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Règles de politesse et coutumes à respecter au Japon.

 

Règles générales :
-        Les règles de base sont la politesse, la modestie, la propreté, la ponctualité et plus généralement le respect de l’autre.
-        Lorsque l’on rencontre quelqu’un, on doit éviter les contacts physiques, pas de bise ni de poignée de main, mais on s’incline légèrement. Une légère et rapide inclinaison de la tête suffit.
-        Lors d’une première rencontre, il est d’usage d’utiliser les formules de politesse « hajimemashite » (enchanté de vous rencontrer) en guise d’introduction, puis lorsque les présentations sont finies on dira alors « yoroshiku onegaishimasu » (je m’en remets à vous).
-        Pour s’excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d’une brève inclinaison de la tête. Si l’on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt « gomen nasai » (pardon). Entre amis un simple « gomen » ou « warui » est souvent employé.
-        Eviter de se mettre en avant, de donner trop d’importance à ses actions et refuser poliment les compliments.
-        Lorsque l’on offre un cadeau, il faut également éviter de le mettre en avant et plutôt dire qu’il s’agit d’une petite chose sans grand intérêt. «Tsumaranai mono desu kedo,douzo»
-        Porter une importance particulière à l’emballage des cadeaux aussi bien quand vous offrez que lorsque vous recevez (ne pas déchirer l’emballage ou s’excuser si vous ne pouvez pas faire autrement).
-        On utilise ses deux mains pour donner ou recevoir quelque chose, notamment un cadeau ou une carte de visite.
-        Les cadeaux s’ouvrent souvent hors de la présence de la personne qui offre sauf s’il s’agit de nourriture que l’on désire partager. Si vous n’êtes pas sûr demandez si vous pouvez ouvrir un cadeau maintenant.
-        On ne refuse pas directement. Le « non » japonais (iie) n’est employé que dans de très spécifiques occasions.

À l’extérieur :
-        Ne pas fumer dans la rue sauf aux endroits prévus à cet effet, c’est interdit par la loi.
-        Ne rien jeter dans la rue et trier les ordures dehors comme à la maison.
-        Eviter de s’embrasser en public.
-        Eviter de manger dans la rue ou dans le train.
-        Sur un escalator se serrer du côté gauche pour laisser passer les gens du côté droit (à Osaka c’est le contraire).
-        On attend le bus, le train ou le métro en file indienne, on ne se bouscule pas et on laisse sortir les gens avant de rentrer. Les bousculades sont tout de même fréquentes lors des rushs.
-        Eviter de se moucher en public, surtout dans un mouchoir en tissu.
-        Couper la sonnerie de son téléphone dans le train.
-        Respecter les interdictions dans certains wagons comme le téléphone sur off ou l’interdiction aux hommes à certaines heures.

Magasins et bâtiments publics :
-        Laisser son parapluie à l’entrée ou utiliser les sacs plastiques spéciaux souvent à disposition.
-        Faire attention à se déchausser à certains endroits.

À la maison :
-        Apporter un cadeau (omiyage), souvent de la nourriture, lorsque vous êtes invité chez quelqu’un.
-        Se déchausser dans l’entrée et ne pas laisser ses chaussures dans le chemin.
-        Si des chaussures d’intérieur sont à disposition les utiliser.
-        Une fois déchaussé il est d’usage de dire « ojamashimasu » (je vous dérange un peu) lorsqu’on entre chez quelqu’un.
-        Avant de partir de chez soi on dira « ittekimasu » (je pars et je reviens) ce à quoi les personnes restant dans la maison répondent « itterashai » (reviens-nous).
-        De même lorsque l’on revient chez soi on dira « tadaima » (je suis juste de retour) ce à quoi on se verra répondre « okaerinasai » (bon retour).

