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Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

La saleté en Chine

La saleté des chinois n'est pas un vain mot. Dans les rues, tant les femmes que les hommes, crachent partout. Les seuls endroits, où ils ne le font pas, c'est dans les lieux publics fermés ! Vous avez deux types de rues : les poubelles et les suisses...je parle du centre-ville. Dans les premières, tout est permis ou soi-disant.. Chacun jette ses détritus, ses ordures, ses sacs de plastique.... à même le trottoir ou la rue même s'il y a des poubelles.


 

 Au petit matin, tout est nickel. Dans le deuxième cas, rien au sol, les poubelles ne sont pas plus nombreuses, mais la population respecte ces rues ou avenues et ce, sans qu'aucune consigne ne soit affichée.


Image associée

Vous devez faire attention où vous mettez les pieds, tellement les rues et avenues sont encombrées de saleté.
Une chose est surprenante, malgré les quelque chiens rencontrés, il n' y a pas de crottes sur les trottoirs comme c'est le cas en France par exemple.

Les citoyens européens quittent en masse le Royaume-Uni


Un ferry quitte Douvres, en Angleterre, pour Calais, en France.

Le solde migratoire de citoyens européens au Royaume-Uni est resté positif entre avril 2016 et mars 2017, à + 126.000 arrivées, mais accuse une forte baisse par rapport à l'année précédente (-29%). La hausse de l'émigration est particulièrement alimentée par les départs des citoyens roumains et bulgares (+100%) et par ceux des ressortissants d'Europe de l'est (+58%).
Brexit, baisse de la livre, augmentation du nombre d'actes xénophobes... Entre avril 2016 et mars 2017, quelque 122.000 citoyens européens installés au Royaume-Uni ont quitté le pays, un chiffre au plus haut depuis neuf ans, selon les données publiées jeudi par l'Office national des statistiques britannique (ONS). L'émigration européenne s'est accélérée ces derniers mois : depuis un an, elle a augmenté de 37%, soit 33.000 départs supplémentaires par rapport à 2016.
La hausse est particulièrement alimentée par les départs des citoyens roumains et bulgares (+100%) et par ceux des ressortissants d'Europe de l'est (+58% pour le groupe de pays regroupant Pologne, Estonie, Lettonie, Lituanie, Hongrie, République Tchèque, Slovaquie, Slovénie). Dans le même temps, l'immigration européenne a reculé de 7%, soit 19.000 arrivées en moins.

Près de 30% d'arrivées en moins l'année dernière

Le solde migratoire de citoyens européens au Royaume-Uni reste néanmoins positif sur la période, à + 126.000 arrivées, mais accuse une forte baisse par rapport à l'année précédente (-29%). Au total, européens et non-européens confondus, 81.000 personnes ont renoncé à venir ou ont quitté les îles britanniques, pour un solde migratoire net de 246.000 personnes. Encore bien loin d'un solde de quelques "dizaines de milliers" promis par Theresa May lors des élections anticipées. ,
Pour Jonathan Portes, professeur d'économie à l'université King's College de Londres, ces résultats "confirment que le Brexit a un impact significatif sur les flux migratoires, même avant tout changement politique ou législatif". Il juge sur Twitter que "les citoyens européens, ceux qui prévoient de venir au Royaume-Uni comme ceux qui sont déjà installés, sont inquiets pour leur futur statut dans le pays.".
Pour Nicola White, directeur du service des migrations internationales à l'ONS, il est en revanche "trop tôt pour dire si ces chiffres sont l'indication d'une tendance de long terme". La question du statut des 3,2 millions d'Européens qui vivent outre-Manche et du million de Britanniques installés dans le reste de l'UE est en effet au cœur des négociations de divorce entamées entre Londres et Bruxelles en juin dernier.



Méfiez-vous d'eux ?


