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Top 10 des routes les plus longues du monde


  • Route panaméricaine (Amérique, 48 000 kilomètres) : 

reconnue comme la plus longue route du monde par le livre Guinness des records, il s'agit en réalité d'un réseau de routes et d'autoroutes qui traversent l'Amérique du nord au sud, sur 14 pays. Il lui manque également un dernier tronçon de 87 kilomètres (entre le Panama et la Colombie) pour pouvoir être traversée entièrement en véhicule motorisé. Vous avez intérêt à avoir prévu quelques CD pour la route.








  • AH1 (Asie, 20 557 km) 
plus longue "route" du réseau Asian Highway Network (AHN), elle part de Tokyo (Japon) jusqu'à Istanbul (Turquie). N'oubliez pas de faire la révision des 10 000 à mi-chemin.



(Asian Highway(Japan-Korea-China-India-Turkey)




  • Highway 1 (Australie, 14 500 km) 
empruntée par près d'un million d'automobilistes par jour en moyenne, cette route nationale traverse toutes les capitales d'états de l'Australie, et est au total un peu plus longue que l'ensemble du réseau français des routes nationales et d'autoroutes.








  • Route transsibérienne (Russie, 11 000 km)
traverse toute la Russie, de Saint-Petersbourg à Vladivostok, sur les traces de Michel Strogoff. Bon lui il le faisait à cheval, c'est tout de suite un peu plus long.






  • Route Transcanadienne (Canada, 8 030 km)
relie les 10 provinces canadiennes, et s'étend sur pas moins de 5 fuseaux horaires. Changer l'heure de votre montre tous les 1500 kilomètres.






  • RN 010 (Chine, 5 700 km) :
la plus longue route nationale de Chine. Plus pour très longtemps vu la vitesse du développement du réseau routier chinois.






  • Route 20 (Etats-Unis, 5 415 km)
plus longue route des Etats-Unis, elle traverse le pays d'ouest en est, de Newport (Oregon) à Boston (Massachusetts).








  • Route 66 (Etats-Unis, 3 945 km) :
pas la plus longue, mais certainement la route la plus connue des Etats-Unis. The Mother Road n'existe plus officiellement (elle fut déclassée en 1985), mais elle conserve toujours un caractère mythique.




Traverser l’Illinois, le Missouri, le Kansas, l’Oklahoma, le Texas, le Nouveau-Mexique, l’Arizona et la Californie en suivant la Route 66, c'est arpenter une part du rêve américain. Immortalisée par Steinbeck dans Les raisins de la colère en 1939, deux ans seulement après l'entrée en fonction du tracé actuel, avec ses 3 670 kilomètres, la "route-mère" connaît aujourd’hui un regain d’intérêt. Motards et touristes avides de nostalgie aiment notamment s'arrêter chez Walmire pour déguster son fameux "cozy-dog" et admirer un musée de "belles Américaines" aux couleurs flashy et aux chromes étincelants. Lichtfield s’enorgueillit d’avoir l’un des derniers cinéma drive-in. On quitte l’Illinois pour le Missouri, dont la capitale a perdu la moitié de ses habitants. Des ruines d’usines désaffectées à perte de vue. Mais le hip-hop et le rap y motivent les jeunes, tandis qu’à quelques kilomètres de là, des nostalgiques écoutent de la musique bluegrass et dansent des square dances.







  • ... Nationale 7 (France, 996 km) :
 avant son déclassement partiel, la RN7, "route bleue" ou "route des vacances" était la plus longue route française. Charles Trenet en avait fait une chanson. Aujourd'hui, c'est l'A10 la plus longue autoroute avec 557 km de longueur. C'est nettement moins glamour.









  • (Bonus) Route du désert du Tarim (Chine, 552 km) : 
avec ses modestes 552 kilomètres, cette route traverse le désert du Taklamakan (Chine) sur 446 kilomètres... soit la plus longue distance de route sans ville traversée.




Les Britanniques se ruent sur les passeports irlandais



Le nombre de Britanniques demandant la citoyenneté irlandaise a presque doublé depuis que le Royaume-Uni a voté en faveur de sa sortie de l'Union européenne (Brexit), rapporte mercredi l'agence de presse britannique Press Association. Cette dernière se base sur des chiffres communiqués à Neale Richmond, membre du parti irlandais Fine Gael.
En 2015, 46.229 Britanniques ont demandé la citoyenneté irlandaise. En 2017, le passeport irlandais devient bien plus populaire avec 80.752 demandes britanniques. Sur les six premiers mois de 2018, 44.962 Britanniques ont rentré une demande.

