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Les forêts les plus anciennes de la planète

Les forêts les plus anciennes de la planète

Aujourd’hui, et comme souvent on va parler nature ! Ah la nature, pratiquement tout le monde l’aime ! Et personnellement, lordsque l’on parle nature, me viens en tête de suite “la forêt”, allez savoir pourquoi ! Dans ce billet nous allons donc parler de forêt mais pas n’importe les quelles !! Savez-vous quelles sont les plus anciennes forêts de la planète ? Les voici !

  • La Daintree Rainforest
    Située au nord-est de l’Australie, la Daintree Rainforest est une forêt tropicale apparue il y a plus de 125 millions d’années. Cette forêt attire chaque année plus de 800 000 visiteurs venus découvrir la plus vieille forêt au monde ! Au total, ce lieu abrite plus de 2 000 variétés de plantes et d’arbres ; un point intéressant pour les passionnés de nature et de biodiversité ! Certains arbres atteignent d’ailleurs 20, 30, voire 70 mètres de hauteur ! Pendant les saisons pluvieuses, la forêt concentre 80% d’humidité.
    Depuis 1988, plus de 900 000 hectares sont classés au Patrimoine Mondial de l’Unesco. La Daintree Rainforest est également devenu un parc naturel.
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  • La forêt Amazonienne
    Plus célèbre et plus grande forêt au monde, la forêt Amazonienne est située en Amérique Latine et renferme une importante biodiversité : insectes, reptiles, oiseaux, mammifères… y vivent. 16 000 espèces d’arbres ont aussi été recensés et plus de 430 000 espèces de plantes.
    La forêt amazonienne est née il y a plus de 55 millions d’années.
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  • La forêt de Bialowieza
    Voici la plus ancienne forêt d’Europe : celle de Bialowieza. Elle est située en Pologne et s’étend jusqu’à la Biélorussie. Dans cette forêt, plus de 20 000 espèces végétales et animales ont été recensées. Parmi les animaux retrouvés ? Des lions, lynx, bisons, mais aussi des oiseaux rares. Depuis 1979, la forêt de Bialowieza a été inscrite au Patrimoine Mondial de l’Unesco et elle a été reconnue comme réserve de biosphère par l’Unesco en 1976.
    La forêt de Bialowieza, qui s’étend sur 125 000 hectares est tout simplement un lieu magnifique, mais depuis quelque temps cette forêt est menacée par un plan d’abattage.
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  • La forêt de Ciron
    La forêt de Ciron renferme une très grande biodiversité et elle représente la plus ancienne forêt de France : elle est apparue il y a plus de 40 000 ans.
    La forêt de Ciron abrite une faune importante : écrevisses, loutres, tortues, aigles… Côté flore, un arbre a particulièrement attiré l’attention : l’hêtre reconnu pour craindre la sécheresse. Des arbres exotiques sont aussi présents dans la forêt du Ciron.
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Nanotechnologie,

Les nanotechnologies et les nanosciences sont l'étude, la fabrication et la manipulation de structures, de dispositifs et de systèmes matériels à l'échelle de moins d'une quarantaine de nanomètres.


Les nanotechnologies reçoivent chaque année d'énormes 
budgets d'investissement en recherche et développement. 
C’est donc un secteur en forte croissance


Les nanosciences et les nanotechnologies sont au croisement de plusieurs disciplines scientifiques comme l'électronique, la mécanique, la chimie, l'optique, la biologie qui manipulent des objets d'une taille de l'ordre du nanomètre.
Un des objectifs majeurs des nanotechnologies est de créer des nanomachines.