INDE : LE PAYS DES ESCLAVES MODERNES

La plus large population d’esclaves modernes du monde vit, ou survit, en Inde. Entre 13 millions et près de 15 millions de personnes sont réduits en esclavage dans le pays. La moitié des 28,9 millions de personnes asservies dans le monde. Ce sont les Indiens eux-mêmes, et non pas les migrants, qui sont les premières victimes de nombreuses formes d’esclavage : 


    • Le travail forcé dans des chantiers, dans des usines, dans des mines. Parmi ces forçats, beaucoup d’enfants. 
    • La servitude pour dette: entre 20 à 65 millions d’Indiens travaillent ainsi pour payer leur dû. 
    • Le travail domestique. Beaucoup d’Indiens, notamment des femmes et des enfants, sont de véritables esclaves chargés d'effectuer toutes les tâches dans la maison de leur « maître ». Censés être des domestiques, ils ne sont parfois pas payés et victimes de violences. 
    • L’exploitation sexuelle. L’Inde compte plus de 3 millions de travailleurs du sexe. Beaucoup, là encore, sont des enfants. Le trafic humain, dont le trafic d’organes et les adoptions illégales.
    • Le mariage forcé et servile (contre de l’argent).
    Certaines victimes de travail forcé ont quitté leur région pour une grande ville, attirées par des « brokers » (courtiers) qui leur promettent un emploi, une vie meilleure, pour finalement les exploiter. Mais beaucoup sont esclaves dans leur propre village. Ils sont liés à un propriétaire auquel ils doivent rembourser une dette. Parfois, ils héritent de leurs chaînes en raison de leur caste ou d’une tradition sociale.

    Il est difficile de dessiner le paysage de l’esclavage en Inde. Dans le pays, la discrimination est presque une tradition, le système des castes légitime et perpétue les inégalités. L'emploi à moindre coût de personnes « inférieures », plus vulnérables socialement et économiquement, fait partie de l'organisation de la société, et du foyer.

    C’est la pauvreté mais aussi le système des castes qui permettent à l’esclavage moderne de prospérer en Inde. Les dalits (intouchables) et les Indiens de basses castes comme les personnes issues de communautés indigènes sont les plus vulnérables face à toutes ces formes d’exploitation et de violence. 




    L’Inde est classée quatrième dans l’Index de l’esclavage mondial derrière la Mauritanie, Haïti et le Pakistan et devant le Népal, la Moldavie, le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Gambie et le Gabon. Point commun à tous ces pays, un PIB par tête et des indices de développement humains qui demeurent bas. 
    Soulignant les grandes disparités entre les différents États indiens, ce sont l’Uttar Pradesh et le Bihar où il existe de hauts niveaux de formes héréditaires de servitude pour dettes dans les zones rurales, et de trafic humain. 
    Que fait le gouvernement pour protéger ces populations prises dans un cercle infernal de vulnérabilité ? Le gouvernement indien est encore loin de protéger ses citoyens. Certains d'entre eux n'ont d'ailleurs pas de papiers d'identité, donc pas d'existence légale. La réponse apportée au problème de trafic humain se concentre presque exclusivement sur l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants, et les autres formes de ce trafic (…) sont à peine reconnues. Les leaders nationaux ont tendance à ne pas reconnaître la criminalité violente du travail forcé et y voit plutôt un vestige de la pauvreté. »
    L’Inde a ratifié des conventions sur l’esclavage, sur le travail forcé, sur le trafic humain mais les textes semblent rarement suivis de faits. Selon une loi de 1976, depuis 1975, le travail forcé est interdit. À cette date, les travailleurs liés à un « patron » par une dette ont été libérés de leurs obligations. Mais en 2013, des millions d’Indiens continuent de porter ce fardeau. La loi est rarement appliquée et les condamnations sont légères. Les relations entre les propriétaires, les trafiquants et les élus locaux sont souvent trop étroites pour que les victimes soient écoutées et que leurs droits soient respectés.
    En 2005, le ministère du développement rural a introduit le NREGA (Mahatma Gandhi National Rural Employment Guarantee Act), qui garantit 100 jours d’emploi salarié par an aux ménages ruraux qui effectuent des travaux manuels non qualifiés. « Une alternative pour ceux qui sont prisonniers du travail forcé », « le gouvernement national et les ONG travaillent dur pour le populariser ». Pour mobiliser les populations locales et parvenir à l’imposer aux chefs de village. « S’il était complètement appliqué, le NREGA serait un programme d’importance mondiale dans la lutte contre l’esclavage moderne ».
    Des amendements au code pénal datant d’avril 2013 criminalisent désormais toute forme de trafic humain. En revanche, les conventions sur les « pires formes du travail des enfants » et sur le travail domestique attendent toujours d’être adoptées par le gouvernement indien.