Brexit difficile
En juin 2016, 52% des participants au referendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'UE ont voté oui. Depuis, le pays lutte pour obtenir un accord avec l'Union. La plupart des dirigeants politiques ont prévenu que le court délai pour conclure un accord rend toute planification ardue pour les citoyens et entreprises britanniques mais aussi européens.

Origines irlandaises
Les Britanniques avec des parents ou grand-parents irlandais peuvent demander un passeport à la République d'Irlande, qui reste membre de l'UE. L'Irlande et la Grande-Bretagne autorisent la double citoyenneté. Au moins 10% de la population britannique - qui n'inclut pas l'Irlande du nord - ont droit à un passeport irlandais, a signalé M. Richmond.

Un homme devant la justice pour "rajeunir" de 20 ans

Un retraité néerlandais s'est engagé dans une bataille juridique pour modifier sa... date de naissance.


Emile Ratelband, 69 ans, veut modifier sa date de naissance du 11 mars 1949 pour la dépacer au 11 mars 1969. Il compare cette démarche, légitime selon lui, à un changement de sexe ou de nom.
"Vous pouvez changer de nom, vous pouvez changer de sexe: pourquoi ne pourriez-vous pas changer d'âge?, confie-t-il au quotidien néerlandais De Telegraaf. Une cour d'Arnhem statuera sur ce dossier insolite (ou d'avant-garde) le mois prochain. 

Requête symbolique?
Selon la presse nationale, la requête d'Emile Ratelband a peu de chance d'aboutir: il n'existe en effet aucune procédure légale susceptible d'autoriser une modification de sa date de naissance. 

Discrimination sur l'âge
Mais ce retraité s'estime victime de discrimination en raison de son âge, tant dans sa recherche d'emploi que sur... Tinder: "Quand tu as 69 ans, les possibilités sont réduites. Quand tu as 49 ans, tu peux acheter une nouvelle maison, changer de voiture, tu as plus d'une corde à ton arc", constate-t-il. "Quand j'avoue mes 69 ans sur Tinder, on ne me répond pas. Quand je prétends en avoir 49, avec le visage que j'ai, ça change tout". 




Il promet de renoncer à sa retraite
D'ailleurs, selon ses médecins, Emile Ratelband possède la constitution d'un homme de 45 ans. Il promet, en outre, de renoncer à sa retraite si sa demande est acceptée par la justice.

Un pigeon parfois ivre élu « oiseau de l’année »


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Il vient d’être élu « oiseau de l’année » en Nouvelle-Zélande. Le kereru est un pigeon sauvage connu pour s’enivrer en avalant des fruits fermentés. L’été, il est possible de voir certains spécimens tituber, voire tomber des arbres. Des centres de protection animale en accueillent donc régulièrement durant plusieurs jours afin de les nourrir pendant leur « dégrisement ». L’élection de l’« oiseau de l’année » a lieu chaque année dans le pays. Elle vise à faire connaître les 168 espèces d’oiseaux qui vivent dans le pays afin de les protéger. Près de 50 000 Néo-Zélandais ont voté cette année.



SONGKRAN en Thaïlande: La plus grande fête de l'eau et du nouvel an thaï

Pour célébrer la fête de l'eau en Thaïlande, les habitants de Bangkok n'hésitent pas à organiser de véritables batailles d'eau dans les rues, parallèlement aux rites traditionnels.





Comme toujours la fête de l’eau est l’occasion de faire des énormes batailles d’eau. C’est aussi un moment clé de la culture thaïlandais avec des festivités plus traditionnelles.
Beaucoup d’évènements sont organisés pour fêter Songkran, mais la vraie fête est avant tout dans les familles. En effet, elle est en quelque sorte le socle de la communauté et des familles. C’est pendant cette période que l’on honore les anciens et que l’on vient chercher leur bénédiction. Par leur longévité, ils montrent le chemin à suivre, la sagesse à acquérir et la force vitale qu’ils possèdent en eux. Songkran est donc un moment propice pour réunir la famille autour des anciens. Les festivité de Songkran sont de fait de deux ordres, celles gardant et respectant l’aspect traditionnel. Ici il y a une primauté donnée à la famille et à l’aspect religieux de la fête. On se rend aux temples et l’on va honorer Bouddha. L’autre concerne surtout des fêtes un peu plus « vulgus pecus », c’est-à dire des moments totalement ludiques et festifs comme l’illustrent parfaitement les batailles ou les fêtes d’eau. Elles sont souvent mémorables et il faut le reconnaître à faire au moins une fois … bref à ne pas les louper !




Des saumons traversent une route inondée

La scène s'est déjà produite auparavant dans cette région, lors de crues de la rivière Skokomish aux état-unis d'Amérique.


