Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

L’Odyssée historique de la ville de Mazagan...

Mazagan a une histoire, et même une double histoire : une histoire en terre marocaine, comme en terre américaine. Car en effet, Mazagan est cette ville portugaise dont l'histoire s'est chargée de déporter toute la population vers la reconstruction d'une nouvelle cité, au Brésil, au 18ème siècle, lorsque les Portugais décident d'abandonner définitivement leur ancrage africain. C'est l'histoire d'une mémoire de ville qui a survécu dans les esprits, de l'autre côté de l'océan. Une histoire d'exil comme il en existe peu, dans les annales et les archives de la mémoire humaine...  En racontant l'épopée si méconnue d’une ville qui a traversé l’Atlantique, nous redécouvrirons la mémoire si riche d'El Jadida...
Mazagan est un nom qui serait issu du toponyme berbère “Mazighan”, lequel signifie “eau du ciel”, terme employé dans la région pour désigner les puits destinés à recueillir les eaux de pluie... Pour commencer par le commencement, la fondation de Mazagão est le fruit de la politique marocaine du Portugal dessinée par la dynastie des Avis au cours du 15ème siècle.


L'expansion des places fortes portugaises sur la route du commerce...
Une politique d'expansion de la chrétienté en direction des terres « infidèles », dans la Reconquista qu'engagent dès le 13ème siècle les couronnes de la péninsule Ibérique contre le royaume maure. Ainsi, dans la seconde moitié du 15ème siècle, l'emprise du Maroc sur le Portugal est telle, explique ce formidable récit historique, que le roi Afonso V (1448-1481), dit l'Africain, est proclamé “roi du Portugal et des Algarves en deçà et au-delà de la mer en Afrique.” Et puis, dès le 14ème siècle par ailleurs, sous l'impulsion d'Henri le Navigateur, le Portugal se lance dans une vaste entreprise de “découverte” des îles et du littoral de l'Atlantique Sud, pour, en contournant l'Afrique, tâcher de rejoindre l'Océan Indien, et développer ainsi les échanges commerciaux florissants avec l'Inde. D'où la nécessité d'implanter des comptoirs le long de cette route maritime pour le ravitaillement des navires. Les premières villes lusophones en Afrique du Nord répondent donc à cette double nécessité de contrôle, et de ravitaillement.
Chaque fois, deux sites “solidement peuplés et défendus étaient implantés à une distance l'un de l'autre qui ne devait pas excéder un jour de voyage par terre ou par mer, en toute sécurité. Point essentiel pour le soutien mutuel, la cohésion commerciale, l'échange d'informations, et l'appui en vivres et en rendort militaire, surtout, en cas de danger...” Voilà comment s'est dessinée peu à peu cette carte de places fortes portugaises construites comme des avancées sur le chemin du commerce maritime portugais, du Nord au Sud du pays : de Ceuta (Sebta) et Alacacer Ceguer (Ksar Es Seghir), Tanger et Arzila (Asilah), plus au Sud ensuite, Azamor (Azemmour) et Mazagão (El Jadida), Safi et Aguz (Agouz), Mogador (Essaouira) et Santo Cruz de Cabo de Gué(Agadir). À égale distance de ce réseau, entre Tanger et Agadir, la position médiane de Mazagão, installée en pays des Doukkala, offre des avantages naturels incomparables : la baie dans laquelle elle est installée est considérée comme le point de mouillage le plus sûr de toute la côte atlantique du Maghreb. Et de l'autre côté, la région des Doukkalas constitue l'une des plus riches régions agricoles du Maroc, l'histoire en témoigne puisque lors de l'occupation romaine, déjà, son blé faisait sa réputation...

La naissance de Mazagan, une colonie en terre musulmane
Qu'une ville implantée par des étrangers en terre Marocaine soit née, il y a des siècles, pour renaître ensuite à nouveau en terre étrangère ailleurs, avec tous ceux qui l'habitaient à l’origine, suffit à construire la trame d'une véritable Odyssée... En fait, c'est en 1514, après avoir conquis Azamor, (l'actuelle Azemmour), que les Portugais prennent pied dans la région, après avoir une première fois tenté en 1509 d'installer leur autorité en édifiant un fortin carré flanqué de quatre tours autour de la vieille tour de garde en ruine appelée El Brija : Castello Real. Mais, les 25 cavaliers et les 100 fantassins placés sous la tutelle de Manim Alfonso Melo pour défendre le château n'avaient pu alors rivaliser avec les troupes du chérif de Meknès, Moulay Ziane... Là, ce sont les chérifs des différentes tribus, Moulay Mohamed à Fès, Moulay Ahmed à Marrakech, et Moulay Mohammed à Tanger, “qui décrètent la guerre sainte pour chasser les Portugais de la terre musulmane.” Les places portugaises sont harcelées, tandis que leur ravitaillement en hommes, en nourriture et en argent est des plus irréguliers, car le souverain a aussi envoyé les premières vagues de peuplement au Brésil, et la colonisation devient un enjeu majeur à cette période. Le roi Dom Joao III envisage donc l'abandon de plusieurs de ses places fortes marocaines pour concentrer toutes les forces à Mazagão.


