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La marche de Honduriens vers les Etats-Unis


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Ils sont quelque 7 000 Honduriens à être partis de leur pays depuis une semaine pour marcher vers les Etats-Unis. Vendredi 19 octobre, ils ont forcé le passage à la frontière entre le Guatemala et le Mexique et ont poursuivi leur périple, continuant de défier le président américain, Donald Trump. Ce dernier a assuré que tout était prêt pour arrêter « l’assaut » de ces migrants, qui fuient la violence et la pauvreté dans leur pays.
Des migrants honduriens se préparent à traverser la Goascorán, le 18 octobre, afin d’entrer illégalement au Salvador et de rejoindre la caravane de migrants qui se dirige vers les Etats-Unis.


Des migrants honduriens se préparent à traverser la Goascorán, le 18 octobre, afin d’entrer illégalement au Salvador et de rejoindre la caravane de migrants qui se dirige vers les Etats-Unis.





Certains migrants passent par une forêt du sud-ouest du Honduras afin d’entrer au Guatemala. Depuis le 13 octobre, en réponse à un appel sur les réseaux sociaux, des miliers de migrants se sont rassemblés au départ du Honduraspour marcher vers les Etats-Unis en passant par le Guatemala et le Mexique.


Certains migrants passent par une forêt du sud-ouest du Honduras afin d’entrer au Guatemala. Depuis le 13 octobre, en réponse à un appel sur les réseaux sociaux, des miliers de migrants se sont rassemblés au départ du Honduraspour marcher vers les Etats-Unis en passant par le Guatemala et le Mexique.


La caravane de migrants honduriens à Chiquimula (Guatemala), le 17 octobre.


La caravane de migrants honduriens à Chiquimula (Guatemala), le 17 octobre.


Un homme protège son enfant à Hidalgo, une ville à la frontière entre le Guatemala et le Mexique. Jeudi 18 octobre, les autorités mexicaines étaient parvenues à bloquer la caravane.


Un homme protège son enfant à Hidalgo, une ville à la frontière entre le Guatemala et le Mexique. Jeudi 18 octobre, les autorités mexicaines étaient parvenues à bloquer la caravane.


Après avoir été arrêtés à la frontière mexicaine, des miliers de migrants se retrouvent coincés sur le pont entre la ville de Tecun Uman, au Guatemala, et celle d’Hidalgo, au Mexique, le 20 octobre.


Après avoir été arrêtés à la frontière mexicaine, des miliers de migrants se retrouvent coincés sur le pont entre la ville de Tecun Uman, au Guatemala, et celle d’Hidalgo, au Mexique, le 20 octobre.


Sur le pont d’Hidalgo, entre le Guatemala et le Mexique, une membre de la Croix-Rouge aide un homme à se mettre de la crème solaire, le 21 octobre.


Sur le pont d’Hidalgo, entre le Guatemala et le Mexique, une membre de la Croix-Rouge aide un homme à se mettre de la crème solaire, le 21 octobre.


Les migrants attendent pendant plusieurs jours sur le pont d’Hidalgo l’ouverture de la frontière mexicaine, le 20 octobre.


Les migrants attendent pendant plusieurs jours sur le pont d’Hidalgo l’ouverture de la frontière mexicaine, le 20 octobre.


Une femme fait un malaise sur le pont d’Hidalgo. Sous la chaleur et sans beaucoup d’eau, des migrants honduriens attendent afin de déposer une demande d’asile au Mexique pour continuer leur voyage vers les Etats-Unis.


Une femme fait un malaise sur le pont d’Hidalgo. Sous la chaleur et sans beaucoup d’eau, des migrants honduriens attendent afin de déposer une demande d’asile au Mexique pour continuer leur voyage vers les Etats-Unis.


Un policier mexicain distribue des repas aux migrants sur le pont d’Hidalgo le 20 octobre. Donald Trump a rappelé par un tweet que les migrants qui voulaient entrer aux Etats-Unis devait d’abord faire une demande d’asile au Mexique (le 20 octobre).


Un policier mexicain distribue des repas aux migrants sur le pont d’Hidalgo le 20 octobre. Donald Trump a rappelé par un tweet que les migrants qui voulaient entrer aux Etats-Unis devait d’abord faire une demande d’asile au Mexique (le 20 octobre).


Dans la ville de Tecun Uman, à la frontière mexicaine côté Guatemala, un homme porte un radeau de fortune, tandis que des migrants honduriens dorment, le 19 octobre.


Dans la ville de Tecun Uman, à la frontière mexicaine côté Guatemala, un homme porte un radeau de fortune, tandis que des migrants honduriens dorment, le 19 octobre.


