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Che Guevara




 Ernesto Rafael Guevara (né le  à Rosario, Argentine – mort le  à la Higuera, Bolivie), plus connu comme « Che Guevara » ou « le Che » (prononcé communément /(t)ʃe.ɡe.va.ra/ en français et /t͡ʃe.ɡeˈβa.ɾa/ en espagnol), est un révolutionnaire marxiste et internationaliste ainsi qu'un homme politique d'Amérique latine. Il a notamment été un dirigeant de la révolution cubaine, qu'il a théorisée et tenté d'exporter vers d'autres pays. Souvent considéré comme un mythe et un héros, il écrira « Je ne suis pas plus un héros qu'un mythe, je suis un idéaliste ».

Alors qu'il est jeune étudiant en médecine, Guevara voyage à travers l'Amérique latine, ce qui le met en contact direct avec la pauvreté dans laquelle vit une grande partie de la population. Son expérience et ses observations l'amènent à la conclusion que les inégalités socio-économiques ne peuvent être abolies que par la révolution. 
Il décide alors d'intensifier son étude du marxisme et de voyager au Guatemala afin d'apprendre des réformes entreprises par le président Jacobo Arbenz Guzmán, renversé quelques mois plus tard par un coup d'État appuyé par la CIA. Peu après, Guevara rejoint le mouvement du 26 juillet, un groupe révolutionnaire dirigé par Fidel Castro.

 Après plus de deux ans de guérilla durant laquelle Guevara devient commandant, ce groupe prend le pouvoir à Cuba en renversant le dictateur Fulgencio Batista en 1959.
Dans les mois qui suivent, Guevara est désigné procureur d'un tribunal révolutionnaire qui exécute plus d'une centaine de policiers et militaires du régime précédent jugés coupables de crimes de guerre, puis il crée des camps de « travail et de rééducation ». Il occupe ensuite plusieurs postes importants dans le gouvernement cubain qui écarte les démocrates, réussissant à influencer le passage de Cuba à une économie du même type que celle de l'URSS, et à un rapprochement politique avec le Bloc de l'Est, mais échouant dans l'industrialisation du pays en tant que ministre. Guevara écrit pendant ce temps plusieurs ouvrages théoriques sur la révolution et la guérilla.
En 1965, après avoir dénoncé l'exploitation du tiers monde par les deux blocs de la guerre froide, il disparaît de la vie politique et quitte Cuba avec l'intention d'étendre la révolution. Il se rend d'abord au Congo-Léopoldville, sans succès, puis en Bolivie où il est capturé et exécuté sommairement par l'armée bolivienne entraînée et guidée par la CIA. Il existe des doutes et de nombreuses versions sur le degré d'influence de la CIA et des États-Unis dans cette décision.
Après sa mort, Che Guevara devient une icône pour des mouvements révolutionnaires du monde entier, mais demeure toujours l'objet de controverses entre historiens, notamment à cause de témoignages sur de possibles exécutions d'innocents . Un portrait de Che Guevara réalisé par Alberto Korda est considéré comme l'une des photographies les plus célèbres au monde.
Naissance : 14 juin 1928, Rosario, Argentine
Décès : 9 octobre 1967, La Higuera, Bolivie


Livres : Guerrilla Warfare, Voyage à motocyclette, plus…
Enfants : Aleida Guevara, Hilda Beatriz Guevara Gadea,Camilo Guevara, Celia Guevara, Ernesto Guevara


Épouses : 
     - Aleida March (m. 1959–1967), 

     - Hilda Gadea(m. 1955–1959)

La plus petite école du monde, en Géorgie.

Bacho Tsiklauri, 9 ans, n'est pas un enfant comme les autres. Il est le seul élève de son école. Comme les autres, Bacho se lève le matin pour prendre le chemin de l'école, réciter sa leçon à sa maîtresse, profiter de la récréation pour jouer au ballon, faire ses devoirs avec sa mère une fois rentré à la maison. Mais ce qui différencie Bacho des autres enfants de son âge, c'est qu'il est le seul élève de sa classe, le seul élève de l'école primaire de Makarta, un miniscule village situé à 100 km au nord de Tbilisi, la capitale de la Géorgie.
Situé entre les montagnes de la Mtskheta-Mtianeti, l'une des 9 régions administratives du pays, le village de Makarta compte seulement 30 habitants, dont la famille de Bacho, sa mère Lela Machkhashvili, 39 ans, et son père Gia, 51 ans. Un quotidien bien différent de celui de millions d'enfants pour Bacho...

