Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Les SDF du Royaume Uni.




media


Quoi qu’il en soit, le nombre réel des sans-abris est beaucoup plus élevé que celui qui provient des statistiques officielles ; au Royaume Uni, on estime que près de 2 millions de personnes sont des sans-abris soit 'non répertoriés' soit 'cachés', qui trouvent un lit chez leurs amis ou dans des logements surpeuplés et non recensés.


Les SDF indésirables à Londres

 Au Royaume-Uni, le nombre de SDF est en forte hausse. A Londres, par exemple, leur nombre a plus que doublé passant de 3.500 en 2010 à 7.500 en 2015.

Au Royaume-Uni, le nombre de SDF est en forte hausse. A Londres, par exemple, leur nombre a plus que doublé passant de 3 500 en 2010 à 7 500 en 2015.

En plus de lutter pour leur survie, certains SDF interrogés ont fait part d’un sentiment d’abandon de la part de la police lorsqu’ils allaient déposer plainte au commissariat. Certains SDF sont bien plus susceptibles d’être victime de violences, d’abus sexuels et d’intimidations qu’une personne lambda. C’est un constat terrifiant et cela prouve qu’il faut aider les gens avant qu’ils ne se retrouvent dans cette situation d’extrême précarité.

Quelques astuces efficaces pour nettoyer le cuir en toute sécurité.

Tout le monde possède au moins une pièce en cuir ! Qu’il s’agisse d’un pantalon, d’un sac, d’un fauteuil ou d’une autre pièce, le cuir est presque partout. Mais savez-vous comment le nettoyer afin de l’entretenir et de prolonger sa durée de vie ? Non ? Alors, voici quelques astuces efficaces qui fonctionnent à tous les coups pour vous aider.
Résultat de recherche d'images pour "Quelques astuces efficaces pour nettoyer le cuir en toute sécurité."

La crème hydratante

Prenez un linge doux ou du coton et imbibez-le légèrement de crème hydratante ou d’un lait démaquillant. Attention, ne frottez pas le cuir, effectuez de légers mouvements circulaires, mais n’insistez pas sur la matière, car cela risque de l’abîmer. Ensuite, prenez un linge doux propre et imbibez-le de lait de toilette pour bébé. Passez à nouveau sur le cuir et il sera propre et nourrit.
Afficher l'image d'origine
Si votre cuir sent la transpiration, vous pouvez ajouter quelques gouttes de vinaigre au démaquillant lorsque vous nettoyez votre cuir.

Le savon de Marseille

Prenez une éponge douce et imprégnez-la d’eau chaude et de savon de Marseille. Lavez votre cuir et n’oubliez pas de le rincer avec un tissu doux imbibé d’eau chaude.
Afficher l'image d'origine
Une petite astuce ? Peu importe la manière dont vous lavez votre cuir, testez celle-ci sur une zone cachée de la pièce à l’aide d’un coton-tige afin de vérifier si votre cuir ne fait pas de mauvaise réaction.

La peau de banane

Après avoir mangé une banane, ne jetez pas la peau ! Prenez votre peau de banane et frottez l’intérieur sur le cuir afin de le nettoyer. Après avoir effectué des mouvements circulaires sur toute la surface de votre cuir, prenez un chiffon et polissez le cuir.
Résultat de recherche d'images pour "Quelques astuces efficaces pour nettoyer le cuir en toute sécurité.avec peau de banane"

La glycérine

Si vous avez un savon à la glycérine, imbibez un chiffon d’eau chaude et de savon afin de nettoyer le cuir. Sans oublier de le polir avec de l’eau chaude par la suite.
Afficher l'image d'origine
Vous pouvez également utiliser de la glycérine classique. Appliquez-en sur un chiffon doux propre et tamponnez le cuir. N’effectuez pas de mouvements circulaires.

Le blanc d’œuf

Prenez des blancs d’œufs et battez-les en neige. Appliquez-en sur un chiffon doux et nettoyez votre cuir en effectuant de légers mouvements circulaires. Laissez sécher et votre cuir sera lustré, brillant et propre !
Afficher l'image d'origine
Ceci ne sont que cinq exemples, mais il existe encore un tas d’autres astuces de grand-mères pour nettoyer le cuir : talc, eau chaude, huile de lin, pierre d’argile, etc.
Avec ces quelques astuces, votre cuir sera propre, brillant et il restera en bon état bien plus longtemps 