    Inde en tête, 36 millions d’esclaves dans le monde

    Terrible glissement de terrain en Suisse

    Huit personnes, dont des Allemands, des Autrichiens et des Suisses, sont portées disparues dans le sud-est des Alpes suisses, après un glissement de terrain qui a provoqué mercredi une coulée de boue, a annoncé jeudi la police.



    Quelques endroits fascinants au Maroc

    1- Cap des Trois Fourches dans la région de Nador sur la côte Nord-Est méditerranéenne (montagne du Rif).

    Texte pour malvoyants 

    Le Cap des Trois Fourches est un promontoire montagneux qui s’avance d’une vingtaine de kilomètres dans la mer Méditerranée avec des sites sauvages réputés pour des paysages sublimes et de nombreuses plages désertes.

    2- Le village d’Aremd à Toubkal

    Texte pour malvoyants 

    Bien caché dans le parc national du Toubkal Maroc, le petit village d’Aremd à 1900 mètres d’altitude ayant une vie direct sur le sommet du mont Toubkal (4165m). Pour s’y rendre, une piste part du village d’Imlil, par la suite , la mule est le seul moyen de transport.

    3- Rhafsai: le pays des jbalas - Montagnes du Rif

    Texte pour malvoyants

    Sur cette photo on peut voir la vallée qui mène à Rhafsai, vue du Douar Taouerda. Dans ces régions, où les montagnes du Rif acquièrent parfois des formes assez surprenantes, une couleur domine : le vert dans toutes ses nuances.

    4- La forteresse Casa del Mar dans la région de Tarfaya.

    Texte pour malvoyants 

    La forteresse Casa del Mar est un comptoir commercial construit par les Britanniques dans les années 1880 lors de leur occupation de la ville de Tarfaya. il fut racheté par le sultan Hassan Ier, qui négocia, au nom des tribus sahraouies, leur départ vers l’année 1885. En 1916, suite à un accord entre les puissances coloniales de l’époque, l’Espagne occupa cette région et la rajouta au Sahara qu’elle occupait déjà depuis 1884.

    5 - Les mille-feuilles dans la région de Taghazout.

    Texte pour malvoyants 

    Les mille feuilles retracent une partie de l’histoire séculaire du Maroc et du Maghreb. Les mille-feuilles sont une succession de formations marneuses et calcaires (d’âge crétacé) sous forme de petites strates donnant une érosion différentielle avec une irrégularité dans le profil. L’érosion marine est intense et donne lieu à un découpage très important des côtes rocheuses sur toute la frange Atlantique entre Agadir et Essaouira.

    6- Le mystère des labyrinthes de “Habs Kara” à Meknès.

    Texte pour malvoyants 

    Situé à l’intérieur de la Qasba Ismailienne, à proximité du pavillon des ambassadeurs. C'est un  monument du début du 18 ème siècle fait de vastes souterrains sombres, sur des distances encore mal connues et constituant des labyrinthes encore à explorer. Ce Habs Kara (“Prison du Kara”), porte le nom de Kara, le prisonnier portugais à qui le roi (Moulay Ismail), avait promis la liberté s’il parvenait à bâtir une prison de 40.000 captifs (affirmation à vérifier). Par la suite, ces souterrains avaient servi de silos et magasins mais aujourd’hui abandonnés. Sur cette photo, on voit l’escalier qui mène à Habs Kara.

    7- Taferdouste, le Machu Picchu Berbère dans la région de Fès-Boulemane (Moyen-Atlas)

    Texte pour malvoyants 

    La kasba de Taferdoust, bien perchée sur un monticule isolé bar un méandre fluviatile et à laquelle on accède par un ancien pont. Le village fait corps avec les formations rocheuses et est construit avec les mêmes matériaux, des roches formant des murs épais pour résister aux hivers très froids dans la région et aussi à la neige parfois très épaisse.

