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A Fès, Capitale Spirituelle et culturelle du Maroc,les rues seront désormais éclairées par… les déchets ménagers


La ville de Fès va assurer son éclairage public avec l'électricité produite par sa centrale à biogaz.
La centrale électrique au biogaz construite au niveau de la décharge de déchets ménagers de la ville de Fès a été inaugurée samedi.
Une première au Maroc ! Cette décharge de Fès reçoit 800 tonnes/jour de déchets ménagers. Le biogaz généré par sa centrale servira à produire de l’électricité et à éclairer les rues de la capitale spirituelle du Royaume.
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D'où viennent les plus grandes marques du monde ?

 
Vous êtes-vous déjà demandé où sont nées les marques comme Nike, HSBC et Samsung? Découvrez d'où viennent les plus grandes marques du monde, qui rapportent des milliards de dollars à leurs pays d'origine. 
*Source : la capitalisation boursière de chaque société est tirée de Forbes et date du 16 avril 2015.  
ALIBABA
Siège : Zhejiang, Chine
Capitalisation boursière : 8,7 milliards €
Alibaba
SONY
Siège : Tokyo, Japon
Capitalisation boursière : 18,78 milliards €
ADIDASSiège : Herzogenaurach, Allemagne
Capitalisation boursière : 21,21 milliards €
 
PANASONIC
Siège : Osaka, Japon
Capitalisation boursière : 26,52 milliards €
HITACHI
Siège : Tokyo, Japon
Capitalisation boursière : 33,79 milliards €
FEDEX
Siège : Tennessee, États-Unis
Capitalisation boursière : 36,94 milliards €
 
HYUNDAI MOTOR
Siège : Séoul, Corée du Sud
Capitalisation boursière : 46,35 milliards €
STARBUCKS
Siège : Washington, États-Unis
Capitalisation boursière : 52,14 milliards €
TIME WARNER
Siège : New York, États-Unis
Capitalisation boursière : 54,94 milliards €
HONDA MOTOR
Siège : Tokyo, Japon
Capitalisation boursière : 50,70 milliards €
FORD MOTOR
Siège : Michigan, États-Unis
Capitalisation boursière : 60,13 milliards €
Ford
NIKE
Siège : Oregon, États-Unis
Capitalisation boursière : 61,40 milliards €
EBAY
Siège : Californie, États-Unis
Capitalisation boursière : 66,2 milliards €
BMW GROUP
Siège : Munich, Allemagne
Capitalisation boursière : 77,72 milliards €
VODAFONE
Siège : Berkshire, Angleterre
Capitalisation boursière : 90,33 milliards €
MCDONALD'S
Siège : Illinois, États-Unis
Capitalisation boursière : 90,34 milliards €
 
BNP PARIBAS
Siège : Paris, France
Capitalisation boursière : 91,93 milliards €


VOLKSWAGEN GROUP
Siège : Wolfsbourg, Allemagne
Capitalisation boursière : 103,54 milliards €


PEPSICO
Siège : New York, États-Unis
Capitalisation boursière : 117,64 milliards €

 

WALT DISNEY
Siège : Californie, États-Unis
Capitalisation boursière : 133,27 milliards €


AMAZON.COM
Siège : Washington, États-Unis
Capitalisation boursière : 146,92 milliards €





 FACEBOOK
Siège : Californie, États-Unis
Capitalisation boursière : 148,91 milliards €



COCA-COLA

Siège : Géorgie, États-Unis
Capitalisation boursière : 157,3 milliards €

 


CHINA CONSTRUCTION BANK
Siège : Beijing, Chine
Capitalisation boursière : 162,61 milliards €

 


SAMSUNG ELECTRONICS
Siège : Gyeonggi-do, Corée du Sud
Capitalisation boursière : 173,9 milliards €

 


HSBC
Siège : Londres, Angleterre
Capitalisation boursière : 179,6 milliards €

 


TOYOTA MOTOR
Siège : Toyota, Japon
Capitalisation boursière : 180,53 milliards €



VERIZON COMMUNICATIONS
Siège : New Jersey, États-Unis
Capitalisation boursière : 184,45 milliards €


ICBC
Siège : Beijing, Chine
Capitalisation boursière : 201,13 milliards €

 

ROYAL DUTCH SHELL
Siège : La Hague, Pays-Bas
Capitalisation boursière : 218,3 milliards €

 

NESTLÉ
Siège : Vevey, Suisse
Capitalisation boursière : 223,43 milliards €

 Nestle

WAL-MART
Siège : Arkansas, États-Unis
Capitalisation boursière : 231,17 milliards €

 

GENERAL ELECTRIC
Siège : Connecticut, États-Unis
Capitalisation boursière : 242,04 milliards €

 

WELLS FARGO
Siège : Californie, États-Unis
Capitalisation boursière : 243,75 milliards €

 

MICROSOFT
Siège : Washington, États-Unis
Capitalisation boursière : 320,63 milliards €


GOOGLE
Siège : Californie, États-Unis
Capitalisation boursière : 356,67 milliards €


APPLE
Siège : Californie, États-Unis
Capitalisation boursière : 450,38 milliards €

 

Tout ce que vous devez savoir sur le Coronavirus MERS.


