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La voix berbère

  • La dernière oasis berbère

Ils se nomment eux-mêmes Amazighs, "hommes libres". Du Maroc à l'Egypte, les Berbères, les plus anciens habitants de l'Afrique du Nord, cherchent à défendre leur particularité au sein du monde arabe.
Comme la plupart des habitants de Siwa, Youcef vit de l’agriculture. Cette oasis, proche de la frontière avec la Libye, est le dernier refuge de la culture berbère en Egypte. Le village, très isolé, n’a été relié qu’en 1984 par une route goudronnée à la ville la plus proche, située à 300 kilomètres.

  • Cernés par les conflits
Les Berbères de l’oasis de Siwa n’ont pas le droit de s’aventurer dans le désert sans autorisation et ils ne peuvent se déplacer que dans un rayon de 15 kilomètres. Les autorités sont sur les dents, en raison du conflit libyen et de la contrebande.

  • Une mystérieuse cité fantôme
Shali ("ville" en berbère) est une incroyable citadelle médiévale qui fut bâtie au XIIe siècle sur les hauteurs de Siwa, en Egypte, avec des blocs de sel et des rochers enduits de glaise. Détruite par des pluies torrentielles en 1926, elle fut abandonnée par ses habitants, qui s’installèrent dans l’oasis de Siwa.


  • Des montagnards en autarcie
Soumia, jeune Berbère de 16 ans, ramasse du foin pour les animaux. Elle vit à Tinfgam, dans le Haut Atlas, un village marocain isolé auquel on accède après trois heures de marche sur un sentier escarpé. Ici, pas d’école, pas de médecin, pas d’électricité ni d’eau courante. Soumia n'a jamais été scolarisée et ne connaît pas la ville.

  • Un carrefour historique

Au marché d’Agadez, les camions se chargent d'hommes et de provisions avant de partir pour les mines d’or voisines. Le mot Agadez serait issu du mot egadaz qui signifie "marché" en Tamasheq, la variante touareg du berbère. La ville était autrefois le carrefour des routes des caravanes berbères en direction de l'Afrique Noire. Aujourd'hui, elle est devenue un point de passage important pour les migrants africains en route pour l’Europe.
  • Les femmes aux commandes
Les Berbères d’Imilchil, dans le Haut Atlas, au Maroc, vivent en quasi autarcie dans des conditions très précaires. Dans les maisons de pierre, au sol de terre battue, ce sont les femmes qui préparent le feu. Elles tiennent une place centrale au sein de la communauté, car la plupart des hommes sont partis travailler sur d’autres terres.

  • Chez les Chrétiens de Kabylie
En décembre, à Chemini dans le nord de l’Algérie, ces Chrétiens de Kabylie fêtent Noël dans une maison aménagée en église, faute de lieu de culte. Les Berbères, autrefois animistes, ont adopté les religions des conquérants ou des peuples de passage. Aujourd’hui musulmans, chrétiens ou juifs, ils sont toujours suspectés d’hérésie par les pouvoirs nord-africains.
  • Sous la tente des Touareg
Les tribus touareg, comme ici à Abalak dans le sud du Niger, sont composées de familles semi nomades qui vivent de l’élevage du bétail. Elles se déplacent deux fois par an avec leurs tentes faites de nattes tressées, attachées par des cordages à une armature de bois.

  • Les rudes hivers de Kabylie
Les hivers sont rigoureux dans les montagnes de Kabylie, la plus grande région berbérophone d’Algérie. Les kabyles abandonnent de plus en plus l’architecture ancestrale, de pierre et de terre, qui se fondait dans le paysage.

  • Une vie au rythme du ciel
Cette jeune fille de Tinfgam cherche du maïs pour les animaux. Dans les montagnes du Haut Atlas, les Berbères vivent en symbiose avec leur environnement : "Notre montre, dit-elle, c'est le soleil, le beau et le mauvais temps".

  • Fantasia
Au Niger, près d’Agadez, les Touareg – grande composante de la mosaïque berbère – célèbrent la fête de la République avec une fantasia de chameaux. Le nom d’Agadez viendrait d’egadaz, mot berbère signifiant marché.