    8- Le Tafilalet traversé par l’Oued Ziz

    Texte pour malvoyants 

    Le Tafilalet est un ensemble d’oasis, tout le long des basses vallées des oueds Ziz et Ghéris. Il correspond actuellement à la province d’Errachidia englobant les villes d’Erfoud, Rissani. La région a joué un rôle très important dans l’histoire du Maroc aussi bien sur le plan commercial que politique et social. En effet c’est à Sijilmassa (actelle ville Rissani), en 1631 que s’établie la dynastie alaouite.(actuelle dynastie régnante du Maroc).
    De sa position sur les portes de désert, cette région a eu une position stratégique pour le commerce avec les pays subsahariens depuis le Sénégal jusqu’au Soudan. ainsi, lors du règne de Moulay Ismaïl, le commerce de l’or a atteint son summum et dominait à l’échelle mondiale.

    9- Les ruines de Lixus.

    Texte pour malvoyants 

    Les ruines de Lixus, au nord de la ville de Larache, sur la colline Tchemmich sur la rive droite de l’ oued Loukkos, attestent de la présence de l’une des villes principales de la province romaine de Maurétanie Tingitane .
    Lixus a été édifiée par les Phéniciens, comme colonie atlantique, au 7ème siècle avant JC et a été plus tard annexé par Carthage, puis devenue avant-poste impérial de la province romaine de la Maurétanie Tingitane.(partie nord de Maroc qui va des environs de Melilia jusqu’à Rabat) et l’histoire continue…

    10- La grotte du chameau de Tafoughalt (nommée aussi Taghazout).

    Texte pour malvoyants 

    La région de Tafoughalt se situe à 1 500 mètres d’altitude, dans les montagnes le Rif oriental, habitée par les tribus des Bni Znassen.
    C’est une grotte à trois étages de galeries, dont la partie inférieure est toujours en activité après de fortes pluies. On accède à la grotte par une entrée supérieure ; une concrétion en forme de chameau qui a donné son nom à la grotte.

    11- les Khettaras du Maroc.

    Texte pour malvoyants 

    Sur la photo, les collines de remblais autour des fenêtres verticales des Kettharas creusées près d’ Erfoud, Maroc. La même image est encore visible dans certaine partie de la palmeraie de Marrakech*;
    Ce système d’irrigation très performant et utilisé, sous différentes formes, dans de nombreux pays à climat aride, a été signalé au Maroc dès le 14 ème siècle. La raison des assèchements de ces khettaras est due essentiellement à la construction des barrages.

    12- Le grenier collectif au village Imi Mqoum dans la région d’Agadir.

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    Le grenier collectif est situé au sud-Ouest Marocain, au niveau du village Imi Mqourn, à 25 Km sud de Biougra. La photo prise avant restauration du site. De mémoire, ce grenier aurait entre 200 et 300 ans, construit par une juxtaposition habile de grandes et petites dalles rocheuses extraites du relief lui même. L’ensemble est représenté par un ensemble de compartiments de stockage individuel, sur plusieurs niveau, autour d’une allé centrale.
    Le système d’accès est très ingénieux pour accéder aux niveaux supérieurs par ces dalles qui émergent des murs. Au sol, deux grandes citernes de stockage d’eau et aussi des niveaux de stockage de nourriture pour le groupe (précaution dans le cas où on s’enfermerait à l’intérieur pendant les attaques des autres tribus). Les murailles externes montrent des tours de guet avec ses hautes tours. 

    13- Le Rucher d’Inzerki dans la région d’Agadir.

    Texte pour malvoyants 

    Plus de 4 000 ruches, 50 000 abeilles et 25 000 litres de miel, c’est ce qui en fait le plus grand rucher traditionnel au monde. Taddart d’Inzerki ou « Taddart ou Guerram »,est situé dans la commune rurale d’Argana, à 80 km au nord d’Agadir.
    Aujourd’hui, 279 cases sont fonctionnelles avec 4.180 ruches, (pour chaque case de 15 à 20 ruches traditionnelles), produisant un des miels les plus recherché au Maroc. Ce miel à base de thym (Tazouknnit) est le miel le plus prisé et le plus cher également. D’autres plantes médicinales locales très variées entrent dans la fabrication du miel à Inzerki ce qui lui donne des vertus thérapeutiques confirmées.

