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Fête des Amandiers de Tafraout.


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Les amandiers fleurissent habituellement en janvier-février, et colorent la ville de Tafraout de teintes vives et éclatantes. Mais depuis quelques années, ils sont parfois en fleurs dès le mois de décembre, la sécheresse provoquant leur floraison précoce.

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Pour célébrer ce signe avant-coureur du printemps, des fêtes sont organisées en février avec danseurs, musiciens et conteurs « fête des amandiers ».

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Le festival ambitionne de contribuer à la valorisation du patrimoine de l’Anti-Atlas et à l’amélioration des conditions socio-économiques des populations locales à travers la consolidation des principes de l’économie sociale et solidaire.

Combien de temps peut-on garder ses restes au frigo ?

Gratin, poêlée de légumes, quiche ou reste de pâtes... Des petites portions de nos repas qui finissent bien souvent au réfrigérateur. Une bonne astuce pour éviter le gaspillage. Mais garder les restes au frais est-il sans danger ?
Tout ce qui est préparé à base de laitages et d'oeuf sera plus sensible que les préparations à base de légumes. Conserver les restes n'est jamais très dangereux mais une mauvaise conservation risque de causer des intoxications alimentaires ou des problèmes digestifs. Rien de dramatique mais pas très agréable !

Pour conserver ses restes, il est impératif de les garder dans une boite hermétique, en plastique ou idéalement en verre. Le couvercle est également vivement recommandé pour conserver les aliments longtemps et dans de bonnes conditions.


Combien de temps faut-il conserver ses restes ? 

  • Le poisson cuit : 2 jours
  • La viande : 3 jours maximum
  • Les gratins à base de crème : 1 ou 2 jours maximum
  • Les gratins à base de légumes : 3 jours
  • Les légumes cuits : 3 à 5 jours maximum
  • Les quiches : 2 jours
  • Les plats en sauce : entre 1 et 2 jours
  • Les laitages en pot (yaourts, crème fraîche, fromage blanc) : 2 jours en essuyant les bords et avec un couvercle
  • Les desserts maison type gâteau : entre 2 et 3 jours
  • Les desserts à base de fruit ou de crème : à consommer le lendemain de la préparation
Retenez que plus la préparation contient des ingrédients tels que de la crème, du beurre ou du fromage, moins longtemps elle se gardera.
Respectez également les dates de péremption des aliments. Si vous avez un doute sur la fraîcheur d'un produit, l'odeur ou le goût sont de bons indicateurs.
Enfin, veillez à conserver vos restes dans un frigo bien rangé et propre pour éviter le développement de germes et bactéries.
Si vous avez un doute, le mieux est de congeler vos restes.


Le coronavirus est-il plus dangereux que la grippe, le Sras ou Ebola?

Alors que le bilan de l’épidémie qui sévit actuellement en Chine s’alourdit de jour en jour, le nouveau coronavirus (2019-nCoV) en ferait presque oublier les autres virus, habituellement sur le devant de la scène. Celui de la grippe saisonnière, qui a déjà fait 22 morts en France cette année, ou celui du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras), à l’origine d’une épidémie fin 2002. Sans oublier le virus Ebola qui, depuis 1976, a fait près de 15.000 morts en Afrique selon l’Organisation mondiale de la Santé.

Ce nouveau coronavirus est-il pire ? Mérite-t-il toute l’attention que le monde lui porte ?
Pour comparer la dangerosité de plusieurs virus, il faut s’intéresser à leur capacité à tuer (taux de létalité), à provoquer des cas graves (taux de complications) et à leur habileté à passer d’une personne à une autre (taux de transmission). Concernant le nouveau venu, tout cela n’est pas encore très clair. «Nous disposons de très peu de données sur ce nouveau coronavirus, et celles que nous avons ont un niveau d’incertitude très élevé, explique le Dr Sibylle Bernard-Stoecklin, épidémiologiste à la direction des maladies infectieuses à l’Agence Santé publique France. Nous ne savons pas, par exemple, à quel point ce virus est transmissible ou virulent.»