La vie très particulière d'une place-forte en vase clos...
En 1541, c'est une superbe forteresse bastionnée qui a servi à Benedetto da Ravenna, l'architecte italien de terrain d'expérimentation à certaines de ses idées, mises au point pour la défense des places-fortes. “C'est ainsi que cette ville-bastion implantée à la frontière entre la chrétienté et l'Islam devint la première ville idéale de la Renaissance hors d'Europe, aucun document ne l'atteste, mais c'est écrit dans sa forme même”, selon l'historien Carlo Ginzburg. Quelque 2000 personnes vont y vivre, jusqu'à l'abandon de la ville par les Portugais, en 1769, sur ordre du pouvoir royal portugais, avec des soldats qui attendent fébrilement le moindre événement pour parer au combat. Une vie rythmée par les sonneries des cloches de toutes les tours de la ville, celles des citernes et celles des bastions, à commencer par la tour du Rébate, qui font ressentir aux habitants la dimension de l'espace sacré catholique que constitue cette ville-bastion en pays maure. Une vie rythmée par ailleurs par les sentinelles qui guettent d'hypothétiques manœuvres des troupes maures, les navires de ravitaillement portugais qui arrivent, ou les corsaires de Salé qui viennent parfois les harceler, et les escarmouches, nombreuses, qui se produisent hors des murs de la ville comme celle de la rechercher de bois de 1758, qui opposa 180 soldats portugais à 400 Maures. Mais cette guerre des nerfs d'une attente sur le qui-vive va user bien des Mazaganistes...
C'est une ville-forte qui vit quasiment totalement en vase clos, n'ayant de contact avec l'extérieur que pour subvenir aux besoins alimentaires, et comme l'eau des puits, situés à l'extérieur de la ville, est souvent contaminée par les tribus installées alentours, qui y jettent bêtes mortes et autres déchets, un savant système de récupération des eaux de pluie est mis en place à l'intérieur de la ville, et les eaux collectées sont ainsi drainées vers une immense citerne installée dans la salle de garde du vieux château de Mazagão (El Jadida) : celle-là même que l'on peut visiter aujourd'hui, et qui est devenue, d'une certaine façon, le symbole de la ville d’El Jadida... Après le siège de Mazagan de 1561, organisé par le Sultan Moulay Abdallah, chérif de la dynastie des Saâdiens, il n'y eut plus de guerre menée contre la place-forte jusqu'en 1768, où le Sultan Alaouite Sidi Mohamed Ben Abdellah, fort d'une armée de 75 000 soldats et de 44 000 sapeurs, est bien décidé à reprendre cette forteresse, car il fait de cette prise le symbole de son ambition unitaire pour l'Empire Chérifien, en ayant réalisé l'union des chérifs arabes et des tribus berbères.


L'abandon pragmatique d'une place forte réputée pour son héroïsme...
Le siège de Mazagan et de l'armée du Sultan Sidi Mohamed Ben Abdallah, totalement disproportionnée en nombre, va révéler l'héroïsme, la bravoure et la résistance acharnée des Mazaganistes, qui vont subir les pires privations, mais en sortir victorieux, parce que déterminés à tenir coûte que coûte. Et vu l’ampleur du siège, un accord de paix est signé entre le Maroc et le Portugal. Et c'est ainsi le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdallah se décidera à lever le siège, avec 25 000 morts, alors que seulement 98 soldats seront morts, du côté portugais... Héroïque résistance des 2600 habitants confinés dans la place-forte, auxquels le roi du Portugal, demandera cependant de partir, en 1769, lorsque la nouvelle attaque se précise. Toute entière tournée vers le Brésil, dont les frontières sont menacées au Sud et au Nord, la royauté portugaise ne considère plus la « fronteira » de l'Afrique du Nord comme un enjeu politique. C'est pourquoi d'ailleurs la situation de la ville de Mazagan s'est autant dégradée durant cette décennie, où le soutien de Lisbonne est devenu rare, entraînant un cycle de famine et d'épidémies dans cette ville de Mazagan en voie d'abandon : la ville vivant totalement sous perfusion, sans l'aide de Lisbonne, elle ne peut survivre, or il faut opérer des choix alors que les finances du royaume portugais sont bien endommagées et qu'une crise des produits coloniaux s'ajoute à l'immense chantier de la reconstruction de Lisbonne, entièrement détruite en 1755 par un tremblement de terre. La pression du Sultan Sidi Mohamed Ben Abdallah devient l'occasion rêvée, le prétexte à saisir pour se retirer enfin définitivement et dignement du Maroc...