    14- La citerne portugaise d’El Jadida.

    Texte pour malvoyants 

    Ce site est classé sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en 2004. Cette citerne, vaste salle souterraine du château fort est construite en 1514 et constitue un chef d’oeuvre de l’art Manueline portugais. Elle servit probablement de salle d’armes avant d’être utilisée comme réserve d’eau. Sur un plan carré de 34 m de côté, elle comporte six nefs dont les voûtes d’arêtes reposent sur 25 colonnes et piliers.

    Le Maroc et l'Algérie sont des pays qui se ressemblent

    Qui se ressemble, s’assemble…. Maroc-Algérie : si ce n’est pas pour aujourd’hui, ça sera peut-être le cas pour demain.

    Texte pour malvoyants 

    Le conflit n’est pas l’unique chose que partagent le Maroc et l’Algérie. Même si depuis une cinquantaine d’années, les frictions politiques s’enchaînent entre ces deux voisins, l’histoire a montré qu’il existe de fortes relations d’amitié et de partage entre le Maroc et l’Algérie. Et ce, bien avant le traçage de leur frontière par la France et le Maroc en 1845.
    Cet article est une tentative pour pouvoir mettre en valeur ces petites choses qui unissent les Marocains et les Algériens en tant que peuple. 

    1- Tout les deux ont la même religion : l’islam.

    Texte pour malvoyants 

    Selon tous les textes constitutionnels du Maroc, l’« Islam est la religion de l’État, qui garantit à tous le libre exercice des cultes ». Le roi, qui possède le titre de « commandeur des croyants » et « veille au respect de l’Islam ». 
    Quant à l’Algérie, la constitution algérienne déclare l’islam comme religion d’État. Il n’existe pas de recensement officiel en matière de religion en Algérie. Toutefois, il est généralement estimé que l’islam est la religion de 98 à 99 % des Algériens.

    2- Le Maroc et l’Algérie ont une histoire en commun : se battre pour obtenir leur indépendance.

    Texte pour malvoyants 

    Tant d’épisodes du passé ont prouvé le lien indestructible qu’il existe entre les deux pays. A commencer par le Royaume des Zianides de Tlemcen, aux XIIIe et XIVe siècles, dans lequel l’Algérie et le Maroc étaient si proches. Les échanges Maroco-Algériens autour de la capitale de Tlemcen étaient monnaie courante : commerciaux, politiques, migratoires.
    Bien évidemment, tous les deux ont connu les horreurs de la guerre pour obtenir leur indépendance. L’Algérie a toujours été reconnaissante envers le roi Mohamed V, qui avait soutenu les Algériens durant la guerre d’Indépendance en leur permettant d’installer une base à Oujda, au Maroc, servant de lieu de repli et d’approvisionnement, soutenant ainsi la Révolution algérienne.

    3- Ils partagent la même culture berbère depuis des siècles.

    Texte pour malvoyants 

    Traditionnellement dans la culture, les hommes s’occupent du bétail. Ils migrent en suivant le cycle naturel des pâturages, et en recherchant des sources d’eau et des abris. De leur côté, les femmes s’occupent des biens de la famille et confectionnent les objets artisanaux, tout d’abord pour leur usage personnel, et ensuite pour la vente dans les souks de leur localité. Actuellement, la plupart des Berbères sont sédentaires. Ils se désignent d’abord par leur ethnie régionale et par leur parler berbère : au Maroc, on trouve les Rifains, les Chleuhs, les Béni-Snassen, les Awarba, les Zayanes… En Algérie, on trouve les Chaouis, les Kabyles, les Mozabites, les Touaregs, les Beni Snous, les Chenouis, les habitants du Ouarsenis.