Le Maroc


Situation géographiquePays d’Afrique du Nord, ouvert sur la Méditerranée au Nord et sur l’Océan Atlantique à l’Ouest, dont les frontières sont limitées à l’Est par l’Algérie et au Sud par la Mauritanie. La superficie du Maroc est 710 000 km².
Capitale : Rabat (1 880 000 habitants)
Régime politique : Monarchie constitutionnelle
Démographie
Population : 32 521 000 habitants
Densité : 72,83 hab./km²
Indice de fécondité : 2, 7
Croissance démographique : + 1,02 %
Espérance de vie : Femmes : 72,5 ans - Hommes : 68,9 ans
Société
Langues : Arabe (officielle), Berbère (plusieurs dialectes), Français
Religion : musulmans (99 %)
Alphabétisation : 67,08 %
Développement humain : 129ème /187 pays ( PNUD 2014)
Economie
Monnaie : dirham
Croissance : 4,4 % ( 2014)
Inflation : 1,6 %
PIB par habitant : 3392 $ /hab.
Dette publique : 66,4 % du PIB
Chronologie
2 mars 1956 : déclaration franco-marocaine confirmant la reconnaissance de l’indépendance du Maroc et mettant fin au protectorat français.
1961 : Hassan II devient roi du Maroc en mars, succédant à son père Mohammed V, décédé le 16 février.
1962 : la Constitution approuvée par référendum en décembre, instaurant un système parlementaire bicaméral et interdisant tout système de parti unique. Suivront d’autres révisions constitutionnelles, renforçant les pouvoirs du roi.
1975 : « marche verte » de 350 000 Marocains en novembre, à l’appel du roi, en direction du Sahara occidental pour marquer l’appartenance du territoire au royaume.
1976 : proclamation en février par le Front Polisario de la République arabe sahraouie démocratique (RASD).
1991 : entrée en vigueur du cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario en septembre et déploiement de la MINURSO (Mission des Nations Unies pour l’Organisation d’un référendum au Sahara occidental) chargée de veiller à son respect.
1999 : décès du roi Hassan II en juillet. Son fils Mohammed VI lui succède.
2007 : élections législatives en septembre avec la victoire des conservateurs du parti Istiqlal.
Abbas El Fassi est nommé Premier ministre.
2009 : élections municipales en juin avec la victoire du Parti Autenthicité et Modernité (PAM), nouvel entrant sur la scène politique marocaine, fondé en 2008.
2010 : démantèlement  en novembre par les forces marocaines du camp de Gdim Izik, près de Lâayoune, chef-lieu du Sahara occidental, faisant plusieurs morts et de nombreux blessés. Discussions informelles entre le Front Polisario et le Maroc sur l'avenir du Sahara occidental qui se concluent sans avancée probante.
2011
Février
: manifestations dans plusieurs villes pour réclamer la démocratisation du pays.
13 mars : une manifestation pour des réformes est violemment réprimée à Casablanca.
28 avril : un attentat dans un café de la place Djemaa el-Fna, à Marrakech, fait 16 morts.
1er juillet : un référendum pour adopter le projet de nouvelle Constitution reçoit 98 % de "oui".
25 novembre : victoire des islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) aux élections législatives. Quelques jours plus tard, le secrétaire général du PJD, Abdelilah Benkirane, est nommé Premier ministre.
2013 : début août, manifestations pour protester contre la grâce royale accordée à un pédophile espagnol, Daniel Galvan Vina. La grâce sera annulée le 4 août.
2014
25 avril : des journalistes et des militants des droits de l’Homme créent à Rabat "Freedom Now" ou "Comité pour la protection de la liberté de la presse et d’expression".
30 avril : le gouvernement décide d'un relèvement du salaire minimum dans la fonction publique à 3.000 dirhams (environ 270 euros), et d'une augmentation progressive de
10 % dans le secteur privé, à partir de juillet, après de longues négociations avec les syndicats. Le lendemain, plus de 10.000 personnes manifestent à Rabat et à Casablanca pour réclamer d'autres avancées sociales.
14 mai : six Marocains, accusés notamment « d'homosexualité », sont condamnés à des peines allant jusqu'à trois ans de prison.
24 juin : manifestation devant le Parlement contre le Premier ministre Abdelilah Benkirane qui a ouvertement regretté l'évolution de la société marocaine, fustigeant "le modèle européen" et louant le "rôle sacré" de la femme au foyer.
11 juillet : au moins 23 personnes meurent dans l'effondrement d'immeubles d'habitation à Casablanca.
8 octobre : inauguration du musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain (MMVI), "premier musée d'envergure construit par le Maroc depuis l'indépendance".
11 novembre : la Confédération africaine de football décide de retirer l'organisation de la CAN-2015 (17 janvier-8 février) au Maroc et de disqualifier sa sélection pour l'épreuve. Le royaume avait sollicité en vain un report de cet événement sportif en raison de
l'épidémie d'Ebola. L'événement aura lieu en Guinée Equatoriale.
2015
7 mars : le film "Fièvres", du réalisateur Hicham Ayouch, remporte au Burkina Faso l'Etalon d'or du Fespaco.
27 mars : le roi Mohammed VI inaugure à Rabat un institut de formation d'imams marocains et étrangers visant à promouvoir un islam "tolérant", un pilier de la stratégie du Maroc contre "l'extrémisme religieux", en pleine lutte contre le jihadisme.
12 mai : la démission de trois ministres ouvre la voie à un remaniement gouvernemental.
13 juillet : lancement par le gouvernement de la Fondation Mohammed VI des oulémas d’Afrique, dédiée à la formation des imams africains et à la promotion d’un islam tolérant sur le continent.
29 août : Eric Laurent et Catherine Graciet, deux journalistes français soupçonnés d'avoir fait chanter le roi Mohammed VI, sont mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Ils sont poursuivis pour « chantage » et « extorsion de fonds ». Leur interpellation remonte au 27, alors qu'ils sortaient d'un restaurant parisien avec un représentant du Maroc qui leur aurait remis une importante somme d'argent. Les principaux concernés, eux, parlent d'un coup monté.
4 septembre : le parti islamiste Justice et développement (PJD) remporte les élections régionales avec 25 % des sièges.
21 septembre : la SNCF est condamnée à payer près de 150 millions d'euros de dommages et intérêts à plusieurs centaines de Chibanis. Quelque 800 cheminots marocains ou d'origine marocaine avaient assigné la compagnie de chemins de fer française pour discrimination. Ils affirmaient avoir été lésés dans leurs carrières et leurs retraites.
25 décembre : deux morts et des dizaines de blessés à la frontière hispano-marocaine, dans la petite enclave de Ceuta, où plus de 300 migrants africains ont tenté de rejoindre l'Espagne, à la nage ou en escaladant la clôture frontalière.
2016
4 janvier : 200 migrants sub-sahariens tentent une nouvelle fois le franchissement de la frontière hispano-marocaine. Au moins trois d'entre eux ont trouvé la mort pendant l'opération, selon le bilan provisoire de l'ONG espagnole Caminando Fronteras.
12 janvier : manifestation de près de 2.000 personnes affiliées aux quatre principaux syndicats contre l'adoption de projets de lois sur une réforme des retraites.