Un départ épique vers des horizons nouveaux
On conclut une trêve durant laquelle tous les habitants de Mazagão et leurs effets personnels ainsi que les ornements religieux de la ville sont emmenés par la « Porta do mar » (Porte de la mer), “dont les lourdes grilles ouvrent directement sur l'Océan, et que l'on ne peut utiliser qu'à marée haute en empruntant des chaloupes pour rejoindre les navires ayant jeté l'ancre au large.” Embarquer la population toute entière, détruire armes et munitions, mais transporter l'artillerie de bronze sur les navires, les ordres sont stricts. Les hommes, excédés du fait qu'on leur interdise de se battre pour défendre leur ville, sont saisis d'une rage destructrice qui fait qu'il ne restera plus que gravats et cendres, derrière eux (plus de 13000 moudjahinnes ont trouvé la mort à cause d’une série d’explosions). Ces destructions, ainsi que l'explosion programmée de la porte du Gouverneur rendent d'ailleurs la ville de Mazagão impraticable durant des années, et totalement inaccessible par voie terrestre, de sorte qu'elle sera même baptisée “El Mahdouma”, “la détruite”... Les 14 bateaux qui battent retraite, le 11 mars 1769, emmènent toute une ville se reconstruire ailleurs, sur les terres brésiliennes, après un passage transitoire de six mois à Lisbonne. La ville se retire en ordre rangé : noblesse, clergé, peuple et prisonnier, chacun sur l'un des navires de transport réservés...Car la société mazaganiste était bariolée, mêlant soldats, Açoriens et Maures convertis, comme le Zemmouri José Francisco da Cunha, esclaves, bannis (degredados), artisans, négociants étrangers, membres du clergé et de l'administration civile, artisans... Des groupes sociaux d'origine sociale et culturelle multiple, qui cohabitaient ensemble dans cette ville forte où chacun était venu pour des motivations différentes. Ils ne reprendront la mer en direction de l'Amazonie que le 15 septembre 1769, pour une nouvelle aventure collective, en emportant avec eux la mémoire de cette Mazagan marocaine....


Les renaissances de Mazagan, au Brésil, et au Maroc...
Ce sera d’abord la refondation d'une nouvelle place forte de colons au Brésil en 1770, Mazagão, mais dont l'existence a brutalement disparu en ne laissant aucune trace dans les archives pendant longtemps jusqu'à ce qu'elle soit rebaptisée Regeneração en 1833. Ce Mazagão Velho,Vieux Mazagan, existait donc depuis le 23 Janvier 1770. Mazagão la brésilienne, dont le plan d'urbanisation fut dressé par l'architecte italien Domingo Sambucetti, a été fondée par le capitaine Ignacio de Alencar Moraes Sarmento afin d’y installer les familles de Mazagão la Marocaine. Après une épidémie de choléra, la majorité de la population de Mazagão Velho a déménagé sur un autre site, qui est aujourd'hui le siège du comté, Nova Mazagão, Mazagan la nouvelle, à environ 30 km du village.
Les récits d'histoire précisent que la population de cette ancienne bourgade, Vila Mazagão Velho, survivait difficilement car son sort indifférait totalement le pouvoir royal portugais, et les moindres requêtes de ses habitants, qui symbolisaient pourtant l'âge d'or de la résistance portugaise en Afrique, étaient ainsi systématiquement refusées... Pour imaginer la vie de Mazagan la Brésilienne, il faut lire « Le Désert des Tartares » de Dino Duzzati, qui relate l’attente interminable de l’arrivée, sans cesse reportée, des déportés.
De l'autre côté, la ville détruite au Maroc est restée inoccupée pendant un demi-siècle, jusqu'à ce que le chérif Sidi Mohammed ben Ettayeb, gouverneur des Doukkalas, sur ordre du Sultan Alaouite Moulay Abderrahmane Ben Slimane, décide de la relever de ses ruines. Et le mur d'enceinte, le long de la porte du Gouverneur étant reconstruit, la ville prit alors le nom qu'elle porte aujourd'hui, “El Jadida”, la “neuve”, ou la “rénovée”... Il menaça même de peines graves quiconque la désignerait sous un autre nom...ne sachant pas encore que quelques décennies plus tard, sous le protectorat français, Mazagan reprendrait provisoirement à nouveau son nom d'origine, Mazagan, simplement francisé.
Une colonie juive, dès 1821, et deux tribus berbères, les Oulad Douib et les Oulad Hacine, furent autorisées à s'installer. Suivent ensuite, à partir de 1827, quelques familles européennes, surtout espagnoles, que l'on autorise à résider dans la forteresse, à la condition “de revêtir le costume israélite afin de ne pas exciter l'animosité de la population locale de la région, qui avait gardé un souvenir sanglant de la domination portugaise... La tour du Rébate devint minaret de mosquée, et c'est, aujourd'hui encore, unique minaret au monde à 5 côtés...

