Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Au festival Photo Phnom Penh, les regards d’ici et d’ailleurs se croisent

Créé en 2008 à la demande d’Alain Arnaudet, alors directeur du Centre culturel français, le festival Photo Phnom Penh (PPP) reste cette année fidèle à ses principes : soutenir et favoriser l’émergence d’une scène photographique cambodgienne – en élargissant ses frontières jusqu’à l’Asie du Sud-Est. « L’idée centrale est celle de rencontres et d’échanges entre créateurs européens et asiatiques. Même si cela s’avère de moins en moins facile au niveau des autorisations, l’installation d’expositions dans l’espace public est essentielle pour toucher un large public qui, généralement, n’ose pas pousser la porte d’une galerie ou d’un centre culturel », nous a confié Christian Caujolle, le commissaire du festival depuis ses débuts, et qui a programmé 14 expositions cette année. Réalisée avec le soutien de l’Institut français, cette 9e édition, qui mélange des photographes asiatiques et des artistes européens ou américains, propose également des lectures de portfolios, des conférences, des ateliers, des rencontres, des visites d’expositions avec les artistes et des concerts.
  • Floriane de Lassée, « How Much Can You Carry ? », 2010-2018
Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une  dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

  • Lim Sokchanlina, « Wrapped Future », 2015-2018
Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

  • Mak Remissa, « From Hunting to Shooting », 2016-2017
Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ». Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ».  Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

  • Olivier Culmann, série «  The Others ‒ Inde », 2009-2013
Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.

Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.


  • Ly Min, 2018
Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.


Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.

  • Yang Ming, 2010-2018
Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


  • Alexey Shlyk, 2017
Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


  • Charles Fréger, « Yokainoshima », 2013-2015
Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


  • JH Engström, 2015-2017
Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.

Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.


  • Daesung Lee, « Futuristic Archaeology», 2014
Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.


Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.

  • Michael Vickery, années 1960
Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.


Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.



Traditions et coutumes insolites à travers le monde

Chaque pays possède différentes traditions et coutumes, et parfois, elles peuvent s’avérer vraiment surprenantes : recouvrir la mariée d’immondices, prendre la pose aux côtés d’un proche décédé ou encore cracher sur les nouveau-nés… Découvrez toutes ces traditions plus insolites les unes que les autres.

Au Japon de nombreuses personnes fêtent Noël en mangeant… KFC

Noël au Japon via Shutterstock


Au Japon, de nombreuses personnes fêtent Noël en allant chercher du poulet dans un célèbre fast-food américain ! Une étonnante tradition qui remonte aux années 70.
Pour fêter la fertilité, il existe un festival dédié au pénis au Japon

Toujours au Japon, chaque printemps, les habitants de Kawasaki fêtent la fertilité grâce à un festival dédié au pénis !

festival-penis


Dans le Vermont aux USA, certaines maisons ont des fenêtres posées en diagonale

Dans le Vermont, aux États-Unis, certaines maisons ne sont pas posées verticalement ou horizontalement, mais en diagonale, à 45 degrés. Selon la légende, il s’agirait de protéger les habitations des sorcières, qui ne pourraient ainsi pas y entrer en volant sur leur balai.

fenetre-sorciere

Aux Pays-Bas, il est déconseillé de chanter à table et de prêter son sel à son voisin

Aux Pays-Bas, il est déconseillé de chanter à table. C’est comme si vous chantiez avec le diable. D’ailleurs, là-bas, on ne prête pas son sel à son voisin. Ça porte malheur.

Sel via Shutterstock

À Seattle, la tradition veut que les gens collent leur chewing-gum sur un mur dédié à cet effet

Voici peut-être le mur le plus sale du monde. Il est situé à Seattle, dans une petite rue. Si à Paris, la tradition voulait jusqu’à il y a peu que les amoureux déposent un cadenas sur le pont des Arts, là-bas, il s’agit de coller un chewing-gum sur ce mur.

Seattle-mur
En Inde, les bébés sont jetés d’un bâtiment pour atterrir sur un drap tendu

Voici l’une des coutumes les plus dangereuses du monde. Dans la partie sud de l’Inde, depuis plusieurs siècles, les bébés sont jetés du haut d’un bâtiment pour qu’ils atterrissent plusieurs mètres plus bas sur un drap tendu. Si cette coutume insensée commence à disparaître, elle est toujours pratiquée dans certaines villes.


