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Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

La forêt de bambous de Arashiyama à Kyoto (Japon)

 
 
 
 La bambouseraie d'Arashiyama est le nom usuel donné à la forêt de bambous géants de Sagano, située près du pont Togetsukyo au nord-ouest de Kyoto. Très prisée des touristes et photographes amateurs, la courte et magique traversée se fait à pied sur environ 500 mètres. 
 

La fameuse forêt de bambous de Kyoto se classe sans nul doute, avec les torii ⛩️ de Fushimi Inari Taisha ou encore le Ginkaku-ji, l'une de ses plus fameuses images d'Épinal. Sa popularité est telle qu'elle dépasse allègrement les frontières du Japon ; ainsi, on la retrouve fréquemment sur des listes des plus beaux endroits sur Terre, ou encore des choses à voir absolument de son vivant.
Et pour cause, si cette bambouseraie n'est certainement pas la seule dans la région de Kyoto, elle reste probablement la plus grande et sa balade offre une magnifique échappée. Par conséquent, les touristes s'y bousculent par centaines pour la contempler. Puisque le seul chemin d'ouest en est tracé entre les arbres s'étend sur environ 500 mètres de long, et vue la relative étroitesse des lieux, ces dernières années il relève souvent de la gageure de réaliser des photos vides de visiteurs.
 
Forêt de bambous d'Arashiyama à Kyoto 4 
 
Le plus difficile reste peut-être encore d'apprécier le bruissement délicat de l'air glissant entre les bambous, faisant plier délicatement leurs hautes cimes flottant au gré du vent. Au cœur de ces centaines d'arbres immenses, le soleil se glisse entre des plantations parfois très denses, au diamètre souvent épais. Le tableau global offre une ambiance inimitable, à laquelle les photos ne rendent certainement pas hommage.
En mai 2018, la société en charge de la gestion de la bambouseraie tire la sonnette d'alarme : plus de cent bambous ont été vandalisés ces deux derniers mois par des touristes étrangers qui y gravent leur nom (notamment en anglais et en coréen). Cela abîme durablement les arbres et la beauté du paysage. De grandes bandes de scotch vert sont apposées sur les ciselures pour tenter de les masquer, mais cela reste malheureusement inélégant.
Au Japon, le bambou peut être considéré comme un symbole de force ; il permettrait de repousser les mauvais esprits. Cela explique probablement pourquoi la bambouseraie d'Arashiyama est encerclée par les entrées du Tenryu-ji d'un côté, et de la villa Okochi-Sanso de l'autre. Que vous vous y baladiez à pied, à vélo 🚲 ou en pousse-pousse, la poursuite de visite offrira ainsi probablement des paysages tout aussi magiques.

La tradition de Soltan Tolba ou Roi des étudiants est, hélas !, tombée en désuétude.

 
 
La fête de Soltan Tolba fut initiée par le premier Sultan Alaouite Moulay Rachid (1664-1672)
 

qui fréquentait lui-même les madrasas avant sa proclamation. Il en résultera une tradition séculaire qui marquera notamment les villes de Fès et de Marrakech. Le premier acte de la parodie, consiste à élire un « sultan » parmi les étudiants, le second consiste à recevoir de la part du sultan régnant les insignes de souveraineté. Parmi les attributs du « sultan » des tolbas, celui d‘exiger des redevances, de sceller de son cachet des dahirs, édits fictifs, et d´expédier aux dignitaires de l´État et aux notables des missives aux sujets saugrenus. Cette liberté accordée pour une semaine aux étudiants sert en quelque sorte les intérêts du sultan régnant en leur permettant d´étaler publiquement les malversations des agents du pouvoir.
C’est une fête pittoresque, une fête annuelle de vie au grand air galvanisée durant toute une semaine par les étudiants « Tolbas ». Au début de chaque printemps, un cérémonial dont l’origine remonte au fondateur de la Dynastie Alaouite, Moulay Rachid, patron des étudiants, bat son plein. Les étudiants étant tous méritants, la couronne est offerte aux enchères publiques. Celui qui la remporte est déclaré Soltan Tolba. Il aura la gloire de régner une semaine sur les Tolbas et le privilège de rapprocher le Souverain auquel il soumettra une requête qui lui sera gracieusement accordée. Une fois proclamé, Soltan Tolba organise son makhzen (ses vizirs, son chambellan, son maître des cérémonies, son bouffon et son mohtacib). Muni de tous les insignes de la royauté fourni par le Souverain, à cheval, en kaftan djellaba et babouches montantes, entouré de ses vizirs, de ses Mokhaznis porteurs de parasol et de lances, escorté de Néphars et de tambours qui le suivaient en dansant, attira une véritable cohue de curieux.