Qu’est-ce qu’un bidonville ? une favela ? un slum ? Comunas ? baraccopoli ? kampungs ? tugurios ?

Les données sur les populations vivant dans des bidonvilles sont par
définition très approximatives, pour plusieurs raisons. D’une part, les
recensements y sont très rares et opérés dans des conditions difficiles.
D’autre part, un bidonville est défini comme « une zone urbaine très
densément peuplée, caractérisée par un habitat inférieur aux normes et
misérable », par les Nations Unies, mais il n’existe pas une coupure nette
dans les formes d’habitat dignes et indignes, mais des logements plus ou
moins insalubres.







La Russie compte de plus en plus de pauvres

La pauvreté est en hausse en Russie et risque de toucher plus d’un tiers de la population en 2016.


Un enfant donne de l’argent à une vieille dame en train de mendier. Parc Tsaritsino, Moscou. Crédits photo : Célia Mascré
 UN ENFANT DONNE DE L’ARGENT À UNE VIEILLE DAME
 EN TRAIN DE MENDIER.

Le nombre de familles pauvres a presque doublé en Russie au cours de l’année passée. Les enquêtes publiées fin décembre par l’institut de sondage VTsIOM en témoignent : la part des familles ayant à peine assez de revenus pour se nourrir et de celles qui ne le peuvent même plus a atteint 39 % fin 2015, soit 17 % de plus qu’à la fin 2014.
Parallèlement, la part de la classe moyenne – les gens pouvant se permettre de gros achats, telle l’acquisition de meubles ou d’une voiture – s’est réduite de 27 à 16 %.
Enfin, l’image est complétée par une dernière donnée : la part des gens aisés, ceux qui peuvent se permettre presque tout, s’est accrue, passant de 3 à 4 % de la population russe. Ainsi, la pauvreté regagne du terrain dans le pays, phénomène qui s’accompagne toujours d’un accroissement de l’inégalité des revenus.
« Cette crise sera la première, depuis 1998, à se répercuter aussi fortement sur le quotidien des Russes, assure Dmitri Bielooussov, expert du Centre d’analyse macroéconomique, expliquant : Autant la crise de 2008 n’avait pas entamé la prospérité, autant nous allons connaître, en 2016 et 2017, une réelle chute des revenus et des salaires. Ce sera la première fois depuis vingt ans qu’une crise touchera autant de simples citoyens. » Les calculs préliminaires du Centre d’analyse macroéconomique prévoient une baisse de 9 % des salaires réels à la fin 2015, qui pourrait se poursuivre en 2016, à hauteur de 3,4-3,8 %. La population pourrait par conséquent voir ses revenus réels chuter de 2,5 à 3%.
Cette baisse des revenus est pour beaucoup liée à l’inflation. Cette dernière, dans son entêtement à ne pas suivre les prévisions optimistes de la Banque centrale, risque d’augmenter de nouveau en 2016. « On ne sait pas bien quelle sera la dynamique de l’inflation en 2016, admet Anton Stroutchenevski, économiste chez Sberbank CIB. Il y a encore un mois, on tablait sur une inflation à hauteur de 7 %. Mais la nouvelle chute du cours du pétrole en décembre-janvier a provoqué une nouvelle dévaluation du rouble, qui pourrait, à son tour, entraîner une inflation encore plus élevée. »
Selon l’analyste, si le prix du pétrole se stabilise au moins à 30 dollars le baril et que le taux de change du rouble se maintient dans une fourchette de 75 à 80 roubles pour un dollar, l’inflation ne devrait pas dépasser la barre des 10 %.
Pour autant, le fait que les Russes deviennent visiblement de plus en plus pauvres ne semble pas inquiéter outre mesure le gouvernement : les ministres des finances et du développement économique ont profité du forum économique Gaïdar, qui s’est tenu entre le 13 et le 15 janvier, pour annoncer des coupes budgétaires. De son côté, le Premier ministre Dmitri Medvedev a appelé à une évolution de l’aide sociale vers un système plus « ciblé ».
« Ce qu’on appelle l’aide ciblée est juste une façon de faire des économies sur le dos de la population, tout en proclamant que l’on continue de respecter les obligations sociales », dénonce Lioudmila Rjanytsina, économiste émérite de la Fédération de Russie et collaboratrice scientifique de l’Institut d’économie de l’Académie russe des sciences.
La spécialiste rappelle que l’aide sociale ciblée a été introduite en Russie dans les années 1990, sur les recommandations de la Banque mondiale. Constatant l’inefficacité de cette approche, le gouvernement y avait toutefois renoncé par la suite, recommençant d’aider non des individus isolés mais des catégories de citoyens (retraités, orphelins, handicapés, etc.). « Ce qui avait sauvé la population socialement faible », souligne l’économiste.
Mais dans les années 2005-2006, Moscou a transféré la charge de l’aide sociale à la population vers les régions, qui n’avaient, pour la plupart, pas les moyens de l’assumer. « Et aujourd’hui, les pouvoirs régionaux se retrouvent dans une situation particulièrement difficile, explique Lioudmila Rjanytsina : ils ont contracté des dettes considérables auprès du pouvoir fédéral et sont contraints de réduire leurs programmes d’aide. »
Faire des économies ne mènera pas au développement, martèle Lioudmila Rjanytsina, convaincue que le gouvernement doit recourir à d’autres méthodes.
« Pour l’heure, il faut absolument calmer les ardeurs du ministère des finances, insiste-t-elle. C’est le cerveau qui doit commander le porte-monnaie, et non l’inverse ! Le plus important, actuellement, est de ne pas accepter que les salaires soient revus à la baisse pour sortir de la crise. »
L’économiste rappelle que le salaire minimum a été relevé cette année jusqu’à 6 400 roubles mensuels, ce qui ne représente que la moitié du minimum vital (9 662 roubles, soit 112 euros au 25/01/16) « À quoi bon travailler pour un tel salaire ?, interroge-t-elle. Et quel intérêt les employeurs auraient-ils à moderniser leurs équipements et accroître le rendement du travail, alors qu’ils peuvent faire des bénéfices sur ce si faible coût de la main-d’œuvre ? »
Pour sortir de la crise, l’économiste propose l’introduction d’une taxe sur les très hauts revenus. « On pourrait augmenter de 2 % l’impôt sur les revenus des particuliers gagnant plus d’un million de roubles par mois. 70 % des actifs du pays sont aux mains d’1 % des citoyens russes ! », déplore-t-elle.
Pourtant, toutes ces mesures exigeraient que le gouvernement décide de lutter de façon coordonnée contre l’accroissement de la pauvreté – et aujourd’hui, celui-ci ne semble même pas estimer qu’une telle lutte soit nécessaire.



Comment un avion vole-t-il?




