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20 aliments à ne pas réfrigérer !

  •  Les tomates.

Les tomates réfrigérées perdent de leur saveur ? C'est parce que l'air froid interrompt le processus de maturation et diminue leur goût. De plus, le froid peut rendre leur texture farineuse. Conservez vos tomates sur le comptoir pour les savourer au mieux de leur jus et de leur saveur.
  • Les bananes.

Les bananes et le réfrigérateur ne sont pas les meilleurs amis du monde. Les températures froides ralentissent le processus de maturation et peuvent même faire noircir la peau prématurément. Si vous recherchez la maturité jaune parfaite, la température ambiante est la meilleure solution. Placez-les sur le comptoir et regardez-les mûrir à merveille.
  • Pommes de terre.
Les pommes de terre conservées au réfrigérateur transforment plus rapidement leur amidon en sucre, ce qui affecte leur goût et leurs propriétés de cuisson. Elles finissent par être plus sucrées et plus granuleuses que vous ne le souhaitez. Conservez-les plutôt dans un endroit frais et sombre, comme un garde-manger. Elles conserveront ainsi leur texture idéale et leur goût de terre.
  • Oignons.

Les oignons ont besoin d'une circulation d'air pour rester frais, ce qu'ils ne peuvent pas obtenir dans les conditions humides et exiguës d'un réfrigérateur. De plus, ils peuvent donner à tout ce qui s'y trouve une odeur d'oignon. Conservez-les dans un endroit frais et sec, mais séparez-les des pommes de terre, qui risquent de les abîmer plus rapidement.
  • Ail.

Comme les oignons, l'ail préfère un endroit frais et sec avec une bonne circulation d'air. La réfrigération peut le faire germer prématurément ou le faire moisir. Un garde-manger sec ou un conservateur d'ail sur le comptoir font des merveilles pour garder votre ail frais et prêt à parfumer vos plats.
  • Avocats.

Si vous avez déjà mis un avocat non mûr au réfrigérateur, vous savez qu'il met une éternité à mûrir. Les températures froides retardent le processus de maturation. Laissez-les sur le comptoir jusqu'à ce qu'ils soient à point, puis réfrigérez-les pour les garder un peu plus longtemps à ce stade de maturité parfait.
  • Miel.

Cet édulcorant naturel devient épais et cristallisé lorsqu'il est réfrigéré, ce qui le rend difficile à utiliser. Le miel étant naturellement antibactérien, il se conserve parfaitement à température ambiante. Il suffit de le conserver dans un récipient hermétiquement fermé pour qu'il conserve sa consistance lisse et onctueuse.
  • Pain.

Le fait de réfrigérer le pain le fait rassir plus rapidement, car l'air froid affecte sa teneur en eau. Il est préférable de conserver le pain dans un endroit frais et sec si vous comptez le consommer dans les jours qui suivent. Pour une conservation plus longue, congelez-le et décongelez les tranches au fur et à mesure de vos besoins.
  • Le café.

Le café absorbe les odeurs, et le réfrigérateur en est rempli. De plus, les variations de température peuvent altérer son goût. Conservez votre café dans un récipient hermétique dans un garde-manger. Vous conserverez ainsi la fraîcheur et la saveur de votre café du matin.
  • Basilic.

Le basilic ne se fane pas seulement au froid, il peut aussi absorber les odeurs du réfrigérateur, ce qui nuit à sa fraîcheur et à sa qualité aromatique. Traitez-le comme des fleurs : une tasse d'eau posée sur le comptoir fait l'affaire. Changez l'eau tous les deux ou trois jours pour qu'elle reste vibrante et parfumée.
  • Huile d'olive.

L'huile d'olive se solidifie et se trouble au réfrigérateur, ce qui complique son utilisation. À température ambiante, elle conserve sa consistance liquide et est prête à être versée lorsque vous en avez besoin. Il suffit de la conserver dans un endroit frais et sombre pour préserver sa qualité.
  • Melons.

Les melons entiers tels que la pastèque, le cantaloup et le melon de miel conservent davantage d'antioxydants lorsqu'ils sont conservés à température ambiante. La réfrigération peut également altérer leur saveur et leur texture. Une fois que vous les avez coupés, c'est une autre histoire : conservez les tranches au réfrigérateur pour qu'elles restent fraîches.
  • Fruits à noyau.

Les pêches, les prunes et les nectarines mûrissent bien sur votre plan de travail. Les températures froides peuvent interrompre le processus de maturation et rendre la chair farineuse. Une fois qu'elles sont mûres et prêtes à être consommées, vous pouvez les mettre au réfrigérateur si vous les préférez fraîches.
  • Le chocolat.

