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Les lieux les plus mystérieux au monde.

Depuis l’aube de l’humanité, la Terre regorge de lieux énigmatiques qui continuent de captiver notre imagination. Ces endroits, teintés de mystère et d’inexpliqué, ont toujours suscité l’intérêt des aventuriers, des chercheurs et des amateurs d’histoires extraordinaires. De l’ombre des sombres forêts aux confins des déserts brûlants, en passant par les profondeurs des océans, le monde abrite des destinations hors du commun, imprégnées de légendes et d’énigmes.
De l’énigmatique Stonehenge, avec ses mégalithes millénaires, à l’emblématique Cité perdue de Machu Picchu, nichée dans les montagnes andines, en passant par la Zone du Silence au Mexique, où des phénomènes inexpliqués défient la logique, ainsi que la sombre Forêt d’Aokigahara au Japon, entourée de légendes séculaires, ces sites chargés d’histoire aux contrées sauvages isolées nous transportent dans un univers où le réel et l’imaginaire se mêlent.
  • Stonehenge, l’énigme des mégalithes


Situé dans la plaine de Salisbury, au sud de l’Angleterre, Stonehenge est sans conteste l’un des sites les plus énigmatiques du monde. Ce cercle de pierres dressées, érigé il y a plus de 4000 ans, continue de susciter des questions sans réponses. Les mégalithes massifs qui composent Stonehenge, certains pesant jusqu’à 50 tonnes, ont été transportés sur des distances considérables, soulevant des interrogations sur les techniques utilisées par les anciens constructeurs.
Les théories sur la signification de Stonehenge sont nombreuses et variées. Certains pensent qu’il s’agissait d’un observatoire astronomique, utilisé pour marquer les solstices et les équinoxes. D’autres évoquent des fins religieuses ou spirituelles, soulignant la relation du site avec le soleil et la lune. Cependant, les raisons exactes de sa construction restent un mystère, car les populations préhistoriques n’ont laissé aucune trace écrite. Ainsi, Stonehenge demeure une énigme fascinante, défiant le temps et continuant à éveiller l’imaginaire des visiteurs.
  • La Cité perdue de Machu Picchu.


Nichée dans les montagnes verdoyantes des Andes péruviennes, la Cité perdue de Machu Picchu est un chef-d’œuvre architectural incontestable. Construite par les Incas, cette cité mystérieuse se dresse à une altitude impressionnante et offre des panoramas époustouflants sur les vallées environnantes.

Le Machu Picchu reste enveloppée de mystère, car les historiens et les archéologues peinent encore à comprendre sa fonction exacte et les raisons qui ont conduit à son abandon. Certains pensent qu’il servait de forteresse, tandis que d’autres avancent qu’il s’agissait d’un lieu de retraite pour les empereurs incas. Cependant, le manque de documents écrits et les nombreuses théories en font un lieu énigmatique et captivant.
  • La Zone du Silence, au Mexique, un lieu déroutant.


Au cœur du désert de Chihuahua, au Mexique, se trouve la mystérieuse Zone du Silence, connue pour les phénomènes étranges et inexpliqués qui s’y produisent. Les transmissions radio et les signaux GPS semblent y être perturbés, suscitant des spéculations sur des influences magnétiques ou extraterrestres.
Des témoignages rapportent également des observations d’objets volants non identifiés dans cette région isolée. En plus de ces mystères, la Zone du Silence est un désert aride où la vie végétale est étonnamment rare, ajoutant une atmosphère énigmatique à cet endroit déjà mystérieux.
  • La Forêt d’Aokigahara, au Japon, le sinistre mystère de la mer de bois.


Dans les ombres du mont Fuji, au Japon, s’étend la sombre Forêt d’Aokigahara, souvent surnommée « la mer d’arbres ». Cette forêt dense est devenue tristement célèbre pour être l’un des lieux préférés de ceux qui cherchent à mettre fin à leurs jours, ce qui lui a valu une aura lugubre et inquiétante.

Les légendes et les croyances entourant la forêt remontent à des siècles, et certains disent que les esprits en colère hantent ses recoins sombres. Les guides locaux et les visiteurs rapportent souvent des sensations étranges et des apparitions inexplicables, ajoutant à l’atmosphère mystérieuse qui imprègne la Forêt d’Aokigahara.
  • La Zone 51, aux États-Unis, la base secrète aux multiples théories.


Nichée au cœur du désert du Nevada, aux États-Unis, la Zone 51 est devenue un véritable terrain fertile pour les théories du complot et les spéculations sur les activités secrètes du gouvernement américain. Officiellement connue sous le nom de Groom Lake, cette base militaire top-secrète est entourée de mystères et de gardes armés, ce qui a alimenté de nombreuses théories sur des expérimentations extraterrestres et des technologies avancées.