Le cortège défila dans les rues commerçantes permettant au bouffon,  aux fins de couvrir les dépenses de la fête et d’en assurer le faste , de collecter chemin faisant, taxes et amendes résultant du contrôle des balances, des poids et de la qualité des denrées, pratiqué auprès des faux commerçants campé par le restant de la troupe glissée parmi les marchands. Dans un joyeux et assourdissant tapage, la procession regagna ensuite le campement des Tolbas . Des tentes sont dressées : la « royale » pour Soltan Tolba, celle du pacha de la ville, celles des vizirs et celles de riches bourgeois  (touristes et Touaregs) venus passer quelques jours de plaisirs champêtres et assister aux diverses séances culturelles et à la joute de discours littéraires et de déclamations de poèmes entre Tolbas. En attendant la tombée de la nuit,  supposée être la septième terminant la fête et filmer la séquence de fin du règne du Soltan Tolba devant fuir avant la levée du huitième jour, sous peine d’être roué de coups et jeté dans l’Oued par ses sujets de la veille.
Il était de tradition que l’authentique Sultan leur fasse porter à cette occasion quelques bons plats de la cuisine royale. On raconte que, suite à de fâcheux débordements et après que dans les années 1970 l'on ait remplacé ces mets traditionnels par des forces auxilliaires munies de bons gourdins, les étudiants auraient renoncé à cette tradition séculaire...

La garde personnelle de Mouammar Kadhafi, est exclusivement constituée de femmes.


Mouammar Kadhafi, le dirigeant de la Libye depuis 1970, autoproclamé colonel, est connu pour son idéologie spéciale et sa personnalité provocatrice. 


Le « frère guide » désapprouve le statut de la femme dans le monde et a crée une académie militaire pour femmes. C’est le seul dirigeant dans le monde à avoir une garde personnelle constituée exclusivement de femmes, ses « amazones » !
 

Histoire d'Assilah

Située à 49 km au sud de Tanger, au bord de l'océan Atlantique, Assilah est une cité balnéaire de charme et de culture. Qui séduit surtout les connaisseurs en matière de paysage, de nature et de qualité de vie. Le plus beau point d'intérêt dans Assilah est son ancienne médina, qui a vu le jour au 10ème siècle. Elle est fréquentée par les marocains et les étrangers qui viennent admirer ses remparts, ses bastions et ses tours. Traversée par plusieurs civilisations, elle a conservé les traces de la présence portugaise, espagnole et arabe. Actuellement, ses murs sont ornés de dessins et peintures qui font la fierté des habitants de la ville.



Le jeune prodige du Sierra Leone


Kelvin Doe a 13 ans lorsqu'il construit une batterie dans son village du Sierra Leone, qui n'a pas accès à l'électricité. En mélangeant du soda, du métal et de l'acide, il met au point un prototype fonctionnel et n'a plus jamais eu besoin d'acheter des piles depuis. Son invention suivante est encore plus lumineuse : il s'agit d'un générateur électrique pour toute sa maison, construit en détournant un stabilisateur de tension rouillé trouvé dans une poubelle. Bientôt les voisins viennent y recharger leurs téléphones. Son générateur alimentera plus tard sa propre station de radio, faite à partir d'un vieux baladeur CD et d'une antenne, et qui permet au voisinage de se brancher sur les émissions qu'il anime lui-même.