Nanotechnologies - Prototype de nanomachine conçu par le professeur K. Eric Drexler © 1991-2007 Institute for Molecular Manufacturing
Nanotechnologies - Prototype de nanomachine 

Des “Airbags” pour les cyclistes


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Des gilets “Airbages” pour les utilisateurs de vélo

Les cyclistes font partie des usagers de la route les plus fragiles, suite à ce constat, une entreprise basée en Haute-Savoie a conçu un gilet détecteur de chute avec airbags. Le système est opérationnel en 80 millisecondes.
À peine tombé de vélo et l’airbag est déjà gonflé. Une entreprise basée près d’Annecy (Haute-Savoie) vient de développer le premier airbag pour cyclistes. Après deux années de recherches, la société Hélite présente son produit, une sorte de gilet de sauvetage avec l’électronique embarquée.
Un capteur installé sous la selle du vélo, associé à un autre dans le gilet, détecte tout événement anormal. En cas de problème, le système déclenche l’airbag qui se gonfle en 80 millisecondes.
Le gilet garantit une protection de trois zones vitales du haut du corps : le thorax, le cou et le dos.
Nommé “B’Safe”, ce gilet de protection pour cyclistes a été développé en partant d’un constat : 40% des accidents graves en vélo touchent le thorax.
Hélite fabrique des airbags pour motards et cavaliers depuis 2006. Et avec le développement du vélo pour les trajets quotidiens, elle vise avant tout des utilisateurs urbains. Plus de 2 millions de personnes utilisent un vélo dans leurs déplacements quotidiens en France.
Cette innovation a un prix : 690 euros. Compensé en partie par la possibilité de réutiliser l’airbag grâce à une cartouche de gaz.

Les choses qui ne se disent pas de la même façon selon la région de France où l’on vit

Voici quelques objets ou aliments qui se déclinent différemment selon la région dans laquelle vous habitez. Des synonymes régionaux, en somme…
En fonction de la région dans laquelle on vit, on n’a pas les mêmes habitudes de société : deux bises dans le Nord, trois dans le Sud, voire une dans certains coins de Bretagne, les bonnes manières peuvent différer d’une ville à une autre, y compris au sein d’un même pays. Il paraîtrait alors tout naturel qu’on ne dise pas certains mots de la même manière.
  • Pain au chocolat VS chocolatine (Sud-Ouest)
Si dans tout le reste de la France, on dit un pain au chocolat, en revanche, dans le Sud-Ouest, il est courant de nommer la viennoiserie, une chocolatine. En Belgique francophone, certains vont même jusqu’à la nommer une couque au chocolat.


  • Sac en plastique VS poche ou pochon (Bretagne/Sud-Ouest)
Ce bon vieux sac en plastique qui ne cesse de polluer nos océans se dirait poche dans les villes du Sud-Ouest de la France, et pochon en Bretagne. Que de manières pour ce méchant objet.
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  • Gâche VS place (Lyon)
La gâche, à Lyon, peut aussi bien désigner une place de stationnement comme un poste professionnel (“Son travail, c’est une bonne gâche”).
  • Gaulois VS Français (Corse)
Un Gaulois en Corse ne désigne pas un homme musclé, mais bien un Français !
  • Queue-dee-cheval VS cuch (Bretagne)
Les Bretons laissent les crins aux chevaux, ils préfèrent qualifier la coiffure d’une cuche !
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  • Bar VS loup (Méditerranée)
On ne parle pas ici du zinc, ni du grand méchant loup, mais d’une variété de poisson. Si on l’appelle un bar au large des cotes bretonnes, dans le Sud, on l’appellera un loup. De quoi chasser tous vos doutes.
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  • Chausson aux pommes VS pommé (Bretagne)
Le fameux chausson aux pommes se décline en pommé dans certaines boulangeries bretonnes. De quoi l’avaler plus vite !


  • Morve VS schnoudel (Lorraine)
Et les morveux, alors, comment les appelle-t-on en Lorraine ?
  • Voyotte VS ruelle (Lorraine)
En Lorraine, on n’appelle pas les petites rues des ruelles, mais des voyottes. Mignon.
  • Fille VS paille (région PACA)
Dans le Sud, une paille est une fille tandis qu’un payou est un garçon. Allez savoir…
  • Averse VS guèrau (Bourgogne)
En Bourgogne, les petites averses sont qualifiées de guèraus.
  • Mouette VS gouelle (Bretagne)
Une gouelle en breton, ça veut dire une mouette. Mais aussi, quelqu’un de gourmand, dans le jargon populaire (Manger comme une gouelle) !

  • Dents VS nacottes (Bourgogne)
Sur le même modèle, les “oillots” sont les yeux.