Reporters


 Habituellement, les saumons doivent franchir des gués pour réussir à remonter les cours d'eau. Mais des poissons de l'Etat de Washington (Etats-Unis) ont fait face à un obstacle d'un autre genre : une route. Plusieurs saumons ont été filmés début novembre alors qu'ils traversaient une chaussée inondée par la rivière Skokomish, près de Seattle.
eLLE entre en effet régulièrement en crue, à cause du climat très arrosé de l'Etat de Washington. Si le phénomène météorologique coïncide avec la migration des saumons, qui remontent les rivières pour se reproduire, il arrive de voir des poissons tenter la traversée de routes inondée comme le montre cette vidéo :


Birmanie : ils brûlent des défenses d'éléphants pour lutter contre les trafics

Une méthode radicale pour un fléau planétaire : le braconnage et le marché du trafic d'animaux rares pèsent 20 milliards de dollars dans le monde. En Birmanie, où les braconniers investissent de nouvelles régions pour répondre à la forte demande en Chine, les autorités ont décidé de prendre le problème à bras le corps, en brûlant aux yeux de tous la marchandise saisie. Ainsi, dans la capitale Naypyidaw, ce sont 850 kilos de carcasses de léopards, d'os de tigres ou encore de défenses d'éléphant (la "marchandise" la plus rentable) qui ont été brûlés, jeudi 4 octobre. Le tout pour une valeur de 1,3 million de dollars.



« Putain de guerre 14-18 » …

Au centième anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, on pouvait croire que tout avait été montré de ce massacre. Mais les archives avaient encore de la ressource... Un certain nombre de sites britanniques et américains ont récemment livré des images jusqu'alors inédites. En voici quelques unes.

Ces tueries de masse de 1914-1918 avaient préparé la mort industrielle de la guerre suivante 39-45. On sait aujourd'hui que la " der des der" n'existe pas. Le sang sèche donc bien vite en entrant dans l'histoire...Les seules variantes seront les nouveaux moyens de tuer. Les images de cette séquence ne serviront donc à rien, qu'à mesurer l'horizon infranchissable de notre éternelle condition humaine...




Au Japon, le phénomène des « kodokushi », ces morts solitaires

Ce sont ces personnes dont on retrouve le corps des mois plus tard et qui sont de plus en plus nombreuses.



Une telle situation est loin d'être un cas isolé au Japon, où les plus de 65 ans représentent déjà 27,7% de la population et où le nombre de personnes seules explose. Le phénomène a même un nom: "kodokushi", littéralement "mort solitaire".

Les murs rose pâle aux interstices noircis par la poussière évoquent le Japon des années 1950. La rouille suinte des attaches métalliques d’un miroir fatigué. Le lavabo menace de s’effondrer. Le liquide noirâtre du « furo » (bain traditionnel) a pleuré sur le carrelage bleu pastel. Le fenestron de la modeste salle de bain a renoncé à laisser passer la lumière.
Un homme est mort ici. Quand les services sociaux ont forcé la porte de son petit appartement, ils ont retrouvé son corps, où ce qu’il en restait, dans le furo.Le décès d’un arrêt cardiaque remontait à deux mois.
L’histoire est vraie, mais le décor est reconstitué en miniature. Il est l’œuvre de Miyu Kojima, 26 ans. La jeune femme travaille pour la société ToDo-Company, spécialisée dans le nettoyage d’appartements des « kodokushi », les « morts solitaires », souvent des personnes âgées modestes vivant seules, n’ayant plus de contact avec leur famille, et dont le décès passe inaperçu jusqu’à ce que le voisinage s’inquiète d’une odeur désagréable, du courrier qui s’amoncelle dans la boîte aux lettres, d’une lumière qui reste allumée, ou d’une porte qui ne s’ouvre plus.
Une fois son travail terminé, Miyu Kojima récupère des photos prises pour les éventuels héritiers et réalise des miniatures ultra-réalistes de ces scènes de mort, qu’elle expose au salon des produits de l’industrie des pompes funèbres, organisé chaque année à Tokyo à la fin du mois d’août.

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Vieillissement accéléré de la population
On y retrouve des intérieurs étroits, au mobilier daté fleurant l’ère Showa(Période du règne de l’empereur Hirohito, entre 1925 et 1989). Ses créations montrent aussi des appartements encombrés d’ordures diverses, boîtes de bento, pots de nouilles instantanées, accumulées le plus souvent, selon elle, en raison de stress ou de dépression.