Bacho regarde par la fenêtre de la maison familiale de Makarta 

Bacho à la fenêtre de la maison familiale de Makarta 

Bacho se dirige vers l'école accompagné de son père Gia.  
 B acho attend sa maîtresse devant l'école primaire
 Le registre de l'école n'a qu'un seul nom inscrit, celui de Bacho Tsiklauri
 Bacho écoute le cours de sa maîtresse
La maîtresse de Bacho lui fait réciter sa leçon 
 La maîtresse de Bacho lui fait réciter sa leçon.
 Bacho récite sa leçon au tableau devant sa maîtresse Lia. 
 Bacho écrit sa leçon au tableau devant sa maîtresse Lia
 Bacho écoute le cours de sa maîtresse, Lia Tsiklauri, âgée de 47 an
Bacho écoute le cours de sa maîtresse, Lia Tsiklauri, âgée de 47 ans 
Bacho écrit sur son cahier de leçons 
Bacho sort de sa classe pour aller en récréation 
Bacho joue aux alentours de l'école pendant les récréations 
Bacho joue dans les montagnes du village de Makarta 
 Bacho rentre chez lui après une journée d'école
Bacho avec son père dans la maison familiale de Makarta 
Bacho récite sa leçon dans la maison familiale de Makarta 
 Bacho fait ses devoirs dans la maison familiale de Makarta
La mère de Bacho, Lela, aide son fils à faire ses devoirs dans la maison familiale de Makarta 
 Bacho devant la maison familiale de Makarta
 
 Bacho quitte sa maison pour partir à l'école
 
 

Le camping-car le plus cher au monde.




Coûtant la somme rondelette de 2,35 millions d'euros, voici l'eleMMent Palazzo, le camping-car sans doute le plus cher au monde. Commercialisé par le constructeur autrichien Marchi Mobile, il mesure plus de 12 mètres de long – ce qui ne rend évidemment pas simple son stationnement – et est équipé, entre autres, d'une chambre luxueuse et d'une terrasse sur le toit.

    La cabine de pilotage.

  La chambre.

 Le « coin » salle de bain

    Les deux étages de l'eleMMent Palazzo sont reliés par un escalier escamotable.
 

Espace détente à l'étage 

Une autre vue de l'étage

 Une terrasse peut être déployée sur le toit

 Sur la terrasse

 La version dorée



Le véhicule de luxe remporterait un franc succès auprès des Dubaïotes. 

                                                                                                          Ould Lablad

Histoire du bras de Jamel Debbouze



Nous sommes nombreux à connaître et à apprécier l'humour du comédien Jamel Debbouze. Nous sommes nombreux aussi à nous poser cette question: Qu'est-il arrivé au bras de Jamel Debbouze?
La réponse à cette question est dramatique et peut changer l'amour que vous portez à Jamel Debbouze... 
Elle évoque le souvenir douloureux d´une mort violente à laquelle Jamel DEBBOUZE s´est trouvé associé le 17 janvier 1990. Celle du fils de Michel Admette. Agressé sur un quai de gare à l´arrivée du train Nantes-Paris par une bande de jeunes qui en voulaient semble-t-il à son blouson, Jean-Paul Admette (Agé de 16 ans) s´est trouvé précipité sous le train. “Et il a perdu la vie alors que Jamel Debbouze n´y a laissé qu´un bras”, s´insurgent Michel et Marlène Admette qui ne parviennent pas à faire le deuil de leur enfant et tiennent Jamel Debbouze pour responsable de cette disparition.
Michel Admette et son épouse racontent le drame de leur vie, la perte de leur jeune fils, en 1990, en région parisienne, déchiqueté sous les roues d’un train. Selon eux, c’est Jamel Debbouze qui l’a poussé. Or, ce dernier a bénéficié d’un non-lieu. Ils n’en démordent pas.
Michel et Marlène Admette dénoncent avec force ce qui constitue leur vérité depuis la tragédie. Leur fils n’est pas mort dans un accident, mais poussé par un homme, Jamel Debbouze.
Le fantaisiste, Jamel Debbouze, qui devait donner quatre spectacles à Saint-Gilles en ce début du mois de décembre, a fait savoir au dernier moment qu’il ne pouvait venir à la Réunion, pour des raisons de santé. Son certificat médical n’est pas contestable. 