  • Poignée de porte VS clenche (Normandie)
En Normandie, on ne tourne pas la poignée de la porte pour entrer, mais enclencherait-on la clenche ?
  • Petit garçon VS mino (région PACA)
Vous avez certainement déjà entendu ce mot dans la bouche d’une grand-mère attendrie !
  • Ânier VS éboueur (Lyon)
Le mot vient de l’ânier, celui qui conduit les ânes.
  • Tapis VS couverture (Bretagne)
Voilà de quoi créer de sérieux quiproquos !
  • Chaise VS caillère (Nord-Pas-de-Calais)
Chez les Ch’tis, on n’appelle pas une chaise une chaise, mais une caillère !


Venise inondée par une marée haute historique

Une marée haute d'une ampleur sans précédent en plus d'un demi-siècle s'est abattue mardi sur Venise. C'est la deuxième plus haute marée enregistrée à Venise depuis le début des relevés en 1923.





Quand les Marocains pensaient que le pain de sucre était mélangé avec… du sang de sanglier

Vers la fin du XVIIIe siècle, après le déclin d’une industrie du sucre soutenue par les Saadiens et la hausse des importations de pain de sucre, des rumeurs feront leur apparition au Maroc à propos de l’usage de «sang de sangliers» par les Européens pour fabriquer cette denrée. Le sultan Moulay Slimane ira même jusqu’à saisir les oulémas du pays.

Une raffinerie de sucre à Casablanca

La fièvre des interdictions, par les oulémas, de pratiques au Maroc a même touché, au fil des siècles, plusieurs denrées alimentaires au Maroc et produits phares du royaume. Ainsi, des fatwas ont été émises, les siècles derniers, sur le thé puis sur le café. Des oulémas avaient également interdit la consommation du tabac, autorisant les femmes à divorcer leurs maris si ces derniers en fumaient.
Peu de Marocains savent que le pain de sucre, ce bloc de sucre de forme conique toujours en vogue au Maroc, avait fait l’objet de critiques et de rumeurs. Le «Qaleb» avait en effet fait l’objet de plusieurs fatwas, certaines à l’appel du sultan alaouite Moulay Slimane (1792 – 1822).

Le Maroc, un producteur du sucre sous les Saadiens
Avant d’en être un grand consommateur, le Maroc «fut, dans un lointain passé, producteur et même exportateur» du sucre, comme le rapporte Jacqueline Bouquerel dans un article intitulé «L'industrie du sucre au Maroc» (Cahiers d'outre-mer, n° 88, 1969). «La conquête arabe introduisit la culture de la canne à sucre en Syrie, en Egypte, en Afrique du Nord et en Espagne ; dès le Xe siècle cette plante était acclimatée au Maroc», ajoute la chercheuse. Au XIIe siècle, c’est la région du Souss qui était devenue célèbre pour son «sucre réputé, dont la saveur et la pureté étaient, selon les auteurs anciens, inégalables».
Cette version de l’histoire est confirmée par le chercheur Mohamed Stitou qui confirme que le commerce du sucre fleurit au Maroc entre XVI et XVIIe siècle à l’époque du sultan saadien Al Mansour Ed-Dahbi. Il affirme, citant Mohamed Sghir El Ifrani et son ouvrage «Nozhat Al Hadi fi akhbar Moulouk Al 9arn al Hadi Achar», que les Saadiens récolteront des revenus importants du sucre, au point de l’échanger contre d’autres produits, comme le marbre que le sultan saadien utilisait dans ses palais. «Mais cette production de sucre marocain s’incline avec le décès de ce sultan saadien», regrette-t-il.

Une usine de fabrication de pain de sucre

Le déclin de la production marocaine, Jacqueline Bouquerel l'impute plutôt à la découverte de l'Amérique et l'implantation de la canne aux Antilles et au Mexique, dans un milieu tropical favorable, ce qui «périclite les plantations africaines». «La production marocaine de sucre commença à diminuer pour finalement disparaître et le sucre devint une denrée rare, d'un prix élevé», écrit-elle.
Le Maroc se transforme alors en importateur et «ses achats de sucre à l'étranger augmentèrent» en même temps que l'importation du thé vert de Chine qui transita longtemps par l'Angleterre.
C’est entre la fin du XVIII et le début du XIXe siècle que des fatwas feront leurs apparitions au Maroc, avec cette hausse d’importation de plusieurs tonnes de cette denrée aux procédés de production encore méconnues à l’époque. Durant son règne, le sultan alaouite Moulay Slimane ben Mohammed ben Abdallah fera face à plusieurs rumeurs quant aux origines du pain de sucre. Il saisira même les oulémas pour trancher pour autoriser ou interdire cette denrée.