A table :
-        C’est à table que l’on trouve le plus de règles à respecter, surtout concernant le maniement des baguettes. Afin de bien comprendre il faut savoir que les repas japonais sont généralement constitués de plusieurs petits plats plutôt que d’un grand plat principal et que ceux-ci sont disposés au centre de la table pour que tout le monde puisse s’y servir.
-        Avant de commencer à manger, on doit dire « itadakimasu » (si possible avec les mains jointes et les baguettes tenues horizontalement entres les pouces et les index). Cette expression ne signifie pas « bon appétit » mais plutôt « merci pour la nourriture que je reçois ».
-        Avant de boire on trinque souvent en disant « kampai » (évitez « chin chin » qui désigne le sexe masculin).
-        Souvent on ne se sert pas soi-même en boisson, si vous remarquez qu’une personne à table a son verre vide vous pouvez la servir, elle fera de même pour vous. C’est surtout valable pour l’alcool.
-        Tenir son bol de riz dans la paume de la main gauche et le porter près de sa bouche avant d’y prendre le contenu avec ses baguettes (le contraire pour les gauchers).
-         Manger son riz blanc, sans mettre de sauce dessus.
-         Ne pas donner une forme arrondie à son riz dans le bol (c’est réservé au riz de Bouddha).
-        Parmi les très nombreuses règles concernant l’usage des baguettes on notera les suivantes :
-        Eviter de se servir dans les plats principaux avec ses propres baguettes si d’autres baguettes sont prévues à cet effet.
-        Ne pas pointer quelque chose ou quelqu’un avec ses baguettes.
-        Ne pas planter ses baguettes verticalement dans la nourriture, surtout le riz (ça rappelle l’encens qui brûle en hommage aux morts), ne pas non plus pendre les aliments en piquant une baguette dedans.
-        Ne pas se passer de nourriture d’une paire de baguettes à une autre (après une crémation les proches du défunt se passent les restes d’ossements de cette manière).
-        Ne pas lécher ses baguettes.
-        Ne pas pousser ou rapprocher un plat avec ses baguettes.
-        Ne pas chercher quelque chose dans le plat en bougeant les autres aliments.
-        Ne pas prendre quelque chose du côté opposé du plat mais ce qu’il y a devant soi.
-        Ne pas poser ses baguettes sur le bord de son assiette ou de son bol mais sur le repose-baguettes ou sur la table.
-        Ne pas choisir les meilleurs morceaux seulement ou hésiter en choisissant un morceau ce qui laisse penser que vous choisissez le meilleur.
-        Ne pas croiser ses baguettes ni les serrer dans son poing.
-        Ne pas faire tomber de sauce ou d’aliments de ses baguettes.
-        Ne pas mélanger les aliments avec ses baguettes.
-        Rapprocher le bol de ses lèvres et pousser les aliments dans sa bouche avec les baguettes.
-        Tenir ses baguettes à la main alors que l’on boit.
-         Il existe encore d’autres règles du même type. Ce qu’il faut surtout éviter est de planter les baguettes dans son riz et de s’échanger quelque chose de baguettes à baguettes ce qui peut vraiment choquer les personnes alentour.
-        On finit le repas avec l’expression « gochisou sama deshita » (c’était très bon et copieux).

La salle de bain :
-        On prend sa douche et on se lave avant d’entrer dans le bain qui est un bain commun, tous les habitants de la maison utilisent la même eau.
-        Pas de savon ou shampoing dans le bain, la baignoire sert à se détendre et il faut que l’eau reste claire pour les personnes suivantes.
-        Il faut aussi que l’eau reste chaude, ne pas verser d’eau froide et refermer le dessus de la baignoire après utilisation.
-        Bien sûr ne pas vider l’eau du bain qui servira aux personnes suivantes et parfois comme eau pour la machine à laver en fin de journée ou le matin suivant.

Onsen / Sentou (sources chaudes et bains publics) :
-        Mêmes règles que pour la salle de bain, douche avant d’entrer dans l’eau, pas de savon ni de shampoing dans le bain.
-        Mêmes règles que pour la salle de bain, douche avant d’entrer dans l’eau, pas de savon ni de shampoing dans le bain.
-        Les tatouages sont souvent interdits surtout s’ils sont très voyants.
-        Pas de vêtement, on entre dans l’eau totalement nu, on peut juste se munir d’une petite serviette qui peut servir à se cacher le sexe lors de ses déplacements.
-        Ne pas plonger sa serviette dans l’eau du bain, la déposer à côté de l’eau ou sur sa tête.
-        Eviter les pansements ou bandages.
-        Les bains et les vestiaires sont généralement séparés pour les hommes et les femmes. Les vestiaires des hommes sont généralement marqués du kanji bleu, pour les femmes on verra le kanji rouge. C’est la même chose pour les toilettes.

Aux toilettes :
-        Souvent on trouve des sandales spéciales pour les toilettes dans les maisons et les restaurants. Les utiliser.

Le travail :
-        Après une journée de travail ou un dur labeur accompli on congratule généralement son interlocuteur d’un “otsukaresama” pour le féliciter de ses efforts.
-        Si l’on quitte son travail avant ses collègues on utilise l’expression “o saki ni” (je pars avant vous).

En vélo (comportements sanctionnés par une amende) :
-        Ne pas utiliser de téléphone ou de parapluie en roulant (sauf si vous avez un accroche-parapluie au guidon).
-        Ne pas utiliser sa sonnette à outrance.

Autres :
-        Ne pas souffler sur une bougie ou un bâton d’encens, on les évente avec un courant d’air de la main.
-        Lors d’un mariage on donne généralement de l’argent, éviter de donner un nombre de billets pair car ça peut se diviser en deux et c’est synonyme de rupture.
-        Ne pas siffler le soir, cela attire les serpents selon une vieille superstition.
-        Pour souhaiter un bon rétablissement à quelqu’un on utilise l’expression « o daiji ni » (prenez soin de vous) avant de le quitter.