“C’est faux, se sont empressés de dire Marlène et Michel Admette. S’il n’est pas venu, c’est qu’il redoutait d’avoir à nous affronter et d’être confronté à la vérité”. 

Depuis le début de l’année 1990, les époux Admette soutiennent la même thèse. Jamel Debbouze serait venu chercher leur fils Jean-Paul en bas de leur domicile. Il l’aurait incité à prendre le bus avec lui, puis auraient rejoint d’autres garçons. Ils auraient pris ensuite le train pour Trappes. Là, il y aurait eu bagarre avant que Jamel pousse Jean-Paul sous le train et ne soit lui même gravement blessé au bras.

Plainte contre Jamel DEBBOUZE

Cette version est naturellement férocement contestée par Jamel DEBBOUZE qui assure être descendu du train directement sur la voie avec Jean-Paul. Que lui Jamel marchait devant sans s’occuper de Jean-Paul… et que le train est arrivé.
Pour faire la lumière, la justice a été saisie sur plainte des parents Admette avec constitution de partie civile contre Debbouze pour homicide involontaire. Après l’instruction, puis audiences en première instance et cour d’appel, les magistrats ont conclu tour à tour à un non-lieu en faveur de Debbouze. Les juges n’avaient trouvé aucun témoin qui ait mis Jamel Debbouze en cause.

“Les témoins n’ont pas voulu témoigner, affirment les parents Admette. Un jour, ma collègue de la cantine où je travaillais m’a pris à part pour me raconter que l’enfant qui avait été tué par le train avait été poussé. Elle ignorait que j’étais la maman. Lorsque je le lui ai appris, elle m’a proposé de me cacher dans sa cuisine pour écouter son témoin. Ce qui a été fait. Mais quand j’ai demandé à la jeune fille qui semblait tout savoir de me faire, à moi, un récit détaillé, elle a refusé. Et quand les juges l’ont entendue, elle s’est rétractée. Et malheureusement, elle n’a pas été la seule à avoir cette attitude”, avoue Marlène.
Depuis ces échecs judiciaires, forts de leur conviction, les parents de Jean-Paul ruminent leur rancœur : “Je ne peux pas faire mon deuil tant que la vérité n’est pas connue”, regrette Marlène. Depuis que Jamel Debbouze est devenu célèbre, elle recueille et collectionne toutes les coupures de presse et de magazine qui parlent de lui… et de préférence en mal. Il ne lui manque rien de ses déboires avec la police ou des “mensonges” qu’il aurait proférés pour expliquer sa fortune, son infirmité, etc. Un vrai dossier noir qu’elle a joint à son propre dossier.
“Aujourd’hui, demain, et les jours suivants, nous dirons, nous expliquerons l’homme que Jamel Debbouze est vraiment, préviennent Michel et Marlène Admette. Il nous a pris notre vie. Et qu’il ose prétendre venir à la Réunion, à quelques mètres de la tombe de notre fils, nous a encore bouleversé.”
Même en pleine forme, il n’est pas certain que Jamel Debbouze programme de nouveau une série de spectacles au théâtre de Saint-Gilles à la Réunion.

Conclusions :

L'histoire est donc en partie vraie : en effet, il y a bien eu une procédure judiciaire à l'encontre du comédien pour homicide involontaire. Mais rien ne permet d'accréditer la thèse selon laquelle Jamel aurait poussé Jean-Paul sur la voie ferrée, aucun témoin de la scène n'ayant confirmé l'accusation des Admette.
Par ailleurs, il n'est pas à exclure que la famille de la victime puisse chercher à tirer profit de la situation maintenant que l'artiste est célèbre.
Enfin, si chacun est évidemment libre d'avoir son propre avis sur ce triste ladi lafé (fait-divers en créole réunionnais), il n'est pas de notre ressort d'aller au-delà des conclusions judiciaires de cette affaire, la justice ayant, par deux fois, tranché en faveur de l'humoriste en prononçant un non-lieu (en première instance et en appel).