Repéré par le prestigieux MIT
De tels talents ne restent pas longtemps dans l'ombre. En 2012, il est repéré par un compatriote, David Sengeh, à l'occasion d'un concours organisé dans son pays. Or, M. Sengeh est un ancien élève du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) aux Etats-Unis. Il se démène pour permettre au jeune Kelvin de participer à un programme d'échange de plusieurs semaines au MIT. Kelvin, qui n'avait jamais quitté son village, est propulsé aux Etats-Unis, où il présente ses inventions à des étudiants de faculté. Ce sera le plus jeune invité de l'histoire de l'Institut.



Mais la vie aux Etats-Unis ne lui plaît pas ; et il rentre au Sierra Leone. Selon le Figaro, il travaille à présent sur la construction d'une éolienne pour fournir de l'électricité à tout son village.

Le tremblement de terre est le risque naturel majeur le plus meurtrier et qui cause le plus de dégâts. Entre 2004 et 2011, les séismes ont fait près de 700 000 victimes, d'Haïti au Japon en passant par l'Indonésie et le Pakistan.




Comment se déclenche un tremblement de terre ? Que se passe-t-il en profondeur dans le sol ? Feutres en main, le sismologue Pascal Bernard dessine sur le tableau les schémas des lois de propagation et de magnitude des séismes.



Il est désormais possible de connaître l'heure approximative de votre mort. Rien ne sert de courir, vous partirez à point !

Des chercheurs ont identifié un gène influant sur l'horloge biologique, et donc sur le moment de la journée où l'on est plus susceptible de mourir. L’heure de votre décès est une affaire d’horloge biologique qui est naturellement jalonnée de moments où le corps est plus alerte qu'à d'autres, où la pression artérielle est davantage élevée, où le coeur est bien rodé.
Certaines mutations génétiques rares pouvaient influer sur cette horloge, conduisant parfois même plusieurs membres d'une même famille à se lever à 3 heures du matin ou à ne plus tenir debout passé 21 heures.                                                                                                                                          

En se penchant sur les rythmes éveil-sommeil d’une kyrielle de sexagénaires, ils ont découvert l'existence d'une variante génétique qui détermine le moment de la mort.
                                                                                
 
Le gène découvert peut s’exprimer sous deux versions différentes : avec une base adénine (A) ou avec une base guanine (G). Ainsi, un sujet peut présenter trois combinaisons différentes : AA, AG ou GG. Selon les résultats, les individus qui présentent la variante du gène à base adénine (AA et AG) ont plutôt tendance à décéder avant 11 heures. Et ceux dont le gène tend vers la guanine (GG) mourront avant 18h. Qu’on se lève tôt ou tard par habitude, on ne décèdera pas à la même heure.  
          
Comment connaitre l'heure de sa mort ?  Il n'en sait rien et ne veut pas le savoir, à son âge elle ne devrait cependant pas tarder !

L'agence de notation américaine Moody's retire à la France son triple A, l'Autriche et les Etats-Unis dans le collimateur.

Trois pays ont quitté ces deux dernières années le club des Etats les mieux notés :
 
 
Fitch
S&P
Moody’s
France
AAA
AA+ depuis janvier 2012
Aa1 depuis 19/11/12
Autriche
AAA
AA depuis janvier 2012
AAA
USA
AAA
AA depuis l’été 2011
AAA
 
 




 
Les notes des agences de notation vont de AAA à D (qui équivaut à un défaut de paiement du pays) chez S&P et Fitch et de AAA à C chez Moody's. 
L’agence de notation estime que les perspectives de croissance de la France sont affectées négativement notamment du fait de son manque de compétitivité et des rigidités de son marché du travail.
 
 
 
 
L'agence estime que, de ce fait, les recettes fiscales risquent de ne pas être suffisantes tant à court qu'à long terme.

Connaissez-vous l’origine du mot « douar » ?