Madagascar

media




Situation géographique Située dans l’océan Indien, à 400 km au sud-est des côtes africaines, Madagascar est la quatrième île la plus vaste du monde avec une superficie de 587 000 km².
Capitale : Antananarivo : 1,8 million d'habitants
Régime politique : République
Démographie
Population : 22,2 millions d'habitants
Densité : 37,98 hab./km²
Indice de fécondité
: 4,5
Croissance démographique : 2,79 %
Espérance de vie : Femmes : 65,8 ans - Hommes : 62,8 ans
Société
Ethnies : Merinas, Betsimitsarakas, Betsileos, Sakalavas...
Langues : français (officielle), malgache, anglais
Religions : religions traditionnelles 52 %, catholiques 41 %, musulmans 7 %
Taux d’alphabétisation
: 64,4 %
Développement humain : 155e / 187 pays (PNUD 2014)
EconomieMonnaie : ariary malgache
Croissance : 2 % (2013)
Inflation
: 6,35 %
PIB/hab. : 447 $
Chronologie
1960 : proclamation de l'indépendance, sous la présidence de Philibert Tsiranana.
1972 : soulèvement populaire contre le régime. Le général Gabriel Ramanantsoa prend le pouvoir.
1975 : coup d'Etat du colonel Richard Ratsimandrava, assassiné six jours plus tard. Didier Ratsiraka, nommé chef de l'Etat par l'armée, instaure la IIe République et un régime de parti unique.
1991 : mouvement de contestation contre le pouvoir. La «Marche de la liberté» du 10 août est brutalement réprimée. Un gouvernement de transition est mis en place.
1993 : Albert Zafy remporte l'élection présidentielle et instaure la IIIe République.
1996 : destitution d'Albert Zafy par l'Assemblée nationale.
1997 : vainqueur de l'élection présidentielle, Didier Ratsiraka revient au pouvoir.
2002 : opposé à Didier Ratsiraka à l'élection présidentielle, Marc Ravalomanana estime l'avoir emporté et se proclame président. Reconnu vainqueur, il est investi après plusieurs mois de crise politique et d'affrontements entre les deux camps. Didier Ratsiraka s'exile en France, son retour est autorisé en juin 2011.
2006 : Marc Ravalomanana est réélu dès le premier tour.
2008 : en décembre, début de l'affrontement entre les factions de Marc Ravalomana et celles du maire d’Antananarivo, Andry Rajoelina, suite à la fermeture par le Gouvernement de la chaîne de télévision appartenant à ce dernier.
2009 : en janvier, manifestations des partisans d'Andry Rajoelina. La répression et les violences font plus d’une centaine de morts. En mars, démission de Marc Ravalomanana, Andry Rajoelina se proclame "président de transition" avec le soutien de l'armée. En décembre, proclamation de la IVe République de Madagascar par Andry Rajoelina, à l’issue d’un référendum constitutionnel.
2010 : en avril, échec de la rencontre d'Andry Rajoelina et des trois anciens présidents à Prétoria. En août, signature entre Andry Rajoelina et une centaine de partis politiques malgaches d'un accord de sortie de crise prévoyant la tenue d'une élection présidentielle en mai 2011, qui n'a finalement pas lieu. Le 28 août, condamnation par contumace de Marc Ravalomanana aux travaux forcés à perpétuité.
2011 : en juin, la SADC, mandatée par l’Union Africaine, approuve la "feuille de route" de sortie de crise. Elle demande le retour des réfugiés politiques, dont l'ex-président Marc Ravalomanana, et confirme Andry Rajoelina comme "président de transition" jusqu'à la prochaine élection présidentielle, repoussée à 2012. Le 22 novembre, nomination d'un gouvernement d'union nationale, incluant les mouvances des anciens présidents Ravalomanana et Zafy et, deux jours plus tard, l'ancien président Didier Ratsiraka rentre au pays après neuf ans d'exil.
2012 : le 14 avril, adoption d'une loi d'amnistie générale excluant Marc Ravalomanana.
2013
15 janvier
: Andry Rajoelina renonce temporairement à se présenter à la présidentielle.
3 mai : la Cour électorale spéciale publie la liste des candidats, dont celles d'Andry Rajoelina et de Lalao Ravalomanana, épouse de Marc Ravalomanana, avant finalement de les rejeter le 23 août.