Face à la frontière fermée sur le pont d’Hidalgo, entre le Mexique et le Guatemala, un groupe de migrants honduriens traverse le Suchiate à l’aide d’un radeau de fortune pour entrer illégalement au Mexique, le 20 octobre.


Face à la frontière fermée sur le pont d’Hidalgo, entre le Mexique et le Guatemala, un groupe de migrants honduriens traverse le Suchiate à l’aide d’un radeau de fortune pour entrer illégalement au Mexique, le 20 octobre.


Epuisés par la marche sous la chaleur et avec très peu d’eau, des migrants honduriens font demi-tour en empruntant des bus de la police guatemaltèque qui les ramènent à la frontière hondurienne, le 21 octobre.


Epuisés par la marche sous la chaleur et avec très peu d’eau, des migrants honduriens font demi-tour en empruntant des bus de la police guatemaltèque qui les ramènent à la frontière hondurienne, le 21 octobre.


Après avoir réussi à passer la frontière mexicaine, des migrants honduriens poursuivent leur chemin vers les Etats-Unis, aux environs de Tapachula, au Mexique, le 21 octobre.


Après avoir réussi à passer la frontière mexicaine, des migrants honduriens poursuivent leur chemin vers les Etats-Unis, aux environs de Tapachula, au Mexique, le 21 octobre.


A l’approche de la ville de Tapachula, au Mexique, des chauffeurs aident les migrants honduriens à arriver en ville, le 21 octobre.


A l’approche de la ville de Tapachula, au Mexique, des chauffeurs aident les migrants honduriens à arriver en ville, le 21 octobre.


Une fois arrivé à Tapachula, au Mexique, des migrants honduriens attendent pour recevoir de l’aide médicale, le 21 octobre. Malgré les efforts de la police mexicaine à la frontière pour essayer de les stopper, des milliers de personnes poursuivent leur marche vers les Etats-Unis.


Une fois arrivé à Tapachula, au Mexique, des migrants honduriens attendent pour recevoir de l’aide médicale, le 21 octobre. Malgré les efforts de la police mexicaine à la frontière pour essayer de les stopper, des miliers de personnes poursuivent leur marche vers les Etats-Unis.

Les Jarawas, un peuple au bord de l'extinction



L’un des derniers peuples afro-asiatiques refuse l’assimilation forcée.
Alors que New Delhi leur dénie le droit à l’autodétermination, des journalistes ont réussi à rencontrer les Jarawas pour leur donner la parole.
Les Jarawas sont des chasseurs-cueilleurs. Ils vivent depuis des dizaines de milliers d’années sur les îles Andamans en Inde. D’après des études récentes, ils auraient fait partie des premières migrations humaines depuis l’Afrique vers le reste du monde, il y a environ 70,000 ans. Mais cela fait une dizaine d’années seulement qu’ils sont entrés en contact avec les Indiens. Depuis leur situation s’est considérablement dégradée. Des femmes ont été enlevées et violées par des Indiens. Les Jarawas sont allés se plaindre à plusieurs reprises auprès des autorités des Andamans, en vain.



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Les Jarawas sont également victimes de safaris humains, organisés par les agences de voyage locales. Ils se déroulent le long de l’Andaman Truck Road, une route construite illégalement et qui traverse leur territoire. 


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Des dizaines de véhicules, escortées par l’armée indienne l’empruntent quotidiennement pour prendre des Jarawas en photos.


Les Jarawas : un peuple en danger


Pourtant, il est interdit de pénétrer sur leur territoire sous peine de prison. La réserve est sous le contrôle conjoint de l’armée, de la police locale et des gardes forestiers de l’AAJVS, un organisme d’état dépendant du ministère des affaires tribales indien. Une mesure censée protéger ce peuple fragile. Les Jarawas ne sont plus que 420.



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Mais cette interdiction a aussi un effet pervers. Celui d’empêcher les Jarawas de s’exprimer au sujet de leur avenir. En 2013, Bishnu Pada Ray, le député des Andamans a affirmé dans la presse qu’ils avaient exprimé le désir de rejoindre la communauté indienne. Or jusqu’à présent, personne n’est allé leur demander si tel était le cas.
Alexandre Dereims et Claire Beilvert, un journaliste et une photographe de presse français, sont parvenus à les rencontrer pour leur poser la question. Ils ont outrepassé l’interdiction de pénétrer dans la réserve. Ils ont pris toutes les précautions nécessaires afin de ne pas leur transmettre de maladies. Les Jarawas les ont autorisés à rester quelques jours avec eux afin de réaliser des interviews. C’est la première fois que des membres de ce peuple en danger parlent au monde extérieur.