Malgré les dénégations officielles, la Zone 51 demeure enveloppée de secret, attirant les curieux et les amateurs de phénomènes paranormaux, faisant d’elle l’un des lieux les plus mystérieux au monde.
  • L’île de Pâques, Chili


Près de 900 statues nommées Moaï veillent sur l’île de Pâques, et leur présence soulève bien des mystères. Selon les experts, elles auraient été construites sur place avant d’ętre déplacées et érigées grâce à un système de cordages. Quant à leur signification exacte, toutes les théories sont possibles : fonction religieuse, symbole de protection, lieu d’adoration… Le mystère reste entier !
  • Chichén Itzá, Mexique


Située dans la péninsule du Yucatán, la cité de Chichén Itzá compte parmi les vestiges mayas les plus intriguants. Parmi les édifices présents sur le site, on trouve la célèbre pyramide en terrasse El Castillo, sur laquelle se dessine la silhouette du dieu Quetzalcóatl (le Serpent à Plumes) aux équinoxes du printemps et de l’automne.
  • Le triangle des Bermudes, Océan Atlantique


Célèbre pour avoir englouti plus d’un navire, le triangle des Bermudes est une zone maritime de 4 millions de km2. Formant un triangle entre Miami, Porto Rico et l’île des Bermudes, il est le théâtre de disparitions aussi soudaines qu’inexpliquées. Extraterrestres, distorsion spatio-temporelle ou champs magnétiques surnaturels… Malgré les nombreuses études réalisées, la plupart des disparitions survenues dans le triangle des Bermudes restent inexpliquées.
  • La nécropole de Gizeh, Égypte.


Figures emblématiques de la civilisation égyptienne, les trois pyramides de Gizeh renferment bien des mystères… Khéops, la plus grande d’entre elles, est restée l’oeuvre de tous les records durant des millénaires. Édifiée il y a plus de 4 500 ans, elle abrite le tombeau du pharaon du même nom. Elle serait également le lieu de bien des malédictions.
  • Les géoglyphes de Nazca, Pérou.


Remarquables figures gravées dans le sol, les géoglyphes de Nazca s’étendent sur près de 450 km2. Apparus entre l’an 500 avant J-C. et l’an 500 après J-C., ils représentent tantôt un singe, un oiseau, un orque ou un arbre. Le plus grand d’entre eux mesure 200 mètres de diamètre et, actuellement, l’origine de ces inscriptions reste inexpliquée.
  • Les agroglyphes du sud de l’Angleterre.


Dans le meme genre, les Anglais ont pu constater l’apparition d’agroglypes (connus aussi sous le nom de cercles de culture) dans les comtés du Hampshire et du Wiltshire, à la fin des années 1970. Intervention militaire, boules de lumières surnaturelles ? Même si la plupart des scientifiques s’accordent sur une explication rationnelle, les hypothèses paranormales continuent à avoir des adeptes.
  • La forêt de Hei Zhu Gou, Chine.


Située dans la province du Sichuan, cette forêt de bambous est une zone digne des grandes oeuvres de science-fiction. A l’instar du Triangle des Bermudes, elle est hors du temps et ne semble pas laisser repartir les malheureux qui pénètrent dans ses bois. Enclavée et régulièrement assaillie par le brouillard, la terrible “Vallée de la mort” devrait conserver ses mystères encore longtemps. Et on ne vous parle pas du squelette géant d’oiseau à deux cranes trouvé là-bas…
  • Le temple de Vaithiswarankoil, Inde.


Situé dans le sud de l’Inde, le temple de Vaithiswarankoil renferme des feuilles de palmier sur lesquelles 7 sages indiens auraient inscrit – il y a 2000 ans – les grandes lignes de vie de toutes les personnes amenées à venir au monde. Sur place, les liseurs de Nadi professionnels révèlent leur avenir à quelques heureux élus dont l’emprunte correspond à une feuille, car tout le monde n’est pas destiné à connaître son avenir ! La légende raconte que les feuilles de Nadi deviendront noires d’ici une centaine d’années, emportant avec elles le secret de la destinée de millions d’êtres humains.
  • Les cercles de fée en Namibie

Parsemés à travers les prairies arides du désert du Namib, ces cercles de 2 à 15 mètres de diamètre (photographiés ici par Carolyn Cheng) forment des « trous » géants dans la végétation. Les hypothèses les plus diverses circulent sur leur origine : un sol radioactif, l’œuvre de termites ayant dévoré les racines des plantes pour permettre à l'eau d'être absorbée par le sable, ou encore la concurrence entre les plantes qui s'auto-organisent autour des ressources en eau en formant ces formes circulaires inhabituelles. Sans compter l'hypothèse d'un atterrissage d’extraterrestres ou les marques d'une marche divine. D'autres « cercles de fée » ont été découverts en 2016 dans le désert australien, sans qu'une explication convaincante ait pu, là encore, être trouvée pour résoudre cette énigme.
  • La forêt albinos en Californie.