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Les villages abandonnés en France

La France est un vieux pays, chargé d’histoire et parsemé de belles pierres, fait de jolis villages et de métropoles modernes, parsemé de campagnes rieuses et de forêts séculaires. Raconté de cette façon, ça a plutôt l’air joli. Sauf que parfois, ça déraille. Les belles demeures et splendides châteaux sont parfois laissés à l’abandon, certains sites industriels et usines qui tournaient à plein régime au milieu du siècle dernier sont délaissés et deviennent des friches qui font la joie des graffeurs et des amateurs d’exploration urbaine. Mais plus encore que les châteaux et usines abandonnés, désormais connus de tous et largement documentés sur internet, ce qui m’a étonné, c’est que des villages entiers puissent se retrouver à l’abandon. Evidemment, la centralisation forcenée en France, et l’urbanisation qui amènera 70 % de la population mondiale à vivre en ville d’ici 2050 n’y sont pour rien. Mais ce n’est pas tout : guerres, épidémies, isolement, catastrophes naturelles ou projets de barrage : à chaque fois, il y a une raison pour que des villages entiers soient abandonnés, et cela constitue autant d’histoires intéressantes à raconter… Combien de ces villages, disparus ou encore recensés sur une carte, ont été abandonnés. 

Rochecolombe, le village abandonné :

Le vieux village abandonné de Rochecolombe est situé en Ardèche méridionale sur un piton calcaire. Le château date du 11ème siècle. Autour de lui, le bourg castral a été habité jusqu'en 1914, les habitants l'ayant progressivement déserté pour raison de commodité.



Village abandonné au bord de mer :




Celles : Village abandonné dans l'herault en France

Le village a été exproprié lors de la mise en eau du barrage du Salagou, à la fin des années 1960. L'ensemble des habitations a été acquis par le département de l'Hérault. À l'époque, il était prévu de réaliser le plan d'eau en deux étapes, d'abord à la cote 139, puis ultérieurement à la cote 150. Celles étant à 144 m d'altitude en moyenne aurait donc dû être submergée, d'où son maintien à l'état de ruines pendant longtemps.




Village fantôme de Clédat en Corrèze :
Village du XIVème siècle qui fut à l'origine un hospice. Les derniers habitants quittent le village en 1963, isolé et abandonné au milieu de l'immense forêt de résineux de Larfeuil. Clédat renaît en 2001 lors de la restauration de la Chapelle Ste Madeleine qui aujourd’hui trône au milieu des ruines ainsi que la chaumière (dernière habitation sur pied). A voir aussi la bonne fontaine Ste-Madeleine, le point de vue "le rocher",... 






Thines, le village perdu :
On ne va pas à Thines par hasard. Le seul chemin escarpé monte entre les rochers et la rivière dans une nature encore intacte. Mais pourquoi les hommes ont voulu vivre ici dans un lieu si exigeant ?





Village en ruine de Rochecolombe :
Le château de Rochecolombe, dominant le village a été construit au XIe siècle. Il est mentionné pour la première fois dans la documentation en 1170, concédé à la famille d'Ucel par les comtes de Toulouse. Le village est en fait un bourg castral , regroupement de maisons autour du château. Le château est incendié pendant les guerres de religion et il est resté en ruine depuis. De 80 habitants au XVe siècle la population du village passe à 300 habitants depuis 1650 jusqu'à la Révolution et atteint 627 habitants en 1851 ; à partir de cette date la population abandonne peu à peu le vieux village pour des raisons de commodité. Les dernières maisons sont désertées au début du XXe siècle. Jusqu'au XVe siècle, les toitures des maisons étaient recouvertes de paille de seigle, les tuiles ne sont apparues sur les maisons populaires qu'à partir du XVIe siècle.





Le Poil :
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1056 (Poium). Son nom s'écrivait le Poir jusqu'au XIXe siècle. Les Castellane en était seigneurs du XIVe au XVIIe siècle. Jusqu'au XXe siècle, les habitants du Poil cultivaient la vigne dans les communes voisines (notamment Mézel) et emportaient le raisin dans la montagne pour y fabriquer leur vin. Le village a été déserté dans les années 70. Une association culturelle a entrepris la rénovation de plusieurs bâtiments.





SALIGNAC :
Le village étant sur la rive gauche de la Durance,il appartenait au comté de Provence lors de la période d’existence du comté de Forcalquier. Le nom du village,tel qu’il apparaît la première fois vers 1200 (castrum de Saliniaco) est interprété comme dérivant du gentilice romain Sallinius ou Salinus,et indique un domaine appartenant à un Salinius. Dans l’Antiquité,le territoire de Salignac fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii). La communauté relevait de la baillie de Sisteron. Le territoire de la commune compte plusieurs tumulus, ainsi que quelques vestiges d’époque romaine. Une villa d’importantes dimensions a été retrouvée. Dans l’Antiquité, le territoire de Salignac fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii). Dès 1906, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841.