Ville de Mazagão, l’histoire de Mazagan qui se poursuit


Nova Mazagão, le Nouveau Mazagan, est une ville brésilienne, située dans l'état d'Amapá. Ses habitants, ou gentilés, sont appelés en français mazaganistas.
La ville s'étend sur 13 130,9 km² et compte 17 030 habitants selon le dernier recensement de la population. La densité de population est de 1,3 habitants par km² sur la ville.
Nova Mazagão est située à 14 km au Sud-ouest de Santana, la plus grande ville aux alentours. Mazagão fait limite avec Pedra Branca do Amapari et Porto Grande au Nord, Santana au Sud-est, Vitória do Jari au Sud, Laranjal do Jari à l'Ouest et l'embouchure de l'Amazone au Nord-est.
Nova Mazagão se trouve dans une zone du Rio Mutuacá, un cours d'eau brésilien qui traverse l'État d'Amapá. Cette zone fut choisie pour la création de ce qui allait devenir Nova Mazagão.


Ses premiers habitants, évacués de Mazagan (El Jadida) en 1769 et déportés de Lisbonne vers l’Amazonie  en Brésil, (340 familles et des centaines d’esclaves, soit environ 1642 ex-mazaganais), arrivèrent, en 1770, à Bélem do Grão Para, sur la rive gauche de l’embouchure de l’Amazone, un peu au Sud de Macapa (aujourd’hui, capitale de l’Etat d’Amapa).  Mais Mazagão la brésilienne, n'arrange pas vraiment les choses, puisque les déportés n’ont pas pu supporter  les affres de l’univers hostile de la forêt amazonienne. Car cette extraordinaire migration a été marquée par la difficulté d’adaptation des déportés à un climat équatorial et à la société brésilienne.



Et, aux égards initiaux succédèrent une sévérité et une méchanceté croissantes de l'administration, qui déboucheront plus tard sur un désintérêt définitif. Ainsi, en 1783, et suite à une grande épidémie, la plupart des survivants abandonnèrent le lieu et s'enfuirent pour s’installer définitivement à Nova Mazagão, comté de l'Etat d'Amapa (Nord), à environ 30 Km de Mazagão Velho, le Vieux Mazagan et à environ 70 kilomètres de la capitale Macapá. Seuls quelques irréductibles demeurent encore à Mazagão Velho, le Vieux Mazagan, où l’on continue à célébrer les combats entre les aïeux des habitants et les Maures.


À la recherche des sources et racines profondes.


Le tournage d’un documentaire, intitulé « Mazagão : Mythe, mémoire et migration », a été entrepris le 10 janvier 2016 à Mazagão Velho par une équipe originaire d'Amapa, la deuxième étape du tournage s’est déroulée en mars 2016 à El Jadida, tandis que la dernière étape sera réalisée, en juillet 2016, à Mazagan Velho, lors de la fête de São Thiago.
L'histoire du documentaire, qui contribue à faire connaître la curieuse origine d'une ville créée par une autre, est contée par deux descendants des Mazaganistas : Jozué Vigne, 48 ans, agent culturel et Joseane Brito, 29 ans, professeur d'histoire, qui font un retour à la terre des ancêtres. Le Documentaire évoque la rencontre de deux mondes: Mazagão, en terre marocaine, ses histoires et ses batailles et Mazagão, en terre brésilienne, avec sa communauté actuelle qui, face aux contraintes grandissantes du monde moderne, ne renie pas le passé pour évoluer. Et ce, pour garder son âme tout en maintenant des liens avec son folklore, ses traditions, son histoire, son patrimoine historique, riche et merveilleux, ses spécificités culturelles, ses coutumes et ses origines,  conservés jusqu’à nos jour par les descendants des déportés de Mazagão la Marocaine avec un grand dévouement et fierté.