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Leur réponse est sans ambiguïté. Les Jarawas refusent d’être assimilés.
« Votre monde est mauvais pour nous, on ne l’aime pas. Il y a trop de gens, trop de bruit, pas de paix, on n’aime pas ça. On ne veut plus avoir d’interaction et être trop proche de votre monde. On veut rester comme on est. Ici, c’est chez nous, c’est là que l’on veut vivre. », explique Abé, l’un des chasseurs.
Leur mode de vie a commencé à changer irréversiblement. Certains portent des habits. Ils possèdent des lampes torches, des outils, des ustensiles de cuisines. Des objets qui leur sont donnés par les gardes forestiers. Mais les Jarawas sont aussi victimes du braconnage. En effet, s’il est interdit de pénétrer sur leur territoire, tous les jours, des dizaines de braconniers viennent chasser sur leurs terres, en toute impunité.


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« Il y a des braconniers qui viennent avec des armes pour nous tirer dessus. Ils viennent pour nous voler. Ils cherchent à nous faire peur. Ils veulent nous acheter des cochons sauvages. Ils posent des pièges à cochons. Ils tuent tous nos cochons. Parfois, ils nous donnent un peu d’argent ou des habits. C’est comme ça qu’ils pillent notre gibier. Avant, on ne mangeait que des cochons. Mais il n’y en a presque plus. On a été obligé de chasser les daims pour manger. On ne sait plus quoi faire. On s’asseoit et on réfléchit à tout ça. On y pense tout le temps. », nous révèle Outa, un autre membre du clan.
Même les daims commencent à se faire rares. Les braconniers forcent les Jarawas à chasser pour leur compte, une quinzaine de bêtes à la fois. La viande sauvage est revendue sur les marchés locaux. Rien de tout cela ne serait possible sans la complicité des gardes forestiers de l’AAJVS, l’organisation gouvernementale en charge de la protection des Jarawas.






« Les braconniers nous donnent du tabac et ils veulent nous apprendre à chiquer. Ce n’est pas bon pour nous. Ils nous donnent de l’alcool. On n’en veut pas non plus. Mais ils essayent quand même de nous faire boire. On n’en veut pas, c’est mauvais. Mais ils essayent de nous influencer. C’est comme ça dans votre monde. »
L’alcool a commencé à faire des ravages dans la communauté des Jarawas. En quelques années, un autre peuple afro-asiatique des Andamans, les Onges, a quasiment disparu. Après avoir été assimilés de force par l’état indien, certains d’entre eux ont été empoisonnés par de l’alcool frelaté que des braconniers leur avaient donné.

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C’est la chronique d’une disparition annoncée, d’une assimilation forcée. Les Jarawas, affamés, n’auront bientôt plus d’autre choix que de sortir de leur territoire pour mendier de la nourriture le long de la route.
Pourtant dans sa charte, l’AAJVS, l’agence indienne en charge de la préservation des Jarawas, a écrit que sa mission est de « « satisfaire à son obligation et sa responsabilité de conserver l’écologie et l’environnement de la réserve constituée par le territoire tribal et de renforcer le soutien aux indigènes adivasi (les Afro-asiatiques) afin de leur permettre de continuer de vivre tel qu’ils l’entendent et de préserver ainsi un patrimoine unique pour l’Inde et pour le monde. »

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Les journalistes tirent la sonnette d’alarme. New Delhi a récemment décidé de faire de la capitale des Andamans, Port Blair, le plus grand port sur l’océan indien. Le gouvernement nationaliste de Narendra Modi veut booster le potentiel touristique de ces îles devenues l’équivalent des Seychelles ou des Maldives auprès de la nouvelle classe moyenne indienne. Il est devenu urgent de se poser la question de la survie du plus ancien peuple d’Asie.
Alexandre Dereims et Claire Beilvert ont lancé une pétition en ligne pour forcer le gouvernement indien a faire respecter l’ordonnance de la cour suprême indienne de 2013 de fermer l’Andaman Truck Road. Ils demandent également à ce que le territoire des Jarawas soit sanctuarisé et que l’AAJVS communique régulièrement sur le situation des Jarawas.


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Le français, cinquième langue la plus parlée dans le monde


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L’Afrique est destinée à devenir l’espace comptant le plus de locuteurs en français, selon un rapport de l’Organisation internationale de la francophonie.