Village abandonné de Chaudun :
Randonnée depuis Rabou jusqu'au village abandonné de Chaudun par le sentier des bans.






L'ancien village abandonné de Noyer le Haut :
la localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1168, sous le nom de de Nogueriis, dérivé de l’occitan nougié (désignant le noyer), qui a plus tard été francisé en Noyers. La localité est citée pour la première fois à l’occasion de la victoire de saint Bevons sur les Maures au Xe siècle à Peyrimpi, selon Michel de la Torre. L’ancien village abandonné situé à 1000 mètres,se trouvent notamment les restes du château du XIIIe siècle, les ruines de l’ancien village,et l’église Notre-Dame-de-Bethléem et Sainte - Euphémie,ou de Haut-Noyers. Le plus ancien moulin à eau de Noyers existait déjà en 1342. La seigneurie appartient aux d’Agoult du XIVe au XVe siècle, et aux Clermont aux XVIIe-XVIIIe siècles. En 1516, les habitants de Noyers et de Ribiers s’opposent à propos du bornage de leurs terres : la dispute dégénère en combat sanglant, qui donne lieu à un procès de longue haleine. Cette dernière, ancienne dépendance du prieuré de Ganagobie, est construite du XIIIe siècle. C’est l’une des plus grandes églises du département (32 x 12 m). Sa cloche date de 1549. Elle a été restaurée dans les années 1970 et est classée monument historique. L’habitat se déplace progressivement dans la vallée, vers un village qu’on appelle alors Noyers-le-Bas, plus proche de la route départementale et de de sources. En 1844, sur les 1194 habitants, 340 vivaient dans le vieux village, et 854 dans le nouveau (et les écarts). L’école est construite dans la vallée en 1855, suivie d’une église en 1866 et finalement de la mairie en 1913.






Périllos village abandonné :

À la lisière de l'Aude et des Pyrénées-Orientales était le village de Périllos. Qui se vida peu à peu de ses habitants jusqu'à devenir un village fantôme, perdu au bout de la route. Qui se souvient des hommes ? écrivait Jean Raspail à propos d'un peuple disparu à la pointe de la Patagonie ! Qui se souvient des hommes et des femmes qui ont grandi à Périllos, qui y ont vécu, qui y ont connu leur lot de joies et de peines, les petits bouts d'ordinaires qui font qu'une vie est une vie. Qui se souvient de l'homme qui le dernier mit la clef sous la porte, chargea le peu d'affaires qui lui restait et s'en fut ? Quittant définitivement le village de Périllos, tournant le dos à son passé et à son histoire et à ses ancêtres pour aller s'installer à Opoul, un peu plus bas. Dix kilomètres d'un chemin de croix déchirant, sur une route étroite qui serpente dans la garrigue. Des pierres si sèches et si blanches qu'elles vous feront cligner les yeux pour ne pas que vous puissiez les regarder en face. A-t-il laissé les volets ouverts ? A-t-il pris la peine de fermer le verrou une dernière fois… Depuis 1971, Périllos n'a plus d'existence légale en tant que village. Il fait partie de la commune d'Opoul. Et a rejoint la liste des villages abandonnés. Un long déclin Selon les données historiques, on retrouve trace du village aux alentours de 1 215. Des documents attestent de la présence de l'église et de quelques habitants. Le château n'est pas loin et offre une vue incomparable sur la baie de Perpignan. Mais cette terre est hostile, éloignée des axes commerciaux. Est-elle pour autant maudite ? Les habitants s'accrochent vaille que vaille sur ce versant des Hautes Corbières qui connaîtra guerres, épidémies, famines et grandes sécheresses. La démographie du village ne sera jamais extraordinaire. Ne dépassera jamais d'ailleurs la centaine d'habitants. Des valeureux qui s'accrochent à leurs racines. Qui lutteront. Mais dans ce pays ou il peut geler à pierre fendre l'hiver, ou l'été transforme le paysage en sierra quasi désertique, la terre sera plus forte que les hommes. Et dévorera avec un appétit insatiable chacun de ses petits. Un long déclin que les deux saignées laissées par les guerres mondiales n'arrangeront pas.... ....Abandonné dans les années 1970 par le dernier habitant, le village va devenir un décor de ciné grandeur nature..... ....Depuis quelques années, la courbe du destin s'est inversée sous l'impulsion de quelques courageux. L'été, avec de la chance, vous pourrez vous attabler à la buvette. Quelques tentes dans un jardin, un chantier au pied de l'église redonnent vie à cette terre qui un jour fut oubliée des hommes, de Dieu, de tous…» A la mémoire de toutes celles et ceux qui ont fait la vie de ce village et en hommage à tous les bénévoles qui œuvrent, en été, à la réhabilitation de ce très attachant village...