Les différents types de thés chinois.

Les Chinois disent qu’ils sont les premiers à avoir cultivé le thé. Le thé, plus qu’une boisson, une institution. Encadré par des règles, des codes, des rituels et des techniques précises, le thé et sa dégustation sont élevés au rang d’art à part entière dans certaines régions du monde. Les Cérémonies du thé et ses raffinements viennent, eux, du Japon.
 En Chine, le thé occupe une place majeure dans la vie quotidienne. Les Chinois en boivent tout au long de la journée, au travail comme chez eux.
Historique :
La légende chinoise voudrait que le thé existe très exactement depuis l’an 2737 avant notre ère. Cette légende raconte que des feuilles se seraient détachées d’un arbre au dessus du bol d’eau chaude que l’empereur Shen Nung avait fait bouillir pour se désaltérer. Il aurait ensuite goûté la mixture par curiosité et fut séduit par son arôme et ses propriétés stimulantes ! Une version moins bucolique raconte qu’à l’origine, on se servait de feuilles séchés pour parfumer l’eau que l’on faisait bouillir (il fallait l’assainir avant de la boire) et que ce breuvage fut immédiatement apprécié pour ses bienfaits notamment sur la fatigue, la volonté et la vue.
Le thé arriva en Europe au début du 17ème siècle à bord d’un navire hollandais de la Dutch East Company. Le capitaine avait embarqué à Java en Indonésie quelques caisses de thé. Soit ce fut des thés déjà fermentés, soit ils se fermentèrent pendant le voyage de retour. Toujours est-il qu’à l’arrivée, ce thé fut connu sous la forme de « thé noir ».
Le thé devient au cours des 17ème et 18ème siècles un véritable enjeu économique et l’objet d’une lutte permanente entre les Anglais et les Hollandais. D’ailleurs, jusqu’en 1834, La Compagnie des Indes Orientales (fondée par la Reine Elizabeth) garda le monopole de ce commerce.
Les grandes variétés de thés : des goûts et des couleurs.
Il existe des dizaines de variétés de thé. Sa couleur ? Les Occidentaux la déterminent à celle des feuilles sèches tandis que les Chinois observent la couleur du breuvage obtenu.
Le Thé vert : c’est le thé le plus populaire en Chine et au Japon. Réputé pour ses propriétés thérapeutiques, il est riche en tanins ce qui atténue les effets excitants de la théine, il contient de la vitamine C et de la théanine (un acide aminé) connue pour son effet relaxant.
Le Thé noir : c’est le thé le plus consommé en Occident. Il a une bien meilleure conservation à long terme que le thé vert, ce qui le rend plus facilement commercialisable et exportable. Le thé noir contient plus de théine. En Chine il est appelé thé rouge, car les Chinois appellent thé noir un thé Oolong qui sera conservé quelques années dans des pots dans un endroit frais. Il prendra alors un goût très subtil et deviendra un thé coûteux et prestigieux.

Le Thé Oolong : c’est le thé que les Chinois désignent comme bleu-vert, en raison de sa couleur lors de son infusion. C’est un thé pauvre en théine, qui trouve ses origines dans la région du Fujian en Chine. Il est très populaire en Asie, raison pour laquelle on le retrouve dans les restaurants et même dans certains fast food.

Le thé jaune et le thé blanc : ce sont des thés chinois très fins et parmi les plus délicats que l’on puisse trouver. Ils sont plutôt rares.
La cérémonie du thé est un art japonais. Dans une maison de thé chinoise, on apprend simplement les règles de dégustation du thé.
 


800 ans de relation diplomatique entre le Maroc et le Royaume Uni.

Selon les archives historiques, les tout premiers représentants anglais au Maroc avaient été dépêchés en 1213 par le roi John d'Angleterre


 qui, à l'époque, n'était pas encore devenue le Royaume-Uni.  Cette première mission diplomatique avait pour objectif de prendre contact avec la cour du Sultan Mohamed Ennassir, 4ème Sultan de la dynastie Almohade et que le roi John espérait, à travers elle, gagner le soutien Almohade pour l'Angleterre dans les conflits qui l'opposaient à ses adversaires européens. Cette mission a constitué le point de départ d'une relation qui s'est fortement développée au cours des siècles.