Une lugubre forêt de fantômes blancs se dresse le long des côtes californiennes dans les parcs nationaux de Big Basin Redwoods ou Humbolt Redwoods. Ces séquoias n'ont pas été victimes d'une pollution chimique ou de pluies acides : ils sont albinos, dépourvus de chlorophylle, laquelle donne leur couleur verte aux autres végétaux. Mais comment ces séquoias blancs peuvent-ils survivre sans photosynthèse ? Selon Zane Moore, un étudiant chercheur de l'université de Californie, ces arbres seraient des sortes de chimères, les branches albinos profitant des ressources des branches vertes. En retour, les parties albinos séquestrent les métaux lourds qui empoisonnent les sols et aboutiraient normalement à la mort des arbres. Voici une possible explication à cette énigme.
  • Le cratère géant de Batagaika en Sibérie.

Les Yakoutes le surnomment « porte de l'enfer ». Le cratère de Batagaika est apparu dans les années 1960 au nord de la Sibérie et s'étend aujourd'hui sur près d'un kilomètre de long et 86 mètres de profondeur. Il continue à se creuser au rythme de 10 à 30 mètres par an, en émettant des sons bizarres et effrayants. La dépression a débuté lorsqu'une grande partie de la forêt a été défrichée, laissant le sol vulnérable et fragilisé par le réchauffement, ce qui a fait fondre le pergélisol et entraîné des effondrements. Le phénomène est d'autant plus inquiétant qu'il risque de libérer des poches de méthane piégées dans le sol, susceptibles de donner lieu à des explosions. Au fur et à mesure de son agrandissement, le cratère dévoile des vestiges archéologiques et des fossiles remontant à plus de 200.000 ans, comme le cadavre d'un cheval préhistorique, d'un bœuf musqué ou d'un mammouth.
  • Le trou magnétique terrestre de l’Atlantique.

L'Anomalie magnétique de l'Atlantique Sud (Amas) est une brèche béante dans le bouclier magnétique qui protège la Terre des particules cosmiques. Cette vaste zone s'étendant du Chili au Zimbabwe couvre près de 7,8 millions de km² et ne cesse de s'agrandir. Un « trou » qui entraîne des perturbations dans les satellites de communication et d'observation spatiale, mais dont l'origine demeure inexpliquée. Il pourrait s'agir d'un flux magnétique provenant des mouvements de roches en fusion dans le noyau terrestre, composé de fer liquide, ou d'un début d'inversion des pôles magnétiques, qui intervient tous les 400.000 ans en moyenne. Si c'était le cas, ce genre de brèches pourrait se multiplier et causer des gros problèmes pour la santé ou pour les vols commerciaux.

  • Le champ hydrothermal de Dallol en Éthiopie.
Des températures atteignant 45 °C en plein hiver, des geysers d'eau bouillante, des lacs verdâtres dont l'acidité peut prendre des valeurs négatives, des remontées de gaz toxiques, des concrétions boursouflées chargées en soufre... Voici une autre énigme scientifique ! Les sources hydrothermales de Dallol, dans le désert du Danakil au nord de l'Éthiopie, sont l'un des endroits les plus inhospitaliers de la Terre. À 160 mètres au-dessous du niveau de la mer, ce volcan aérien est le plus bas de la Planète. Recouvert par une épaisse couche de sel, il est dépourvu de toute forme de vie, exceptées quelques archées primitives. Un concentré d'extrêmes étudié par les scientifiques pour comprendre l'émergence de la vie sur Terre.

LE VOLCAN DALLOL DANS LA DÉPRESSION DE DANAKIL 
EN ÉTHIOPIE OFFRE UN APERÇU DE LA TERRE
IL Y A DES MILLIONS D’ANNÉES. 
  • Le volcan cracheur de boue en Indonésie.
Depuis 12 ans, le volcan Lusi, à l'est de l'île de Java en Indonésie, crache sans relâche l'équivalent de 25 piscines olympiques de boue par jour ; n'est-ce pas, là aussi, une belle énigme scientifique ?! Un phénomène unique au monde qui serait la conséquence d'un forage gazier qui aurait percé un aquifère sous haute pression. Une autre hypothèse est un séisme qui aurait liquéfié les sédiments. Contrairement à tous les autres volcans de boue, qui éjectent leur mixture par intermittence, le flot de boue est ici continu et ne devrait pas se tarir avant au moins des dizaines d'années, selon les scientifiques. En attendant, le flot de boue a déjà fait 60.000 déplacés, assèche les champs et pollue la rivière. Le volcan émet aussi des gaz toxiques, qui peuvent s'enflammer à tout moment, et des pierres.


LE VOLCAN LUSI EN INDONÉSIE VOMIT DES DIZAINES
 DE MILLIERS DE TONNES DE BOUE CHAQUE JOUR. 
  • Le lac rose de Hillier en Australie.