    4- La nature a comblé le Maroc et l’Algérie avec les mêmes richesses naturels

    Texte pour malvoyants

    Le Maroc et l’Algérie possèdent des territoires avec des similitudes dans la formation géographique. L’Atlas saharien, qui forme une succession de chaînes au caractère aride, s’étend d’est en ouest depuis le Maroc jusqu’en Tunisie. Il est formé de deux parties distinctes : à l’ouest et au centre l’Atlas Saharien proprement dit, qui culmine au Djebel Aïssa à 2 236 mètres d’altitude et à l’est l’Aurès, un massif aux hivers très froids et aux étés très chauds, dont le point le plus haut est le Djebel Chélia.

    5- Tout les deux parlent les mêmes langues.

    Texte pour malvoyants 

    Le Maroc compte deux langues officielles : l’arabe et l’amazighe. Chacune des deux langues est parlée sous différentes formes dialectales. Le mot darija désigne donc de façon spécifique les dialectes utilisés par la population marocaine arabophone ; l’équivalent se dit dardja.
    En Algérie, l’arabe classique est la langue officielle du pays, et depuis avril 2002 le berbère est reconnu langue nationale. Dans la vie courante, tout comme les Marocains, les Algériens arabophones parlent en général un arabe dialectal, le dardja, qui diffère de l’arabe littéral par sa morphologie, sa syntaxe, sa prononciation et son vocabulaire.

    6- Les deux pays ont été confrontés aux mêmes problématiques sociales et culturelles

    Texte pour malvoyants 

    Le Maroc et l’Algérie n’ont pas seulement quelques points communs, ils ont construit leur identité ensemble. Après l’indépendance, l’Algérie et le Maroc ont dû gérer les mêmes défis linguistiques, avec notamment leurs minorités berbérophones qui réclamaient la reconnaissance officielle de leur langue. Et aujourd’hui encore, ce sont des sociétés au parcours similaire dans lesquelles les jeunes marocains et algériens doivent faire face aux mêmes situations : le chômage, l’immigration clandestine, l’éducation.

    7- Ils éprouvent le même amour pour le football

    Texte pour malvoyants 

    Le football est le sport le plus populaire au Maroc. Son arrivée remonte à l’époque coloniale, lorsque plusieurs clubs ont été créés pour jouer dans une ligue appelée Ligue du Maroc de football, organisée par la Fédération française de football.
    En Algérie, le football est également le sport national par excellence. C’est bien grâce aux Français qu’on a vu naître le football en Algérie. Le Club athlétique Liberté d’Oran (CAL Oran ou CALO) est le premier à être créé le 5 février 1897 sous le nom du Club Athlétique d’Oran. Actuellement, le sport en Algérie le plus pratiqué et le plus populaire reste le football. Plusieurs clubs de football ont vu le jour durant les premières décennies du XXe siècle.

    8- La cuisine marocaine et la cuisine algérienne ne sont pas aussi différentes que ça.

    Texte pour malvoyants 

    La cuisine marocaine traditionnelle est extrêmement riche et variée, elle a une bonne place dans le classement international. L’un de ses plats le plus reconnu, c’est bien évidemment le couscous. C’est un plat traditionnel à base de semoule, de légumes et parfois avec un peu de viande à partager en famille ou entre amis. 
    La cuisine algérienne se caractérise aussi par une richesse tirée de la production terrestre et marine. C’est essentiellement une cuisine méditerranéenne et saharienne. Parmi toutes les spécialités dont dispose l’Algérie, les plus fameuses sont le couscous, aussi reconnu comme plat national.

    En Afrique, ces présidents accros au pouvoir


     

    37 ans de pouvoir… Le président angolais José Eduardo dos Santos, 74 ans, a passé la moitié de sa vie à la tête de son pays. Mais cette fois, c’est fini. Ce mercredi, il prend sa retraite. Un record ? Même pas ! De si longs règnes ne sont pas des exceptions sur le continent africain.