Dans les documents du XX ème siècle, le mot douar a fait son apparition dans le répertoire varié des appellations qu’accordaient les bédouins à leur groupement d'habitations, fixe ou mobile, temporaire ou permanent, réunissant des individus liés par une parenté fondée sur une ascendance commune en ligne paternelle. Par extension, c'est une « division administrative de base, (...) fraction territoriale de la commune. Historiquement, le nom du douar tant en berbère qu’en arabe est un type de campement nomade, de concentration de tentes qui, disposées en cercle, permettait de remiser les troupeaux dans l'espace laissé libre au centre de celui-ci. La disposition des tentes appelle ainsi la forme circulaire, étymologiquement à l’origine du mot « douar » (faire tourner, circuler, etc…).
                                                                                                                                                  
 
On pense que le mot douar est d’origine urbaine et tient d’un vocabulaire datant probablement de l’arrivée des Ma’qil. Mais le terme allait déborder ce contexte géographique et on lira, par exemple « douar ouled Ktir » pour fixer l’origine d’un acheteur, « douar lagdadra » pour une transaction récente. Le mot « douar » faisait juste allusion à l’agglomération de tentes ou de « Noualas ». Actuellement, le douar pourrait redevenir une unité administrative et sociale du paysage rural marocain, composé de groupes revendiquant un ancêtre commun.
La demande accrue de main-d’œuvre ou la scolarisation des enfants ont abouti à la constitution de groupements d’habitats en bordure du périmètre municipal. Ces agglomérations ont pris le nom de « douar » également.
 
 
Le « douar » ou « dweiwer » (diminutif de douar) témoigne de la sédentarisation massive des groupements nomades et des modalités de construction et d’habitats très aléatoires et indigents, auxquels ils ont donné naissance. C’est bien le cas du douar Ain Défali qui comportent des centaines de foyers vivant dans des conditions inhumaines et lamentables.

Des terres domaniales usurpées par des particuliers à la commune d’Ain Défali.


Dans la commune d’Ain Défali, province de Sidi Kacem, la commission chargée d’étudier la question des terres domaniales n’a jamais inventorié les multiples cas de terres occupées et exploitées illégalement par des particuliers, à savoir :

1.       Ceux qui occupent et exploitent illégalement des terres domaniales après avoir déplacé les bornes pour augmenter leurs superficies,  ce sont les cas :

·         de l’ancienne gare ferroviaire d’Ain Défali exploitée par les héritiers de Fegrouch,

·         de l’ancien douar situé au nord-ouest de cette gare sur le monticule d’en face, exploité par les héritiers de Fegrouch,

2.       ceux qui occupent et exploitent dans des conditions floues des terres domaniales de l’état depuis des décennies :

·         l’exploitation des Béni Sennanas par un ex-commissaire,

·         la ferme de l’ex-colon « Boune » par un ancien retraité des Forces Armées Royales,

·         de l’exploitation de Jennaoua par un ex-cadi,

·         de la maison cantonnière des travaux publics par un ex-agent des TP

Ces particuliers prétendent en être les possesseurs. Le service des domaines publics de Sidi Kacem lui incombe d’étudier sérieusement la question de ces exploitations usurpées pour les récupérer.

  

Histoire de Moulay Bousselham

Situé au bord de l'Océan Atlantique, à mi-chemin entre Tanger et Rabat, Moulay Bousselham est un véritable petit havre de paix. Le village a été nommé ainsi d'après le mausolée du saint homme qui y est enterré.
Ainsi, d'après une croyance populaire, Moulay Bousselham tire son nom de son saint patron ; voici son histoire : Moulay Bousselham était venu d'Egypte avant de se fixer aux abords de la Merja Zerga. Il est mort lors de la bataille de Oued El Makhazine 1578 (Bataille des trois rois). D'autres saints se sont installés dans la région et dont on compte aujourd'hui pas moins de 7 dispersés dans le village.

L’homme le plus musclé du monde.

Les Guiness World Record ont décerné cette année un nouveau record pour la performance de l’homme le plus musclé au monde. C’est, en effet, un américain bodybuilder, qui a atteint une taille de biceps de 30 pouces pour une largeur de bras de 80 centimètres. Mesurant 2m18, son nom et son poids nous reste malheureusement inconnu pour le moment par manque d’informations.