Du sang de sangliers dans la fabrication du sucre !
Ainsi, selon l’ouvrage d’Abdelahad Sebti et Abderrahmane Lakhssassi, intitulé «Du Thé à Atay : l’histoire et les habitudes» (Editions Faculté de lettres et des droits de Rabat, 1999), plusieurs oulémas avaient rapporté, citant des commerçants, avoir eu vent de l’utilisation de sang dans la fabrication du pain de sucre. Ainsi, dans une fatwa, Sulayman ibn Muhammad al-Chefchaouni, connu sous le nom de Hawat et étant décédé en 1816, avait affirmé que «certains musulmans ayant voyagé dans les pays des Chrétiens ont dit que ces derniers mettaient du sang dans le sucre lors de la cuisson en vue de la liquidation, puis qu'ils exagéraient dans sa cuisson et sa liquidation jusqu’à ce qu’il soit blanc et solide, avant de le mettre dans des moules de forme conique». Ces révélations «avaient suscité le débat appelant à son interdiction», ajoute-t-il.
Dans sa fatwa, cet érudit tranche, appelant à ceux qui véhiculent ces récits de s’en assurer avant de les relayer. Il affirme aussi que «la couleur rouge du sucre au tout début du processus provient plutôt de la plante».
L’histoire avait même fait l’objet d’un poème de Hamdoun El Haj Salmi, un fqih décédé en 1817 à Fès qui, sur les pas d’al-Chefchaouni, s’était aussi moqué de ce récit, accusant de «mensonges» les récits qui parlèrent de sucre mélangé de sang pour lui donner sa blancheur et sa forme.


L’érudit et l’un des oulémas de la Zaouiya Naciriya à Darâa, Muhammad ibn Abd al Salam al Naciri, s’était lui aussi saisi de cette question, rapportant les mêmes rumeurs.

«Certains m’ont posé la question sur le sucre, s’il est apparu avant ou après le prophète et si ce dernier l’a consommé. Ils avançaient que les Romains le préparaient avec du sang de sangliers (…) Pour ce qui est dit à propos d’une impureté du sucre à cause du sang, il s’agit de la rougeur qui apparaît lorsqu’il rencontre un feu, due aux roseaux.»

Muhammad ibn Abd al Salam al Naciri

Le pain de sucre, offrande numéro 1 offerte par des Marocains
De son côté, Mohamed Larbi Ben Mohamed Zerhouni El Hachemi, décédé en 1844 et qui été juge et muftis dans la ville de Fès, avait expliqué qu’après avoir saisi les oulémas, ces derniers avaient affirmé à Moulay Slimane que le pain de sucre était autorisé et qu’il fallait écarter toute sorte de doute sur les rumeurs de son mélange avec du sang.
Avec la consommation du thé, celle du sucre, devenu aliment de base, ne cessera de se développer, passant de 1 200 tonnes en 1870 à 10 000 tonnes en 1890, à 40 000 tonnes en 1900 pour atteindre 53 385 tonnes en 1912, rapporte Jacqueline Bouquerel.
L’histoire d’amour entre les Marocains et le pain de sucre connaîtra un nouveau tournant avec la naissance, en 1929, de la Compagnie sucrière du Maroc (COSUMA), une raffinerie à Casablanca dépendant de la Société nouvelle des raffineries de sucre de Saint Louis de Marseille, qui produisait jusqu’à 100 tonnes de sucre par jour, exclusivement sous forme de pains de sucre.