L’Algérie est un pays de vieux peuplé par des jeunes.



En fauteuil roulant, le président algérien a fini par apparaitre en public, accompagné de son petit-fils. Il est allé voter, pour lui, comme le feront beaucoup d’Algériens qui voteront pas pour Boutef, mais qui voteront pour ne pas avoir autre chose que Boutef. Pas parce qu’ils tiennent à lui. Mais parce que l’inconnu n’est plus gérable. Quitte à enterrer les rêves de sa jeunesse.


Depuis les années 90, l’irruption du FIS (Front islamique du salut) sur la scène politique, sa victoire aux élections législatives et les années de sang de répression et de guerre civile qui ont suivi, tout a changé. Pour deux générations d’Algériens, l’inconnu n’est pas synonyme d’avenir ou d’espoir, il est synonyme de peur et d’angoisse. Tout plutôt que de prendre le risque de revivre ce cauchemar. Alors oui, plutôt Boutef qu’autre chose.
De fait, Bouteflika a permis à l’Algérie de retrouver un pouvoir tenu par les civils et non plus par les militaires. Le pays s’est stabilisé. Le problème, c’est que la stabilité, lorsqu’elle dure, devient immobilisme. Que l’immobilisme, à la longue, devient sclérose. Et que la sclérose tue. Ou rend fou. Ca dépend de l’âge.


En Algérie, 50% de la population a moins de 30 ans. C’est la folie qui la guette. La folie de ne rien pouvoir rêver, entreprendre, croire. La folie de celui qui voit sur Internet le monde changer partout autour de lui et qui a l’impression de vivre encore dans le pays de ses parents quand ils avaient 20 ans.
L'Algérie avec une économie centralisée, étatisée, qui à part la rente gazière n’arrive à rien développer. Des mentalités qui ont du mal à bouger. Une Algérie qui n’a pas bougé depuis les années 60, quand Bouteflika avait 26 ans, qui était le plus jeune ministre des Affaires étrangères à représenter son pays à l’ONU. Aujourd’hui l’Algérie, un pays de vieux peuplé par des jeunes.

Ce pays, ce pouvoir, Bouteflika l’incarne. Physiquement. Il sait qu’il doit passer la main. Comment ? À qui ? La question ne cesse de se poser. On dit qu’il consulte en ce moment. Des proches, de vieux amis, des années d’espérance, parmi lesquels des diplomates qui ont sillonné le monde, vu les révolutions du printemps arabe de près. Il leur parle avec une idée fixe. Comment faire pour éviter un scenario à l’Égytienne ?

Pourquoi les zèbres ont-ils des rayures ?


Les rayures des zèbres leur servent-elles à se camoufler dans le paysage ? A semer la confusion chez les prédateurs ?


D'après les scientifiques américains de Californie, les rayures blanches et noires de ces équidés leur permettent  d'éviter les piqûres de mouches tsé-tsé, taons ou encore moustiques.

 





 Les mouches piquantes africaines ont en effet tendance à fuir les rayures. Il peut y avoir des différences selon les espèces de mouches et leur comportement quand il s’agit de se poser sur les zèbres, mais dans la majorité des cas les sujets rayés les attirent moins. 

Cent ans d’histoire du Maroc.

Le Maroc rural des débuts du protectorat, les coutumes de la maison royale, l'entrée du pays dans la modernité par la voie du colonialisme puis la lutte pour l'indépendance, et l'affaire Ben Barka... British Pathé rend publiques des vidéos d'époque, certaines inédites.


Des images rares, certaines n'ont jamais été diffusées jusque-là. Le fonds d'archives de British Pathé, mis en ligne le 13 avril dernier, regroupe quelque 85.000 vidéos, dont plus de 200 sur le Maroc.







 C'est un grand pan de l'histoire coloniale et postcoloniale du royaume qu'il est possible de consulter en un clic. La plus vieille vidéo du fonds d'archives a été filmée durant la période 1910 à 1919, marquant les débuts des protectorats français et espagnol. Elle offre une balade dans le Maroc du début du siècle, ses ruelles bondées, les étals des marchés et les femmes avec leur "Ngab" et parfois des ombrelles.
 Au-delà des images d'Épinal, les vidéos proposées par Pathé s'intéressent surtout à l'actualité du pays et aux traditions de la Cour marocaine, qui fascinent le public occidental. En 1938,  Mohamed Ben Youssef préside une cérémonie célébrant le ramadan.