Au Japon, on évite de planter ses baguettes verticalement

Au Japon, il est de tradition d’éviter à tout prix de planter ses baguettes verticalement dans sa nourriture. Cette position ferait trop penser à des bâtons d’encens, qui sont utilisés pour rendre hommage aux morts.

baguette-japon

Avant le mariage, les Écossais recouvrent la mariée de diverses immondices

En Écosse, avant qu’une femme ne se marie, ses amis et ses proches la recouvrent de diverses immondices, toutes plus répugnantes les unes que les autres. Poissons pourris, sauces, lait tourné, boue, tout est bon pour rendre la mixture la plus répugnante possible. On dit que si la future mariée peut survivre à ça, elle pourra survivre aux affres du mariage.

Mariage écossais via Shutterstock

En Indonésie, pour rendre hommage aux morts, les cadavres sont habillés puis promenés dans le village

Sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, le peuple Toraja a pour habituded’exhumer ses morts pour les laver et les habiller. Lors de ce rituel intitulé Ma’ne’ne, certains cadavres sont même relevés pour qu’ils fassent le tour du village accompagnés par leur proches.

Cérémonie funéraire en Indonésie via Shutterstock

À l’époque les familles prenaient la pose en compagnie de leurs proches décédés

Au XIXe siècle, quelque temps après l’invention des tout premiers appareils photo, l’une des traditions voulait que les familles prennent la pose en compagnie de leurs proches décédés. Une façon de commémorer les défunts et d’éviter de commander des peintures qui, à l’époque, étaient beaucoup plus coûteuses et plus longues à réaliser que ces daguerréotypes.

photo-mort

Les chats noirs portent bonheur au Japon


Contrairement aux Occidentaux, dans la culture japonaise le chat noir porte bonheur. En effet le chat a une grande place dans leurs traditions, on peut observer des statues de chat en porcelaine ou en céramique levant la patte dans les magasins qui ont pour but d’attirer la fortune. La patte gauche est censée attirer les clients et la patte droite l’argent.

chat-noir

Les pieds bandés en Chine

La coutume des pieds bandés a été pratiquée en Chine pendant plus de mille ans. Son origine remonterait à la fin des Tang, au Xe siècle, quand l’empereur demanda à sa femme de se bander les pieds pour exécuter la danse traditionnelle du lotus. Un siècle plus tard, la coutume devient très à la mode chez toutes les femmes de l’empire qui symbolise la richesse et la distinction. En effet, seules les femmes riches ont les pieds bandés car cette particularité ne leur permet de faire que des tâches domestiques simples.

pied-coutume

Avant de se marier, les filles du peuple Tujia en Chine doivent pleurer

Avant un mariage, les épouses et les filles du peuple Tujia en Chine commencent à pleurer un mois avant pour montrer leur joie. La mariée doit pleurer 1 heure tous les jours, ensuite 10 jours après la mère la rejoint, et enfin après 10 jours encore la grand-mère se mêle au rituel. À la fin du mois, toutes les femmes de la famille pleurent aux côtés de la mariée, formant ainsi une sorte de chanson.

mariage-chine

Au Kenya on crache sur les nouveau-nés

Au Kenya, on célèbre la naissance d’un nouveau-né en le faisant passer dans les bras de toutes les femmes pour qu’elles lui crachent dans la bouche.

bebe-kenya

Deux bébés sinon le divorce !

Au Soudan du Sud, les gens de la tribu Neur pensent que le mariage n’est pas complet tant que la femme n’a pas eu deux enfants. Si elle ne le fait pas, le marié est en mesure de demander le divorce.

enfants-soudan

Réhabilitation du Grand Sofar Hotel, palace de l’âge d’or du Liban



Résultat de recherche d'images pour "Le Grand Sofar Hotel, palace de l’âge d’or du Liban"


Plus de quarante ans après que la guerre civile l’a obligé à fermer, l’établissement, fréquenté par le Tout-Beyrouth depuis la fin du XIXème siècle, bénéficie d’une réhabilitation.