En décembre 1958, le gouvernement marocain crée l’Office national du thé avec des attributions étendues, dès 1963, au sucre. Un office qui deviendra «l'Office national du thé et du sucre» (ONTS). En 1967, Cosuma devient la Compagnie sucrerie marocaine et de raffinage (COSUMAR) et l’Etat acquiert 50% de son capital avant que le groupe ONA ne prenne le contrôle de son capital en 1985.
Le lien qu’ont les Marocains avec le pain de sucre se matérialise aussi dans le fait que cette forme, disparue dans plusieurs pays du globe, se maintient toujours dans le royaume. De plus, le «Qaleb» de sucre continue d’accompagner de nombreux Marocains qui le présentent, même de nos jours, en tant qu'offrande lors de mariages, de fiançailles et même de funérailles.

Les choses les plus bizarres retrouvées dans le désert

Étendues de sable à perte de vue ponctuées de cactus pour seuls survivants, voilà ce à quoi vous pensez lorsqu’on vous évoque le désert. Pourtant, les grains de sables et les saguaros sont loin d’être les seuls habitants. Car il existe bon nombre d’objets humains délaissés sur son chemin aride. Et parfois, ces choses sont loin d’être celles auxquelles on aurait imaginé rencontrer dans le désert ! Voici la liste des plus bizarres d’entre elles.
  • Une piscine cachée
C’est dans le désert des Mojaves qu’un artiste autrichien a construit cette piscine de luxe, pour l’endroit. N’importe qui peut s’y baigner. Seul problème : elle est très difficile à trouver, Google n’ayant pas répertorié son emplacement.


  • Une boutique Prada
Mais que vient donc bien faire une boutique Prada dans le désert ? C’est au beau milieu du Texas que celle-ci a été installée, ses étagères remplies de sacs, d’accessoires et de chaussures de designer. Le lendemain de son ouverture, elle a été dévalisée. Aujourd’hui, elle est toujours sur pied mais avec des serrures renforcées.


  • Des flèches géantes en béton
Dans le désert d’Arizona, les promeneurs pourront observer d’énormes flèches en pierre de 20 mètres de long. Installées en 1911, ces flèches aidaient en fait les avions de la Poste à se retrouver et à remettre leurs colis.

  • Un champ de Cadillac taguées plantées comme des fleurs



  • Une planque de jeux vidéos enfouis dans le sable
En 1983, l’entreprise de jeux vidéos Atari enfouit bon nombre de cartouches et de consoles invendues dans la décharge d’Alamogordo, à la suite de mauvais résultats commerciaux. Il s’agissait de réduire les stocks pour bénéficier d’allègements fiscaux.


  • Une cabine téléphonique
Installée à la fin des années 50 à la frontière entre le Nevada et la Californie, dans le désert des Mojaves, cette cabine téléphonique est une véritable mascotte. Pas bête de penser aux personnes égarées ! Encore faut-il qu’elle fonctionne…


  • Une autoroute extraterrestre

Dans le Nevada, la State Route 375, aussi connue sous le nom de route extraterrestre, est une route à deux voies qui s’étend sur 158 kilomètres. La proximité de la Zone 51, ainsi que les nombreuses observations de soi-disant ovnis par certains voyageurs, expliquent son appellation.



  • Une forêt pétrifiée
Le parc de Petrified Forest, en Arizona, est un site remarquable pour sa concentration de troncs d’arbre fossilisés.


  • Un parc sur le thème de la famille Pierrafeu
Une idée qui a fait un flop : vivre dans un camp préhistorique comme la famille Pierrafeu ! Malheureusement, l’idée n’a pas pris, et le site est aujourd’hui abandonné

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  • Des piscines d’évaporation de potassium

Vus de plus haut, ces plans d’eau géométriques paraissent complètement invraisemblables. Mais, non, ce n’est pas un mirage : il s’agit de piscines d’évaporation de potassium, en plein cœur du désert de l’Utah. Des touches de couleurs au milieu d’un rouge ocre.


  • Un château espagnol abandonné

Mais que peut donc bien faire un château et ses dépendances en plein milieu du désert de la Vallée de La Mort ? Scotty’s Castle est une demeure de type hispanique, construite en plein âge d’or par un milliardaire resté que très peu de temps



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  • Les plus anciens pétroglyphes
Des pétroglyphes sont des dessins symboliques gravés sur une pierre par incision ou frottement. Cet art a servi aux hommes à communiquer au néolithique, avant l’apparition de l’écriture. C’est dans le désert d’Atacama qu’on retrouve les plus anciens.

