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La CIA investit dans le contrôle du climat

Pourquoi envahir un pays quand on peut l'inonder ou l'assécher pour le ruiner ? Les États-Unis semblent vouloir faire du temps une arme de destruction massive.

Contrôler le climat, la plus redoutable des armes ?

S'il pleut tout le temps, c'est la faute des Russes, ou des Américains. Il suffisait d'y penser. Et si c'était vrai ? En matière d'arme de destruction massive, rien ne vaut une bonne vieille catastrophe naturelle... ou pas ! Pour les responsables du renseignement américain, les outils de manipulation du climat, justement imaginés pour combattre les méfaits du changement climatique, peuvent aussi être utilisés dans le but inverse : inonder, assécher, ruiner... Et ils savent très bien de quoi ils parlent. Aujourd'hui, la CIA enquête sur le sujet, et a bien du mal à le cacher. Mais sa préoccupation est claire : la question n'est pas de savoir si l'on peut contrôler les éléments, mais qui est en mesure de le faire, et surtout comment s'assurer que les États-Unis l'emportent ?

Le nouveau projet Manhattan
En soi, l'idée de transformer la météo en arme n'est pas nouvelle. Déjà, en 1959, E. P. Jacobs imaginait dans un album de Blake & Mortimer, SOS météores, qu'un envahisseur manipulait le climat pour envahir l'Europe. Du côté de la CIA et de l'US Army : Alan Robock a rappelé deux précédents, tous deux non pas russes mais américains, d'utilisation du climat en tant qu'arme : lors de la guerre du Vietnam, les scientifiques américains ensemençaient les nuages pour que la pluie ralentisse l'avancée des troupes adverses. À Cuba, la CIA avait fait de même pour que la pluie ruine la récolte de canne à sucre, et donc l'économie de l'île. Depuis, le concept de bio-ingénierie a bien évolué : on parle même de réorienter les rayons du soleil vers tel ou tel point du globe via des miroirs placés en orbite. Le professeur Robock a aussi révélé un fait plus embarrassant : la CIA vient de financer un rapport consacré à la géo-ingénierie, publié la semaine dernière par l'Académie nationale des sciences américaine. Seul hic : elle ne voulait pas que cela se sache ! Mais dans la liste des "sponsors" de cette étude est justement mentionnée "la communauté de l'intelligence américaine". "La CIA est un financeur majeur des rapports de l'Académie nationale, souligne le professeur Robock, et je m'inquiète de ce que cela implique en termes de contrôle."

Le chercheur dit s'être senti effrayé après cet appel de la CIA : "J'ai appris beaucoup d'autres choses commises par la CIA au mépris des règles, et ce n'est pas comme cela que je voulais que l'on utilise mes impôts." Selon lui, "de telles recherches devraient être ouvertes et internationales, afin qu'il ne soit pas question qu'elles soient utilisées à des fins hostiles." Et si un nouveau projet Manhattan, cette fois météorologique et non nucléaire, existait bel et bien, la responsabilité des chercheurs dont les découvertes seraient ainsi utilisées serait tout aussi lourde que celle des concepteurs de la bombe atomique.

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