 Le Grand Hôtel-Casino de Aïn Sofar a été construit vers la fin du XIXe siècle par la famille Sursock. Cet hôtel a été le témoin de l'âge d'or du Liban jusqu'en 1975 qui marque le début de la très longue guerre civile. Les murs de ce palace racontent un pan de l'histoire du pays qui fut le pays du miel et de l'encens, la Suisse du Moyen-Orient. Tel un phénix, le Liban a su sortir de sa guerre civile, et l'hôtel, à l'image du pays, a été ressuscité par le grand talent de Tom Young, un artiste-peintre anglais qui a su tirer le meilleur d'un patrimoine laissé à l'abandon depuis longtemps.
Lieu de rencontres des grands de ce monde ; têtes couronnées, artistes, stars du cinéma et de la chanson et classe dirigeante, les couloirs du Grand Hôtel foisonnent d'évenements tant politiques qu'artistiques si bien illustrés par Young. Une lieu nostalgique pour les uns, une découverte pour les autres...




Les 10 plus belles villes de Belgique

La Belgique c'est Tintin, les frites, les gaufres et les blagues potaches. C'est aussi Bruxelles et son rayonnement culturel international, Bruges et ses canaux, Ostende et son bord de mer... À seulement quelques kilomètres de la France, la culture et les paysages belges savent surprendre et charmer les visiteurs. De la Wallonie aux Flandres, partons à la découverte de ce plat pays :
  • BRUGES : est l'étape incontournable de tout voyage en Belgique. La bien nommée «Venise du Nord», chef lieu de la province de Flandres occidentale, a conservé son charme d'antan malgré le tourisme qui s'y est développé. Un véritable havre de paix où circulent très peu de voitures : ici, on se déplace en vélo ou en calèche ( un peu touristique, mais tellement romantique !)

  • OSTENDE : On aurait pu choisir Knokke le Zoute, le St Trop' belge, mais c'est vers Ostende que notre choix s'est arrêté. En plus d'avoir une plage magnifique (9km de sable !), Ostende est une vraie ville de bord de mer. Depuis quelques années, elle se modernise : la digue a été rénovée ainsi que plusieurs grandes rues et places du centre-ville. On y respire le grand air, celui de la mer du Nord, emmitouflé dans sa parka, un cornet de frites à la main. La dolce vita à la mode belge, on y prend goût !


  • BRUXELLES : coeur de l'Europe, Bruxelles (qu'on prononce Brussel s'il vous plaît !) est certainement l'une des capitales les plus accueillantes du Vieux Continent. Connue pour son Maneken-Pis et sa Grand-Place, c'est pourtant son art de vivre qui marque le plus. Pour y goûter, installez-vous dès votre arrivée dans un estaminet typique et commandez une Gueuze ou une Kriek. Ici, la bière fait partie du patrimoine ! Très active au niveau culturel, la capitale belge ne manque pas non plus de musées et festivals : chacun trouvera son bonheur ! Le Centre belge de la BD est un incontournable. Il vous en dira plus sur l'histoire du 9e art de manière ludique et pédagogique.
  • ANVERS : (ou Antwerpen en flamand) est le «diamant des Flandres». Certes il s'agit d'un petit bijou, mais ce surnom est surtout dû à l'industrie diamantaire qui s'y est développée. Anvers est une ville où il fait bon flâner : les rues et les ruelles du centre historique sont bordées de monuments à l'architecture remarquable. C'est aussi la première ville de Flandre. Très active culturellement, elle a accueilli de nombreux artistes et intellectuels qui ont été acteurs de son histoire.


  • WATERLOO est surtout connue pour la bataille qui s'y est déroulée en juin 1815. La fameuse butte du Lion est l'un des symboles de la ville. Cet amas de terre surmonté d'une statue de lion gigantesque a été érigée en 1826 pour célébrer la gloire nationale. À seulement quelques kilomètres de Bruxelles, c'est une ville verte entouré de vallons et de bois. Une escapade parfaite lors d'un séjour dans la capitale !


  • LIEGE est surnommée « la cité ardente » tant en référence à son industrie sidérurgique qu'à son ambiance bouillonnante. En effet, elle est réputée dans toute la Belgique pour la convivialité légendaire de ses habitants et leur sens de la fête. Mais ce n'est pas tout. Liège possède aussi un patrimoine plutôt riche qui vous fera marcher sur les traces de Charlemagne (il y serait né...) ou encore Simenon. On y trouve même des empreintes préhistoriques et les vestiges d'une villa gallo-romaine !


