Vivez l’hiver à travers ces sublimes photos de plusieurs lieux dans le monde !

Des couleurs hivernales naturelles que recouvrent plusieurs lieux magiques dans le monde, et qui attirent malgré le froid plusieurs visiteurs par an, des touristes à la recherche de paysages hivernaux exceptionnels. 

La fleur de sable.

Certains insectes se déplacent très rapidement. L'un d'eux a fait le ménage devant sa porte - à savoir son trou - et le sable poussé devant elle forme les pétales d'une fleur.  L'insecte commence d'abord à élaborer l'ébauche d'un trou. La tête en avant, il rejette derrière lui le sable avec ses pattes postérieures. Comme celui-ci l'encombre, il se retourne, baisse la tête et, tel un bulldozer, pousse le sable à droite et à gauche. 

 

 



Les différents types de nuage.

Les nuages sont le phénomène météorologique le plus évident et clair. Il s'agit de grands amas de gouttelettes d'eau ou de cristaux de glace en suspension, nous permettant de comprendre ce qui se passe dans l'atmosphère et comment le temps va évoluer. Leur formation est liée à la condensation sous l'effet de la température de la vapeur d'eau, un composant de l'air invisible dans des conditions normales. Quand l'air se refroidit et que l'humidité relative atteint 100 pour cent, le nuage commence à se former. Plusieurs mécanismes sont à l'origine du refroidissement de l'air et de la condensation de la vapeur. Sur la terre c'est le refroidissement par rayonnement qui domine: La perte de chaleur au sol tend à refroidir les couches d'air qui lui sont plus proches. Si, en continuant à baisser, la température atteint et dépasse le point de rosée, la vapeur d'eau se condense en gouttelettes et forme justement la rosée si elle se dépose sur la terre, ou le brouillard si elle reste en suspension. En revanche, le long des côtes, le brouillard est dû au refroidissement par advection: l'air chaud et humide se déplace alors vers la terre, plus froide, et crée les conditions nécessaires à la formation de nuages.

C'est toujours par le même processus que se créent les stratus dus au passage de couches d'air chaud sur une ou plusieurs couches d'air froid. Enfin, quand l'air est obligé de monter du fait de la présence d'un obstacle (une montagne, par exemple), on voit se former les cumulus. Toutefois, la baisse de la température n'est pas la seule condition pour qu'il y ait des nuages. La présence, dans l'atmosphère, de petits corpuscules dits noyaux de condensation est également indispensable pour activer la séparation de l'eau et de l'air. Sans eux, le mélange d'air et de vapeur risquerait de rester saturé et ne rien donner. Ces noyaux sont le plus souvent composés de corpuscules de chlorure de sodium (le sel de cuisine) qui sert de pôle d'agrégation aux molécules d'eau et leur permet ainsi d'atteindre une taille suffisante pour éviter l'évaporation.

Les dix groupes principaux de nuages. On compte dix groupes principaux de nuages, appelés "genres".

Cirrus, cirrocumulus et cirrostratus sont des nuages de haute altitude (au-dessus de 6000m), composés de cristaux de glace. Généralement minces et blancs, ils ne génèrent pas de précipitations par eux-mêmes mais annoncent l'arrivée prochaine d'une dépression lorsque leur épaisseur s'accroît.

Les nuages d'altitude moyenne (de 2000m à 6000m) sont constitués de gouttelettes d'eau et de cristaux de glace mélangés. On distingue les altostratus et les altocumulus.

Les nuages bas (nimbostratus, stratocumulus et stratus), dont la base ne dépasse pas 2000m d'altitude, sont formés de gouttelettes d'eau, parfois mêlées à des cristaux de glace. Leur apparition, qui correspond généralement au passage d'une dépression, cause des précipitations continues, sous forme de pluie ou de neige selon la saison.

CIRRUS :

Ils sont très effilés, blancs et transparents, isolés, avec un aspect fibreux. Leur finesse et leur transparence sont dues à la disposition des cristaux de glace qui les constituent. Ils se forment dans un ciel dégagé mais leur présence annonce l'arrivée d'une perturbation et donc d'une dégradation du temps.

CIRROCUMULUS :

Ces nuages forment des couches de minuscules flocons blancs sous forme de granules ou rides. Ils suivent les cirrus et annoncent un changement de temps. Ils se présentent en banc, nappe ou sous la forme d'une couche mince de nuages blancs sans ombre propre. Ils accompagnent fréquemment des cirrus ou cirrostratus.

CIRROSTRATUS :

Ils se présentent sous forme de voiles transparent et blanchâtre mais semblent plus résistants que les précédents. Ils provoquent cet effet gélatineux, le halo, autour du soleil ou de la lune. Il s'agit en général d'une évolution des cirrus, précédant la formation des nuages moyens.

