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Au festival Photo Phnom Penh, les regards d’ici et d’ailleurs se croisent

Créé en 2008 à la demande d’Alain Arnaudet, alors directeur du Centre culturel français, le festival Photo Phnom Penh (PPP) reste cette année fidèle à ses principes : soutenir et favoriser l’émergence d’une scène photographique cambodgienne – en élargissant ses frontières jusqu’à l’Asie du Sud-Est. « L’idée centrale est celle de rencontres et d’échanges entre créateurs européens et asiatiques. Même si cela s’avère de moins en moins facile au niveau des autorisations, l’installation d’expositions dans l’espace public est essentielle pour toucher un large public qui, généralement, n’ose pas pousser la porte d’une galerie ou d’un centre culturel », nous a confié Christian Caujolle, le commissaire du festival depuis ses débuts, et qui a programmé 14 expositions cette année. Réalisée avec le soutien de l’Institut français, cette 9e édition, qui mélange des photographes asiatiques et des artistes européens ou américains, propose également des lectures de portfolios, des conférences, des ateliers, des rencontres, des visites d’expositions avec les artistes et des concerts.
  • Floriane de Lassée, « How Much Can You Carry ? », 2010-2018
Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une  dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

  • Lim Sokchanlina, « Wrapped Future », 2015-2018
Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

  • Mak Remissa, « From Hunting to Shooting », 2016-2017
Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ». Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ».  Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

  • Olivier Culmann, série «  The Others ‒ Inde », 2009-2013
Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.

Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.


  • Ly Min, 2018
Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.


Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.

  • Yang Ming, 2010-2018
Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


  • Alexey Shlyk, 2017
Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


  • Charles Fréger, « Yokainoshima », 2013-2015
Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


  • JH Engström, 2015-2017
Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.

Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.


  • Daesung Lee, « Futuristic Archaeology», 2014
Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.


Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.

  • Michael Vickery, années 1960
Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.


Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.



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