"Mazagan : mythe, la mémoire et la migration" est un documentaire qui plonge dans l'histoire de la traversée atlantique de Mazagan la Marocaine à Mazagan la Brésilienne et surtout l’odyssée de la « transportation » de 2092 civils, militaires et prisonniers marocains de la place-forte de Mazagan (El Jadida) il ya plus de 246 ans.
Ce documentaire, qui est en cours de réalisation par Gavin Andrews et Cassandra Oliveira, est une co-production entre l'Espace de Cinéma, un producteur indépendant établi à Porto Velho - RO et Châtaigne Films d’Amapá. Il sera diffusé par les télévisions publiques et éducatives brésiliennes vers la fin de 2016.
L’Odyssée historique de la ville de Mazagão est donc l’histoire de Mazagan (El Jadida) qui se poursuit sur les terres brésiliennes, à travers le destin si particulier de ceux qui vécurent, plus de 260 ans, dans une place-forte érigée en terre doukkalie et marocaine.

Une ville américaine porte le nom du Maroc :

Résultat de recherche d'images pour "morrocco aux etats unis"

C’est une petite bourgade d’un millier d’âmes, à une centaine de kilomètres au sud de Chicago. Depuis 1851, elle porte le doux nom de « Morocco ».


Résultat de recherche d'images pour "morrocco aux etats unis"

L’histoire raconte qu’à cette époque, un étranger arrive dans la ville à dos de cheval. La ville n’a pas encore de nom, le voyageur propose aux habitants de nommer leur ville. Il porte des bottes en cuir marocain, il n’en faudra pas plus pour que la ville soit baptisée Morocco.
Mais l’analogie entre le pays et la ville qui porte son nom ne s’arrête pas seulement là. Comme le pays, la ville de « Morocco » est cosmopolite. Elle est peuplée d’une majorité d’Euraméricains mais on y retrouve des Afro-américains, des Hispaniques, des Latinos, des Asiatiques et même des autochtones. 
Il s’agit d’une petite ville où on ressent l’hospitalité des petites villes du Maroc, les gens sont généreux et serviables.
Et à noter que plus de 400 villes américaines et plus d’une cinquantaine de villes canadiennes portant des noms d’origine arabe. Ailleurs mais sur le même continent, la ville de Mazagão au Brésil a été nommée ainsi en référence à l’ancien nom de l’actuel El Jadida (Mazagan).

La fonte des glaces du Pôle Nord entre 1984 et 2016

La fonte des glaces du Pôle Nord entre 1984 et 2016


Thailande: Decouverte village de pêcheur sur l'ile de Koh Chang

Découvrez un veritable village de pêcheur sur l'ile de Koh Chang avec des maisons sur pilotis. Ici aucun touristes seulement des locaux.

Jujube - Zizuphus jujuba- chicourle- datte chinoise - fruit méditerranéen famille des ramnacées- cicourlier - guindanlier

  • Identification :
Nom cJujube - Zizuphus jujuba- chicourle- datte chinoise - fruit méditerranéen famille des ramnacées- cicourlier - guindanlierommun : Jujubier.
Famille de la jujube : Rhamnacées
Nom botanique de la jujube : Ziziphus jujuba, syn. Z vulgaris, Z. spinosa,
Saison : De septembre à octobre
Calories : 79 calories pour 100 gr consommé
Habitat et Origine : Le jujubier est un arbre fruitier originaire de l'est de l'Asie et d'Afrique du Nord. Il peut pousser sur plusieurs types de sols et est adapté aux terres arides..Originaire de Chine
Noms anglais : Black date, chinese jujube, jujube plum, red date.
Noms chinois : Da Zao (fruit), Suan Zao Ren (graine).
Parties utilisées : Fruit séché, graines (sanjoin).


La jujube est un fruit ovale ou rond, de couleur jaune, puis rouge-brique à pleine maturité. Il est de taille variable selon les variétés, mais peut atteindre environ 5 cm de longueur. Sa peau est fine et comestible, et sa chair blanche translucide est douce et parfumée. On consomme ce fruit soit frais, soit en confiture ou confit, un peu comme des dattes. C'est un fruit très nutritif, très riche en vitamine C.


Résultat de recherche d'images pour "DATTE CHINOISE"

Le jujubier est un arbuste à feuillage caduc originaire de Chine, et cultivé dans ce pays depuis plusieurs millénaires. Depuis, le jujubier s'est répandu dans de nombreuses zones du monde, comme l'Afrique du Nord, l'Europe du Sud, le Moyen-Orient ou encore le sud-ouest des Etats-Unis. Cet arbre épineux peut atteindre une taille de 12 m, mais culmine généralement à 6 ou 8 m de hauteur.