Au niveau mondial, la langue de Molière se porte plutôt bien, du moins en termes de diffusion. Mais elle pourrait faire beaucoup mieux. Le français est aujourd’hui la cinquième langue dans le monde, avec 300 millions de locuteurs, après le chinois, l’anglais, l’espagnol et l’arabe. « Une progression de 10 % depuis 2014 », se félicite le nouveau rapport de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), qui doit être présenté par la secrétaire générale sortante, Michaëlle Jean, lors de l’ouverture du 17e sommet à Erevan, jeudi 11 octobre. Il y a quatre ans, le français était en sixième position.

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« Présente sur les cinq continents, la langue française a toutes les caractéristiques d’une langue mondiale », souligne ce texte, relevant qu’elle est la langue officielle de 32 Etats et gouvernements, ainsi que dans la plupart des organisations internationales. Mieux encore : à en croire cette enquête, le français est aussi la quatrième langue la plus utilisée sur Internet et même la troisième en termes de trafic.
Cette augmentation est avant tout le résultat de la croissance démographique. « Le centre de gravité de la francophonie continue de se déplacer vers le sud, prolongeant une tendance mesurée depuis 2010 où l’on voit que sur les 22,7 millions de francophones qui sont venus grossir cette planète de la francophonie, 68 % se trouvent en Afrique subsaharienne et 22 % en Afrique du Nord », analyse le rapport.

« Francophonie ouverte »
Lors de son discours devant l’Académie française, le 20 mars, le président Emmanuel Macron s’était fait le héraut d’une « francophonie ouverte »,misant sur le plurilinguisme, tout en reconnaissant que « la France n’est qu’une partie de la francophonie agissante », « consciente de ne pas porter seule le destin du français ».
L’Afrique est destinée à devenir l’espace où il y aura le plus de locuteurs en français, du moins en valeur absolue. Les pourcentages de ceux qui utilisent quotidiennement cette langue restent pourtant souvent assez faibles. A peine 13 % au Niger et 17 % au Mali comme au Tchad. Mais ils sont 26 % au Sénégal, 33 % en Côte d’Ivoire, 51 % en République démocratique du Congo (RDC) et même 59 % au Congo-Brazzaville. Au Maghreb, le français est utilisé quotidiennement par 52 % des Tunisiens, mais seulement par 35 % des Marocains et 33 % des Algériens.


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Au sein de l’Union européenne, le français est la première langue de seulement 12 % des citoyens, contre 16 % pour l’allemand et 13 % pour l’anglais avant le Brexit. En revanche, selon le rapport de l’OIF, « le français demeure la deuxième langue étrangère la plus apprise dans le premier cycle de l’enseignement secondaire des Etats membres, avec 26,1 % du total des élèves qui l’apprennent, contre 96,2 % l’anglais, 16,8 % l’allemand et 12,6 % l’espagnol ».

Chine : une ville envisage d’envoyer une lune artificielle dans le ciel

Jugeant l'éclat de la Lune insuffisant, un entrepreneur chinois propose de placer une seconde lune artificielle dans l'espace afin de remplacer l'éclairage nocturne public de la ville de Chengdu et de faire des économies d'électricité. En effet, la presse chinoise rapporte que Wu Chunfeng, le président de Chengdu Aerospace Science and Technology Microelectronics System Research Institute Co. (Casc), a présenté ce projet un peu fou la semaine dernière lors d'une conférence.

La fausse lune prendrait la forme d'un énorme satellite doté d'ailes similaires à des panneaux solaires et serait recouvert d'un revêtement réfléchissant afin de renvoyer les rayons du Soleil sur la ville. Elle serait huit fois plus brillante que la Lune et serait capable d'éclairer une surface de 10 à 80 km de diamètre en diffusant une lumière crépusculaire. Selon Wu Chunfeng, la technologie serait déjà en test depuis des années et serait prête pour un lancement en 2020.



La ville chinoise de Chengdu envisage d’envoyer une seconde lune artificielle dans l’espace pour renforcer la lumière de la Lune afin de remplacer l’éclairage public. © Nasa
La ville chinoise de Chengdu envisage d’envoyer
 une seconde lune artificielle dans l’espace 
pour renforcer la lumière de la Lune afin 
de remplacer l’éclairage public.