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     En Guinée-Équatoriale, le président Teodoro Obiang Nguema, à la tête du pays depuis le coup d’État du 3 août 1979, est le plus ancien dirigeant en poste sur le continent africain (38 ans). Il a été réélu en 2016 pour un cinquième mandat de sept ans.
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    L’Angolais José Eduardo dos Santos, en fonction depuis le 20 septembre 1979, était jusqu’à sa retraite le vice-doyen africain en terme de longévité au pouvoir. Il doit quitter ses fonctions lors des élections du 23 août, après quasiment 38 ans au pouvoir.
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    Au Zimbabwe, Robert Mugabe, 93 ans, est le plus vieux chef d’État en exercice dans le monde et le seul à être au pouvoir depuis l’indépendance de son pays, en avril 1980, d’abord comme Premier ministre puis comme président (plus de 37 ans). Il va se représenter pour un nouveau mandat en 2018.

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    Au Cameroun, Paul Biya est au pouvoir depuis près de 35 ans (6 novembre 1982). 

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    Au Congo, Denis Sassou Nguesso, cumule 33 ans au pouvoir. Il a été président de 1979 à 1992, avant de revenir à la tête du pays en 1997 après la guerre civile. Il a été réélu en mars 2016, une nouvelle loi lui permettant de briguer un autre mandat.

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     En Ouganda, Yoweri Museveni dirige le pays depuis plus de 31 ans (janvier 1986) et a été réélu en février 2016 pour un cinquième mandat de cinq ans.

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     Au Swaziland, le roi Mswati III dirige la dernière monarchie absolue du continent africain depuis plus de 31 ans (avril 1986).
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    Le record de longévité politique sur le continent africain reste celui de l’empereur Haïlé Sélassié d’Éthiopie, destitué en 1974 après 44 ans de règne. On le voit ici en 1973 avec le président français Georges Pompidou.

    L'éclipse totale de Soleil hier aux États-Unis était juste grandiose

     

    99 ans que les États-Unis attendaient une éclipse totale de soleil. Et quel spectacle ils ont eu hier soir! La lune a commencé à passer devant le soleil à 10h15 (19h15, heure belge) dans l'Oregon. Puis, l'ombre projetée par la Lune et le Soleil a traversé tout le pays en 1h34, en se terminant finalement sur la côte est de la Caroline du Sud à 14h49 (20h49, heure belge).
    Ce lundi 21 août, des dizaines de millions d'Américains se sont donnés rendez-vous avec la Lune et le Soleil, munis de leurs lunettes de protection. Une éclipse totale a traversé tout le pays d'ouest en est, balayant 14 États: l’Oregon, l’Idaho, le Montana, le Wyoming, le Nebraska, le Kansas, le Missouri, l’Iowa, l’Illinois, le Kentucky, le Tennessee, la Caroline du Nord, la Caroline du Sud et la Géorgie.
    Concrètement, la Lune est passée totalement devant le Soleil. À certains endroits, l'éclipse était totale, à d'autres plus partielle. En Europe, une éclipse partielle (très timide) était aussi visible avant le coucher du Soleil. C'était le cas en France, en Espagne, en Irlande, au Portugal ou encore au Royaume-Uni.
    La prochaine éclipse totale aura lieu dans 7 ans exactement, en 2024.
    Passons en revue quelques photos!

    À Washington

                         

     

    À New York

                        

     

    À Sisters dans l'Orego

                          


    À Jackson dans le Wyoming

                          

    Quelque temps plus tard, toujours à Jackson

                   

    À Rabun Gap, dans l'État américain de Géorgie

                     

    Mais aussi en Amérique latine: ici à Caracas au Venezuela

                                       

    À Bogota, en Colombie

                      

    À San Jose, au Costa Rica

                            


    Et ça peut donner des trop cool photos en projetant l'éclipse sur la main: ici à Ensenada au Mexique

                             



     

    Big Ben sonne une dernière fois avant de se taire pendant quatre ans

    Les Londoniens sont venus écouter les douze coups de midi une dernière fois avant le début d’importants travaux de rénovation, qui vont réduire la grande cloche au quasi-silence pendant quatre ans. 