 
  • Une main en pierre
Située dans le désert d’Atacama, au Chili, une énorme main de 11 mètres de haut semble comme surgir de la terre. Créée en 1992, elle se veut symbole de la vulnérabilité humaine.


  • Un motel pour clowns

Venez dormir dans une ambiance très spéciale entre Las Vegas et Reno : le Clown Motel, situé juste en face d’un cimetière a, comme son nom l’indique, pour thème les clowns. Et il y en a partout : collés sur les portes, exposés dans les chambres, en figurines au buffet… Sympa l’ambiance.



 

L'horloge de la Mecque, la plus grande du Monde

 

L’horloge de la Mecque : une horloge à 600 mètres de haut
Tout commence en 2002 avec le projet des Abraj Al Bait Towers, un ensemble de gratte-ciels en plein cœur de la Mecque, en Arabie Saoudite.
C’est sur l’ancien site de la forteresse ottomane d’Ayjad, désormais rasé, que la société d’architecture libanaise Dar Al-Handasah commence ce projet d’un coût estimé à 1,6 milliard de dollars.
La tour sur laquelle trône l’horloge, la tour royale de l’horloge de la Mecque, surplombe de loin les autres, avec ses 601 mètres de hauteur. C’est d’ailleurs la quatrième construction la plus haute du monde.
Visible à près de 20 kilomètres à la ronde, l’horloge de la Mecque a été bâtie dans ce lieu saint pour sonner l’heure de la prière mais aussi pour que la Mecque ait sa propre heure de référence, à l’instar de Greenwich.

L’horloge de la Mecque, une horloge suisse massive
L’horloge de la Mecque, qui sonne cinq fois par jour à l’heure de la prière, est de conception suisse et de construction allemande. C’est l’ingénieur schwytzois Martin Ryffel qui dirige les travaux.
L’horloge en chiffres
L’horloge de la Mecque mesure 45 mètres de long sur 43 mètres de large, elle est donc 35 fois plus grande que Big Ben !
A son sommet, trône une flèche de 128 mètres surmontée d’un croissant de 23 mètres de hauteur.
Pesant près de 36 000 tonnes, elle fourmille de détails qui témoignent de sa qualité et de sa bonne facture, comme les tuiles dorées qui l’encadrent.
Ce sont aussi plus de 100 millions de carreaux de mosaïque qui décorent ses quatre cadrans.
A l’heure de la prière, cinq fois par jour, ce sont environ 21 00 lampes blanches et vertes qui illuminent l’horloge.
Une construction délicate
Le challenge principal pour une horloge à cette hauteur, est de s’assurer de sa résistance aux intempéries, notamment au vent et aux orages.
Pour éviter que les aiguilles de l’horloge ne viennent abimer les fragiles cadrans, l’ingénieur met au point des rails tenant les aiguilles à une certaine distance.
Des paratonnerres ont également été placés pour protéger l’horloge des éclairs.
Le mouvement complexe de l’horloge a été réalisé en pièces détachées, pour pouvoir le hisser mais aussi pour anticiper et faciliter les futurs réparations et entretiens.
Une attraction touristique pour la ville sainte
La tour fait partie de l’Abraj Al-Bait, qui abrite près de 3000 appartements et chambres d’hôtels.
Abritant un musée qui accueille des milliers de visiteurs par jour, la tour est devenue une véritable attraction pour les pèlerins qui se rendent dans la ville sainte. Dans ce musée dédié à l’Univers, un observatoire permet d’observer les différents croissants de Lune et d’avoir une vue panoramique sur la mosquée et la ville.
La ville sainte qui accueille près de 3 millions de pèlerins chaque année compte sur l’horloge pour attirer encore plus de visiteurs.