  • GAND : est l'un des trésors cachés de la Belgique. Souvent oublié au profit de Bruges, elle est pourtant une ville pleine de charmes. Elle aussi bordée de canaux, Gand séduit ses visiteurs. Pour une meilleure vue sur la ville, grimpez au sommet du donjon du Château des Comtes de Flandres. Cette forteresse monumentale voulue par Philippe d'Alsace était l'un des symboles de sa puissance. Gand a également une vie culturelle intense et abrite un musée d'art contemporain très réputé : le SMAK.


  • NAMUR : capitale de la Wallonie, Namur possède un patrimoine historique et architectural particulièrement intéressant. Ses nombreux monuments des siècles passés ont tous conservé leur apparence d'origine grâce au travail de rénovation engagé depuis plusieurs années. Le monument le plus notable est sans aucun doute la citadelle. Il s'agit de l'une des plus grandes forteresses d'Europe. La ville se découvre à pied, en prenant soin d'observer les nombreux édifices autour de soi. Une visite de la région permet aussi de découvrir les campagnes aux alentours car à Namur,la nature n'est jamais vraiment loin.


  • MONS : capitale Européenne de la Culture en 2015, Mons reste plutôt méconnue malgré son charme fou. Elle compte pas moins de trois sites classés au Patrimoine de l'Unesco. Un bien beau palmarès ! Son beffroi baroque est unique en Belgique. Il culmine à 87 mètres de hauteur et abrite un véritable trésor : un carillon de 49 cloches en bronze.


  • LOUVAIN : Autre capitale de la culture... universitaire cette fois : Louvain. C'est sans conteste la ville la plus jeune et la plus dynamique de Belgique. Elle accueille la plus ancienne université du pays et ses rues s'animent le soir venu. Louvain est d'ailleurs la capitale de la bière. En bordure du Dyle, la célèbre Stella Artois est brassée et la taverne-brasserie Domus vous sert ses bières depuis la cuve.

Le plus grand aéroport du monde ouvre ses portes à Istanbul

Un aéroport destiné à devenir « le plus grand du monde ». Le président turc Recep Tayyip Erdogan doit inaugurer en grande pompe, ce lundi, le nouvel méga-aéroport d’Istanbul, une vitrine des grands projets d’infrastructures qui ont transformé la Turquie depuis son arrivée au pouvoir.
Le nouvel aéroport d'Istanbul (Turquie) a été inauguré le 29 octobre 2018. L'aéroport devrait accueillir 90 millions de voyageurs, puis 200 millions de passagers en 2028.

Cet aéroport, qui remplacera celui d'Atatürk arrivé à saturation, aura, dans un premier temps, une capacité de 90 millions de passagers par an, puis 200 millions en 2028. Le président Erdogan a suivi de près la construction de cet aéroport sur la rive européenne d'Istanbul, près de la mer Noire, qui a été marquée par des retards et par une grève d’ouvriers demandant l’amélioration de leurs conditions de travail.




Une ouverture prévue le 29 décembre

Ce projet s’inscrit dans la volonté du président turc de faire de l’ex-capitale de l’Empire ottoman un carrefour mondial entre trois continents, l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Recep Tayyip Erdogan doit annoncer, ce lundi, le nom du nouvel aéroport. Nombre d’observateurs s’attendent à ce que le président turc, nostalgique de l’Empire ottoman, le baptise d’après un sultan.
La construction, qui s’est faite à marche forcée, a pris du retard et le nouvel aéroport ne tournera à plein régime qu’à partir du 29 décembre. Jusqu’à cette date, seulement cinq vols quotidiens y seront assurés et l’aéroport Atatürk restera ouvert. Cette transition de deux mois permettra de tester l’aéroport et d'« identifier des points à améliorer », a expliqué Kadri Samsunlu, le PDG d’IGA, le futur opérateur de l’aéroport.
Lorsque les quatre phases de construction et d’expansion seront terminées, vers 2028, cet aéroport comptera six pistes et deux terminaux répartis sur un gigantesque site de 76 kilomètres carrés, selon l’IGA. Le nouvel aéroport pourra alors, selon l'IGA, accueillir jusqu'à 200 millions de passagers par an. Soit près du double de l’aéroport américain d’Atlanta qui occupe actuellement la première place avec 103,9 millions. L’édifice, d’une valeur de 10,5 milliards d’euros, présente un visage futuriste avec de nombreuses ouvertures vitrées, des lignes courbes et des équipements dernier cri.
Un défi de taille sera le transfert des équipements de l’aéroport Atatürk au nouveau site lors d’une opération délicate fin décembre qui durera 45 heures. Turkish Airlines, fleuron de l’économie turque, qui assurera mercredi le premier vol commercial du nouvel aéroport à destination d’Ankara, compte tirer parti des dimensions du nouvel aéroport pour élargir son offre. « L’an prochain, nous allons ajouter 40 appareils à notre flotte. D’ici 2023, nous transporterons 120 millions de passagers par an », explique un cadre de la compagnie ayant requis l’anonymat.