En six ans, 259 personnes sont mortes en prenant un selfie

 La très grande majorité des victimes avait entre 22 et 23 ans, et plus de 72 % étaient des hommes…



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Les selfies font plus de morts que les requins dans le monde ! C’est le triste constat des chercheurs de l’Institut de science médicale basé en Inde qui ont comptabilisé dans une étude le nombre de personnes décédées dans le monde en voulant prendre un selfie. Entre octobre 2011 et novembre 2017, 259 personnes sont mortes en voulant se prendre elles-mêmes en photo, note cette enquête publiée dans le Journal of Family Medicine and Primary Care.
Ces chercheurs indiens sont parvenus à ce chiffre en compilant des données de la presse mondiale. Ils y ont recherché des mot-clés : « mort par selfie » ou encore « accident de selfie ». « Comme les selfies ne sont jamais indiqués comme cause de mort dans les bases de données officielles, les scientifiques pensent même sous-estimer le nombre de morts », précise Slate.

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Surtout des jeunes hommes

Selon cette enquête, trois personnes sont mortes en faisant un selfie en 2011, deux en 2013, 13 en 2014, 50 en 2015, 98 en 2016 et 93 en 2017. La très grande majorité des victimes avait entre 22 et 23 ans. Et plus de 72 % étaient des hommes, qui prennent plus de risques pour prendre un selfie, note l’étude.

Les pays les plus touchés par les « selfies de la mort » sont l’Inde, qui occupe la première place, suivie par la Russie, les Etats-Unis et le Pakistan.  L’Inde comptabilise à elle seule 50 % des décès, sûrement à cause de la jeunesse de sa population, estiment les scientifiques.

Mettre en place des « no-selfies zones » dans les endroits à risques

Dans les conclusions de cette étude, les chercheurs préconisent donc de mettre en place des « no-selfies zones » dans les endroits à risques. Par exemple au sommet des falaises, près de la mer ou en haut d’immeubles.

« Les selfies ne sont pas nocifs en soi, ce sont les comportements humains qui les accompagnent qui sont dangereux », conclut l’étude.

Le chant inquiétant de la glace de l’Antarctique




Des fréquences sonores émises par la barrière de Ross, une plateforme de glace en Antarctique, ont été enregistrées par des scientifiques américains qui ont publié le 16 octobre le résultat de leurs recherches.
“Les fréquences [des sons enregistrés] sont trop basses pour être perçues naturellement par l’homme mais, quand on les accélère, on croirait entendre le son sinistre qui annonce l’arrivée d’un monstre dans un film d’horreur.” Ainsi le site Quartz décrit-il les curieuses plaintes d’un plateau de glace de l’Antarctique.




La barrière de Ross, d’une taille comparable à celle de l’Espagne, a livré de nouveaux secrets à des scientifiques de l’université d’État du Colorado. Équipés de sismographes, ils ont repéré par hasard puis étudié, pendant deux ans, “la fréquence sonore émise par la neige alors qu’elle vibre sous les effets du vent et de la fonte”, détaille Quartz. Ces sons pourraient même permettre d’établir des prévisions sur de possibles ruptures d’iceberg liées à la fonte des glaces. Devant les perspectives inquiétantes du réchauffement climatique, particulièrement pour la hausse du niveau des océans, “peut-être le son de la vibration de la neige est-il un sinistre augure tout à fait approprié”, conclut le site d’information.

Le Canada devient le second pays au monde à légaliser le cannabis


Depuis le 17 octobre, il est possible d’acheter du cannabis en toute légalité au Canada. Trois ans après son élection, le gouvernement libéral de Justin Trudeau réalise l’un de ses engagements de campagne les plus symboliques. Le Canada est seulement le deuxième Etat de la planète à autoriser la marijuana récréative, après l’Uruguay en 2013. Une réforme historique saluée par de longues files d’attente de consommateurs levés aux aurores pour être parmi les premiers servis. D’autres pays ont fait un pas dans ce sens. Aux Etats-Unis, la consommation récréative de cannabis a été légalisée dans huit Etats. Parallèlement, nombre de pays comme les Pays-Bas ou l’Espagne ont dépénalisé la marijuana ou légalisé le cannabis thérapeutique. 



La «femme aux plus gros seins du monde» n'est plus

Liliane Blondieau, une Belge connue dans le monde entier, pour avoir été qualifiée de «femme aux plus gros seins du monde», est décédée il y a peu, à Charleroi.


Madame Irta est décédée à l'âge de 78 ans, 
du côté de Charleroi, en Belgique.

Elle était qualifiée de «femme aux plus gros seins du monde» par la presse belge. À l'âge de 78 ans, le quotidien La Meuse a annoncé, ce jeudi, le décès de Liliane Blondieau, une dame originaire de Marcinelle, «véritable phénomène de foire doté de deux seins de 35 kg chacun, tour de poitrine de 2,22 m et 245 kg sur la balance».
Repérée en 1978 par un forain de Charleroi, «alors qu'elle allait chercher un cornet de frites», rappelle La Meuse, celle qui allait devenir Madame Irta a connu un véritable succès international en se produisant durant une vingtaine d'années dans les fêtes foraines.