    Le lundi 21 août à midi, les célèbres dongs de Big Ben ont résonné pour la dernière fois avant d’importants travaux de rénovation. Big Ben, c’est la cloche de 13,7 tonnes qui se trouve dans la tour Elizabeth du palais de Westminster. Edifiée il y a cent cinquante-sept ans, cette tour est un des sites les plus photographiés de Grande-Bretagne. Quant à la cloche, elle rythme la vie londonienne presque sans interruption, en sonnant toutes les heures.
    Les responsables de la rénovation estiment que le bruit des cloches, mesuré à 118 décibels, représente un « risque sérieux » pour l’audition des ouvriers du chantier. Pendant les travaux, la cloche devrait tout de même sonner pour célébrer la nouvelle année à la Saint-Sylvestre. En dehors de ça, elle restera silencieuse jusqu’en 2021.

    Vous n'entendrez plus Big Ben pendant 4 ans !

    Un drapeau britannique flotte devant la façade de Big Ben à Londres 
     Vous n'entendrez plus Big Ben pendant 4 ans ! Le lundi 21 août à midi, les célèbres bongs de Big Ben résonneront pour la dernière fois avant le début d'importants travaux de rénovation. Communiqué du Parlement britannique. Bien que la cloche ne sonnera plus, Big Ben indiquera toujours l'heure pendant la durée des travaux. Les travaux ont pour objectf de préserver l'horloge ainsi que la tour Elizabeth qui l'abrite. 



    Plus d'un millier de personnes se sont rassemblées lundi au pied du palais de Westminster sous un ciel menaçant, siège du Parlement britannique, pour les derniers "bongs" avant une cure de jouvence de 29 millions de livres (31,7 millions d'euros) qui concernera la tour et l'horloge.
    Cette tour victorienne de 96 mètres, un des monuments les plus photographiés du Royaume-Uni, est souvent dénommée Big Ben alors que le surnom ne désigne en fait que son imposante cloche de 13,7 tonnes.
    Celle-ci va être déconnectée et ne sonnera plus les heures comme elle l'avait fait depuis 158 ans presque sans discontinuer, accompagnée d'un carillon de quatre cloches plus petites pour les quarts d'heure.
    L'horloge continuera néanmoins de fonctionner grâce à un mécanisme électrique de substitution, et au moins un de ses quatre cadrans restera toujours visible au public. 

    Le Brexit sans Big Ben

    Plusieurs élus, jusqu'au sommet du gouvernement britannique, se sont indignés à la perspective de ne plus entendre résonner, jusqu'en 2021 les coups qui ouvrent en direct plusieurs émissions de la BBC - sauf pour des événements importants comme le Nouvel an.
     
     Même la Première ministre Theresa May est intervenue : "Il n'est pas raisonnable que Big Ben soit réduite au silence pendant quatre ans", a-t-elle déclaré mercredi. Elle a exigé des responsables de la Chambre des Communes qu'ils reprennent d'urgence le calendrier des travaux.
    Pour les partisans du Brexit, il serait même inconcevable que Big Ben ne marque pas la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne le 29 mars 2019. "Il serait très étrange si à minuit, ce jour-là, elle ne sonne pas, très bizarre. C'est le coeur de notre nation", a estimé le député conservateur Peter Bone dans le Daily Mail.

    Marche arrière

    Face à ces réactions virulentes, le Parlement a annoncé dans un communiqué qu'il pourrait faire marche arrière, alors qu'il avait validé la rénovation en 2015. Plusieurs élus ont fait valoir que la durée des travaux n'avait pas été précisée. 
    "A la lumière des inquiétudes exprimées par un certain nombre de députés, la commission de la Chambre des Communes va réévaluer la durée pendant laquelle les cloches resteront silencieuses" à la reprise parlementaire en septembre, selon le Parlement.
    Il a toutefois rejeté la proposition de faire sonner Big Ben en dehors des heures de travail des ouvriers, la mise en marche et l'arrêt du mécanisme pouvant nécessiter une demi-journée de travail.
    Selon un sondage de l'institut YouGov, les Britanniques penchent plutôt (44%) pour la mise sous silence de Big Ben pendant les travaux, sauf occasions spéciales, que pour une solution permettant de la maintenir en activité.