 

Apparu en juin 2012 en Arabie Saoudite, le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) a provoqué le décès de 93 personnes dans le monde, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé. Son origine est animale.

Le coronavirus MERS, c’est quoi ?





Le coronavirus appartient à la famille des virus à ARN comme celui de la grippe ou du SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère). 


 

Il est présent dans de nombreuses espèces animales comme les chats, les oiseaux ou les bovins.
Ce nouveau virus est appelé coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) car il a été détecté, pour la première fois, en juin 2012 en Arabie Saoudite.


 

 Des anticorps dirigés contre le nouveau coronavirus MERS-CoV ont été retrouvés dans 100 % des 50 sérums prélevés chez les dromadaires du sultanat d'Oman. Ces animaux seraient très probablement à l'origine de l'épidémie humaine.

Combien de cas dans le monde ?



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Dans son dernier bilan du 24 avril 2014, l'OMS fait état de 254 cas confirmés dans le monde et de 93 décès (dont un en France) suite au coronavirus.
Le nombre de victimes serait toutefois plus élevé : l'Arabie Saoudite, particulièrement touchée, vient d'annoncer avoir enregistré 102 décès sur son territoire.
Le virus est très actif au Moyen-Orient, notamment Jordanie, Qatar, Emirats arabes unis. Jusqu'alors épargnée, l'Egypte a déclaré le 26 avril 2014 son premier cas de contamination.
D’autres cas ont aussi été détectés en Tunise, en Allemagne, au Royaume-Uni, en France et en Italie.




Tous ces cas sont le fait de personnes ayant séjourné dans la péninsule arabique ou de patients ayant été au contact de ces voyageurs.

Comment le nouveau coronavirus se propage-t-il ?


Le coronavirus MERS est d’origine animale. Il a été retrouvé chez des dromadaires et des chauve-souris. Initialement, les scientifiques pensaient qu’il se transmettait uniquement de l’animal à l’homme.
Cependant, depuis la contamination de patients hospitalisés par leur voisin de chambre et celles de membres du personnel de santé d'un hôpital saoudien en contact rapproché avec des malades infectés, l'OMS (Organisation mondiale de la santé) juge la transmission interhumaine avérée.
Le virus peut se transmettre via des gouttelettes de salive et par l’air. Le contact rapproché (d'un à deux mètres) et de longue durée est nécessaire.
Il semble particulièrement contagieux en mileu hospitalier : plusieurs cas de“transmission rapide entre personnes dans les services de dialyse” ont ainsi été constatés dans les hôpitaux saoudiens.


Quels sont les symptômes ?



L’incubation est plus ou moins muette et peut durer de vingt-quatre heures à quatorze jours. 


 

Les symptômes sont ceux d’une infection respiratoire : fièvre, frisson, toux, essoufflement, difficultés respiratoires, douleurs thoraciques.


                                


 

Dans des cas plus graves, le patient peut développer, notamment, une insuffisance rénale ou décompenser une maladie chronique.

Quel est le traitement ? Existe-t-il un vaccin ?


Il n’existe pas, à ce jour, de vaccin.
Actuellement, le traitement est uniquement symptomatique c’est-à-dire qu’il cible les symptômes des malades : antipyrétiques pour la fièvre, assistance respiratoire si nécessaire, oxygénothérapie, etc.
Des chercheurs mènent des tests avec des antiviraux afin de voir s’ils agissent sur ce virus. Ainsi, une combinaison de deux médicaments, couramment utilisés dans le traitement de l'hépatite C, s'est révélée efficace chez le singe. Pour les chercheurs, qui ont présenté leurs travaux en septembre 2013 dans la revue Nature Medecine, elle devrait "être envisagée comme thérapie précoce”.


Est-ce que le risque d’épidémie existe ?


La transmission interhumaine indique qu’une épidémie est possible. Toutefois, à ce jour, ce risque semble faible. Ce que confirme une étude de l'Institut Pasteur publiée en juillet 2013, selon laquelle le MERS-CoV n'aurait pas de potentiel pandémique.
Ce risque pourrait devenir important si le virus mute et s’il se transmet plus facilement d’homme à homme. Les scientifiques de Pasteur ont souligné les différences entre le nouveau coronavirus et le SRAS qui s'était adapté à l'espèce humaine en quelques mois.