Bonne Année Hijri 1434, كل عام وانتم بخير


Aujourd'hui, jeudi 15 novembre, c’est le Nouvel An 1434, et je saisis cette occasion pour souhaiter à tous mes amis, un nouvel an, plein de paix, de joie et de bonheur.

 
Le nouvel an musulman correspondant au premier jour du mois de Moharram (1er mois du calendrier musulman) marque un évènement important de l’histoire musulmane l’Hégire ( émigration-exil ) .
Il s’agit de la commémoration du départ du prophète Mohamed, que la Paix et la Grâce Divine soient sur Lui, émigra le 9 septembre de l’année 622, de la Mecque vers Médine.

 
Le mois sacré de Moharram est le premier mois lunaire du calendrier hégirien. Il est un des quatre mois sacrés auxquels le Coran fait référence, à savoir Rajab, Dhoul-qa’da, Dhoul-hijja, et Moharram. Durant ce mois, il est recommandé de multiplier les bonnes œuvres et de jeûner le dixième jour, appelé Achoura. Bien avant l’avènement de l’Islam, le mois de Moharram était un mois sacré pour les arabes.
Dans un hadith rapporté par l’Imam Mouslim, d’après Abou Horaira, le Prophète a dit : « Le meilleur jeûne (en matière de rétribution) après celui du Ramadhan est celui accompli durant le mois de Moharram ; la meilleure prière après les prières obligatoires est celle accomplie au milieu de la nuit ».
 Le mois de Moharram est distingué par son dixième jour, nommé Achoura. C’est d’ailleurs une des journées mémorables de Dieu durant laquelle Il a délivré les Enfants d’Israël du Pharaon et des siens, qui les soumettaient à l’esclavage et aux pires supplices. C’est aussi le jour où Dieu a fendu la mer pour leur frayer un chemin sûr et a ensuite englouti Pharaon et son armée.
L’Imam Malek dans son Muwatta a rapporté qu’Aicha, que Dieu l’agrée, a dit : «Achoura était un jour que jeûnait les Quraychites dans l’ante islam. Quand le Prophète arriva à Médine, il le jeûna et ordonna qu’on le jeûne… ».
L’Imam Moslim a rapporté dans son recueil qu’Ibn Abbas a dit : « quand le Prophète, –que la Grâce et la Paix Divines soient sur Lui, – a jeûné le jour de ’Achoura et a ordonné qu’on le jeûne, les compagnons ont dit : « O Messager d’Allah, c’est un jour que vénère les Juifs et les Chrétiens » le Prophète a répondu : « l’année prochaine, si Dieu le veut, nous jeûnerons le neuvième jour ». Ibn Abbas a dit :« le Prophète mourut avant ».

HOME , Film complet en français.


En 200 000 ans d'existence, l'homme a rompu un équilibre fait de près de 4 milliards d'années d'évolution de la Terre. Le prix à payer est lourd, mais il est trop tard pour être pessimiste: il reste à peine dix ans à l'humanité pour inverser la tendance, prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre, et changer son mode de consommation.
Plus qu'un film, HOME sera un événement mondial : pour la première fois dans l'histoire, ce long-métrage sortira en même temps dans plus de 50 pays et sur tous les supports : cinéma, TV, DVD et Internet. C'est la date symbolique du 5 juin 2009 qui a été choisie pour cette sortie internationale.

Disparition soudaine de la « Mini-tour Eiffel de Fès ».

La ville de Fès s’est réveillée ce jour sans « tour Eiffel » qui a été majestueusement placée un mois auparavent sur le grand rond point qui mêne à Marjane et à la cité Ben Souda. Tout le monde se pose la question : où est passée cette tour Fassie et pourquoi elle a été démontée juste quelques semaines après sa construction ?