20 décembre : élection présidentielle : l'ancien ministre des Finances Hery Rajaonarimampianina remporte le second tour avec 53,5 % des suffrages, contre 46,5 % à Jean-Louis Robinson. Les partisans de ce dernier ont déposé près de 300 recours devant l'instance judiciaire électorale.
2014
17 janvier
: la Cour électorale spéciale valide la victoire de Hery Rajaonarimampianina à la présidentielle.
27 janvier : Madagascar réintègre l'Union africaine, après cinq ans de mise à l’écart.
18 février : Christine Razanamahasoa, ancienne ministre de la Justice et proche du président de transition Andry Rajoelina, est élue présidente de l’Assemblée nationale.
13 mars : le FMI annonce reconnaître les nouvelles autorités de Madagascar, renouant avec le pays pour la première fois depuis le coup d'Etat de 2009.
11 avril : le docteur Kolo Christopher Laurent Roger, candidat malheureux à la présidentielle, est nommé Premier ministre. La passation de pouvoir a lieu le 16.
3 mai : à la présidence de l'Assemblée nationale, Jean Max Rakotomamonjy succède à Christine Razanamahasoa.
14 mai : la protection civile malgache déclenche une opération humanitaire d'urgence dans le sud-est de l'île où des troubles violents ont éclaté après des vols de zébus, faisant près de 20 morts et quelque 3 000 déplacés.
11 juillet : l'ancien président Marc Ravalomanana, en exil en Afrique du Sud depuis son  renversement en 2009, accepte de se soumettre à la justice malgache pour se défendre des accusations portées contre lui.
21 juillet : le directeur du journal Madagascar Matin, Jean Luc Rahaga, et son rédacteur en chef, Didier Ramanoelina, sont placés sous mandat de dépôt, accusés d'avoir publié une lettre d'un lecteur qui dénonce le trafic de bois de rose et dans laquelle sont cités trois ministres : Environnement, Commerce et Infrastructures, de l’Equipement et de l’Aménagement du territoire. Ils seront libérés quatre jours plus tard.
13 octobre : l'ancien président Marc Ravalomanana, en exil en Afrique du Sud depuis 2009, rentre au pays, prenant apparemment de court les autorités qui l'ont immédiatement arrêté.
11 novembre : endémique dans les campagnes, la peste fait son apparition dans la capitale, avec la mort d'une jeune femme. La saison de résurgence de la peste se situe entre septembre et mars : jusqu'ici la peste a fait 40 victimes sur les 119 cas recensés dans toute l'île.
12 décembre : le Parlement vote, à l'unanimité, un projet de loi sur l'abolition de la peine de mort.
2015
24 mars : émeutes à Mananjary, les gendarmes tirent sur la foule en colère : 5 morts.
2 mai : le président Hery Rajaonarimampianina annonce publiquement la fin de la mise en résidence surveillée de l'ancien président Marc Ravalomanana, dans le cadre de la réconciliation nationale.
26 mai : une très large majorité des députés vote la destitution de Hery Rajaonarimampianina, accusé d'avoir violé la Constitution du pays et d'incompétence.
18 septembre : la justice malgache valide l'élection de la maire d'Antananarivo, Lalao Ravalomanana.
28 septembre : la douane réalise une saisie record de 771 bébés tortues menacées d'extinction qui étaient cachées dans une valise, en partance pour Maurice et à destination finale de Kuala Lumpur en Malaisie.
12 décembre : partis et associations manifestent au sujet des îles Eparses, situées autour de Madagascar et administrées par la France. Ces territoires dont le sous-sol pourrait être riche en hydrocarbures sont revendiqués par Madagascar depuis plus de 30 ans.
17 décembre : l'Assemblée nationale vote un texte attendu depuis longtemps : la loi sur la lutte contre le trafic de bois de rose. Des millions de dollars sont en jeux dans ce trafic mafieux de bois précieux à destination de la Chine. Le vote de cette loi avait été plusieurs fois ajourné, sous la pression de certains députés liés au trafic, car elle prévoit un alourdissement des peines et la création d'un tribunal spécial pour juger les trafiquants et leurs complices.
29 décembre : élections sénatoriales. Les résultats seront publiés le 22 janvier 2016, donnant une large vitoire au parti du président, le HVM, qui remporte 34 des 42 sièges.