La dense forêt verte et le bleu profond de l'océan Indien offrent un contraste saisissant avec le rose fuchsia du lac Hillier, situé au bord de de l'île du Milieu au sud de l'Australie. La couleur rose de ce lac, de 600 mètres de long pour 250 mètres de large, a longtemps tenu en haleine les scientifiques, incapables de déterminer avec certitude la source de cette étrange teinte. Selon les chercheurs de l'eXtreme Microbiome Project (XMP), l'étrange coloration du lac serait finalement la combinaison de deux phénomènes. D'une part, l'accumulation d'une micro-algue, Dunaliella salina, qui utilise le beta-carotène pour sa photosynthèse, et d'autre part, la présence d'une halobactérie appréciant les milieux salins et donnant au sel une couleur fraise. Malgré les apparences, l'eau n'est pas toxique et offre des conditions parfaitement propices à la baignade.

1709 : L’hiver le plus froid de l’Histoire.

Il est surnommé le "Grand Hiver" ! Non seulement les températures étaient extrêmement basses en Europe mais ce froid (mordant) a duré pendant des mois, faisant des centaines de milliers de victimes. Dans cet épisode, retour en 1709 pour découvrir le pire hiver de l'Histoire, ses causes et ses conséquences.


Le Grand Hiver » et son macabre sillage eurent des conséquences tragiques pour des centaines de milliers de personnes. En France, la population connut un net déclin au cours des années 1709 et 1710 : 600 000 morts supplémentaires et un recul de 200 000 naissances par rapport à la moyenne annuelle de l'époque.


La grippe espagnole, la grande tueuse.

En avril 1918, une grippe particulièrement virulente déferle sur les cinq continents. Le fléau sévit pendant deux ans, causant entre 50 et 100 millions de morts avant de disparaître.  


L’épidémie de grippe qui a touché l’Europe et le monde durant l’hiver 1918-1919 et au-delà (elle sévit en deux vagues meurtrières, l’une de mi-septembre à décembre 1918, l’autre de février à mai 1919) est la plus importante des pandémies mondiales. Elle a causé la mort de plus de 50 millions de personnes, ce qui en fait à ce jour l’épidémie la plus mortelle, devant la peste noire au XIVe siècle. Du fait des moyens modernes de communication, elle s’est abattue sur tous les continents et a touché tous les types de populations. On l’appelle « grippe espagnole » parce que l’Espagne est l’un des rares pays à avoir parlé de cette maladie. Les autres ne l’ont pas évoquée, du fait de la censure qui sévissait encore en Europe. Pourtant, cette épidémie n’est en rien espagnole. Ce virus de la grippe est une souche H1N1 qui est probablement apparue en Asie. En l’état actuel des connaissances, les scientifiques estiment qu’elle se transmet par les poulets et que le virus souche aurait muté pour contaminer l’homme. Le virus est arrivé aux États-Unis, puis en Europe, accompagnant les soldats américains. Il a fait plus de 400 000 morts en France, ce qui est plus important qu’une année de combat de la Première Guerre mondiale.
Aujourd’hui, les scientifiques sont à sa recherche. Au Nord du cercle polaire, dans les archives médicales américaines, ou dans les cimetières de Londres, ils tentent de retrouver le virus disparu. Ils veulent comprendre pourquoi il fut si dangereux. Et surtout empêcher que cette catastrophe ne se reproduise un jour.

Les abeilles : un insecte indispensable à la vie sur Terre


Principales représentantes des insectes pollinisateurs, les abeilles pollinisent à elles seules 80 % des fleurs dans le monde.




Elles sont donc essentielles à la reproduction des végétaux et au maintien de nos sources d'alimentation.
Un pourcentage important d'abeilles a déjà disparu de la planète terre et leur déclin s'accélère.


Sans abeilles, la vie terrestre serait bien différente de celle que nous connaissons. En effet, elles sont des contributeurs essentiels au cycle de vie de toute la végétation à fleurs. En déclin constant, les colonies d'abeilles doivent être protégées, car notre dépendance à ce petit insecte pollinisateur est bien plus importante qu'on pourrait le penser.

Les abeilles sont un chaînon essentiel de la vie.
La pollinisation est une étape cruciale de la reproduction de toutes les plantes à fleurs et donc indispensable à la fabrication du fruit. Environ 80 % de ces plantes ont besoin des insectes pollinisateurs (abeilles, papillons…) pour se reproduire. D'après les experts apicoles de l'ONU, cela représente 90 % de la production de nourriture végétale à l'échelle mondiale, 75 % exclusivement grâce aux abeilles. Sans elles, plus de fruits ni de légumes… ou presque ! Notre alimentation s'en trouverait fortement amoindrie.
En cause : la pollution atmosphérique en général et les insecticides agricoles en particulier. En effet, il y a un lien direct entre l'emploi massif de néonicotinoïdes et la disparition progressive des abeilles depuis les années 1980. L'ONU estime que leur population a déjà été décimée de plus d'un tiers.