Un taux de mortalité plus faible que le Sras
Pour l’heure, 7783 cas de personnes atteintes par 2019-nCoV ont été confirmés. La très grande majorité (98,6%) est concentrée en Chine. Parmi ces personnes, 170 sont décédées et au moins 133 sont guéries. «Nous savons que beaucoup des malades sont touchés par une forme mineure de l’infection, mais que 20% des cas sont sévères et 2% sont décédés», a indiqué le Dr Michael J. Ryan, directeur exécutif du programme d’urgence de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), lors d’une conférence de presse qui s’est tenue le 29 janvier, en précisant que ces données étaient susceptibles d’évoluer dans les prochains jours. Par comparaison, 50% des cas de Sras étaient des formes sévères.
Un taux de mortalité de 2%, c’est bien moins que celui du virus du Sras. En 2002-2003, ce coronavirus, très proche cousin de 2019-nCoV, avait contaminé 8098 personnes dans une trentaine de pays et fait 774 morts. Son taux de létalité a été estimé à 43% chez les plus de 60 ans et 13% chez les moins de 60 ans. C’est moins que le taux de létalité moyen du virus Ebola, estimé à 25% mais pouvant aller jusqu’à 90%. Quant à la grippe, sa létalité est bien inférieure à celle des autres virus, de l’ordre de 0,3%. En France, cela représente environ 10.000 décès chaque année.
A ce stade, le taux de mortalité du nouveau coronavirus «chinois» peut toutefois encore évoluer. «Certaines personnes peuvent être infectées sans pour autant avoir de symptômes, ce qui fait que l’on ne connaît pas le nombre réel de personnes touchées», indique le Dr Bernard-Stoecklin. Ainsi, si le nombre de cas total est plus important que celui affiché actuellement et si le nombre de morts n’augmente pas drastiquement dans les prochaines semaines, la mortalité va automatiquement diminuer.

Un peu plus contagieux que la grippe
Entre le 23 et le 30 janvier, le nombre de cas de 2019-nCoV a été multiplié par 7. Cela en fait-il un virus très contagieux? D’après une étude publiée le 29 janvier dans le New England Journal of Medicine, la contagiosité du virus (appelée «taux de reproduction de base») serait approximativement de 2,2. Cela signifie qu’en moyenne, chaque malade a infecté à son tour 2,2 personnes. D’autres équipes ont réalisé ce travail et obtiennent des taux allant de 1,4 à 5,5. Par comparaison, le Sras a un taux de reproduction de 3, la grippe de 1,2 à 1,4 et, pour Ebola, ce taux est compris entre 1 et 2.
C’est très peu, au regard du taux de la rougeole (compris entre 12 et 18) ou de celui des rotavirus, responsables des épidémies de gastro-entérite (environ 18). Tout comme le taux de mortalité, le taux de reproduction de base de 2019-nCoV est encore susceptible évoluer, d’autant qu’il dépend autant des caractéristiques biologiques du virus que de facteurs humains (densité de population, mesures d’hygiène etc.). Ce n’est qu’à la fin de l’épidémie, une fois que toutes les données seront disponibles, qu’il pourra être établi de façon définitive.

Brexit : ce qui va changer le 1er février entre le Royaume-Uni et l’UE


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Le 31 janvier 2020 à 23 heures à Londres, le Royaume-Uni ne fera plus effectivement parti de l’Union européenne. Pour autant, une période de transition protégera les citoyens européens d’outre-Manche, les Britanniques en Europe et l’économie des deux partenaires.


Brexit : ce qui va changer le 1er février entre le Royaume-Uni et l’UE

Big Ben ne sonnera pas le Brexit. Des députés conservateurs anglais proposaient de « fêter » la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne à 23 heures (GMT, minuit heure de Paris) vendredi 31 janvier en remettant en service le clocher, en travaux depuis 2017, exprès pour l’occasion. Mais c’est impossible, Big Ben restera en travaux.

Festival de la fraise de Moulay Bousselham.




Moulay Bousselham, petite ville située en bord de l’océan Atlantique entre Kénitra et Tanger, est connue pour sa plage et sa belle lagune. Elle est aussi réputée pour sa culture de fraises précoces, celles qui sont récoltées dès le mois de décembre.