Que faire si on revient d’un pays de la péninsule arabique ?


Si aucun symptôme n’est ressenti, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. En revanche, il est impératif de consulter un médecin si une fièvre supérieure à 38 °C ou un autre symptôme caractéristique (toux, difficultés à respirer) apparaît dans les dix jours suivant le retour.
 Sont considérés à risque par les autorités sanitaires les pays suivants :
    Arabie Saoudite
    Bahreïn
    Emirats arabes unis
    Irak
    Iran
    Israël
    Jordanie
    Koweït
    Liban
    Oman
    Qatar
    Syrie
    Territoires palestiniens
    Yémen.


Quelles précautions prendre si on doit voyager en Arabie Saoudite ?


Face à l'ampleur du développement du MERS-CoV sur son territoire, l'Arabie Saoudite a publié une liste de conditions pour les musulmans désireux de se rendre à La Mecque pendant les voyages de pélerinage.
Le pélerinage est ainsi déconseillé aux personnes âgées, à celles souffrant de maladies chroniques, aux femmes enceintes et aux enfants. Aucun visa ne leur sera accordé.
De son côté, l'OMS recommande à ces populations à risque "d'éviter les contacts rapprochés avec des animaux lorsqu’elles se rendent dans des fermes ou des élevages situés dans des zones où l’on sait que le virus peut être en circulation”.

La CIA investit dans le contrôle du climat

Pourquoi envahir un pays quand on peut l'inonder ou l'assécher pour le ruiner ? Les États-Unis semblent vouloir faire du temps une arme de destruction massive.

Contrôler le climat, la plus redoutable des armes ?

S'il pleut tout le temps, c'est la faute des Russes, ou des Américains. Il suffisait d'y penser. Et si c'était vrai ? En matière d'arme de destruction massive, rien ne vaut une bonne vieille catastrophe naturelle... ou pas ! Pour les responsables du renseignement américain, les outils de manipulation du climat, justement imaginés pour combattre les méfaits du changement climatique, peuvent aussi être utilisés dans le but inverse : inonder, assécher, ruiner... Et ils savent très bien de quoi ils parlent. Aujourd'hui, la CIA enquête sur le sujet, et a bien du mal à le cacher. Mais sa préoccupation est claire : la question n'est pas de savoir si l'on peut contrôler les éléments, mais qui est en mesure de le faire, et surtout comment s'assurer que les États-Unis l'emportent ?

Le nouveau projet Manhattan
En soi, l'idée de transformer la météo en arme n'est pas nouvelle. Déjà, en 1959, E. P. Jacobs imaginait dans un album de Blake & Mortimer, SOS météores, qu'un envahisseur manipulait le climat pour envahir l'Europe. Du côté de la CIA et de l'US Army : Alan Robock a rappelé deux précédents, tous deux non pas russes mais américains, d'utilisation du climat en tant qu'arme : lors de la guerre du Vietnam, les scientifiques américains ensemençaient les nuages pour que la pluie ralentisse l'avancée des troupes adverses. À Cuba, la CIA avait fait de même pour que la pluie ruine la récolte de canne à sucre, et donc l'économie de l'île. Depuis, le concept de bio-ingénierie a bien évolué : on parle même de réorienter les rayons du soleil vers tel ou tel point du globe via des miroirs placés en orbite. Le professeur Robock a aussi révélé un fait plus embarrassant : la CIA vient de financer un rapport consacré à la géo-ingénierie, publié la semaine dernière par l'Académie nationale des sciences américaine. Seul hic : elle ne voulait pas que cela se sache ! Mais dans la liste des "sponsors" de cette étude est justement mentionnée "la communauté de l'intelligence américaine". "La CIA est un financeur majeur des rapports de l'Académie nationale, souligne le professeur Robock, et je m'inquiète de ce que cela implique en termes de contrôle."

Le chercheur dit s'être senti effrayé après cet appel de la CIA : "J'ai appris beaucoup d'autres choses commises par la CIA au mépris des règles, et ce n'est pas comme cela que je voulais que l'on utilise mes impôts." Selon lui, "de telles recherches devraient être ouvertes et internationales, afin qu'il ne soit pas question qu'elles soient utilisées à des fins hostiles." Et si un nouveau projet Manhattan, cette fois météorologique et non nucléaire, existait bel et bien, la responsabilité des chercheurs dont les découvertes seraient ainsi utilisées serait tout aussi lourde que celle des concepteurs de la bombe atomique.