Les abeilles sont indispensables au maintien de l'écosystème végétal.
Outre la production de 75 % des fruits et légumes qui dépendent entièrement des abeilles, c'est aussi toute la vie qui serait menacée par leur disparition. En effet, la croissance des végétaux est un puits de carbone indispensable afin de faire face à l'augmentation des gaz à effet de serre d'origine anthropique. Par photosynthèse, ils capturent le CO2 présent dans l'atmosphère et rejettent de l'oxygène, contribuant ainsi à maintenir le fragile équilibre de la vie terrestre.
Si les abeilles disparaissaient, il y aurait mathématiquement moins de végétation sur terre et donc moins de carbone piégé, avec un réchauffement climatique accéléré.

La production des abeilles est précieuse.
Sur les 20 000 espèces d'abeilles sauvages recensées dans le monde, plus de 1 000 sont présentes en France. Lorsqu'elles sont "domestiquées" par des apiculteurs professionnels ou amateurs, nous profitons de leurs productions de miel, gelée royale, propolis… Précieux, ces mets impérissables ont de multiples vertus curatives connues depuis l'Antiquité : antibactérien, antifongique, antiviral, antiseptique, cicatrisant, régénérant cellulaire, antioxydant… Il serait dommage de s'en priver !

Top 8 aliments riches en fer.


Fatigue inhabituelle, maux de tête, essoufflement… Tous ces maux signifient peut-être une carence en fer. Cet oligo-élément est essentiel pour le bon fonctionnement de l’organisme. Il participe au transport de l’oxygène dans le sang. En cas de manque, on recommande la viande rouge ou encore les abats. Mais beaucoup de végétaux en contiennent.
  • Le cumin.

Cette épice à la saveur très marquée est très riche en fer. Elle contient 66,4 mg de fer pour 100 g d’épices contre 19,1 mg pour le curry d’après l’Anses. Il présente par ailleurs des vertus anti-inflammatoires. Avec une salade de carottes, c’est délicieux.
  • Le Thym.


Cette plante aromatique reconnaissable à son parfum puissant est une source très importante de fer. Une portion de 100 g sous forme séchée en contient près de 124 mg d’après l’Anses. Mais attention à ne pas avoir la main trop lourde : la recette risque d’en subir les conséquences.
  • Le Chocolat.


Les gourmands se tourneront vers cette solution. Ils préfèreront le chocolat noir qui a davantage de fer. Plus sa teneur en cacao est élevée, plus il en contiendra. Un petit carré en cas de fatigue est recommandé.
  • Le Soja.

C’est l’une des alternatives à la viande la plus plébiscitée par les végétariens. Le soja contient également des graisses insaturées, plus recommandées que les graisses saturées des produits animaux. On le consomme sous forme de lait, en pousse voire en tofu avec quelques épices.
  • Les Lentilles.
Les légumineuses sont riches en fer. Les lentilles incarnent l’exemple parfait. D’autant qu’on les déguste aussi bien chaudes que froides. Une soupe de lentille corail surmontée d’une cuillère de crème et de quelques brins de persil fera son petit effet.
  • Les Petits Pois.

Cuits avec des petites carottes, les petits pois évoquent souvent l’enfance. Ils présentent beaucoup de bienfaits, on aurait donc tort de s’en priver. Ils contribuent à la santé des os et contiennent également beaucoup de fer. Les gourmets recommandent de le cuire avec une feuille de laitue pour apporter une touche d’amertume. Et pour varier, ils peuvent aussi se cuisiner en purée.
  • Le Sésame.

Côté graines, le sésame est une excellente source de fer. On compte 14 mg de fer pour 100 g. Il ne faut donc pas hésiter à en verser quelques pincées sur une salade, de la viande froide ou un poisson cru.
  • Les Olives.

L’olive fait partie du fameux régime crétois qui est recommandé pour rester en bonne santé tout au long de sa vie. En plus de son goût très prononcé, elle contient 7.53 mg de fer pour 100 g.

Climat : à partir de quand parle-t-on de canicule ?


La canicule est une situation climatique exceptionnelle qui répond à un certain nombre de critères.
Le terme canicule est apparu au XVIe siècle. Il vient de l’italien canicula qui signifie petite chienne, un terme qui vient du latin canis qui signifie chien. Mais alors, quel rapport avec la chaleur ?
Canicula était en fait le nom donné à Sirius, l’étoile la plus brillante de la constellation du Grand Chien et l’une des plus brillantes du système solaire. Du 22 juillet au 23 août, Sirius se couche en même temps que le soleil, période à laquelle le mercure est le plus haut. D’où l’utilisation de ce mot pour évoquer des fortes chaleurs.