Le grand pèlerinage musulman de Bishwa Ijtema au Bangladesh

Chaque année, au Bangladesh, a lieu le plus grand pèlerinage musulman du monde après celui de La Mecque, la Bishwa Ijtema, qui dure trois jours. Pour l'événement, des millions de fidèles affluent de tout le pays et de l'étranger. Bus, bateaux et trains sont pris d'assaut. Les voyageurs sont partout et certains prennent des risques inconsidérés : entassés sur les toits, accrochés aux fenêtres et aux essieux... Une foule quasi ingérable dans un pays aux infrastructures obsolètes.









 








Comment se forme la foudre ? A quelle vitesse évolue la foudre ?

Tout savoir sur la fièvre Zika.

Alors que le virus Zika met le Brésil et la Martinique en alerte, l'inquiétude grandit quant à sa propagation dans le reste du monde. 

Définition : qu'est ce que le virus Zika ? 

Le virus Zika est un arbovirus, membre de la famille des Flaviviridae, du genre Flavivirus. Il fait partie du même groupe de virus que la dengue et le chikungunya. Il tient son nom de la forêt Zika en Ouganda, où il a été identifié pour la première fois en 1947. Il a été isolé chez l'homme dans les années 1970. La première épidémie du virus Zika répertoriée date de 2007 sur les îles Yap en Micronésie.  