Le sultan, qui n'avait pas quitté son Palais depuis 3 ans, relate le commentateur, sort faire la prière et va la rencontre de son peuple. C'est aussi la dernière fois qu'il se déplace dans le carrosse offert par la reine Victoria à la couronne Alaouite en 1873. Le carrosse sera ensuite remplacé par une voiture moderne, et ne sera plus utilisé que pour les grandes occasions.
 Moulay Hassan et Ali Baba
Une autre vidéo, inédite, met en scène le jeune prince héritier Moulay Hassan. Intitulé "Le Petit Sultan chez Ali Baba", le document qui date de la période 1930-1939 montre le futur Hassan II en habits d'apparat. Timide, il reçoit une poupée offerte par son comité de réception. "Prince… and baby", une autre curiosité de cette collection d'inédits, immortalise une visite de l'héritier du trône en France. Durant cette visite, le jeune Moulay Hassan chante une comptine pour le plus grand plaisir des invités qu'on imagine sous le charme du jeune prince marocain.

En 1935, à l'occasion de la fête du trône, le sultan Mohammed Ben Youssef
 observe de son balcon lebal des courtisans mêlé à celui des autorités du protectorat.
 Des gâteaux marocains et du thé sont offerts aux jeunes enfants, pour cette fête populaire.
 Les femmes du Sultan
Plus dramatiques, les vidéos immortalisant l'exil imposé au sultan en 1953. Des images rares des femmes du harem royal, s'apprêtant à suivre Ben Youssef dans son exil, sont diffusées sur la chaîne YouTube. Pudiques, les femmes du Palais portent toutes les mêmes habits: une djellaba, des gants noirs, un "Ngab" et de petites valises. Elles embarquent à bord d'un bus aux vitres cachées par des rideaux.
Pendant ce temps au Maroc, le colonisateur français remplace le souverain par Ben Arafa. Un Alaouite, certes, mais surtout un vieillard docile soutenu par le Pacha Glaoui.



On découvre de nouvelles images de la tentative d'assassinat du sultan Ben Arafa à Marrakech en 1953. Un coup de feu retentit et on voit le corps de l'assaillant, Allal Ben Abdellah, gisant sur le sol, mais encore en vie. Ben Arafa est escorté dans l'urgence jusqu'à l'intérieur d'un véhicule.

De Mohammed V à Hassan II
En 1955, Mohammed Ben Youssef rentre d'exil et retrouve son trône sous le titre de Mohammed V.


L'émotion du peuple est sincère. Le roi du Maroc est accueilli en libérateur sous les applaudissements de la foule. Ben Arafa est filmé, entouré d'officiels français, devant le parvis du palais. Une page de l'histoire du pays se tourne. On retrouve la même émotion à la mort du roi, en 1961.



Pleurs, cris et évanouissements accompagnent le cortège funéraire.


 Commence alors le règne de son fils, Hassan II. Un enregistrement rendu public pour la première fois montre le nouveau roi accueillant à Rabat les dirigeants des jeunes États indépendants d'Afrique du Nord, les présidents Bourguiba (Tunisie) et Nacer (Égypte).


Mais l'euphorie de l'indépendance passée, les problèmes d'équilibre des pouvoirs font surface. C'est dans ce contexte que le leader socialiste marocain Mehdi Ben Barka est enlevé en 1965, puis assassiné dans des circonstances encore inconnues aujourd'hui. Un reportage immortalise l'ajournement du procès des assassins présumés: on aperçoit le commandant Ahmed Dlimi, qui avait répondu à la convocation de la Justice française.



 1967. La couleur fait son entrée. Le Maroc traverse toujours une crise politique, l'économie est exsangue, mais les grandes villes ne sont pas encore surpeuplées. Le centre-ville de Casablanca est moderne et rutilant. Les paysages de l'arrière-pays sont resplendissants, tandis que la vie dans les médinas semble rappeler les images du début du siècle, la couleur en prime.

Connaissez-vous le triple point ?

                                        Découvrez ce phénomène étonnant !

Un liquide passe par trois états différents simultanément. En effet, après une forte baisse de la pression, ce liquide se gélifie et bout en même temps.



     En quelques secondes, ce liquide contenu dans un ballon en verre passe par trois états différents. Ce changement d'état simultané est appelé "point triple".


Ce liquipe atteint le point triple

Découvrez le cyclohexane dans tous ses états !

Cette expérience incroyable a été réalisée avec du cyclohexane. Ce test chimique permet de découvrir le point triple d'un corps. Au départ, on découvre que le ballon en verre contient un liquide. Mais rapidement, ce dernier se met à geler. Le point triple est atteint lorsque le liquide se met à bouillir tout en continuant à geler.
Pour arriver à un tel résultat, le corps a dû subir une baisse de la pression intense. Il semblerait que ce soit pour cette raison qu'il s'est immédiatement mis à geler. En effet, une chute de la pression entraîne également une baisse des températures. Dans la description de la vidéo, on apprend que le liquide utilisé n'était autre que du cyclohexane.