DSC00242

Le jujubier est un arbre très résistant à la sécheresse et aux gels, puisqu'il survivra à des températures de -15°C à -17°C, voire moins. C'est un arbuste épineux, il faudra donc faire attention lors des travaux de taille, ou des récoltes.
Le jujubier apprécie les sols légers, et supporte bien des périodes de sécheresse.
Le jujubier est sensible aux attaques de la mouche Méditerranéenne des fruits. On pourra poser des pièges à phéromones, ou appliquer un insecticide adapté.

  • Origine :
Le Jujubier arrive de Chine en Méditerranée, il y a 2000 ans avant Jésus Christ.
Le Jujubier est originaire de la Chine septentrionale. De là il avait été apporté dans l’Asie Occidentale 2500 ou 3000 ans avant l’ère Chrétienne, puis en Occident dans la région méditerranéenne où il se serait naturalisé.
Transporté de Syrie à Rome sous l’Empereur Auguste, son aire en Méditerranée correspond à celui de l’Olivier. De fait, sa culture en France date de la conquête Romaine.
Ensuite, il s'est répandu en Algérie, Tunisie, Italie, Espagne et partout dans l’Europe Méridionale, sans parler du Proche-Orient.
En France, on trouve localement des cultures résiduelles surtout en Provence, dans le Languedoc et le Roussillon. Dans le Midi on lui donne le nom de cicourlier, de guindanlier ou de Datte de Chine.
  • Propriétés et usages :
Le jujubier est utilisé essentiellement en médecine arabe et en Médecine traditionnelle chinoise. 
Les graines sont souvent grillées dans un wok avant d'être employées. Elles sont le principal ingrédient de plusieurs préparations d’herboristerie chinoise visant à traiter l'insomnie, les symptômes de l'irritabilité, et qu'il harmonise l'effet des produits contenant plusieurs plantes médicinales. Le fruit du jujubier (Da Zao) a aussi été employé en Chine pour traiter l'asthme et la rhinite allergique.
  • Usages :
Le jujube se consomme en frais, en conserves, confits, en confiture, en liqueur, ou à l’état de pâte. Il est possible de le faire sécher pour assurer une plus longue conservation.
  • Précautions :
Contre-indications : À cause de son effet stimulant sur l'utérus, il est contre-indiqué de prendre l'amande (la graine) du jujubier en cas de grossesse. Le fruit n'aurait pas cette propriété.
Effets indésirables : le sanjoin, qui est tiré de l'amande du jujubier, est riche en huiles, il peut, selon la MTC, entraîner ou exacerber la diarrhée ou la nausée chez les gens qui ont des problèmes de digestion; il n'est pas non plus recommandé aux personnes qui ont peu d'appétit ou beaucoup de ballonnements après avoir mangé.
  • Les bienfaits du jujube
Ce fruit a des bienfaits sur les problèmes respiratoires (toux, bronchite, pneumonie), sur le transit intestinal, est anti-microbien, anti-infectieux, stimule la circulation sanguine, donne du tonus.
L’huile de jujube est réputée pour ses vertus sur les cheveux abîmés, pour redonner du volume, ralentir la chute et pour ses vertus pour réhydrater les peaux sèches.

Plan d’attaque pour retrouver votre tonus

Résultat de recherche d'images pour "fatigue"

La fatigue touche tout le monde. En cas de fatigue passagère, il convient de réagir car une baisse de régime a de nombreuses conséquences sur votre quotidien : nervosité, irritabilité, insomnie, migraines, douleurs musculaires, troubles de l’attention et de la mémoire, ou encore déséquilibre digestif.
Heureusement, il existe des remèdes naturels et efficaces qui vont vous redonner de la vitalité.


Résultat de recherche d'images pour "fatigue"

Des fruits et légumes qui vont vous donner un coup de fouet 


Telle une voiture, notre corps a besoin d’un bon carburant pour pouvoir avancer. Or l’alimentation est la première source d’énergie. 
  • Privilégiez des fruits comme le cassis, la myrtille, le pamplemousse, le kiwi et l’orange, et optez pour des légumes tels que le chou, les épinards, les radis, les courgettes et les champignons.
  • Les fruits oléagineux (noisette, amande, pistache) sont vivement recommandés ainsi que le chocolat noir et le thé.

cassisRésultat de recherche d'images pour "pamplemousse cassis"



Résultat de recherche d'images pour "kiwi"

Côté viande 

Si vous ne pouvez pas vous passer de viande alors adoptez les règles suivantes. Pensez aux viandes maigres et blanches et oubliez pour un temps les plats en sauce. Il est préférable de limiter sa consommation en viande, à raison de trois à quatre fois par semaine. Les poissons sont en revanche vivement conseillés car ils sont riches en fer et en acides aminés.