Symptômes de la fièvre Zika


 Le virus Zika est symptomatique dans moins d'un cas sur cinq (environ 18% des cas). Lorsque l'infection se déclare, on parle alors de fièvre Zika. Ses symptômes sont proches de ceux des autres arboviroses, rendant son diagnostic difficile : 
- éruption cutanée maculo-papuleuse se déclarant dans un premier temps au niveau du visage puis sur le reste du corps 

         

- fièvre élevée (plus de 38,5°C) qui s'accompagne de puissantes céphalées (mal de tête)  

       Résultat de recherche d'images pour "constipation fièvre zika"

- conjonctivite 


- arthrite ou douleurs articulaires (arthralgie)  


- douleurs musculaires (myalgie)


- symptômes ponctuels variés (vomissement, diarrhée, constipation, étourdissement...)

 

Le temps d'incubation de la fièvre Zika est inconnu. Les symptômes disparaissent généralement au bout d'une semaine.  
Pour le moment, aucun cas de décès par virus Zika n'a été répertorié. Pour autant, des complications sérieuses ont été constatées. Il s'agit de complications neurologiques et de malformations chez le fœtus de femmes enceintes malades. 


Modes de transmission du virus Zika 

Le virus Zika se transmet principalement par la piqûre d'un moustique. Il s'agit d'une transmission vectorielle : après avoir piqué un être infecté, le moustique porte le virus sans être affecté et le transmet ensuite à la piqûre suivante.

  
De nombreux moustiques ont été identifiés comme porteurs du virus. A l'image du Aedes aegypti, ils sont principalement répertoriés dans les zones tropicales. Cependant, des cas de propagation du virus Zika par Aedes albopictus, plus communément appelé moustique tigre et installé un peu partout dans le monde, ont été constatés. 


D'après les dernières études, le virus Zika peut également se transmettre par voie sexuelle. C'est un cas unique chez les Flavivirus.

Traitement de la fièvre Zika  

Il n'existe aucun traitement viral ou vaccin contre la fièvre Zika. Le traitement est donc exclusivement symptomatique. Il est principalement composé de paracétamol afin de lutter contre la fièvre et les douleurs. L'aspirine et l'ibuprofène sont en revanche proscrits car ils peuvent induire un syndrome hémorragique, comme c'est le cas pour la dengue ou le chikungunya.

Où en est le virus ? 

Initialement présent uniquement dans les régions tropicales d'Afrique et d'Asie, le virus Zika se propage et inquiète fortement les scientifiques. En 2015, pour la première fois, le virus a été isolé sur le continent américain, au Brésil. Il se serait introduit dans le pays lors de la Coupe de Monde de football en 2014. D'après le ministère de la santé, plus de 2.400 cas ont été détectés en décembre. 

Par ailleurs, une alerte sanitaire a été lancé début 2016 sur l'île de la Martinique. Douze cas ont été confirmés et plus de 150 autres sont suspectés. Les autorités redoutent une double épidémie avec la dengue.  

Pourquoi la toile d'araignée est-elle si solide ?

Une toile d’araignée se compose de fils de soie que l’arachnide génère à partir de glandes spéciales. Cette soie possède à la fois une solidité et une élasticité exceptionnelle. Unisciel et l’Université de Lille 1 nous expliquent, avec la série Kézako, les secrets des toiles d’araignées.

Les routes de l'enfer

On vous embarque sur les routes les plus dangereuses du monde avec des pentes raides, des éboulements tueuses, et les pires conditions météorologiques.

La cigogne noire

Cigogne noire (Linnaeus 1758) - Ciconia nigra

  • Ordre : Ciconiiformes
  • Famille : Ciconiidae
  • Genre : Ciconia
  • Taille : 0,95 à 1,00 m (envergure 1,45 à 1,55 m)
  • Poids : 2 à 3 kg
  • Longévité : 18 ans

Description de la cigogne noire

La cigogne noire est légèrement plus petite que sa cousine blanche, et se distingue par son plumage entièrement noir présentant des reflets verts et violacés, à l’exception du ventre, du bas de la poitrine, des axillaires et des sous-caudales qui sont blancs. Les plumes de la poitrine sont plus longues et s’érigent lors des parades nuptiales. Les pattes sont longues et rouges, de même que le bec qui est long, droit et pointu. Les yeux 
sont cernés par une zone de peau rouge également. Ledimorphisme sexuel n’est pas visible.

