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Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Un coucher de soleil sur la basilique saint Pierre

Les photos de la semaine
CITE DU VATICAN. Un coucher de soleil
 sur la basilique saint Pierre.
 
 


Les meilleures fêtes du monde.


- Fête des couleurs en Inde.
En Inde, la pleine lune du mois de mars est l'occasion de fêter la fin de l'hiver avec Holî, la fête des couleurs. Ce jour-là, tout le monde s'asperge de poudres de couleurs jusqu'à transformer la ville en arc-en-ciel.



- Bataille d'eau en Thaïlande.
Durant la fête de Songkran, les statues de bouddhas sont sorties pour les rituels de purification. A leurs côtés, un pays entier se lance dans une immense bataille d'eau.
Du 15 au 17 Avril, et toute la semaine du 15 avril à Chiangmai, dans le Nord du pays.



- Queen's Day : à la santé de la Reine !
Enfilez votre plus beau t-shirt orange, et allez trinquer à la santé de la Reine dans les rues d'Amsterdam ou sur le pont d'un bateau.
Le 29 avril au soir et le 30 avril dans tous les Pays-Bas, en particulier à Amsterdam



- La Tomatina à Buñol en Espagne.
Tout a commencé par une baston entre copains il y a plus de 60 ans. Aujourd'hui, c'est la fête de village la plus déjantée du Monde. Tomates au poing, on vous donne rendez-vous à la fin de l'été sur la côte espagnole.
Le dernier mercredi d’août à Buñol, dans la région de Valence.



- Une fête dans le désert du Nevada
Burning Man ? C'est une ville éphémère où se rejoignent chaque année 50 000 personnes. Une semaine de délires artistiques pendant laquelle "personne n'est spectateur, tout le monde crée".



- Oktoberfest, à Munich en Allemagne : la meilleure fête du monde a plus de 200 ans et attire plus de 6 millions de visiteurs chaque année, à Munich, sous les tentes géantes du bonheur mousseux. Attention : la bière n’est servie qu’aux personnes assises (mais vous pouvez tricher et venir avec un tabouret). Cette fête a pour origine les noces du prince-héritier Louis Ier de Bavière et la princesse Thérèse de Saxe-Hildburghause le 2 octobre 1810 ; tous les habitants de Munich furent conviés et décidèrent de réitérer les festivités chaque année. La meilleure idée depuis 200 ans.



- Songkran, en Thaïlande : après les tomates, la flotte: marquant à la fois le Nouvel An thaï, le début de l’été, et la fête de l’eau cette fête met toutes les régions en effervescence. À Chiang Maï par exemple, il est impossible de se promener sans se faire asperger d’eau plusieurs fois, mais hormis les batailles d’eau, on peut assister à de nombreux spectacles, défilés, dégustations…



- Groundhog Day, Canada et Etats-Unis : la fête de la Marmotte a lieu le jour de la Chandeleur, le 2 février. les habitants des villes canadiennes et de certains États du nord des États-Unis passent leur journée à attendre qu’une marmotte veuille bien sortir de son terrier. La légende veut qu’à cette date, si la marmotte montre le bout de son nez et parvient à voir son ombre à cause du soleil, elle retournera se coucher pendant encore six semaines, et l’hiver continuera. Par contre, si le temps est nuageux et qu’elle ne prend pas peur de son ombre, elle restera éveillée, annonçant alors l’arrivée du printemps.



- La Fête des lanternes, en Chine : les légendes chinoises racontent que c’est afin d’apaiser la colère du Dieu du feu menaçant d’incendier la capitale le 15e jour du premier mois lunaire, que les habitants auraient défilé ce soir-là avec des lanternes rouges. Ils les auraient pendues à toutes les portes afin que le Dieu pyromane, croyant la ville déjà en flammes, s’en aille. De nos jours, c’est une fête très familiale durant laquelle les enfants, accompagnés de leurs parents, partent pour une promenade nocturne une lanterne à la main, au lieu de mettre le feu à des choses, ce qui serait tout aussi amusant mais sûrement moins joli.