A partir de quelle température parle-t-on de canicule ?
Le terme “canicule” est parfois utilisé à mauvais escient pour désigner une journée estivale très chaude. En réalité, la canicule est un phénomène bien particulier qui prend en compte ce qu’on appelle l’IMB, c'est-à-dire l’indice biométéorologique.
Ce dernier est défini par la moyenne des températures minimales et maximales observées sur trois jours. La canicule se caractérise donc évidemment par des températures élevées, mais surtout par la persistance de ces températures, de jour comme de nuit. Météo France a fixé pour chaque département un seuil de température à partir duquel on parle de canicule.
On a mis en place 4 niveaux de 4 couleurs de vigilance météorologique :
    - Le niveau 1 - veille saisonnière (vigilance verte)
     - Le niveau 2 - avertissement chaleur (vigilance jaune)
     - Le niveau 3 - alerte canicule (vigilance orange)
     - Le niveau 4 - mobilisation maximale (vigilance rouge)

Quels sont les dangers de la canicule ?
Les effets de la canicule peuvent être très graves, et même entraîner la mort. Le risque principal est évidemment celui de la déshydratation, et de l’hyperthermie. Si tout le monde peut subir les effets d’un coup de chaleur, certaines catégories de personnes sont particulièrement vulnérables : les personnes âgées ou les personnes atteintes d'une maladie chronique, les personnes souffrant de troubles mentaux mais aussi les nourrissons, les enfants de moins de 4 ans et les femmes enceintes.
Les personnes en bonne santé mais qui travaillent par exemple à l’extérieur ou font du sport sont également exposées à un risque de complications.

Que faire en cas de canicule ?
Parmi les recommandations à observer en période de canicule :
- boire de l’eau très régulièrement sans attendre d’avoir soif (l’alcool est à proscrire !),


rester au frais,
- fermer les volets et fenêtres le jour mais aérer la nuit,
- manger en quantité suffisante,
- se mouiller le corps régulièrement plusieurs fois par jour,



éviter de sortir aux heures les plus chaudes,
-  limiter les activités physiques.
Il est également primordial de prendre des nouvelles des personnes vulnérables et de s’assurer qu’elles s’hydratent suffisamment et ne présentent pas les signes d’un coup de chaleur ou d’une déshydratation. En cas de malaise ou de troubles du comportement, il faut alors contacter un médecin immédiatement.

Qu'est-ce qu'une tempête solaire ?




Les tempêtes solaires, aussi appelées éruptions solaires, sont une manifestation de l'intense activité de notre étoile.
Soumis à des cycles solaires d'environ 11 ans, le Soleil connaît périodiquement des éruptions se produisant au niveau des taches solaires, des zones froides et magnétiques à sa surface.
Cette ébullition, provoquée par une accumulation d'énergie magnétique au niveau de l'équateur solaire, fait jaillir des particules se propulsant à grande vitesse dans l'espace, entre 300 et 1 000 kilomètres par seconde. Soit la distance Soleil-Terre en trois jours.
Lorsqu'une éruption solaire se produit, la surface du Soleil libère de l'énergie sous forme de nuages de plasma hautement magnétiques, donnant parfois lieu à des spectacles impressionnants comme des aurores boréales.

Quelles sont les conséquences d'une tempête solaire ?

Les particules rejetées par le Soleil sont chargées électriquement et peuvent créer des orages magnétiques qui interfèrent avec le champ magnétique terrestre. À partir de là, plusieurs conséquences sont possibles : irradiation des satellites, endommagement des réseaux électriques, ou encore dégradation de la couche d'ozone. Plus concrètement, lorsque ce phénomène se produit, il est fréquent de perdre les communications radio, de constater que son GPS est brouillé ou de voir un avion censé passer au-dessus d'un pôle annulé.
Dans certains cas, tout un réseau électrique peut sauter, comme c'était le cas au Québec en mars 1989, lorsqu'une panne générale causée par une éruption solaire plongea 6 millions de personnes dans le noir.

Comment prédire les tempêtes solaires ?

Selon une étude menée par l'université anglaise de Warwick, ce phénomène se produirait en moyenne tous les vingt-cinq ans. Néanmoins, les tempêtes solaires sont difficilement prévisibles : pour les anticiper, il faut comprendre le fonctionnement magnétique de ces taches solaires qui peuvent, en quelques minutes, libérer des quantités astronomiques d'énergie.

Les records dans le monde animal.

  • Le guépard, la formule 1 de la savane
Le guépard (Acinonyx jubatus) est l'animal terrestre le plus rapide du monde. En plein sprint, il peut atteindre des pointes de vitesse de 112 km/h.
En comparaison avec d'autres animaux rapides et ayant la même morphologie, comme le lévrier, le guépard est capable d'augmenter la fréquence de ses foulées pour progressivement augmenter sa vitesse et atteindre les 100 km/h, voire plus. En outre, 70 % du poids du guépard est concentré dans ses membres postérieurs, ce qui lui donne une grande puissance d'accélération.
Mais le félin ne court pas aussi vite pour le plaisir. Il lui faut une bonne raison pour dépenser autant d'énergie ; le plus souvent, il s'agit d'attraper une proie ou de fuir une menace. Le guépard chasse certaines espèces d'antilopes particulièrement véloces, comme l'impala qui peut courir jusqu'à 90 km/h sur des courtes distances.