viande blanche et santé



Privilégiez les cuissons allégées

Il faut éviter les matières grasses qui ralentissent votre organisme. Pensez plutôt aux techniques de cuisson allégées comme le grill, la cuisine à la vapeur, et les papillotes.

cuisson papillote et santé


Le gingembre 

Certaines plantes vont vous apporter du tonus et vous pouvez les préparer sous forme de tisanes ou d’infusions. Parmi les examples à privilégier : le gingembre. Par exemple, pelez un bout de gingembre, coupez-le en fine lamelles et laissez-le infuser dans de l’eau chaude pendant 10 minutes. Buvez cette potion d’énergie le matin pour démarrer la journée du bon pied !

racine de gingembre



Le ginseng

Le ginseng est vivement conseillé. D’ailleurs, ces vertus anti-fatigue sont utilisées depuis des millénaires et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a recommandé l’usage de cette plante dans le cadre de la lutte contre la fatigue. Toutefois, le ginseng sauvage étant une inscrite parmi les plantes en voie de disparition, il devient de plus en plus difficile de se procurer du ginseng de qualité. Il faut savoir également que plus le ginseng est vieux (plus de 6 ans), plus la qualité de ses principes actifs est bonne. Achetez-le en pharmacie ou dans un magasin bio.

ginseng asiatique



Le romarin

Si votre fatigue est accompagnée de problèmes digestifs, pensez aux tisanes de romarin. En effet, cette plante, qui pousse dans le pourtour méditerranéen contient du 1,8-cinéole, un composé chimique qui non seulement améliorerait les capacités performances intellectuelles, mais aussi lutterait contre la fatigue.

Résultat de recherche d'images pour "romarin"

La marjolaine

Il existe toutes sortes de fatigue. En cas d’épuisement nerveux, pensez  à la marjolaine. Vous pouvez faire chauffer une tasse de lait avec une feuille fraîche de marjolaine et porter le tout à ébullition. Puis après avoir laissé infuser, ajoutez une cuillère à café de miel. Et le tour est joué.

marjolaine fatigue


Des bains aux plantes

Vous l’avez compris, certaines plantes peuvent vous donner un coup de fouet. Vous pouvez aussi les utiliser dans vos bains. Dans ce cas, on parle de « bains traitants ». Pour se faire, faites couler un bain chaud (37-38°), préparez pendant ce temps un bol dans lequel vous mettrez des plantes fraîches stimulantes comme le basilic, la menthe, le laurier, la sauge, le  thym, le pin. Ajoutez sur cette composition un litre d’eau bouillante et laissez infuser. Filtrez le tout et videz l’infusion géante dans votre bain. Vous pouvez maintenant savourer ce moment de détente.

menthe anti inflammatoire



Les règles évidentes 


Ces règles paraissent évidentes :
  • Si vous fumez, réduisez votre consommation de tabac.
  • De même, limitez votre consommation d’alcool.
  • Votre corps a besoin de se régénérer. Pensez à vous accorder des moments de détente rien que pour vous. Il faut apprendre à vous débrancher de votre quotidien.
course à pied


Une nouvelle habitude à prendre dans votre quotidien : la méditation

Ce n’est pas qu’un simple phénomène de mode. Des études scientifiques ont démontré que méditer quelques minutes chaque jour, permettait d’être moins stressé, moins déprimé et plus concentré. De plus l’énergie circule mieux et c’est tout le corps qui en profite.

Résultat de recherche d'images pour "la méditation"


Comment méditer ? 


Voici une méditation sommaire, vous pourrez l’adapter en fonction de votre personnalité. Vous pouvez vous servir d’une musique de relaxation pour vous accompagner dans cet état de « lâcher prise ». 
  • Placez-vous assis sur une chaise, le dos bien droit. Vous pouvez aussi vous allonger, les bras le long du corps.
  • Fermez les yeux. 
  • Prenez trois longues respirations.
  • Ne pensez plus à rien. Si votre mental vous joue des tours, laissez filer vos pensées sans vous concentrer sur elles.
  • Vous allez sentir vos tensions partir peu à peu. Reliez-vous à votre respiration qui devient de plus en plus calme.
Une séance de méditation de 10 à 15 minutes chaque jour, va vous faire le plus grand bien.
En cumulant toutes ces recettes 100% naturelles, vous devriez rapidement être en pleine forme.
Résultat de recherche d'images pour "meditation islam"

Pourquoi les serpents n'ont-ils pas de pattes?