- Walpurgis, en Europe du Nord : dans les pays du nord de l’Europe, pendant la nuit du 30 avril au 1er mai, est célébrée la nuit des Walpurgis communément appelée « nuit des sorcières ». Selon la légende, les esprits maléfiques seraient libérés ce jour là, donnant alors lieu à un grand nombre d’événements surnaturels. Aujourd’hui, ce sont les étudiants finlandais et suédois qui célèbrent le plus cette fête. Munis de leurs casquettes blanches, qu’ils reçoivent généralement à la fin du lycée, ils boivent du sima, boisson alcoolisée, parce que tous les prétextes sont bons pour picoler.



- La fête de la Tradition, en Argentine : le 10 novembre, si vous avez l’occasion d’être en Argentine, ne manquez surtout pas la fête de la tradition. Vous mangerez des empanadas et vous vous risquerez à une « jineteada » sur fond de musique traditionnelle. Le but de la jineatada est de rester plus de 30 secondes sur le dos d’un cheval « fou », défi que seuls les authentiques gauchos, peuplant la pampa sud-américaine, arrivent à surmonter. Un rodéo à l’argentine quoi.



- La Saint Patrick, en Irlande : la deuxième meilleure fête du monde. Mais qui était donc ce fameux Saint Patrick ? Gallois de naissance, il fut capturé durant son adolescence par des barbares et exilé en Irlande pendant six ans. Après quoi Dieu lui confia que son rôle futur serait de prêcher la parole du Christianisme aux Irlandais. Ainsi, pour expliquer le concept de la Sainte Trinité (le Père, le Fils et le Saint Esprit), il utilisa le trèfle à trois feuilles. En revanche, on ne sait pas pour quelle explication il a recouru à la bière, ou si c’était une séquelle de son séjour irlandais.



- Evala, au Togo : Evala, signifiant « première initiation du jeune garçon », est une cérémonie d’initiation où les jeunes Kabyès de différents villages s’adonnent à des luttes incroyables afin de pouvoir prétendre au passage à l’âge adulte. Mais beaucoup d’autres activités sont pratiquées durant cette fête : la danse, le chant ou la vente du Tchoukoutou, boisson alcoolisée traditionnelle.



- Fêtes de Bayonne, en France : c’est en 1932 qu’ont eues lieu les premières fêtes de Bayonne, inspirées de celles de San Fermin à Pampelune. Les festivités commencent généralement après qu’une personnalité invitée jette les clefs de la ville du balcon de la mairie. Bayonne est alors aux mains des citoyens durant 5 jours et 5 nuits, pour le meilleur (concerts de bandas, bals populaires…) et pour le pire (beuverie généralisée, corrida, courses de vaches…) Les participants sont tous vêtus de blanc et de rouge (couleurs du Pays basque).


Immolation par le feu : un message "à la société toute entière".

 S'immoler par le feu est un geste à la fois "protestataire et sacrificiel auquel on a recours lorsque l'on considère que l'on dispose plus d'autres moyens de se faire entendre".

 
Un dernier cri de désespoir, en somme. Poussé au vu et au su de tous : la plupart des suicidés choisissent de commettre leur acte en public. "On veut manifester aux témoins de la scène, et à travers eux à la société toute entière, la douleur de ce qui nous arrive".



"Par son caractère spectaculaire et bouleversant, représente-t-elle l'appel ultime lorsqu'une situation se révèle insolvable ? "  "S'immoler par le feu traduit une volonté de faire bouger les lignes".
 

Le Chevalgate.


 
De la viande de cheval a été découverte en Europe dans 4,5 millions de plats surgelés officiellement à base de boeuf. Si ce scandale sanitaire ne présente aucun risque pour la santé, il pose la question de la traçabilité des produits.

 
Mais au-delà, de quoi s'agit-il ?
Difficile de se faire
une idée précise en écoutant ce qui se dit sur les plateaux. On sent bien que
les enjeux économiques sont très lourds, c'est toute une filière industrielle
internationale qui est en cause, les enjeux de la distribution de masse ne sont
pas moins importants, les exigences de contrôle exprimées par les associations
de consommateurs vont de soi. On a le désir de savoir ce que l'on mange. On n'a
pas envie d'être trompé. Tout cela coule de source, mais des questions plus
profondes semblent remonter à la surface de l'inconscient collectif. Il suffit
de regarder la télévision pour percevoir tous les paradoxes soulevés par ces
questions.
 