Attraction de la Foire du Trône
Inscrite dans le livre des records dans les années 80, elle a permis à toute sa famille et à ses sept enfants de parcourir le monde entier en participant à des «shows freaks» aux États-Unis, ou lorsqu'elle a reçu une récompense au Japon, où ses seins avaient été pesés lors d'une émission.
Très appréciée en France où elle avait presté à la Foire du Trône, Madame Irta avait également participé à de nombreuses émissions dans les années 80, en compagnie de Thierry Ardisson, ou encore de Patrick Sébastien, qui n'avait pas hésité à lui demander «s'il pouvait lui embrasser les seins».


San Francisco, ville sans déchets en 2020


Plus d’un millier de tonnes de détritus sont produites quotidiennement à San Francisco.
Plus d’un millier de tonnes de détritus 
sont produites quotidiennement à San Francisco.

Depuis les années 2000, l’État de Californie s’est lancé dans une guerre à grande échelle contre les déchets. Qu’il pourrait bien finir par remporter… À commencer par la bataille de San Francisco où 80 % des déchets produits chaque année sont aujourd’hui recyclés. Et ce n’est qu’un début !

Une poubelle bleue pour le recyclable, une poubelle verte pour le compost, et enfin, une noire, pour les déchets non traitables. Rien de révolutionnaire en apparence. Sauf que ce système de tri des déchets a permis à la ville de San Francisco et à ses 860 000 habitants d’atteindre, en moins de 10 ans, l’objectif de retraiter 80 % du contenu de leurs poubelles.

Surtout, pour la première fois, le recyclage et le compostage devenaient obligatoires pour tout le monde. Avec un système d’amendes comprises entre 100 et 1 000 dollars et un système de location avec des tarifs variables. Évidemment, la poubelle noire était la moins abordable possible afin d’inciter les habitants à opter pour le plus petit modèle et surtout, à vérifier et à revérifier si les déchets ne pouvaient pas être encore mieux exploités.


Recycler plutôt qu’incinérer
Dans le même temps, la ville a interdit certains polluants comme les sacs plastiques et les emballages en polystyrène imputrescibles. De même que la vente de bouteilles d’eau sur l’espace public. Les professionnels, eux, ont fortement été encouragés à adopter des pratiques plus vertueuses. Soit par la contrainte comme ce fut le cas pour les entreprises de la construction (obligation de recycler pour être habilité à travailler dans la ville) soit par la création d’une filière de compostage performante. Une aubaine les restaurateurs et les agriculteurs locaux. Même la Napa Valley qui abrite les plus grands domaines viticoles américains s’est convertie à l’utilisation de ce compost !

Clé de voûte de ce dispositif : la mise en place de la filière de recyclage. Exit donc les décharges publiques et les incinérateurs. Recology, la coopérative en charge de la collecte des ordures de la ville a dès lors fait l’acquisition du plus gros centre de tri de la planète : le Pier 96. Dans cet immense hangar maritime de 20 000 m2, ce sont plus d’un millier de tonnes de détritus qui sont traités chaque jour. Enfin, du côté de Vacaville, Recology a aussi investi dans un immense champ de compostage qui gère 650 tonnes de compost par jour. Lequel est aujourd’hui entièrement revendu aux fermes de la région.

Le zero waste, la nouvelle tendance
Les résultats ainsi obtenus par la ville de San Francisco ont par ailleurs favorisé l’émergence d’une sensibilité écologique et d’un esprit de compétition dans la communauté « friscaine ». Bref, une nouvelle tendance est apparue : celle du zero waste dont assurément, Bea Johnson est devenue l’icône.
Pour dire les choses simplement, le zero waste c’est d’abord un mode de vie. Presque une philosophie en même temps qu’un rapport nouveau à la société de consommation. L’idée, c’est de se désencombrer du superflu, des objets inutiles, de réinterroger la question des « besoins »… Bref, de consommer moins mais mieux tout en prenant son temps et en se concentrant sur l’essentiel. C’est en quelque sort ce que Pierre Rabbhi, l’auteur de La part du colibri, appelle « la sobriété heureuse. »
En 2013, Béa Johnson a démocratisé le concept avec la publication de son ouvrage Zéro déchet. Dans ce dernier la Californienne d’origine française raconte comment le déménagement d’une maison à un appartement a littéralement changé sa vie… Et simplifié au sens strict comme au sens littéral, son quotidien.
À tel point que la production totale de déchets de sa petite famille en un an tient tout en entière dans un bocal de conservation alimentaire de taille moyenne.