  • Le pélican à lunettes et son bec imposant.
Le pélican à lunettes (Pelecanus conspicillatus) est un oiseau aquatique de l'hémisphère Sud plutôt imposant. Son envergure dépasse les 2,50 mètres pour environ 1,60 mètre de long. Mais c'est son bec qui bat tous les records. Profilé pour attraper des poissons, le bec rose du pélican à lunettes peut mesurer jusqu'à 50 centimètres. C'est le plus long bec chez les oiseaux. On appelle cette espèce de pélican « à lunettes » à cause de la peau jaune qui entoure ses yeux noirs.

  • Le springbok, l'antilope montée sur ressorts.
Le springbok (Antidorcas marsupialis) porte bien son surnom de gazelle sauteuse. En Afrikaans, « spring » signifie sauteur ou qui saute, et « boc » signifie bouc. Cette antilope du sud de l'Afrique est traquée par de nombreux prédateurs mais celle-ci ne se laisse pas facilement attraper. Outre sa rapidité, jusqu'à 80 km/h, le springbok est particulièrement doué pour le saut en longueur. Lorsqu'il veut semer un prédateur, il peut bondir sur plus de 15 mètres de distance. Il est aussi capable de bondir sur place à plus de deux mètres de hauteur pour échapper aux griffes de ses assaillants.

  • Le faucon pèlerin pointe à plus de 300 km/h.
Le faucon pèlerin est un petit rapace de la famille des falconidés connu pour être l'oiseau le plus rapide du monde en piqué. En effet, en 2005, Ken Franklin, un vidéaste adepte du skydiving, a estimé sa vitesse en piqué à 389 km/h. C'est un record pour le faucon pèlerin. En moyenne, pour ce type de vol, la vitesse atteinte par ces rapaces est de l'ordre de 130 à 184 km/h. Néanmoins, des scientifiques ont réalisé des tests théoriques avec un faucon, lui aussi théorique, qui aurait les caractéristiques physiques idéales pour le piqué. La vitesse limite théorique supportée par ce rapace serait comprise en 497 et 626 km/h.
Le faucon pèlerin utilise le piqué pour fondre sur ses proies, qui sont essentiellement d'autres oiseaux et les faucher en plein vol. Mais, à des vitesses si élevées, il arrive fréquemment au rapace de louper sa cible.
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  • Le varan de Komodo, le roi des lézards.
Les varans de Komodo (Varanus komodoensis) n'a pas la réputation d'être un animal pacifique. Avec ses 2,50 mètres de long et ses 70 kg, celui que l'on peut qualifier de « roi des lézards » puisqu'il est le plus grand de tous, n'a pas de concurrent sur les îles indonésiennes où il vit. En plus de sa taille imposante, le varan de Komodo peut courir jusqu'à 20 km/h et plonger à 4,50 mètres de profondeur. Le varan de Komodo n'est pas un chasseur mais plutôt un charognard, même s'il est tout à fait capable de tuer un porc ou un cerf.

  • Le puma, un félin spécialiste du bond.
Le cougar ou puma (Puma concolor) est un félidé qui vit sur la côte ouest de l'Amérique du Nord et en Amérique du Sud. On le retrouve dans des environnement très divers, des Montagnes rocheuses aux forêts équatoriales. Mais tous les pumas ont une caractéristique commune. Sans aucun élan, et grâce à des pattes postérieures particulièrement longues, les pumas peuvent bondir à environ 5 mètres de hauteur.

  • Le requin-baleine, un poisson aussi gros qu'une baleine.
Avec une taille pouvant atteindre les 20 mètres de long et un poids frôlant la trentaine de tonnes, le requin-baleine (Rhincodon typus) est le plus gros de tous les poissons. Ce gentil géant se nourrit de la même façon que les baleines : il filtre l'eau de mer pour se nourrir de plancton
Il peut aussi avaler des petits poissons de moins de 10 centimètres. Il vit dans les eaux chaudes des océans Atlantique, Pacifique et Indien. Les mœurs de ce poisson géant reste encore largement méconnus.

  • L'éléphant, un géant plutôt intelligent.
L'éléphant est un animal emblématique de l'Afrique et de l'Asie. Et pour cause, c'est le plus gros animal terrestre actuel. Ce géant qui peut atteindre les 7 tonnes vit dans des groupes sociaux très élaborés, dirigés par une matriarche. Particulièrement intelligent, il est capable d'utiliser des outils grâce à sa trompe. Par exemple, il peut se servir d'un bâton pour se gratter le dos. Son comportement face à un miroir suggère qu'il sait reconnaître son image et qu'il a la conscience de lui-même.