 


Lakoutsk, La ville la plus froide du monde

Iakoutsk ou Yakoutsk (en russe : Якутск ; en iakoute : Дьокуускай Dokouskaï), est une ville de Russie, en Sibérie centrale. La ville, incluse dans la région économique d'Extrême-Orient, est la capitale de la république de Sakha (ancienne Iakoutie). Sa population s'élève à 307 911 habitants en 2017.
Lakoutsk se trouve sur la rive gauche de la Léna dans la plaine de Iakoutsk, une étendue plate de 400 km de large, dans laquelle se trouve concentrée la majeure partie de la population de la Iakoutie. L'agglomération de Iakoutsk est partiellement exposée aux crues printanières du puissant fleuve sibérien qui la longe.
Iakoukst est bâtie en zone de pergélisol (permafrost) c'est-à-dire que le sous-sol est en permanence gelé, ce qui nécessite, entre autres, de construire les bâtiments sur des pieux profondément enfoncés dans le sol pour éviter leur déformation. Iakoutsk est très éloignée des autres grands centres urbains ; elle est à vol d'oiseau distante de 1 316 km au nord de Blagovechtchensk (la grande ville la plus proche), 1 863 km au nord-est d'Irkoutsk et 4 900 km au nord-est de Moscou, à laquelle elle est reliée depuis 1689 par une route postale sibérienne créée par un oukase de Pierre le Grand.

Qui veut ? Des maisons de campagne gratuites au Japon

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Face à la crise du logement, le Japon donne des maisons gratuitement pour ramener de la vie dans les campagnes. À certaines conditions.
Une maison gratuite pourrait ressembler à une arnaque. Mais, le Japon est confronté à un problème immobilier inhabituel : il a plus de maisons que de personnes. 61 millions de maisons pour 52 millions de ménages, selon les chiffres de 2013 du Japan Policy Forum. Et la situation est sur le point de s’aggraver. D’après l’Institut national de la population et de la sécurité sociale, la population japonaise devrait décliner de 127 millions à environ 88 millions d’ici 2065, ce qui signifie que moins de personnes auront besoin de logements. Alors que les jeunes quittent les zones rurales pour travailler en ville, la campagne japonaise est devenue hantée par des maisons « fantômes » abandonnées, appelées « akiya ». Selon les prévisions, près de 900 villages japonais n’existeront plus d’ici 2040. Dans ce contexte de crise, offrir des maisons est une question de survie.

À certaines conditions

Pour encourager les habitants à revenir dans les campagnes, le pays du Soleil-Levant a donc décidé il y a plusieurs années de donner gratuitement des maisons aux familles japonaises. Certaines communes ont même mis en place des systèmes de subventions et une banque « akiya », un système qui met en relation des acheteurs potentiels avec des propriétaires en fin de vie ou détenteurs de maisons vides. 
Alors que les banques « akiya » sont maintenant communes à travers le Japon, chaque ville définit ses propres conditions. Par exemple, Okutama subventionne les travaux de rénovation pour les nouveaux résidents et encourage les propriétaires de maisons fantômes à renoncer à leurs propriétés en offrant jusqu’à 8 820$, soit 7750€, par 100 mètres carrés.
Les bénéficiaires doivent être toutefois âgés de moins de 40 ans ou être en couple avec au moins un enfant de moins de 18 ans et un partenaire de moins de 50 ans. Ils doivent également s’engager à s’installer définitivement dans la commune et investir dans la modernisation des logements d’occasion. Mais même une maison gratuite trouve encore difficilement preneur dans un pays où les familles préfèrent acheter du neuf.

Au Japon, le Hoshi Ryokan, l’hôtel le plus vieux du monde

Voici le plus vieil hôtel du monde
géré par la même famille depuis 46 générations