Consommation de chewing-gum dans le monde.




La consommation mondiale de chewing-gum est de 0,49 kilo par personne et par an, soit un peu plus de 99 nouveaux kilos de chewing-gum mastiqués chaque seconde !

 


En un an, la consommation mondiale de pâte à mâcher s'élève donc à près de 3 millions de tonnes.
 


Cette consommation varie beaucoup selon les tranches d'âge et les pays : les Français sont les deuxièmes consommateurs de chewing-gum au monde, derrière les Américains.
 
 

QUI SONT LES NENETS ?

Nomadic Nenets woman in the tundra 100km north of Yar-Sale, Yamal Peninsula, Arctic Siberia
 Femme Nenet
Les Nenets ont quitté la région d’Altaï-Sayan, près de la Mongolie, durant le premier millénaire avant J-C pour arriver en Arctique. Jusqu’au 17ème après J-C., ils étaient  de simples chasseurs et cueilleurs et avaient quelques rennes pour le transport. Ils étaient en contact avec les revendeurs de fourrures Russes jusqu’au 11ème siècle après J-C. A la fin du 15ème siècle, début 16ème, les premières réglementations Russes apparurent sur le territoire des Nenets. Beaucoup d’entre eux entraînèrent des troupeaux de rennes nomades et fuirent vers le nord, dans le Yamal. La chasse est, alors, devenue non viable. Plusieurs avis ont été émis et sont encore débattus, sur les raisons de ce problème : le contact avec les Russes ou simplement le changement de climat et la diminution du nombre de rennes sauvages.

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Les Nenets sont réparties sur une large zone. Nombre d’entre eux ne vivent pas dans la Péninsule du Yamal même. Leur territoire s’étend de la Péninsule du Kanin à l’Ouest à la Péninsule du Taymyr à l’Est. Chaque groupe de nomades est officiellement enregistré dans le village le plus proche. Beaucoup de nomades ont de la famille dans les villages. Dans la péninsule de Yamal, la moitié des Nenets sont des nomades et l’autre moitié vivent dans des villages.

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Les Nenets nomades vivent dans des tchoums, des tentes coniques recouvertes de peaux de rennes. Ils portent deux épaisseurs de fourrures de rennes qui leur servent de manteau. Les gants en fourrure de rennes sont attachés au manteau. Leur capuche et leurs cuissardes sont elles aussi en fourrure de rennes.  Les femmes cousent de nouveaux vêtements (en se servant des tendons de rennes comme fil) tout l’été pour tous ceux qui vivent dans leur tchoum. 


Les lassos et les cordes sont faits grâce au cuir tirer des peau de rennes. Les traîneaux sont en bois. Ils sont faits à la main, sans métal ni clou. Il existe quelques outils traditionnels Nenets qui sont utilisés à ce jour  pour construire leur traîneau. Les traîneaux sont tirés par les rennes. Les harnais des rennes sont faits à partir de la peau de rennes et certaines parties grâce à leur os.
Le plat préféré des Nenets est la viande et le sang de rennes. Ils le boivent et le mangent en l’extrayant directement de la carcasse du renne fraîchement tué. Des cordes sont attachées autour du cou du rennes. Sa tête est tournée vers l’Est et il est étranglé par deux ou trois personnes, chacun tirant sur l’une des cordes. Ensuite, ils le dépècent et étendent la peau pour qu’elle sèche. Les vêtements seront faits grâce à cette peau. Ensuite, les femmes ouvrent le renne. Tout le monde est assis par terre autour du renne. Alors, ils commencent à extraire le foie, les reins, la viande, les poumons, le cœur pour les manger directement. Ils se passent un bol ou une tasse qu’il plonge dans la carcasse du renne pour récupérer le sang chaud de celui-ci et le boire.