ALTOCUMULUS :

Ils donnent comme on dit des "nuages moutonnés", il s'agit d'amas du nuages arrondis, gris et blancs, alignés ou en groupes. Ils ne s'accompagnent pas de précipitations mais ils annoncent un changement de temps.

NIMBOSTRATUS :

Les nimbostratus sont gris et sombres et épais donnent des précipitations persistantes et fortes (pluie ou neige). Ils proviennent des altostratus. Ils ont la forme d'une immense masse constituée de rouleaux. Si ils donnent de la pluie, leur base inférieure est ponctuellement déchiquetée, percée, d'où tombe un rideau de précipitations jusqu'au sol. Les nimbostratus sont suffisamment épais pour masquer complètement le Soleil.

 

ALTOSTRATUS :

Ils comprennent des gouttelettes d'eau ou des aiguilles de glace et se présentent au début sous forme de voile mince et uniforme, laissant totalement passer la lumière du soleil. Dans cette première phase, on les prend souvent pour des cirrostratus. Par la suite, la stratification leur donne un aspect plus dense et une couleur grisâtre. En général, le soleil devient alors une tache de lumière derrière des nuages, et il arrive qu'il disparaisse s'ils sont très denses. Les altostratus peuvent créer des précipitations, mais compte tenu de leur altitude, les gouttes de pluie s'évaporent avant de toucher le sol.

  

STRATOCUMULUS :

Ce sont des nuages gris-blanc, floconneux, pouvant même recouvrir tout le ciel. En général, ils provoquent des précipitations. Comme les nimbostratus, ils se forment à l'issue d'un mélange de courants d'air.

STRATUS :

Ils sont gris, sans contours bien précis et très bas. Ils présentent l'aspect d'un voile continu rappelant le brouillard. (leur épaisseur pouvant dépasser une centaine de mètres). Comme ce dernier, ils se forment par refroidissement par rayonnement. Ils n'engendrent que rarement de la pluie mais plus fréquemment de la brume voire de la neige en altitude. Ces nuages apparaissent fréquemment dans les grandes agglomérations à cause de la pollution.

CUMULUS :

Ce sont des nuages, dits cumulus, sont très particuliers: du fait de leur altitude ils ont tendance à envahier tous les espaces où circulent les nuages décrits auparavant. On distingue quatre catégories: les cumulus congestus. Au début, ils se présentent tous comme de petits agrégats blancs, évoluant parfois en nuages gigantesques en forme de tours, dont l'aspect ressemble beaucoup à la vapeur d'eau en ébullition. Leurs contours sont toujours bien définis. Les nuages sont formés par les courants d'air convectifs, à savoir par la montée d'air chaud vers les couches hautes de l'atmosphère, c'est pourquoi on parle aussi des nuages thermiques. Vers le bas ils sont toujours gris et sombre, alors que leurs sommets sont d'un blanc éclatant du fait de la présence de cristaux de glace, dans leur composition. Les cumulus humilis font penser à des flocons de coton d'un blanc intense, en général séparés entre eux ou regroupés, mais en formations bien distinctes. Ils annoncent une situation météo stable et leur présence est temporaire: ils s'installent et disparaissent rapidement dans le ciel bleu, d'où leur appellation de "cumulus de beau temps". En revanche, le cumulus congestus est l'évolution d'un cumulus humilis en présence d'une situation instable. Le nuage est alors de plus en plus grand et devient une tour imposante à base plate. Il évolue parfois en cumulonimbus.

CUMULONIMBUS :

C'est la formation la plus importante qu'on trouve dans le ciel. Sa base s'installe parfois à quelques centaines de mètres de hauteur, mais les courants d'air ascendants lui permettent d'aller jusqu'à 10000 mètres. La partie supérieure du cumulonimbus s'étale souvent en forme 'enclume. Le cumulonimbus peut à lui seul présenter les phénomènes météorologiques les plus violents: précipitations importantes, violents courants d'air, foudre, tonnerre, turbulences et formation de glace.

CUMULONIMBUS MAMMA (Mammatus) :

Ces nuages rares s'appellent des Mammatus et se produisent souvent pendant des événements météorologiques intenses. Le Mammatus se forme souvent au-dessous des Cumulonimbus lorsque l'air frais et humide descend dans un environnement plus chaud. Ces nuages peuvent vous sembler étranges mais ils sont inoffensifs. Le danger vient en général des orages qui les accompagnent.

Le pont Danyang-Kunshan détient le record du pont le plus long du monde.

Le pont le plus long du monde est situé en Chine.

Il relie la ville de Danyang

à celle de Kunshan 

et mesure des dizaines de milliers de mètres.

Le pont qui détient le record absolu de longueur est le pont Danyang-Kunshan, en Chine. Il s'agit d'un pont ferroviaire, qui relie les villes de Danyang et de Kunshan. L'oeuvre architecturale est gigantesque, puisque dans sa totalité, ce pont mesure 164,8 kilomètres. Il a été construit par la République populaire de Chine pour soutenir une partie de la ligne à haute vitesse reliant Pékin à Shanghai. Le pont a été mis en service en 2011.

