C'est sur la bande de terre montagneuse périphérique que l'on retrouve exclusivement les habitants ainsi que la faune et la flore. En hiver, cette bande côtière est cernée par la banquise à l'exception du sud-ouest de l'île (environ jusqu’à la capitale Nuuk). En effet une branche du courant du Gulf-Stream y empêche la mer de geler. La côte n'en bénéficiant pas, elle possède un climat plus hostile et un dégel de la banquise plus court. Ceci explique que seuls deux villages y existent : Angmagssalik et Ittoqqortoormiit. Ce dégel, qui se déroule de la fin mars jusqu'en juillet, s'appelle la débâcle. La reformation progressive de la banquise a lieu vers le mois de novembre. Aucun réseau routier n'existe entre les différents villages et seuls des ferries (rarement des avions) relient les villages entre eux en été. En hiver, des hélicoptères permettent d'assurer certains ravitaillements des villages pour la plupart isolés par la banquise. Les sommets les plus hauts du pays sont situés dans le même massif sur la côte est.
Paris est à 4 heures d’avion, Moscou 5 heures, le Pôle Nord à moins de 3 heures. S’immerger au Groenland, c’est être à la fois près et loin - très loin - de tout. C’est toute l’aventure que va vivre ce soir Philippe Gougler, sur la route des icebergs. Le Groenland, c’est quatre fois la France pour une population d’à peine 57 000 habitants. Autant dire que vivre au Groenland, c’est accepter de vivre seul, au contact d’une nature incroyablement sauvage.
A l’image de ces glaciers donnant naissance aux icebergs, ces monstres de glace que Philippe Gougler côtoiera de très près, au terme d’une navigation épique !
Philippe partira aussi découvrir la très lucrative pêche au flétan qui rapporte jusqu’à 500 000€ par an à Paoluk, un pêcheur d’Uummannaq, la 3ème ville du pays.
Aussi bien sur que sous la glace, le voyage de Philippe se poursuivra avec Inoungouak, un cuistot de l’extrême, le seul chef étoilé de l’île. Sa quête du jour ? Des moules bleues aussi belles que succulentes !
Le périple de Philippe se terminera au cœur du Scoresby Sund, un fjord incroyablement préservé. C’est simple : il y a moins de monde à traverser la région qu’à fouler le Pôle Nord !
Paris est à 4 heures d’avion, Moscou 5 heures, le Pôle Nord à moins de 3 heures. S’immerger au Groenland, c’est être à la fois près et loin - très loin - de tout. C’est toute l’aventure que va vivre ce soir Philippe Gougler, sur la route des icebergs. Le Groenland, c’est quatre fois la France pour une population d’à peine 57 000 habitants. Autant dire que vivre au Groenland, c’est accepter de vivre seul, au contact d’une nature incroyablement sauvage.
A l’image de ces glaciers donnant naissance aux icebergs, ces monstres de glace que Philippe Gougler côtoiera de très près, au terme d’une navigation épique !
Philippe partira aussi découvrir la très lucrative pêche au flétan qui rapporte jusqu’à 500 000€ par an à Paoluk, un pêcheur d’Uummannaq, la 3ème ville du pays.
Aussi bien sur que sous la glace, le voyage de Philippe se poursuivra avec Inoungouak, un cuistot de l’extrême, le seul chef étoilé de l’île. Sa quête du jour ? Des moules bleues aussi belles que succulentes !
Le périple de Philippe se terminera au cœur du Scoresby Sund, un fjord incroyablement préservé. C’est simple : il y a moins de monde à traverser la région qu’à fouler le Pôle Nord !
Les inuits du Groenland sont un peuple extraordinaire qui a réussi à survivre dans un des environnements les plus terribles de la planète grâce à une faculté d'adaptation unique.
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