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La plupart des groupes ont des pâturages d’été au Nord et des pâturages d’hiver dans le Sud. Ils changent de campement grâce à leurs traîneaux tirés par les rennes. Généralement, un homme conduit un traîneau tiré par cinq rennes, qu’il dirige grâce à une longue perche de bois appelée khorei. Les femmes et les enfants conduisent un ensemble de six ou sept traîneaux attachés entre eux qu’ils appellent argysh. Quelques rennes tirent chacun des traîneaux de l’argysh.
Les Nenets du Sud de Yamal, avec lesquels les futurs visiteurs pourront passer du temps, ont les plus grand troupeaux (plus de 10 000) et la migration la plus longue (1 200km) de tous les Nenets. Durant l’été, on les retrouve loin au Nord de la Péninsule de Yamal alors que durant l’hiver, on peut les trouver au Sud-Est de la Péninsule, dans le Golfe d’Ob dans la région de Nadym.

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Lorsqu’ils changent de camp, ils commencent par démonter les tchoums et les mettre sur les traîneaux. Ensuite, les éleveurs attrapent au lasso et équipent les rennes “de transport” pour tirer les traîneaux. Les hommes conduisent le troupeau depuis leur traîneau. Les femmes et les enfants commencent à migrer sur l’argysh. Le convoi serpente dans le paysage et peut s’étendre sur 2km de long. Lorsqu’ils trouvent un endroit adapté à l’établissement du campement, c’est-à-dire un terrain arboré, à proximité d’une surface plane permettant de regrouper facilement le troupeau, les personnes en tête du groupe plantent leur khorei dans le sol à l’endroit où ils veulent que soit placé le centre de leur tchoum. Ensuite, chacun commence à décharger les traîneaux, à déharnacher les rennes et à monter les tchoums. Le haut de la tente doit se trouver à l’extrême droite vu de derrière, et les entrées des tchoums sont toujours tournées vers le même coté.


Il existe des douzaines de types de rennes différents que les Nenets reconnaissent facilement, même au milieu d’un troupeau de milliers d’entre eux. Pour chacun, il existe un nom dans la langue Nenets. Par exemple, il existe le renne sacré : chaque personne et chaque dieu possède son propre renne sacré qui ne doit jamais être tué avant qu’il ne soit trop vieux pour marcher. Lorsqu’un renne sacré est finalement tué, ils trouvent un autre renne qui ressemblait à l’ancien pour le remplacer et répandent le sang du renne mort sur lui.

Un autre exemple, est le renne orphelin (élevé par l’humain). Les Nenets amènent ces rennes dans leurs tchoums et les élèvent parmi eux jusqu’à ce qu’il soit assez grand pour se débrouiller seul. Ces rennes ne seront jamais tués. Lorsqu’ils sont trop vieux pour marcher, les Nenets donnent leurs rennes “orphelins” à d’autres familles. Cette famille pourra tuer le renne et donnera un autre renne élevé par l’homme en échange. Tout au long de leur vie, les rennes élevés par l’homme peuvent vivre avec le troupeau ou avec les Nenets dans les tchoums. Ils grandissent à l’intérieur, et une fois grands, ils sont libres de venir dans les tentes ou de rester avec le troupeau. Ce sont les seuls rennes qui mangent la même nourriture que les humains, comme le pain par exemple.

Pour les étrangers, il est incroyable de voir les Nenets reconnaître aussi facilement leurs rennes parmi un troupeau de 10 000 bêtes. Chaque personne dans le camp, mêmes les enfants  de 6 ans, sont capables de reconnaître instantanément quels sont les rennes élevés par l’homme ou quels sont les rennes sacrés qui doivent être libérés. Ils reconnaissent aussi les différents types de rennes des autres familles. J’ai vu deux petites filles de 6 ans, qui devant leur tchoum regardaient le troupeau de 10 000 rennes galoper à 30 mètres d’elles. Quand les deux petites ont repéré les rennes élevés par leur famille, elles ont commencé à danser et sautiller en criant de joie.

Le renne ancêtre est aussi reconnu par les Nenets. Il est assimilé aux grandes idoles (d’environs 60 cm de haut), des plus puissants et importants ancêtres des leurs, que les Nenets gardent dans leur tente. Ces idoles sont vêtues d’habits Nenets et les familles fabriquent de nouveaux vêtements pour elles tous les ans. Il y a aussi beaucoup d’idoles de dieu.