Le village abandonné de Comes :
Perché à 800 mètres d'altitude au-dessus de Prades et d'Eus, le village de Comes est abandonné depuis 1920. L'église a toutefois été restaurée ces dernières années grâce au travail d'une association et surtout grâce à l'énergie d'une jeune femme de 79 ans, c'est elle qui nous sert de guide pour la découverte de ce village.



Vietnam : Dà Lat, ville de l’éternel printemps


Dà Lat, ville de l’éternel printemps
La ville offre un environnement agréable

Dà Lat est le chef-lieu de la province de Lâm Dông (hauts plateaux du Centre). Elle se trouve à environ 300 km au nord-est de Hô Chi Minh-Ville. Cette station climatique a été surnommée "ville du printemps" ou "petite France au Vietnam" en raison de son climat hors du commun car doux, clément et tempéré, en contraste avec le climat tropical du pays.
Dà Lat a été découverte en 1893, lors d’une expédition du célèbre médecin français Alexandre Yersin sur le haut plateau de Lang Biang. Une jolie contrée perchée à 1.500 m d’altitude qui regorge de chutes d’eau écumeuses, de lacs aux eaux limpides, de collines couvertes de pins, de massifs de fleurs...
La ville s’étend sur une série de collines avec plusieurs lacs naturels et artificiels tels que Xuân Huong, Than Tho, Da Thiên ou encore Tuyên Lâm, tous entourés de pinèdes. Elle est également connue pour ses belles chutes d’eau comme Voi (Éléphant), Cam Ly, Pongour, Prenn, pour n’en citer que quelques-unes.
Entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe , une série d’ouvrages, d’hôtels et de maisons arborant un style architectural à la française y ont vu le jour.
De nos jours, Dà Lat est une ville très développée sur le plan touristique. Les autobus d’excursion sont nombreux à grimper et descendre les collines. Beaucoup de petits hôtels s’égrènent le long des routes. C’est une destination idéale non seulement pour les couples en quête de romantisme, mais aussi pour tous les voyageurs vietnamiens comme étrangers.





Au festival Photo Phnom Penh, les regards d’ici et d’ailleurs se croisent

Créé en 2008 à la demande d’Alain Arnaudet, alors directeur du Centre culturel français, le festival Photo Phnom Penh (PPP) reste cette année fidèle à ses principes : soutenir et favoriser l’émergence d’une scène photographique cambodgienne – en élargissant ses frontières jusqu’à l’Asie du Sud-Est. « L’idée centrale est celle de rencontres et d’échanges entre créateurs européens et asiatiques. Même si cela s’avère de moins en moins facile au niveau des autorisations, l’installation d’expositions dans l’espace public est essentielle pour toucher un large public qui, généralement, n’ose pas pousser la porte d’une galerie ou d’un centre culturel », nous a confié Christian Caujolle, le commissaire du festival depuis ses débuts, et qui a programmé 14 expositions cette année. Réalisée avec le soutien de l’Institut français, cette 9e édition, qui mélange des photographes asiatiques et des artistes européens ou américains, propose également des lectures de portfolios, des conférences, des ateliers, des rencontres, des visites d’expositions avec les artistes et des concerts.
  • Floriane de Lassée, « How Much Can You Carry ? », 2010-2018
Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

Avec sa série « How Much You Can Carry ? », la Française Floriane de Lassée a parcouru une  dizaine de pays pour demander à ses sujets de se mettre en scène avec ce qu’ils ont de plus cher. C’est avec curiosité, amusement et souvent orgueil que les modèles ont pris la pose. Pour la photographe, la série est un hommage à ces habitants, surtout des femmes, qui portent au quotidien sur la tête d’invraisemblables charges.

  • Lim Sokchanlina, « Wrapped Future », 2015-2018
Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

Avec sa série « Wrapped Future », le Cambodgien Lim Sokchanlina interroge le paysage changeant de la capitale cambodgienne, où les sites en construction fleurissent, entourés de palissades de métal. L’artiste les photographie de façon abstraite, sous la lumière vive, pour mettre en question leur promesse de changement, souligner la coupure qu’ils représentent entre espace public et propriété privée, passé et futur, connu et inconnu.

  • Mak Remissa, « From Hunting to Shooting », 2016-2017
Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ». Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

Le photographe cambodgien Mak Remissa, photojournaliste reconnu, réalise aussi des séries plus personnelles, comme celle-ci, « From Hunting to Shooting ».  Avec ses images colorées, il compose un poème qui met en scène des oiseaux dans un somptueux théâtre d’ombres.

