, changements dans leur confection…

Des sacs payant depuis 2015

Si le paiement des sacs plastique contribue à la diminution de leur présence dans les mers britanniques, cela voudrait dire que mettre en place une telle mesure serait efficace. En 2015, le Royaume-Uni avait introduit un prélèvement de cinq pence (six centimes d’euros) sur chaque sac plastique. Mais sur ce point, les auteurs de cette étude sont réservés. D’autre part, les changements dans la composition des sacs pourraient aussi accélérer la vitesse à laquelle ils se décomposent, et donc disparaissent.

Dans cette même étude, les scientifiques indiquent cependant avoir constaté une hausse des déchets provenant de la pêche industrielle comme des filets et des lignes mais aussi du nombre de bouteilles plastique. En mars dernier, une autre équipe de chercheurs britanniques expliquait dans un rapport intitulé « Prévisions sur le futur des mers » (Foresight Future of the Sea Report) que la pollution aux déchets plastiques dans les océans de la planète pourrait tripler d’ici à 2025.