Maroc : en 1975, la Marche verte

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Après la mort du dictateur Franco, l'Espagne veut céder sa souveraineté sur le Sahara occidental, territoire qu'elle a colonisé en 1884. Le Maroc de Hassan II choisit alors d'employer les grands moyens pour récupérer ce qu'il estime lui appartenir : ce sera la Marche verte. Revivez cette épopée à travers un texte publié le 2 novembre 2003 par Jeune Afrique.
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Le 6 novembre 1975 à l’aube, un cortège de 350 000 Marocains s’ébranle dans le désert pour une marche qui durera plusieurs jours. « Cela correspond au nombre de naissances annuelles au Maroc, a expliqué le roi Hassan II. J’ai pensé qu’il m’était permis d’engager la moisson solennelle que Dieu nous donne pour ramener à la Patrie une terre que nous n’avons jamais oubliée. »


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Le souverain chérifien entend libérer le Sahara occidental de la présence espagnole, comme l’avait promis son père au lendemain de l’indépendance du Maroc. Le 26 septembre, il a informé les gouverneurs de son projet lors d’une réunion à huis clos. Près de 700 fonctionnaires sont ensuite mis dans le secret pour suivre une formation spéciale accélérée. Ils apprennent la raison de cet entraînement clandestin le 16 octobre à 18 h 30 lors du discours de Hassan II qui révèle au monde entier son plan pour la libération du Sahara occidental.

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Quelques heures plus tôt, la Cour de justice de La Haye s’est prononcée sur les arguments présentés par Rabat. Le tribunal international confirme l’existence de liens unissant certaines tribus sahraouies au royaume marocain avant la conquête espagnole de 1884, mais affirme que le droit à l’autodétermination doit prévaloir. Couvrant la voix des juges, des centaines de véhicules roulent déjà pour acheminer vers les provinces du Sud les tonnes de matériel et de vivres nécessaires à l’opération.
Trains, avions et navires participent au ballet logistique. Le 23 octobre, le premier convoi de marcheurs prend position à Tarfaya. Le 6 novembre au petit matin, la Marche verte, ou opération Fath est lancée : les 350 000 soldats de cette armée pacifique s’élancent dans le désert embarqués à bord de milliers de cars et de camions pour une démonstration qui durera jusqu’au milieu du mois. Des portraits du monarque marocain, qui a volontairement placé la Marche sous les couleurs de l’islam, et des milliers de corans sont brandis par la marée humaine qui croise en chemin les premières garnisons espagnoles évacuant la place.

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La corruption continue de proliférer au Maroc.



Elle touche tous les domaines et surtout les administrations de l’Intérieur, de la Justice et de la Police. Les gens ont recours à la corruption pour bénéficier des prestations publiques ou simplifier les complications et les procédures administratives.



D’après le dernier rapport de Transparency International, le Maroc perdrait l’équivalent de 1,5 milliard de dollars par an à cause de la corruption, fléau qui persiste grâce à l’existence de certaines poches de résistance opposées au changement.



L’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) dénonce une politique gouvernementale dépourvue d’une dimension stratégique et d’un engagement effectif anti-corruption.

Origine du nom de « douar Ain Défali ».