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 Les idoles des ancêtres sont gardés dans la tente et les icônes de dieu sont laissés sur le traîneau sacré avec le matériel servant à fabriquer de nouveaux vêtements. Quand ils changent de campement, toutes les icônes doivent être mises sur le traîneau sacré. Personne ne doit s’asseoir sur celui-ci. Lorsque le traîneau sacré est usé et casse il est laissé sur le site sacré le plus proche.

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On peut trouver une centaine de sites sacrés dans tout le Yamal. Ceux-ci peuvent simplement être des sites naturels comme une colline ou une rivière, un bois sur une colline ou encore des crânes de rennes sacrifiés pour les idoles de bois se trouvant dans la toundra, ou alors de grandes étendues couvertes d’idoles, de crânes d’ours, de traîneaux sacrés et autres objets sacrés.

Il existe une certaine force dans la vision du monde Nenets appelée sya mei. Cette force est connectée avec l’autre monde, celui de la naissance et de la mort, qui peut être maléfique quand elle entre en contact avec notre monde. Les femmes post-pubères sont en permanence affectées par cette force, il en est de même pour les nouveaux nés ou encore les personnes ayant récemment assistées à des funérailles. Le sujet des personnes touchées par sya mei reste un grand taboo et beaucoup de restrictions leur incombent. Elles ne doivent pas toucher le traîneau sacré, elles ne doivent pas passer au dessus des choses touchées par un rennes, ni passer le harnais au dessus de leurs têtes ou passer en dessous d’eux; elles ne doivent pas franchir une ligne imaginaire qui passe par le point central jusqu’au point sacré à l’arrière de la tente; elles ne peuvent pas sortir de la tchoum et se mettre à vue; elles ne peuvent pas visiter les sites sacrés et participer aux sacrifices; elles ne peuvent pas préparer certains poissons, traverser les routes des ours qui sont considérées comme sacrées, passer au dessus d’une chienne enceinte, porter les cuissardes fourrées des hommes, passer au dessus d’un homme ou encore accrocher leurs vêtements n’importe où car les hommes pourraient être amenés à passer dessous. Les femmes Nenets doivent prendre toutes ces restrictions en considération et font face tous les jours à ce type de situations. Si vous n’êtes pas au courant de ces pratiques, beaucoup des gestes ou des actions des femmes Nenets au travail peuvent paraître incompréhensibles. Des rituels doivent être réalisés pour nettoyer quelques choses affectées par sya mei. Le plus courant consiste à passer plusieurs fois au-dessus d’un feu. Après qu’un enfant soit né dans une tente, un renne doit être sacrifié devant l’entrée.

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Au quotidien, les Nenets doivent regrouper les rennes, s’assurer qu’ils ne s’éloignent pas trop, couper du bois pour le feu, ramasser des blocs de glace pour récupérer de l’eau, trouver un endroit idéal pour installer les tchoums et le troupeau, tuer les rennes pour la viande, enlever les amoncellements de neige autour des tentes, réparer le matériel, cuisiner, s’occuper des enfants, coudre des vêtements et des couvertures en peau de rennes, fabriquer le plancher et les poteaux pour les tchoums, construire de nouveaux traîneaux, collecter de la mousse en guise de papier toilette, pêcher en été.

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Les enfants Nenets de Yamal ne connaissent que la langue Nenets. Ils commencent à apprendre le russe quand ils vont à l’école du village à partir de 7 ans. A 14 ou 15 ans ils le parlent couramment. En général, les personnes nées durant les années 50 ou avant ne parlent pas très bien russe, car ils sont nés avant l’obligation d’aller à l’école imposée par les Soviétiques.

Toutes les informations mentionnées ci-dessus sont vraies en ce qui concernent les Nenets de la Péninsule de Yamal. Ils ont su, remarquablement bien, conserver leur culture, ce que pourront voir les visiteurs voyageant avec Yamal Peninsula Travel. Par exemple, en Russie européenne, certains groupes de Nenets Autonomes d’Okrug, travaillent trois mois dans la toundra, qu’il déteste, puis ils passent trois mois à consommer de l’alcool frelatée dans le village le plus proche. Ils ont complètement oublié le langage Nenets et les croyances spirituelles. Cependant lorsqu’ils travaillent, ils vivent encore dans des tchoums, utilisent les rennes pour les traîneaux et portent des vêtements de fourrure.
A l’opposé, les Nenets de la Péninsule de Yamal, sont accueillants. Ils aiment la toundra et tiennent à leur identité culturelle forte.