Racine carrée : le fabuleux destin de √2



Le fabuleux destin de √2 débute sur la tablette d'argile d'un scribe babylonien. Depuis, ce nombre hors du commun n'a cessé de marquer les esprits, donnant à voir une foule de richesses et de splendeurs mathématiques.
Lorsque l'on demande à un mathématicien de constituer une liste des nombres qui lui semblent les plus remarquables, il cite en général le nombre pi, puis le « nombre d'or », et enfin quelques autres plus « savants » comme e (base des logarithmes népériens), i (base des imaginaires purs) ou encore γ (constante d'Euler). Un peu curieusement, la racine carrée de 2, pourtant extraordinaire à plus d'un titre, est souvent oubliée.


La racine carrée de 2, une porte vers l'infini ? © David Vignoni, Wikimedia commons, DP
La racine carrée de 2, une porte vers l'infini ? 

Jair Bolsonaro élu président du Brésil


media

Le candidat d'extrême droite Jair Bolsonaro (g.)
 et son adversaire du Parti des travailleurs, Fernando Haddad.


D'après le Tribunal supérieur électoral, le candidat d'extrême droite a remporté la présidentielle brésilienne haut la main.



Résultat de recherche d'images pour "Jair Bolsonaro élu président du Brésil"
Le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro,
 a été élu dimanche président du Brésil.

Le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro, a été élu dimanche président du Brésil, avec 55,7 % des suffrages, devançant largement son adversaire de gauche Fernando Haddad, à 44,3 %, selon des résultats officiels non définitifs. Ces résultats portant sur 88,8 % des bulletins ont été communiqués par le Tribunal supérieur électoral (TSE), au soir du second tour de la présidentielle dans la plus grande puissance d’Amérique latine.
Quelque 147 millions de Brésiliens ont voté pour départager le sulfureux candidat d’extrême droite, qui était le grand favori, de son adversaire du Parti des Travailleurs (PT) de l’ex-président emprisonné Lula. Jair Bolsonaro succédera à Brasilia au président Michel Temer, pour un mandat de quatre ans, au 1er janvier 2019.

Des partisans de Jair Bolsonaro célèbrent sa victoire, devant le Congrès à Brasilia,  le 28 octobre.

Un choix plus par rejet que par conviction
Une foule de plusieurs milliers de ses sympathisants s’est réunie en début de soirée devant son domicile pour célébrer la victoire du député dans un quartier aisé de Rio de Janeiro. Après le scrutin du 7 octobre qui a vu Bolsonaro frôler une élection dès le premier tour (46 % des suffrages), les Brésiliens ont fait leur choix plus par rejet que par conviction : « Contre la corruption » pour le candidat d’extrême droite, « contre la haine » pour celui de gauche.
Après une dure campagne de l’entre-deux tours, alimentée par des discours de haine et émaillée de violences, le vote s’est déroulé dans le calme, a confirmé le ministre de la Sécurité publique, Raul Jungmann. Le président sortant Michel Temer a indiqué de son côté que la transition débuterait « dès demain », lundi.

Pays en crise
Dans un pays miné par une violence record, le marasme économique, une corruption endémique et une crise de confiance aiguë dans la classe politique, Jair Bolsonaro a réussi à s’imposer comme l’homme à poigne dont le Brésil aurait besoin.
Catholique défenseur de la famille traditionnelle, il a reçu le soutien crucial des puissantes églises évangéliques et a indigné, par ses déclarations outrancières, une bonne partie des Noirs, des femmes et des membres de la communauté LGBT.
Fernando Haddad, 55 ans, avait promis de « rendre le Brésil heureux de nouveau » comme sous les mandats de Lula dans les années de croissance (2003-2010). Mais il n’a pas fait l’autocritique du PT, jugé responsable par beaucoup des plaies actuelles du pays, notamment la corruption.