  • Vie en autarcie
Il faut trois heures de marche sur un sentier escarpé pour atteindre le village de Tinfgam, dans le Haut Atlas. Là, des familles berbères semi-nomades vivent de l’élevage des chèvres et de la culture de noix ou de figues. Ils vivent chichement, sans électricité, sans eau courante, sans école ni dispensaire.

  • Maison traditionnelle kabyle
Les hivers sont rigoureux dans les montagnes de Kabylie, la plus grande région berbérophone d’Algérie, comme ici à Aït Ziki, dans la région de Tizi Ouzou, où cette vieille femme vit seule depuis des années. Elle doit sortir chercher l’eau à la fontaine et se chauffe au feu de bois.


  • Manifestation pour les droits des berbères
Ces Berbères manifestaient en décembre 2011 dans les rues de la capitale, Tripoli, pour réclamer la reconnaissance de leur langue par la nouvelle Constitution libyenne. Nombre d’entre eux avaient pris les armes lors de la révolte contre le colonel Kadhafi, qui les discrimina pendant quarante-deux ans.


  • Les isolés
Les Berbères du désert, ici à Kidal, dans le nord du Mali, furent nommés Touareg – les «isolés» – par les conquérants arabes, parce qu’ils avaient trouvé refuge dans le Sahara plutôt que de se soumettre.

  • Campement Touareg à kidal, Mali
Aujourd’hui, les nomades de Kidal sont pris entre les feux des séparatistes touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), de l’armée malienne, des factions islamistes et de l’opération française Barkhane.

  • Elevage nomade dans le desert d'Ikadawaten, au nord du Mali
Ce sont souvent les enfants qui sont chargés de conduire les bêtes à l’abreuvoir, dans une région désertique où les points d’eau sont parfois distants d’une centaine de kilomètres. Il y a peu d’hommes adultes dans les campements, beaucoup étant partis combattre ou travailler ailleurs.

  • Les sources de Siwa
Les sources de Siwa servent à tout : irrigation des jardins de la palmeraie, bain public, piscine… Cette oasis, proche de la frontière avec la Libye, est le seul refuge de la culture berbère en Egypte. Ce village très isolé n’a été relié qu’en 1984 par une route goudronnée à la ville la plus proche, située à 300 kilomètres.

  • Portrait d'une femme Touareg
A Agadez, à l’occasion de la fête de l’Indépendance, le visage de cette jeune touareg est orné de tatouages (ici au henné), un ancien rite berbère qui remonte à la période pré-islamique. Chez les Touareg, la femme bénéficie d’une grande autonomie et sa parole est très respectée au sein de la société nomade.


  • Le temps de la moisson
A Timetda, dans le Haut Atlas marocain, les femmes du village sont les gardiennes de la culture et des traditions. Alors que les hommes partent souvent cultiver d’autres terres, ce sont elles qui s’occupent du village, des enfants et des champs.

  • Des femmes engagées
Depuis 2013, les femmes ont pris les armes pour rejoindre la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), qui revendique l’indépendance de cette région berbérophone située dans le nord du Mali.
  • La station de radio de Kidal
La station de radio de Kidal, au Mali, est le seul moyen de communication entre les Touareg dans un rayon de 150 km. Elle n’émet que deux heures par jour, à cause du coût élevé de l’essence nécessaire à son fonctionnement.
  • Noël chez des Kabyles chrétiens
A Chemini en Algérie, ces Kabyles chrétiens fêtent Noël dans une maison aménagée comme une église, faute de lieu de culte. Il existe dans le monde berbère des musulmans, des chrétiens, des juifs et des athées.

  • Cours de berbère (Tamazight)
A Zouara (Libye) en 2011, pendant la révolte contre le régime de Kadhafi, des rebelles berbères dispensaient pour la première fois des cours de tamazight, dans un local aménagé en école. Il leur était jusque-là interdit de parler et d’enseigner leur langue.


  • Chrétiens en Kabylie
Algérie, wilaya de Béjaïa, Chemini, 05 janvier 2013 Noël chez les chrétiens dans une maison amenagée comme une église. Ils se réunissent, au moins une fois par semaine pour une messe, et aussi pendant les fêtes religieuses.

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