La fraise de Moulay Bousselham, qui est de très bonne qualité, s’exporte beaucoup vers l’Europe et fait la richesse de la région. Le festival de la fraise a lieu au mois de mars ou avril et rassemble tous les producteurs de fraise de la région.
L’objectif de ce festival est d’informer tous les agriculteurs sur l’existence de techniques de production plus économes en eau, en énergie, en produits chimiques et plus respectueuses de l’environnement.



La Fête des roses Kelaat M’Gouna.



La fête des roses est organisée au mois de mai. Cette fête, qui dure 7 jours, célèbre l’arrivée des roses des vallées du Dadès et du M’Goun.
Durant ce festival, Kelaat M’Gouna double sa population. Elle est prisée par tous les marocains habitant les autres villes du royaume et des touristes étrangers, venant découvrir une région connue pour ses parfums et produits cosmétiques à base de l’eau de rose ainsi que pour l’accueil et la chaleur de ses habitants.



Le Festival des cerises de Sefrou.

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Fête des cerises ou Moussem Hab Al-Moulouk «  Moussem du fruit des rois » , est une manifestation qui a lieu chaque année à Sefrou, à une vingtaine de kilomètres de Fès. Son origine remonte à 1920.







Le Festival des cerises est organisé au mois de juin, un évènement classé patrimoine immatériel de l’humanité depuis 2012 par l’Unesco.

Le moment phare du festival des cerises est la cérémonie de couronnement de Miss Cerisette, marquée par des parades inédites, des spectacles folkloriques et des concerts musicaux en plein air.


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Considéré comme le doyen des festivals du Maroc, ce rendez-vous culturel prévoit une panoplie d’activités : des tables rondes animées par de nombreux chercheurs et universitaires.

À Paris, le camp de la honte

Porte d’Aubervilliers, au ras du périphérique, 2 000 migrants survivent dans un flot d’indifférence.


Le terrain boueux, casse-gueule, se traverse en équilibriste. Couvertures, bâches, tapis, sacs de couchage retiennent tant bien que mal de la glissade. La gadoue qui les recouvre ne gêne plus les adolescents qui circulent en sandalettes, sans chaussettes. Au pied du muret qui longe la bretelle d’accès au périphérique, un amoncellement de détritus, sur 350 mètres ; des montagnes de vêtements usagés, trop humides pour être portés plusieurs jours : l’hiver les empêche de sécher. Environ 2 000 migrants survivent dans cette poubelle géante, bidonville indigne à 3 kilomètres du Sacré-Cœur. Afghans, Soudanais, Erythréens, Somaliens et, depuis peu, Iraniens et Koweïtiens. A la nuit tombée, une armée de rats vient quasiment doubler cette population. Ils pénètrent sans gêne dans les cabanes et les tentes endormies, y déposent leur urine nauséabonde.

Brossage de dents pour cet Erythréen. 
Au milieu des détritus, il est vital
 de rester attentif à son hygiène.
Les cabanes, minuscules, bricolées avec des morceaux de tôle et de contreplaqué offerts par les Roms, s’alignent sur la partie haute du camp. On en compte une soixantaine, la plupart aménagées avec un soin émouvant : au sol, lino carrelé, tabourets rouillés ou fauteuils éventrés ; un seau ou une bassine d’eau ; un réchaud. Des étagères branlantes portent le strict nécessaire pour la toilette et les maigres provisions. Des bougies éclairent un morceau de verre souvent brisé, miroir de fortune. Le lit : une planche en bois et un matelas en mousse détrempé où se serrent deux, trois personnes.
On ne compte plus les tentes, collées les unes aux autres, de toutes tailles et couleurs, où s’entassent entre trois et huit personnes.


Fête du Miel d’Imouzzer.




Chaque année, en juillet ou en août, la région d’Imouzer Ida Outanane, commune rurale de la province d’Agadir, célèbre son trésor : le miel. Durant le moussem du miel, la ville d’Imouzzer Ida Outanane  et alentours organisent des conférences, des expositions, des marchés et des spectacles afin de mettre en valeur les divers miels locaux, connus pour leur haute qualité. On y découvre et goûte des miels de différentes production : du miel de thym, du miel de cactus, du miel de lavande, du miel d’euphorbe ou encore du miel d’oranger…


Depuis plusieurs années, ce festival est une véritable vitrine pour le Maroc.

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