Résultat de recherche d'images pour "Jair Bolsonaro élu président du Brésil"

Lubrifiant

Le rôle d'un lubrifiant est de réduire les frottements.

Les lubrifiants en mécanique
Dans le secteur de la mécanique, on emploie un lubrifiant pour diminuer les frottements entre deux pièces en phase de fonctionnement, mais aussi au moment de l'usinage. L'opération permet, du même coup, de limiter les échauffements.


Résultat de recherche d'images pour "lubrifiants"


Types de lubrifiant
Il existe des lubrifiants de différentes sortes :
     - les lubrifiants solides comme le graphite, les cires ou certains polymères ;
     - les lubrifiants liquides comme les silicones ou l'huile de vaseline ou au      Teflon ;
     - les lubrifiants pâteux comme la graisse au lithium ou la graisse siliconée, cette dernière étant spécialement conçue pour une lubrification en milieu humide.

Lubrifiants et nanotechnologies
Les lubrifiants à base de nanoparticules, apparus il y a quelques années, affichent des performances bien supérieures à celles des lubrifiants classiques. Les fullerènes inorganiques de bisulfures de molybdène (IF-MoS2), par exemple, présentent des propriétés lubrifiantes exceptionnelles. Utilisées pour la lubrification de pièces pour automobile, ces nanoparticules pourraient permettre, en diminuant les pertes énergétiques liées aux frottements, de réduire la consommation de carburant et donc les émissions polluantes.

Les lubrifiants anatomiques naturels
Les lubrifiants ne servent pas que dans le domaine de la mécanique. Il existe également des lubrifiants dits « anatomiques ». Le corps sécrète ainsi naturellement des fluides comme la synovie, qui sert à lubrifier les articulations. Des lubrifiants artificiels peuvent être employés pour introduire un corps étranger, au moment d'une coloscopie, par exemple.

Lubrifiants sexuels et gels intimes
Les lubrifiants sexuels constituent une famille particulière de lubrifiants anatomiques. Lorsque la lubrification vaginale naturelle n'est pas suffisante, il est possible d'avoir recours à des gels intimes à base d'eau qui présentent le grand avantage d'être biologiquement neutres et, en même temps, compatibles avec l'utilisation d'un préservatif.


Résultat de recherche d'images pour "lubrifiants"

Allemagne : Après un revers électoral, Angela Merkel renonce à la présidence du parti CDU


Résultat de recherche d'images pour "Angela Merkel "

Angela Merkel va quitter la présidence de son parti chrétien-démocrate (CDU) en décembre, selon un responsable de la formation, au lendemain d’un cuisant revers électoral.

« Elle ne se représente plus à la présidence du parti », a indiqué un responsable du parti sous couvert d’anonymat, confirmant une information des éditions en ligne du magazineder Spiegel et du quotidien Handelsblatt. Le parti de centre droit d’Angela Merkel et son partenaire social-démocrate au sein de la coalition qui gouverne à Berlin ont subi de sévères pertes lors d’élections régionales clés, ce dimanche en Allemagne, rendant un peu plus incertaine la survie de son gouvernement.



Conte marocain: La légende de Hayna et le Ghoul

Résultat de recherche d'images pour "La légende de Hayna et le Ghoul"

Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle, heureuse et amoureuse de Adil qui l'aimait en retour.
Lorsque celui-ci du se rendre dans un village lointain pour apprendre le Coran, il promit de l'épouser dès son retour.
Un jour, les filles du village se rassemblèrent pour aller ramasser du bois dans la forêt. La mère de Hayna refusa de laisser sa fille sortir de la maison avant le retour de son fiancé. Les filles insistèrent et voyant Hayna en sanglots, sa mère accepta de la laisser sortir sans oublier de lui donner des conseils et de la mettre en garde contre les dangers de la forêt à la tombée de la nuit.
Il faisait très beau ce jour-là et dans la journée personne n'avait peur de la forêt. Les filles commencèrent à rassembler des branches mortes en chantant. Alors qu'elles ramassaient du bois, l'une d'entre elles trouva un collier. Une deuxième trouva un bracelet. Une troisième trouva une bague. Hayna trouva quant à elle un tison en or. Elle accrocha le tison à son ballot, mais il tomba. Elle le ramassa et l'accrocha à sa ceinture, mais il tomba de nouveau. Elle tentait désespérément de le ranger mais il tombait à chaque fois. À  travers la forêt, ses amies prenaient de l'avance et s'éloignaient d'elle petit à petit.
En fin d'après-midi, une fois les fagots de brindilles ficelés, toutes les filles se préparaient à reprendre le chemin du village mais Hayna n'arrivait pas à lier ses fagots et ne pouvait pas les rejoindre.
Résultat de recherche d'images pour "hayna et le ghoul"
Le soir approchait et le ciel se couvrait rapidement d'épais nuages noirs. Le tonnerre gronda, un orage allait éclater. Tout à coup, dans l'obscurité qui envahissait l'épaisse forêt, un Ghoul (ogre) apparu. Toutes les jeunes filles s'échappèrent en criant. Hayna, encombrée par ses bûches mal ficelées se fit vite rattraper par le Ghoul qui se précipita vers elle. Il l'attrapa d'un seul bras et l'emporta dans sa tanière...
Résultat de recherche d'images pour "La légende de Hayna et le Ghoul"
Un jour, Adil revint de son voyage. On lui raconta que Hayna était morte et on lui montra une fausse tombe en jurant que c'était là la tombe de Haina. Adil prit alors l'habitude de s'asseoir au bord de la tombe et de lire le Coran. Un jour, une vieille femme qui faisait paître ses vaches, laissa s'échapper l'une d'entre elles qui alla piétiner la tombe. Adil lança une pierre pour faire fuir la vache. C'est à ce moment que la vieille femme lui annonça que ce qu'il protégeait n'était pas la tombe de sa fiancée, mais seulement un morceau de pierre caché sous la terre. Il creusa alors la terre jusqu'à ce qu'il découvre la pierre cachée.

Résultat de recherche d'images pour "La légende de Hayna et le Ghoul"

Il se rendit furieux chez sa mère et lui la força à lui dire où était passée Hayna. Celle-ci lui avoua finalement qu'elle avait été enlevée par le Ghoul.  Adil enfourcha son cheval et parti aussitôt à la recherche de sa bien-aimée.
Arrivé devant une colline bleue, il lui demanda :
- Oh colline bleue, pourquoi deviens-tu encore plus bleue ?
- C'est parce que Hayna est passée par ici.
Arrivé devant une colline verte, il lui demanda :
- Oh colline verte, pourquoi deviens-tu encore plus verte ?
- C'est parce que Hayna est passée par ici.
Arrivé devant une colline orange, il lui demanda :
- Oh colline orange, pourquoi deviens-tu encore plus orange ?
- C'est parce que Hayna est passée par ici.
Arrivé devant une colline jaune, il lui demana :

- Oh colline jaune, pourquoi deviens-tu encore plus jaune ?
- C'est parce que Haina est passée par ici.
Lorsqu'il arriva à la colline blanche, il demanda :
- Oh colline blanche, pourquoi deviens-tu encore plus blanche ?
- C'est parce que Haina habite ici.
Adil aperçu alors une maison sur la colline, la maison du Ghoul. Il s'approcha prudemment et aperçu un coq auquel il demanda d'informer Hayna de sa visite. Le coq entra dans la maison pour la prévenir mais Hayna ne le crut pas. Il retourna voir Adil qui lui dit :
- Dis moi, que fait Hayna en ce moment ?
- Elle tisse la laine et le Ghoul est parti à la chasse.
- Alors retournes-y, emêle tes griffres dans la laine et reviens par ici. Elle te suivra.
Hayna découvrit ainsi son fiancé et fut envahie de soulagement. Cependant, elle lui dit tristement :
- Tu as pris tant de risques, mais le Ghoul reviens bientôt. Tu dois te cacher.
Elle cacha alors Adil dans un cellier. Lorsque le Ghoul arriva, il renifla et dit à Haina :
- Hayna, traitresse ! L'odeur de l'intrus est dans ma maison !
- Il n'y a ni intrus ni personne. Voici mes cheveux, prends les et allons nous coucher.
Le Ghoul avait l'habitude de s'endormir en tenant la longue chevelure de Hayna dans son épaisse main velue pour l'empêcher de s'échapper pendant son sommeil. Alors qu'il dormait profondément, Adil sortit de sa cachette pour délivrer Hayna. D'un coup de couteau, il coupa les cheveux qui retenaient Hayna prisonnière. Ainsi délivrée, Hayna se précipita pour jeter du sel sur tous les ustensiles magiques de la maison qui pourrait prévenir le Ghoul de sa fuite, mais elle oublia d'en mettre sur le pilon.   Alors qu'elle s'installait sur le cheval de son ficancé, qui les attendait dehors, le pilon se mit à crier :
- Tan tan, la tête qui ne s'éveille pas, tan tan, Hayna s'est enfuie !
L'ogre se réveilla brusquement et les poursuivit en vain jusqu'à l'épuisement. Résigné, il leur lança alors : "Si vous voyez deux corbeaux qui s’entre-tuent ne les séparez pas. Si vous voyez deux montagnes qui s’accrochent, ne passez pas entre elles."
Mais Adil passa outre les recommandations du Ghoul. Il passa tout de même entre les deux montagnes et il perdit alors son cheval. Lorsqu'il sépara les deux corbeaux, il fut dévoré par l'un deux et se transforma lui-même en corbeau, tandis que Hayna fut transformée en chienne. 
Résultat de recherche d'images pour "Hayna et le Ghoul"
Elle fut alors adoptée par une famille de chasseurs qui vivaient dans une maison non loin de là.
Résultat de recherche d'images pour "Adil le corbeau"