Le Kabaddi : un sport pakistanais dans lequel il faut savoir donner des baffes !

Ce sport de combat très populaire au Pakistan et dans le sous-continent indien a droit à une variante, le slap kabaddi, où le but est simplement... de se mettre des claques, jusqu'à l'abandon d'un des deux adversaires.
Vous aimeriez être payé pour donner des claques à longueur de journée ? Le slap kabaddi est fait pour vous : cette pratique pakistanaise permet à deux hommes de s'affronter dans un match où le seul but est de claquer le corps de l'adversaire tout en esquivant les baffes de son rival.

Une dérive d'un sport populaire, le kabaddi
Le kabaddi est à l'origine un sport de combat collectif qui oppose deux équipes de 7 joueurs : à tour de rôle, un "raider" de l'un des deux camps doit passer dans le camp adverse, toucher le maximum d'adversaires et revenir dans son camp en trente secondes.
S'il y parvient, les joueurs touchés sont éliminés, mais s'il est plaqué dans le camp adversaire, il est lui-même éliminé, jusqu'à ce qu'une élimination effectuée par son camp lui permette de revenir sur le terrain. L'équipe gagnante est celle qui, à la fin du temps réglementaire, a remporté le maximum de points octroyés par les éliminations.


Le Lac Titicaca.

 
Situé dans les Andes (la plus grande chaîne de montagnes du monde, orientée nord-sud tout le long de la côte occidentale de l'Amérique du Sud) à plus de 3800 mètres au-dessus du niveau de la mer, le lac Titicaca s'étend sur environ 4700 km² au Pérou et 3800 km² en Bolivie, pour une longueur de 204 kilomètres, avec une profondeur pouvant atteindre 284 mètres. Il abrite 41 îles, dont certaines sont habitées ou exploitées, et est alimenté par plus de 25 rivières. Sa profondeur maximale atteint 280 mètres                                                                                                                      
 
Le bassin du lac Titicaca (la plus grande étendue d'eau navigable du monde) est ainsi un très ancien foyer de civilisation, et c'est depuis ses rives boliviennes ainsi que des vastes plateaux qui les surmontent que la civilisation de Tianhuanaco s'est mise à rayonner entre l'an 600 et 1000 de notre ère, dont les Incas se sont largement inspirés par la suite.                    
Les îles flottantes des Uros constituent un endroit unique au monde, du nom des Indiens qui les occupaient jadis. Elles sont toujours habitées par de nombreux autochtones.
 
Celles-ci sont construites sur des pilotis faits de troncs d'eucalyptus, tout le reste étant constitué de roseaux, première ressource de l'endroit puisqu'ils sont aussi comestibles. Les maisons, les écoles, le sol lui-même sont en roseau. Les habitants vivent principalement de la pêche, de la chasse aux oiseaux ainsi que de la récolte de plantes lacustres.                                                                           
Parmi les autres îles, on retiendra l'île de Taquille, dont les habitants gèrent eux-mêmes toute l'activité touristique de façon à ne pas nuire à leur propre mode de vie.
 






Elle ne comporte pas d'hôtel mais on peut y passer la nuit chez l'habitant, les Taquilles étant réputés pour leur extrême hospitalité.

                              L'île d'Amantani, quant à elle, est en passe de devenir un des hauts lieux touristiques d'Amérique du Sud et réputée pour ses patios et ses jardins décorés de plantes grimpantes. Elle abrite aussi quelques vestiges archéologiques.                                                                              
 
 
 
La dégradation biologique du lac est telle que les bancs de poissons qui hantaient habituellement les berges parsemées de roseaux ont disparu. Les eaux de la lagune, autrefois potables, ne le sont plus et il a été nécessaire de creuser des puits. Les vaches, qui paissent sur les îles du lac et dont le lait est utilisé pour fabriquer un fromage localement très apprécié, sont atteintes de la douve du foie, un ver parasite très pathogène. Elles n'en meurent pas, mais perdent leurs poils et diminuent leur rendement en lait.