  • Olivier Culmann, série «  The Others ‒ Inde », 2009-2013
Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.

Le Français Olivier Culmann, qui a longtemps vécu en Inde, s’est inspiré du goût des habitants pour la photo de studio et se met en scène chez les photographes de quartier, en incarnant différents personnages de la société. Il explore aussi, dans cette série hilarante, les talents de retoucheur des photographes locaux, et les teste sur lui-même, devenant un drôle de personnage qui n’a plus grand chose d’humain.


  • Ly Min, 2018
Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.


Le Cambodgien Ly Min s’est attaché, dans des images très pures, à documenter les inondations à Phnom Penh, depuis son balcon. Sur fond noir, c’est une série de tranches de vie, des écoliers rentrant de cours aux ménagères transportant leurs emplettes sur des radeaux improvisés, qui défile devant nos yeux.

  • Yang Ming, 2010-2018
Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


Le Chinois Yang Ming livre des images apparemment classiques, en noir et blanc, mais qui traquent pourtant les aberrations de son pays dont il estime qu’il a totalement perdu ses racines culturelles. Des images étranges, troublantes, mystérieuses.


  • Alexey Shlyk, 2017
Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


Le jeune photographe biélorusse Alexey Shlyk évoque dans ses souvenirs ce qu’était la vie quotidienne en Union Soviétique, et plus précisément la créativité et le bidouillage nécessaires en ces temps de pénurie. Entre portrait et nature morte, avec énormément d’humour, c’est aussi une réflexion sur l’histoire, le temps, le quotidien.


  • Charles Fréger, « Yokainoshima », 2013-2015
Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


Le Français Charles Fréger, connu pour ses recherches photographiques sur les costumes et les uniformes, fait ici dialoguer les traditions populaires anciennes en Europe et en Asie : sa série « Wilder Mann » explore les rituels très souvent liés aux solstices en Europe tandis que « Yokainoshima » (photo) inventorie au Japon les pratiques et les costumes traditionnels dans l’archipel.


  • JH Engström, 2015-2017
Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.

Le Suédois JH Engström joue avec les négatifs en couleur. Bagages scannés à l’aéroport, arbres et paysages, détails de corps, tout devient étrange, poétique et en même temps presque inquiétant. Un questionnement profond sur la façon dont nous percevons le monde et dont la photographie le transcrit.


  • Daesung Lee, « Futuristic Archaeology», 2014
Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.


Dans sa série « Futuristic Archaeology », le Coréen Daesung Lee présente des mises en scène en grand format, prises dans les paysages de Mongolie pour attirer l’attention sur la disparition de la culture traditionnelle. Les photos d’élevages de vaches, de courses de chevaux, de chasse avec des aigles pratiquées par les populations nomades, menacées par la désertification, deviennent ici des tableaux bientôt accrochés dans des musées.

  • Michael Vickery, années 1960
Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.


Michael Vickery, chercheur et historien américain passionné par le Cambodge, mort en 2017, a laissé derrière lui un travail inédit sur ce pays dans les années soixante. Le festival expose ce témoignage très rare ‒ puisque toute la documentation de cette époque a été détruite par les Khmers Rouges.



Traditions et coutumes insolites à travers le monde

Chaque pays possède différentes traditions et coutumes, et parfois, elles peuvent s’avérer vraiment surprenantes : recouvrir la mariée d’immondices, prendre la pose aux côtés d’un proche décédé ou encore cracher sur les nouveau-nés… Découvrez toutes ces traditions plus insolites les unes que les autres.

Au Japon de nombreuses personnes fêtent Noël en mangeant… KFC

Noël au Japon via Shutterstock


Au Japon, de nombreuses personnes fêtent Noël en allant chercher du poulet dans un célèbre fast-food américain ! Une étonnante tradition qui remonte aux années 70.
Pour fêter la fertilité, il existe un festival dédié au pénis au Japon

Toujours au Japon, chaque printemps, les habitants de Kawasaki fêtent la fertilité grâce à un festival dédié au pénis !

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Dans le Vermont aux USA, certaines maisons ont des fenêtres posées en diagonale

Dans le Vermont, aux États-Unis, certaines maisons ne sont pas posées verticalement ou horizontalement, mais en diagonale, à 45 degrés. Selon la légende, il s’agirait de protéger les habitations des sorcières, qui ne pourraient ainsi pas y entrer en volant sur leur balai.

fenetre-sorciere

Aux Pays-Bas, il est déconseillé de chanter à table et de prêter son sel à son voisin

Aux Pays-Bas, il est déconseillé de chanter à table. C’est comme si vous chantiez avec le diable. D’ailleurs, là-bas, on ne prête pas son sel à son voisin. Ça porte malheur.