Tous les soirs, Adil sous forme de corbeau venait prendre des nouvelles de sa bien-aimée :
- Hayna, ô Hayna, de quoi dînes-tu ce soir ?
- Mon dîner est de dormir avec les chiennes.
- Quelle tristesse...
Un jour pourtant, le père de famille demanda à sa femme de préparer un bon dîner pour la chienne et de la faire dormir parmi ses filles. Ce soir-là, le corbeau revint poser la même question :
- Hayna, ô Hayna, de quoi dînes-tu ce soir ?
- Mon dîner est prêt et cette nuit je dors entre les filles.
- Quelle joie !
La légende de Adil et Hayna se répandit jusqu'aux oreilles du père de famille qui reconnut là son propre fils disparu. Il demanda alors conseil à un vieillard du village qui lui suggéra d'égorger un boeuf noir sans aucune tache blanche et d'inviter tous les oiseaux à dîner. Ainsi viendrait le corbeau qui a absorbé son fils et lorsqu il mangerait du boeuf, il ne pourrait plus s'envoler et le sors pourrait être levé.
Le père égorgea le boeuf comme on le lui avait conseillé et invita tout les oiseaux à dîner. Lorsque le corbeau arriva à son tour et mangea parmi eux, il ne pu s'envoler. Le père lui demanda alors :
- Rends-moi mon fils.
- Je te le rendrai aveugle !
- Rends-moi mon fils comme tu l'as pris.
- Je te le rendrai boiteux !
- Rends-moi mon fils comme tu l'as pris.
Enfin le corbeau se résigna à libérer Adil sain et sauf comme le désirait son père.
Lorsque Adil revint auprès de sa famille, il leur annonça qu'il voulait épouser la chienne. Dans l'enthousiasme des retrouvailles, personne ne pu le contrarier. Il emmena alors la chienne au bain et lui demanda de retirer sa peau. Hayna reprit soudain sa forme humaine et leur mariage fut célébré durant sept jours et sept nuits...

5G : Le très haut débit mobile va tout changer.

  • ULTRA-RAPIDE : Elle promet jusqu’au débit de la fibre, mais sur son mobile. Pourtant la 5G ne sera pas juste une mise à jour de la 4G, mais un réseau pour tous les objets connectés, et pas seulement nos smartphones. Du jeu vidéo à la télémédecine, de l’industrie au divertissement, la 5G promet de s’insérer partout dans nos vies, en donnant aux applications mobiles la même rapidité et la même réactivité qu’une connexion fixe.
  • UN NOUVEAU RÉSEAU : Certains pays ont déjà commencé à mettre en place leurs réseaux 5G, en Asie et aux États-Unis, la France suivra bientôt, avec une inconnue : comment déployer les milliers de nouvelles petites antennes qui devront être installées pour tenir les promesses du très haut débit mobile ?

  • TOP DÉPART EN 2019  : Les premiers smartphones compatibles devraient être annoncés au Mobile World Congress de Barcelone, en février prochain