EL ATTAR, le marchand ambulant d’autrefois.

 
Atar, Attar, aatar, âttar, ces mots proviennent de l’arabe dialectale. Ils désignent le marchand d’épices et de plantes médicinales.
Les changements se révèlent dans la perte progressive d’un savoir traditionnel  qui conduit de plus en plus de marocains à délaisser le attar au profit du pharmacien.
Voilà où est arrivé le petit marocain ambulant d’épices, le attar.de toutes les façons, que l’initiative vienne de l’épouse ou du mari, c’est toujours la femme qui se rend chez l’herboriste pour acheter une plante aphrodisiaque et qui cuisine le plat. La « tahmira » c’est surtout ce produit généralement vendu en vrac chez l’attar, le vendeur d’épices. Il avait, dans le but de mettre fin à ses jours, ingurgité un produit « le takaout » que les femmes achètent chez l’attar, pour l’employer comme fortifiant et colorant des cheveux.
Le plus connu à l’époque dans tous les villages était Ahmed El Attar. Il transporte sur sa monture, des produits manufacturés destinés essentiellement pour les femmes.
 

Des dizaines de petits enfants encerclent la bête et repêtent en chœurs et à vive voix :
-         Al Attar, andek chi hamra !
-         Al Attar andek chi safra !
-         Al Attar andek chi kehla !
Et tout ça pour faire allusion si el Attar aurait du piment rouge, du piment jaune ou du piment noir.
El Attar était réputé pour la vente du chewing gum rouge dans ses tournées d’autrefois dans les différents douars moyennant de la laine ou des hayons de laines.
Tout ça a disparu et Ahmed El Attar se retrouve dans son petit « hanout » à Ain Défali et revit son passé tout seul. 

La "SPORTIVA 2012", la voiture de sport, cent pour cent marocaine.


Les étudiants de l'Ecole polytechnique d'Agadir en collaboration avec l'Ecole Nationale Mohamedia d’Ingénieurs ont mis au point un petit bijou automobile, baptisé «  Sportiva 2012 ». Sa fabrication s’est étalée sur  18 mois de travail. Il s’agit d’une voiture  100 % marocaine.



Cette voiture de compétition sportive, qui renvoie une image de performance et de sportivité, a nécessité une enveloppe budgétaire de 600.000DH pour sa réalisation.
Par ailleurs, la Direction de l’Ecole polytechnique d’Agadir prépare le lancement d’un nouveau projet qui consiste en la fabrication d’un 4x4 de compétition, 100 % marocain.

Au Mexique, une fille de 9 ans accouche d’un enfant.

Au Mexique, une fillette âgée de neuf ans a donné le jour à un bébé de 2,7 kilos, le 27 janvier 2013.
 
 


Elle n'avait que huit ans et quelques mois quand elle est tombée enceinte. Le père est un jeune âgé de 17 ans.  



 

Un gros caillou, de la taille d’un terrain de football, va passer à 27700 kilomètres de la terre.


 Le 15 février prochain, un astéroïde va frôler la Terre, Baptisé «Astéroïde 2012 DA14».  Ce gros caillou, de 50 mètres de diamètre, passera à seulement 27 700 km de nous. En principe, il ne devrait pas toucher la Terre. Mais, il pourrait percuter sur sa route des satellites de navigation et de communication qui sont en orbite à 36 000 km de la Terre (par rapport à l’équateur).

 
De nombreux astéroïdes sont déjà passés plus près de la surface terrestre et ne mesurant que quelques mètres : 2011 MD est passé à 12 000 km seulement de la Terre en juin 2011 ; 2008 TS26 à 7100 km, et 2011 CQ1 a seulement 5500 km.
Si par malheur un tel objet devait s’écraser sur Terre, l’impact pourrait être dramatique. Il y a 50 000 ans, un astéroïde de cette taille avait touché la Terre, créant un cratère d’environ 1,5 km de diamètre et profond de 190 m dans le désert de l’Arizona. Plus récemment, en 1908, un astéroïde de taille similaire a explosé au-dessus de la Sibérie, provoquant un souffle rasant des milliers d’hectares de forêt.