Habitat de la cigogne noire

Au contraire de la cigogne blanche, la cigogne noire préfère les secteurs arborés ou recouverts d’herbes hautes ainsi que les roselières à proximité des cours d’eau ou des marais. Elle préfère les zones humides. On la trouve aussi bien en plaine qu’à moyenne altitude dans toute l’Eurasie. Elle migre en Afrique et en Inde pour hiverner. Seule la population ibérique d’Estrémadure est sédentaire car elle s’est adaptée à la douceur du climat.

Comportement de la cigogne noire

La cigogne noire est moins sociable que sa cousine blanche et nidifie loin de ses semblables. Sa parade nuptiale diffère également de celle de la cigogne blanche. Elle consiste en des ondulations du cou, en un déploiement en éventail de la queue et en vols nuptiaux. L’oiseau claquète habituellement mais possède également une large gamme de vocalisations. C’est une grande migratrice capable de parcourir des milliers de kilomètres de son lieu de nidification, aux zones d’hivernage. Elle nidifie généralement en hauteur, au sommet d’un grand arbre ou sur un surplomb de falaise.

Reproduction de la cigogne noire

La cigogne noire réutilise le nid de l’année précédente qu’elle aura préalablement réaménagé, pour y pondre de trois à cinq œufs blancs. La couvaison est assurée par les deux parents et l’incubation dure entre 5 et 6 semaines. Les cigogneaux sont nourris par régurgitation et prennent leur envol au terme de 8 à 10 semaines après leur naissance. Ils atteignent leur maturité sexuelle au bout de 3 ans.

Régime alimentaire de la cigogne noire

La cigogne noire possède le même régime alimentaire que sa cousine blanche. Elle se nourrit d’insectes, de poissons, de mollusques, de crustacés, de petits reptiles et d’amphibiens, ainsi que de petits rongeurs ou de poussins.

Menaces sur la cigogne noire

La cigogne noire souffre également des bouleversements de ses lieux de nidification, de la disparition des zones humides, de l’usage intensif des pesticides, des collisions avec les lignes électriques et de la chasse dans les contrées d’hivernage. Les populations mondiales ne semblent pas en déclin car les mesures prises pour sauvegarder la cigogne blanche en Europe, ont profité à la noire.
Ci-dessous, quelques parcs et réserves où l’on peut observer la cigogne noire dans son milieu naturel.

La cigogne noire est plus farouche que sa cousine
la cigogne blanche, mais ne dédaigne pas jouer la star
 

Un signal radio mystérieux émis d'une autre galaxie

Un «sursaut radio rapide», dont la source est éloignée d'environ 5,5 milliards d'années-lumière, a été capté en temps réel pour la première fois par des scientifiques. Ces astrophysiciens australiens ont reçu ce signal sur les radiotélescopes de l'observatoire de Parkes, situé à 400 km à l'ouest de Sydney (devenu célèbre en juillet 1969 quand il a reçu les images transmises des premiers pas sur la Lune).
C'est en 2007 que les chercheurs du CSIRO, l'équivalent australien du CNRS, découvrent pours la première fois ce type de «sursaut radio rapide» dans les enregistrements de leurs télescopes. Mais ils ne l'avaient jamais capté en direct. C'est chose faite depuis le 14 mai dernier. Ces chercheurs australiens ont eu la chance de pouvoir observer ces sursauts d'ondes radio très brefs, mais très puissants, pendant quelques millisecondes seulement.

L'explosion d'une étoile ?


Et si les premières estimations sur leur origine pointent en direction de la constellation du Verseau, la cause de ces signals reste toujours mystérieuse, même si plusieurs pistes sont avancées. «Le radio burst pourrait être dû à l'explosion d'une étoile à neutron si gigantesque qu'elle aurait provoqué l'apparition d'un trou noir. C'est une hypothèse très excitante», estime Simon Johnston, du CSIRO. «Il pourrait avoir dégagé autant d'énergie en quelques millisecondes que ce que le Soleil produit en 24 heures», ajoute Mansi Kasliwal, un astrophysicien de l'Institution des Sciences de Carnegie à Washington, membre de l'équipe scientifique. 
«Ces ondes radio ont peut-être été créées il y a 5 milliards d'années-lumière, alors comment sont-elles parvenues jusqu'à notre télescope? Quelle matière ont-elles traversé? Nous ne savons pas de quoi est faite la matière entre deux galaxies, et ce signal radio pourrait nous aider à le découvrir», poursuit Simon Johnston. Pour Emily Petroff, l'astrophysicienne qui a dirigé l'équipe, l'événement à l'origine de ce signal est très certainement «monumental et cataclysmique». Et aujourd'hui, alors que l'étude vient d'être publiée (en anglais), les scientifiques tentent encore de percer le mystère de ce signal venu d'une autre galaxie.