Esclavage en Mauritanie




Alors que l’IRA indique que 20 % de la population mauritanienne est touchée par le phénomène de l’esclavage, Amnesty brandit un taux de 1 %, soit un nombre estimé à 43000 individus, composé essentiellement de harratines. Qui a raison entre les deux mouvements de défenses des droits humains ?
Ce qui est sûr, c’est que cette pratique existe bel et bien en Mauritanie à l’aube du 21ème siècle. La communauté internationale est à l’affût.
Beaucoup d’activistes de l’IRA dénoncent souvent le mutisme de certaines ONG et la complicité des Etats africains, qui, clament-ils, restent muets comme une carpe face à cette pratique, encore en vigueur dans certains coins et recoins du pays.



Aboli officiellement depuis 1981, criminalisé en 2007 puis renforcé par une loi en 2015, considérant cette pratique comme un crime contre l’humanité avec une peine de 20 ans, l’esclavage n’a pas pour autant disparu. Les autorités essayent tant bien que mal de contenir ce fléau.
Dans ce sens, une Journée nationale de lutte contre l’esclavage a été instituée, le 6 mars de chaque année pour contribuer à éradiquer ce phénomène. En attendant, la lutte contre l’esclavage avance à pas de tortue. Ainsi , en 2016 , sur 47 dossiers déposés pour des affaires d’esclavages devant la justice , seulement 2 personnes ont été condamnés , soit un taux de 4%.

Que de la poudre aux yeux ?
Les autorités mauritaniennes veulent, en plus de leur volonté à éradiquer l’esclavage, convaincre la communauté internationale qu’il n’y pas de discrimination contre les noirs du pays. Et que des efforts sont en train d’être faits. Hélas, les chiffres parlent d’eux même. Plus de 96% des postes ministériels sont occupés par une seule Communauté. Des 19 banques commerciales autorisées, aucune n’appartient à un negro-africain. Un des leaders de cette communauté, Sarr Ibrahima, président de l’AJDMR et ancien prisonnier politique du bagne de Oualata, a décliné récemment qu’à ce rythme il n’y aura plus de negro-africain dans l’administration d’ici cinq ans.
Le rapport élaboré par les Nations Unis sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, montre que la communauté noire continue d’être marginalisée dans les sphères de décisions et de l’armée. Selon le document, la communauté noire de Mauritanie ne représente que 10 % des officiers de l’armée nationale (7% harratines et 3% Afro-Mauritaniens) alors que les « beydanes » constituent les 90%.
En se basant sur les statistiques de 2014, « seuls 5 des 95 sièges à l’Assemblée Nationale étaient occupés par des Harratines et un seul sénateur sur 56 appartenait à ce groupe. De plus, 2 des 13 gouverneurs régionaux et 3 des 54 préfets départementaux sont Harratines ».
Des chiffres alarmants qui vont forcément faire croire que les noirs, notamment les harratines, ne sont pas bien intégrés dans la société mauritanienne, qui pourtant se glorifie de sa diversité.
Vrai ou faux, en tout cas une assise nationale s’impose pour faire le point sur cette situation, qui ternit l’image du pays …





Au Cameroun, 45% des décès des enfants de moins de 5 ans sont causés par la faim cachée



C’est pour tirer la sonnette d’alarme et trouver des mesures pour pallier le problème que le ministère de la Santé publique et l’entreprise agroalimentaire Nestlé Cameroun ont organisé le 16 octobre 2018 à Yaoundé un forum sur la nutrition.
Les travaux qui s’inscrivaient dans le sillage de la célébration de la journée mondiale de l’alimentation – qui a lieu tous les 16 octobre -, et qui a vu la participation d’éminents nutritionnistes et pédiatres avait pour thème: «La fortification alimentaire: enjeux et défis pour réduire la faim cachée d’ici 2035 au Cameroun».
La notion de faim cachée est encore ignorée des populations pourtant ses dégâts sont nombreux et bien présents chez les femmes, les enfants et les groupes déplacés. Il était question pour tous ces acteurs de combiner leur effort pour trouver les solutions au bien-être des familles camerounaises.
Cette notion soulève la notion de qualité de l’alimentation car certes les familles se nourrissent mais elles ne consomment pas tous les nutriments indispensables pour leur croissance et leur sante.
La faim cachée est une forme de malnutrition ayant un coût humain et économique exorbitant en termes de dépenses de santé et de perte de productivité sur la population. En effet la faim cachée touche plus de 2 milliards d’individus dans le monde.