Selon la légende, l’origine du nom d'Ain Défali, remonte à la découverte depuis la nuit des temps de l'apparition d'une eau pure limpide et naturelle d'une source d'eau à proximité de lauriers roses.
Avec tout le charme de son passé, Ain Défali permet aux visiteurs de prendre le temps et de goûter au plaisir de l’émergence de cette eau souterraine douce, naturelle, pure, saine et potable, en ce point de la surface du sol où elle est actuellement et emmagasinée dans de grands réservoirs, à quatre kilomètres à vol d'oiseaux, en aval de cette gigantesque nappe phréatique découverte ces dernières années à Laâmirat, Sidi M'hamed Laoula et Béni Sennana.
D'après l'histoire parlée de ce village existant seulement depuis 1947 et dont le nom est lié à l'appellation de cette source, les premiers habitants
étaient :
  • Hamri Hamida,
  • Allal Ben Aicha,
  • Sellam El Garni, 
  • et Abdeslam Ben Mohamed.
Relayés par la suite par :
  • Khammar Bel Kassem
  • Bouchta Ben Kaddour,
  • Bel M’kaddem Mohamed,
  • Lahcen et Hmidou Bouâlam,
  • Karbach Mohamed,
  • Bouchta Berhou,
  • Hasna Hoummada et son fils Cherradi Mohamed,
  • Chrif Ould Al Haylam,
  • Abdelkader ould Jbilou,
  • Oummi Jelloula,
  • Aicha Mouhnikatte,
  • Karnoussia Fatima et Ahmed El Attar,
  • Somati Mohamed,
  • Baladi Abderrahmane,
  • Bouchta Harroufa,
  • Laoula Mohamed,
  • Ahmed Ammi,
  • Abdelkader Jmel,
  • Chérif Ben Yachchou,
  • Khammar Jebli,
  • Larafi Mohamed et son frêre Gueddar,
  • Baâyya M’hammed,
  • Amimi Mohamed,
  • El Himdi Mohamed,
  • Lakhal Mohamed,
  • Bouchta Ould Fatna Ahmed,
  • Koâbaizi Bouchta,
  • Bouchta Bel Hadi, garde forestier, 
  • Abdeslam Al-Ghayyate,
  • Sbai Mohamed,
  • M’hamed Laymani.
Ce sont les premiers et vrais habitants du douar 
Ain Défali. 

   
      Actuellement, le douar d’Ain Défali est devenu un grand bidonville, un ensemble d’habitats précaires, des « maisons en bidons », des habitats inférieurs aux normes où la misère est concentrée.                   


La qualité de l'habitat y est singulièrement pauvre, et certaines habitations sont constituées de matériaux de récupération (cartons, plastiques, tôles, etc…). Généralement bâtis sur des terrains où leur présence est illégale ou seulement tolérée, les habitants sont soit des squatteurs, soit louent leur propriété à ceux qui les ont précédés, parfois à des tarifs exorbitants.
 
 
La pauvreté, la promiscuité, le manque d'hygiène et la présence de bouillons de culture réunissent les conditions de développement de foyers infectieux, pouvant être source de pandémies.
En 2012, date d’échéance du programme “Villes sans bidonvilles”, le Maroc devrait avoir fait disparaitre les 1000 bidonvilles identifiés en 2004, date du lancement du programme. Mais, ce n’est pas le cas pour ce grand bidonville d’Ain Défali ! Il continuera d’exister au delà de 2013 et vous le verrez bien !

BOUJLOUD, L'HALLOWEEN D’AIN DEFALI.

Dans les jours qui suivent l’Aid el Adha (la fête du mouton), des groupes de jeunes avec instruments et personnages déguisés de peaux de chèvres, de masques de monstres, ou le visage grimé en noir, vont de maisons en maisons pour quémander quelques pièces pour pouvoir s’offrir un repas entre eux. 



C’est l’occasion aussi, sous le couvert du déguisement, de régler quelques comptes, de solder quelques différents et repartir d’un bon pied pour une nouvelle année.
Après la tension qui a agitée toutes les familles en vue de réunir le budget pour payer le mouton, c’est aussi une sorte de défoulement…


Une tradition qui devrait être défendue, entretenue, puisqu’elle appartient au patrimoine marocain, alors que des tentatives d’importer Halloween se dessinent chaque année.
Cette tradition ancestrale dont l’origine et la signification ont semble t-il disparu,  se pratique dans tout le Maroc.



Une mini Tour Eiffel à Fès.

 
Conçue pour célébrer l'amitié franco-marocaine, la Tour « Fassie » d’une hauteur de 20 mètres (contre 324 mètres pour la mythique Tour Eiffel Parisienne) est  érigée au milieu d’un grand rond-point (Marjane -Ben Souda). Inaccessible aux piétons, elle risque de distraire les chauffards et accroître ainsi le risque d'accidents.
Le coût du projet de cette dame de fer s'élève à 100 mille dirhams, soit environ 10 mille euros.