  • La baleine bleue, un cétacé qui bat tous les records.
La baleine bleue est l'animal de tous les records. Avec ses 30 mètres et ses 170 tonnes, c'est l'animal le plus imposant vivant actuellement sur Terre, mais elle est aussi bien plus grande que la plupart des dinosaures. Seules, certaines espèces de sauropodes auraient été plus lourds qu'elle.
Une telle taille impose d'avoir des organes tout aussi impressionnants. Ainsi, son coeur, avec ses 600 kilogrammes, est plus gros du règne animal. Tout comme le pénis des mâles qui peut mesurer plus de 2 mètres de long.

  • Le colibri d'Elena, un poids plume parmi les colibris.
Les colibris sont des oiseaux connus pour leur petite taille, ce qui leur vaut le surnom d'oiseau-mouche. Parmi ces poids plume, le colibri d'Elena (Mellisuga helenae) est le plus léger. Avec ses 5 cm de long et un poids compris entre 1,6 et 1,9 gramme, c'est le plus petit de tous les oiseaux. On pense aussi que les femelles pondent les plus petits œufs amniotiques du monde. Comme tous les colibris, il se nourrit du nectar des fleurs qu'il collecte directement dans la corolle avec son bec gracile. Quelques fois, il se laisse tenter par des petits insectes.
Le colibri d'Elena vit dans une région géographique restreinte, on le retrouve sur l'île de Cuba et l'île de la Jeunesse, juste à côté.


  • Un oiseau capable de voler au dessus de l'Everest.
L'oie à tête barrée (Anser indicus) est connue pour survoler le mont Everest lors de sa migration bisannuelle. C'est l'oiseau qui peut voler le plus haut, à plus de 10 Km d'altitude. Pour réaliser cet exploit, l'oie à tête barrée dispose de plusieurs adaptations physiologiques. Par exemple, l'hémoglobine de son sang est capable de fixer beaucoup plus d'oxygène que toutes les autres espèces d'oie, ce qui lui permet de respirer et de continuer à voler en altitude malgré un déficit en oxygène.

  • Cette mygale est la plus grande de toutes les araignées.
Arachnophobes, la mygale Goliath (Theraphosa blondi) est sûrement votre pire cauchemar ! Ce mastodonte est la plus grande et l'une des plus grosses espèces d'araignées mygalomorphes connue avec ses 30 centimètres de long. Sa taille imposante et surtout ses deux chélicères remplies de venin lui permettent de chasser des oiseaux, des petits mammifères et même des serpents. Et si, par malheur, elle perd une patte dans un combat, elle est capable de la régénérer après plusieurs mues. Une espèce pleine de charmes pour qui sait les apprécier. En effet, cette mygale est recherchée en terrariophilie.

  • Le paresseux, un animal qui tourne au ralenti.
Le paresseux porte bien son nom car tout, dans son mode de vie, est au ralenti. Premièrement, son métabolisme est deux fois plus lent que celui des autres mammifères. En conséquence, il se déplace extrêmement lentement, environ 0,25 km/h soit 4 mètres par minute, lorsqu'il est dans les arbres. D'ailleurs, il passe la majorité de sa vie en hauteur, il ne descend des arbres qu'une fois par semaine pour faire ses besoins. À ce moment là, il est particulièrement vulnérable. Malgré ses griffes impressionnantes, il est incapable de se défendre face à ses prédateurs. Pour récupérer, il dort parfois plus de 12 heures par jour. Il existe quatre espèces de paresseux qui vivent toutes en Amérique du Sud, du Brésil au Guatemala.
  • Le marlin bleu, le sprinteur des océans.
Le corps du marlin bleu (Makaira nigricans) est taillé pour la vitesse. Grâce à son rostre effilé et sa nageoire dorsale en forme de voile et une peau écailleuse qui augmente son hydrodynamisme, ce poisson imposant peut atteindre des vitesses impressionnantes, parfois de 100 km/h. Ils sont souvent confondus avec les espadons mais ces deux animaux sont bien différents. L'espadon a un rostre beaucoup plus long et au contraire, une voile dorsale plus petite et sa peau est totalement lisse.

  • La loutre de mer et son manteau de fourrure.
La loutre de mer (Enhydra lutris) vit dans les eaux froides du Pacifique Nord, du Japon à l'Alaska. C'est la seule espèce de loutre à pouvoir vivre totalement dans l'eau, les autres espèces ont besoin de retourner sur la terre ferme fréquemment. Pour supporter les températures froides, elle peut compter sur sa fourrure particulièrement dense, plus 170.000 poils par centimètres carrés de fourrure. C'est la plus dense de tout le règne animal. Malheureusement, cette fourrure a attiré la convoitise des humains et la loutre de mer a été chassée pour sa peau, vendue aux quatre coins du monde. La chasse est interdite aujourd'hui mais la loutre reste tout de même difficile à observer.

  • Ce serpent constricteur est l'un des plus grands serpents du monde. En effet, il mesure en moyenne entre 4 et 9 mètres pour un poids compris entre 90 et 140 kilos.