Résultat de recherche d'images pour "serpents"

Voilà un grand mystère de l'univers que des chercheurs viennent d'élucider! La réponse.
Les ancêtres des serpents possédaient il y a 100 millions d’années des pattes, mais on ignorait jusqu’à maintenant comment s’était déroulée leur évolution vers la disparition des quatre membres.
Des biologistes de l’université de Floride viennent cependant de découvrir qu’une mutation du gène nommé « Sonic Hedgehog » serait en cause. La configuration de ce gène chez les serpents empêcherait le développement des pattes chez l’embryon.
Les travaux d’une autre équipe de chercheurs, celle-ci basée en Californie, vont dans le même sens. Alex Visel et son équipe ont découvert qu’en introduisant ce gène à des souris, on obtient une descendance qui présente des moignons au lieu des pattes.

Une 3e guerre mondiale ne durerait que «quelques minutes» tout au plus.



Résultat de recherche d'images pour "3e guerre mondiale ne durerait que «quelques minutes"


L’usage d’une arme nucléaire serait pratiquement inévitable en cas de 3e guerre mondiale qui serait à la fois « rapide et implacable », supposent des experts américains.
Si une 3e guerre mondiale impliquant les États-Unis, la Russie et la Chine venait à éclater, l'usage d'armes atomiques serait pratiquement inévitable, estiment nombre d'experts, expliquant que toute confrontation conventionnelle ne tarderait pas à dégénérer en guerre nucléaire certes limitée, mais « rapide et implacable ». 
Certains représentants du commandement militaire américain estiment à l'unanimité qu'un conflit entre les États-Unis et/ou l'Otan, d'une part, et la Russie ou, éventuellement, la Chine, de l'autre, ne durerait que « quelques minutes » tout au plus.


Afficher l'image d'origine

Ils préviennent qu'une 3e guerre mondiale serait « rapide et implacable ». 
Le général Mark A. Milley, chef de l'État-major de l'Armée de terre américaine, a déclaré en amont qu'une guerre entre les plus grandes puissances était « pratiquement inévitable », alors que l'intelligence artificielle et les armes de précision seraient les principaux moyens de combat dans ce conflit.
Leur usage mettrait un terme à n'importe quelle guerre, même conventionnelle, en l'espace de quelques minutes. 

 Résultat de recherche d'images pour "3e guerre mondiale  obama"

Un autre général américain, William Hix, estime lui aussi qu'un « conflit conventionnel, s'il éclate dans l'immédiat, serait extrêmement sanglant et rapide ». Par ailleurs, le général est persuadé que le progrès technique aura pour conséquence de donner naissance à de toutes nouvelles relations entre les êtres humains et les machines. Ces dernières fonctionneront plus rapidement et décideront de plus en plus souvent à la place des hommes, ce qui constituera un défi crucial pour l'humanité.
Pour le moment, on observe dans le monde des conflits moins globaux que les grandes puissances utilisent pour promouvoir leurs propres intérêts sans y participer directement. Ces conflits se déroulent actuellement en Ukraine, en Syrie et dans le Pacifique. Ce sont des théâtres d'opérations « proxy » susceptibles de déclencher une « nouvelle course aux armements » entre les États-Unis, la Russie et la Chine ».
Ces pays mettront au point les armements les plus sophistiqués pour des « guerres de nouvelle génération ».  

Les vagues qui se transforment en glace sur le Lac Baïkal en Russie

C'est un étonnant phénomène observé sur le lac Baïkal en Sibérie.


Un

Des vagues, tout le monde en a déjà vues. Mais c'est un phénomène beaucoup plus insolite qui se produit dans le sud de la Sibérie en Russie. À cet endroit, se trouve le lac Baïkal, la réserve d'eau douce liquide la plus grande et la profonde au monde. Surnommée «la perle de la Sibérie», celle-ci s'étend sur plus de 30 000 kilomètres et affiche une transparence exceptionnelle. 
Ces remarquables caractéristiques offrent un paysage à couper le souffle à tous ceux qui s'y aventurent. Et même en hiver, la gigantesque réserve d'eau vaut le détour. Cinq mois par an, celle-ci se change complètement en glace, sous l'effet des températures hivernales extrêmes de la Sibérie. L'épaisseur de glace atteint en moyenne un mètre mais peut aller au-delà.
Néanmoins, le lac Baïkal ne gèle pas tout de suite entièrement. Alors que les autres cours d'eau sibériens se sont déjà figés, celui-ci parvient à résister un peu plus longtemps, jusqu'à la moitié de l'hiver. Ceci donne lieu à un étonnant phénomène: de remarquables vagues de glace qui viennent s'écraser sur les rivages du lac. 
On a pu assister et filmer le phénomène. Sur cette vidéo, on peut ainsi apercevoir la glace avancer sur le sable tout en se brisant, formant des pics gelés s'entassant en désordre et avec fracas. Splendide.