Sel via Shutterstock

À Seattle, la tradition veut que les gens collent leur chewing-gum sur un mur dédié à cet effet

Voici peut-être le mur le plus sale du monde. Il est situé à Seattle, dans une petite rue. Si à Paris, la tradition voulait jusqu’à il y a peu que les amoureux déposent un cadenas sur le pont des Arts, là-bas, il s’agit de coller un chewing-gum sur ce mur.

Seattle-mur
En Inde, les bébés sont jetés d’un bâtiment pour atterrir sur un drap tendu

Voici l’une des coutumes les plus dangereuses du monde. Dans la partie sud de l’Inde, depuis plusieurs siècles, les bébés sont jetés du haut d’un bâtiment pour qu’ils atterrissent plusieurs mètres plus bas sur un drap tendu. Si cette coutume insensée commence à disparaître, elle est toujours pratiquée dans certaines villes.


Au Japon, on évite de planter ses baguettes verticalement

Au Japon, il est de tradition d’éviter à tout prix de planter ses baguettes verticalement dans sa nourriture. Cette position ferait trop penser à des bâtons d’encens, qui sont utilisés pour rendre hommage aux morts.

baguette-japon

Avant le mariage, les Écossais recouvrent la mariée de diverses immondices

En Écosse, avant qu’une femme ne se marie, ses amis et ses proches la recouvrent de diverses immondices, toutes plus répugnantes les unes que les autres. Poissons pourris, sauces, lait tourné, boue, tout est bon pour rendre la mixture la plus répugnante possible. On dit que si la future mariée peut survivre à ça, elle pourra survivre aux affres du mariage.

Mariage écossais via Shutterstock

En Indonésie, pour rendre hommage aux morts, les cadavres sont habillés puis promenés dans le village

Sur l’île de Sulawesi, en Indonésie, le peuple Toraja a pour habituded’exhumer ses morts pour les laver et les habiller. Lors de ce rituel intitulé Ma’ne’ne, certains cadavres sont même relevés pour qu’ils fassent le tour du village accompagnés par leur proches.

Cérémonie funéraire en Indonésie via Shutterstock

À l’époque les familles prenaient la pose en compagnie de leurs proches décédés

Au XIXe siècle, quelque temps après l’invention des tout premiers appareils photo, l’une des traditions voulait que les familles prennent la pose en compagnie de leurs proches décédés. Une façon de commémorer les défunts et d’éviter de commander des peintures qui, à l’époque, étaient beaucoup plus coûteuses et plus longues à réaliser que ces daguerréotypes.

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Les chats noirs portent bonheur au Japon


Contrairement aux Occidentaux, dans la culture japonaise le chat noir porte bonheur. En effet le chat a une grande place dans leurs traditions, on peut observer des statues de chat en porcelaine ou en céramique levant la patte dans les magasins qui ont pour but d’attirer la fortune. La patte gauche est censée attirer les clients et la patte droite l’argent.

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Les pieds bandés en Chine

La coutume des pieds bandés a été pratiquée en Chine pendant plus de mille ans. Son origine remonterait à la fin des Tang, au Xe siècle, quand l’empereur demanda à sa femme de se bander les pieds pour exécuter la danse traditionnelle du lotus. Un siècle plus tard, la coutume devient très à la mode chez toutes les femmes de l’empire qui symbolise la richesse et la distinction. En effet, seules les femmes riches ont les pieds bandés car cette particularité ne leur permet de faire que des tâches domestiques simples.

pied-coutume

Avant de se marier, les filles du peuple Tujia en Chine doivent pleurer

Avant un mariage, les épouses et les filles du peuple Tujia en Chine commencent à pleurer un mois avant pour montrer leur joie. La mariée doit pleurer 1 heure tous les jours, ensuite 10 jours après la mère la rejoint, et enfin après 10 jours encore la grand-mère se mêle au rituel. À la fin du mois, toutes les femmes de la famille pleurent aux côtés de la mariée, formant ainsi une sorte de chanson.

mariage-chine

Au Kenya on crache sur les nouveau-nés

Au Kenya, on célèbre la naissance d’un nouveau-né en le faisant passer dans les bras de toutes les femmes pour qu’elles lui crachent dans la bouche.

bebe-kenya

Deux bébés sinon le divorce !

Au Soudan du Sud, les gens de la tribu Neur pensent que le mariage n’est pas complet tant que la femme n’a pas eu deux enfants. Si elle ne le fait pas, le marié est en mesure de demander le divorce.

enfants-soudan