hôtel
Comptez plus de 110 euros par nuit pour 
une chambre double économique de style japonais.
Au Japon, le Hoshi Ryokan, l’hôtel le plus vieux du monde, a la particularité impressionante d’être dirigé par la même famille depuis l’an 718. 
En apparence, rien ne laisse penser que Hoshi Ryokan présente treize siècles d’histoire. Situé au coeur de la ville paisible de Komatsu, dans la préfecture d’Ishikawa au Japon, cette auberge traditionnelle japonaise, est un « ryokan » comme on en trouve des centaines d’autres dans le pays. Haut de gamme sans être le plus luxueux, Hoshi cache pourtant un fabuleux record : c’est le plus vieil hôtel du monde, selon le Guiness Book. L’établissement a été fondé en l’an 718. Plus de 1300 ans plus tard, il est toujours dirigé par la même famille, les Hoshi. Depuis sa création, 46 générations s’y sont succédé.
Celui qui porte ce bout d’histoire sur les épaules se nomme Zengoro. L’homme a repris l’affaire de famille,  peu après les Jeux olympiques de Tokyo de 1964 . Aux côtés de sa femme Chizuko, il a dédié la majorité de sa vie à cet hôtel, à ses chambres qui allient parfaitement modernité et tradition, ainsi qu’à son jardin vieux de 400 ans. Cinq décennies plus tard, il a réussi à faire de Hoshi Ryokan l’un des seuls hôtels de la région qui a résisté à l’exode rural, et l’une des rares affaires restées prospères dans le secteur.
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Zengoro a trouvé son héritier, ou plutôt son héritière : sa fille Hisae, propulsée malgré elle à la tête de l’hôtel suite à un drame familial. En réalité, c’était son frère qui devait reprendre le flambeau, mais il sera victime d’une crise cardiaque en 2014, à l’âge de 46 ans. Elle, elle aspirait plutôt à d’autres professionnels et sentimentaux. Encore en apprentissage, celle qui n’a pas osé tourner le dos à sa famille a dû tout abandonner, dont son fiancé et ses rêves. « Maintenant, je sais que je n’aurais jamais d’enfant, jamais de mari. Je vais donc dédier mon existence à notre auberge, et préparer les deux enfants de mon frère décédé à prendre ma succession. L’un d’eux sera la 48e génération », dit-elle à contre-coeur. Le poids sur ses épaules est assez lourd. Sans héritier, Zengoro aurait décidé de fermer les portes de l’hôtel. Pas question de le vendre.
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Etrange poisson qui rampe et respire hors de l'eau.

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Ce poisson qui peut ramper et respirer hors de l'eau inquiète. L'espèce est certes invasive, souligne le « New York Times », mais pas dangereuse pour l'homme.

Le channidae ou tête-de-serpent est un poisson à même d'inspirer des sueurs froides. Capable de respirer à l'air libre ou de ramper sur terre, il possède aussi une apparence physique particulière et surtout une réputation de prédateur et d'envahisseur. Suffisant pour que sa découverte en Géorgie, aux États-Unis, fasse jaser, relève le New York Times.

Un long corps allongé en forme cylindrique. Une large bouche ornée de dents et une peau visqueuse. Derrière cette description peu ragoûtante se trouve le tête-de-serpent. Si, physiquement, il possède déjà quelques éléments en sa défaveur, ce sont ses capacités très particulières qui surprennent. L'animal est en effet capable de respirer à l'air libre et de se déplacer sur le sol en rampant. De quoi faire peur à un pêcheur, tombé face à face avec lui en Géorgie. « Je ne me serais jamais attendu à voir ça en Géorgie. Quand je l'ai vu, il était littéralement en train de percuter la souche d'un arbre. Je pouvais l'entendre inspirer une gorgée d'air, ce qui est très bizarre je n'ai jamais entendu un poisson faire ça », confie ce dernier dans une interview au New York Times.
Une espèce invasive

Cela fait désormais des années que l'animal inquiète aux États-Unis. En 2002, Gale Norton, secrétaire à l'Intérieur de George W. Bush, les décrit comme « quelque chose sorti d'un film d'horreur ». Elle propose alors que leur importation et leur transport aux États-Unis soient interdits. Il faut dire que les têtes-de-serpent ont alors un certain succès aux États-Unis. Le poisson originaire d'Asie et d'Afrique a été cultivé dans des bassins aux États-Unis, et a aussi connu son heure de gloire dans les aquariums des particuliers.



Mais il est désormais perçu comme une espèce invasive, un prédateur qui mange les plus petits poissons, mais aussi les amphibiens ou les écrevisses. Les autorités craignent désormais que ces poissons ne perturbent les écosystèmes locaux. La consigne est donc de les tuer puis de les congeler immédiatement. En revanche, malgré leur apparence physique très particulière et ce que pourrait laisser penser le film d'horreur Snakehead Terror, les têtes-de-serpent n'ont jamais fait de mal aux êtres humains.