Le pont traverse principalement les terres, mais une partie de 9 kilomètres surplombe le grand lac de Yangcheng. Les ingénieurs chinois ont pensé le projet du pont en prenant en compte les risques d'intempéries dans les nombreuses zones inondables situées entre les villes de Kunshan et de Danyang. Par ailleurs, les terres inhabitées traversées par la ligne ferroviaire à grande vitesse ont des caractéristiques géologiques et géographiques (canaux, marécages, terre friable) qui ont contraint les autorités chinoises à construire un viaduc, à la fois pour protéger la ligne, mais aussi pour réduire la sédimentation des terres.

Le pont a été réalisé en à peine quatre ans. Plus de 10 000 personnes ont travaillé sur ce projet titanesque qui a coûté près de 54 milliards de yuans, soit environ 8,5 milliards de dollars.

L'aéroport le plus dangereux du monde se trouve à Lukla, au Népal.

Longue de seulement 500 mètres, la piste de Lukla au Népal qui sert chaque jour aux avions à décoller et atterrir est très certainement la plus terrifiante du monde. Pour s’en convaincre, il suffit de voir le gouffre qui s’annonce en bout de piste...

Aéroport le plus fréquenté du Népal en raison d’un grand nombre d’alpinistes qui viennent chaque année se mesurer aux sommets de l'Himalaya et notamment à celui de l'Everest, l’aéroport de Lukla possède une réputation peu enviable "d’aéroport le plus dangereux du monde". La raison ?  Sa piste d’atterrissage unique présentant une pente à 12° construite au bord d’un véritable précipice. 

 

Une piste d’atterrissage qui fait face à un gouffre Érigé sur le flanc d’une montagne, cet aéroport népalais possède en effet une seule et unique piste longue de seulement 500 mètres et faisant à peine
 la largeur de 20 mètres. Située à près de 2900 m d'altitude, elle fait face à un gouffre qui effraye les voyageurs.

 Ces derniers ne manquent d'ailleurs jamais d’applaudir le pilote lorsqu'il arrive au final à ramener l’avion à bon port. Construit en 1965 par l’alpiniste et explorateur néo-zélandais Sir Edmund Hillary, premier homme à avoir gravi l'Everest le 29 mai 1953, cet altiport très fréquenté peut ainsi desservir en à peine l’espace d’une journée jusqu'à 79 vols. Ces derniers sont la plupart du temps empruntés par des amateurs d’escalade et des mordus d’alpinisme qui souhaitent de cette façon échapper à une longue journée de bus et cinq autres de marche à pied. Un aéroport de tous les dangers où les accidents ne sont hélas pas rares Si l’aéroport de Lukla conserve jusqu’à présent cette réputation si peu enviable, cela n’est hélas certainement pas dû totalement au hasard. Comme l’atteste ces deux tragiques accidents survenus pour l’un d'entre eux en 2008, alors que l’avion tentait d’atterrir dans un épais brouillard et où celui-ci avait alors percuté la piste de plein fouet avant de s’embraser. En 2010, un second accident s'était à nouveau produit reproduisant ce triste scénario sur cette piste népalaise, faisant cette fois 14 victimes.

Les recyclages insolites.

Trier et recycler les boites de conserve, bouteilles de lait et autres emballages plastiques sont entrés dans le quotidien. Mais certains vont beaucoup plus loin et recyclent des choses improbables : de l’urine à l’eau des égouts en passant par les couches de bébé, voici les recyclages les plus originaux !

• Les filtres à cigarettes  sont transformés en bois de construction ou en palettes de stockage.

• Les bennes à ordures : les anciens containers de déchets trouvent une deuxième vie en tant que piscine !

• L’eau des égouts : Et si l’eau des égouts se retrouvait dans l’eau des toilettes ?  Cette initiative aurait permis d’économiser près de 60% d’eau.

• Les déjections de panda : pour un thé plus sain !  le compost de selles de panda utilisé pour faire pousser du thé, lui donnerait des vertus anti-cancer.

• Des couches et protections hygiéniques : transformées en matériaux de construction :  bois synthétique ou bardeaux de toit.

• Les toilettes : Le recyclage des faïences des anciennes toilettes permettent la création d’un chemin piéton.

• Les restes alimentaires sont recyclés pour la création de vêtements.   La mode contre le gaspillage !

• L’urine : La NASA a mis au point un procédé qui permet de transformer dans l’espace, l’urine en boisson énergisante !

• Les eaux usées : pour fabriquer de la neige artificielle. C’est l’idée qu’a eu une station de ski de l’Arizona pour faire face au manque de chutes de neige naturelle !

• Le fumier est recyclé en gaz naturel qui devient alors du carburant pour tracteurs.