Au Cameroun, plus de 68% des enfants de 0 à 5 ans souffrent d’anémie ferriprive et 39% des enfants de la même tranche d’âge souffrent de carence en vitamine A. Des données alarmantes pour Nestlé Cameroun qui partage les préoccupations du Cameroun face à ce sujet.
Les carences en micronutriments requièrent l’engagement de toutes les parties prenantes. Le secteur privé peut, et doit, faire partie de la solution. Mais il est utile que les professionnels de la santé, les organisations internationales, la société civile soient tous impliqués dans la recherche des solutions. C’est là la raison de cette rencontre pour débattre en profondeur afin d’identifier les écarts à combler pour lutter efficacement contre les carences en micronutriments.
Une initiative qui vient mettre sur la table la question de savoir si la fortification alimentaire se présente comme une option à prendre en considération. Pour le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, «pour faire face à la faim cachée, il a été demande aux divers acteurs de la nutrition de fortifier les aliments. Il s’agit de la farine, les huiles végétales de cuisson, les laits et divers aliments de consommation quotidienne».
«L’enfant de 0 à 6 mois n’est pas concernée car il est censé être nourri au sein donc avoir tous les nutriments par sa maman. C’est l’alimentation de cette dernière qui doit être de qualité pour couvrir les besoins du petit», poursuit-il.
De nombreuses actions sont entreprises par les équipes du ministère de la Santé publique, à savoir les campagnes à domicile pour administrer des vitamines diverses et combler les carences diverses. Le Minsante fait son travail et s’associe à Nestlé aujourd’hui parce que cela cadre avec ses objectifs.
«Mais ce n’est pas tout car c’est une chaine et chacun doit jouer son rôle. La douane par exemple doit s’assurer que les populations ne reçoivent pas des produits de consommation de la contrebande, etc.», précise André Mama Fouda.
Depuis la création de Nestlé, il y a plus de 150 ans, a indiqué l’administrateur général de Nestlé Cameroun «la nutrition est au cœur de notre raison d’être, qui est d’améliorer la qualité de vie et contribuer à un avenir plus sain. Notre principale motivation est de permette à chaque individu et à chaque famille camerounaise de vivre une vie plus heureuse par une alimentation saine».
Malheureusement, a-t-il poursuivi, «la faim cachée, cette forme de malnutrition, continue aujourd’hui à avoir un coût humain et économique exorbitant en termes de dépenses de santé et de perte de productivité».

Repas figés dans la glace, en antarctique


Un repas par -65°C : les images incroyables
 du scientifique Cyprien Verseux en Antarctique 


L'astrobiologiste français Cyprien Verseux, en mission dans l'Antarctique, vient de publier sur Twitter d'étonnantes photos de ses repas figés dans la glace.
La vie par - 65°C n'est pas facile ! Ces images incroyables en sont la preuve. Travaillant actuellement à la base scientifique Concordia en Antarctique, le Français Cyprien Verseux vit dans un froid extrême.


Station franco italienne Concordia située
au coeur du continent Antarctique


Tentative (ratée) d'œufs brouillés à ConcordiaStation.


 Située à 3200 m d'altitude, la base est considérée comme la plus isolée au monde et les conditions climatiques y sont particulièrement éprouvantes. « Concordia est peut-être ce qui se rapproche le plus, sur Terre, d'une base sur Mars ou sur la Lune », a expliqué l'astro-biologiste, qui fait des recherches sur les micro-organismes capables de transformer les ressources naturelles présentes sur Mars en produits consommables par les êtres humaines.

Pour témoigner de son quotidien extraordinaire, Cyprien Verseux a dévoilé des photos saisissantes et drôles de ses repas de midi en ce début octobre. Le scientifique a tenté l'expérience de manger sur le toit de la base. Mais le bol de pâtes, les œufs au plat et le goûter au Nutella se sont aussitôt transformés en mets gelés. Les fourchettes et cuillères tiennent quant à elles seules dans les airs, suspendues en équilibre au dessus des plats. « Les températures sont remontées au-dessus des -70°C, mais il fait encore un peu frais pour manger dehors... », ironise le Français.


Les températures sont remontées au-dessus
des -70°C, mais il fait encore un peu frais
pour manger dehors.


Un petit déjeuner équilibré, sur le toit
 de ConcordiaStation

Grave accident ferroviaire entre Kénitra et Rabat

Un grave accident ferroviaire s’est produit ce matin vers 10 H 20 entre Rabat et Kenitra, au niveau du pont de Bouknadel, près de Salé. a fait sept morts. Le chef de train est décédé suite à l’accident, tandis que le conducteur et deux contrôleurs font partie des blessés.