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Face-à-face tendu entre Macron et des infirmières au CHU de Rouen

 En visite à Rouen, dans un service hospitalier spécialisé, Emmanuel Macron a annoncé un budget d'au moins 340 millions d'euros sur cinq ans pour améliorer la recherche, le dépistage et la prise en charge de l'autisme. Mais avant de dévoiler les grandes lignes de ce plan qui sera précisé par le Premier ministre vendredi, le président de la République a été pris à partie par deux infirmières, dans un face-à-face tendu comme vous pouvez le voir dans l'extrait ci-dessus. "Il y a 3-4% d'augmentation de croissance d'activité et -2% de budget pour la santé cette année", a critiqué l'une. "L'activité des hôpitaux en France a baissé de 2% alors qu'on augmente les budgets"", a rétorqué la ministre de la Santé Agnès Buzyn, également présente. "Ce n'est pas vrai, il n'y a pas moins d'activité, y a des patients qu'on peut pas" suivre, s'est indignée l'infirmière. "Les budgets sont en hausse", est intervenu le chef de l'Etat. "Je peux vous le dire les yeux dans les yeux, j'assume ces choix". "Mais ce serait faux de dire qu'on peut dépenser l'argent, comme ça, sans regarder. Il faut le dépenser intelligemment et efficacement", a-t-il ajouté. "Des postes, des postes, parce qu'on manque de personnel !", s'est écrié l'autre infirmière. "Il y a des catégories de postes où il faut le faire (...) et des réorganisations à faire", a concédé le président. Ce à quoi l'infirmière a craint que "les réorganisations, c'est des fermetures et des suppressions de postes". "Non, on en est loin aujourd'hui", dément Emmanuel Macron, ajoutant: "vous parlez, je vous écoute, et j'ai la courtoisie -alors que vous ne m'avez pas serré la main- de vous répondre et de parler avec vous". "Moi, je ne vous serrerai pas la main, pour moi vous êtes ...." "Non parce que moi je suis courtois", la coupe Emmanuel Macron, "vous non !". "Vous devriez venir voir dans services", lui lance une des deux femmes alors que Macron semble vouloir quitter l'échange. Quelques minutes auparavant, la discussion avait démarré un peu plus vivement, comme vous pouvez le voir dans les premières minutes de cet extrait de LCI ci-dessous. À l'extérieur de l'hôpital, entre 150 et 200 manifestants étaient rassemblés avec des drapeaux de la CGT, de SUD ou de la CFDT. "Résistance" ou"Macron dégonflé, on t'attend", entendait-on. Parmi eux, quelques étudiants, que les forces de l'ordre empêchaient d'approcher de l'entrée du bâtiment de pédiatrie dans lequel se trouvait le président. Depuis le début de la matinée, les manifestants attendaient Emmanuel Macron de pied ferme. Et ils n'ont pas hésité à le huer à son arrivée.



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