La réfrigération peut affecter le goût et la texture du chocolat, en le rendant trop dur et en ternissant ses saveurs. La température idéale de conservation du chocolat est inférieure à la température ambiante, mais pas aussi froide que celle du réfrigérateur. Trouvez un endroit frais et sombre pour votre réserve de chocolat.
  • Les épices.

Les épices perdent leur puissance et leur saveur lorsqu'elles sont exposées à l'humidité et au froid d'un réfrigérateur. Il est préférable de les conserver dans des récipients hermétiques dans un garde-manger ou une armoire, où elles restent sèches et conservent leur punch. De plus, vous gagnerez de l'espace dans le réfrigérateur pour les produits qui en ont vraiment besoin.
  • Fromages à pâte dure.

Si les fromages à pâte molle gagnent à être réfrigérés, les fromages à pâte dure comme le parmesan peuvent se dessécher et devenir friables. Si vous les utilisez sur une courte période, vous pouvez les conserver dans un endroit frais et sombre. Pour une conservation plus longue, enveloppez-les dans du papier fromage et réfrigérez-les.
  • Agrumes.

Les citrons, les limes, les oranges et les pamplemousses se conservent très bien à température ambiante pendant une semaine environ. Ils peuvent perdre leur humidité et devenir durs au réfrigérateur. De plus, le fait de les exposer dans la cuisine permet de les colorer et de les parfumer.
  • Poivrons.

Le froid peut détremper les poivrons. Ils s'épanouissent à température ambiante, où ils conservent leur texture croquante et leur couleur éclatante. Il suffit de les conserver dans un endroit bien ventilé pour qu'ils restent frais et croquants.
  • Citrouilles.

Les citrouilles et autres courges d'hiver préfèrent le garde-manger au réfrigérateur. L'environnement frais et sec leur permet de durer plus longtemps sans se ramollir ni moisir. De plus, elles font de superbes décorations d'automne en attendant d'être utilisées.
  • Fruits secs.

L'humidité du réfrigérateur peut rendre les fruits secs collants et grumeleux. Il est préférable de les conserver dans un endroit frais et sec, dans un récipient hermétique. Ils restent ainsi moelleux et délicieux, parfaits pour le goûter ou la pâtisserie.
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    Top 10 animaux qui dorment le moins au monde.

    Saviez-vous que le dauphin est presque toujours éveillé ?


    Le dauphin ne dort jamais vraiment complètement. En effet, le cétacé désactive seulement la moitié de son cerveau en phase de sommeil, gardant toujours un œil ouvert.
    • L'autruche le plus grand oiseau vivant, pouvant atteindre les deux mètres de hauteur et peser plus de cent kilos, n'a besoin que de six heures de sommeil par jour ;

    • L'orque : aussi appelé épaulard, le super-prédateur marin capable de s'attaquer à des Grands requins blancs, ne dépasse pas non plus les six heures de sommeil quotidiens ;
    • La girafe : plus grand animal en termes de hauteur, la girafe peut mesurer plus de 4,60 mètres de haut, peser jusqu'à 2 tonnes et ne dormir que 4 heures par jour ;
    • Le mouton : animaux domestiques gardés par nos amis les chiens, les moutons ne se reposent que 4 heures par jour ;
    • La fourmi : nous avons vu le plus grand animal terrestre, regardons de plus près le plus petit et apprenons que l'insecte faisant partie du même ordre que la guêpe et l'abeille ne dort, lui aussi, que 4 heures par jour ;
    • Le cheval: fidèle et fier destrier, il n'a pas besoin de beaucoup de sommeil. En effet, trois heures quotidiennement lui suffisent pour se maintenir en forme ;
    • L'éléphant d'Afrique : de retour dans la Savane, le regard se pose, furtivement, sur l'animal terrestre le plus gros à qui deux heures de sommeil suffisent pour tenir la journée.

    Dans le top 3, les animaux présentés sont à peu près équivalents en termes de sommeil. Entendez-ici qu'ils ne dorment quasiment jamais ou jamais complètement :
    • Le ouaouaron : aussi appelé grenouille-taureau, cet amphibien se repose de temps en temps dans la journée mais reste constamment sur le qui-vive pour réagir rapidement en cas d'attaque de prédateur  
    • Le martinet à ventre blanc : pouvant être confondu avec une hirondelle, le martinet à ventre blanc dort de façon fractionnée. Ainsi, en laissant toujours une partie de son cerveau active, il ne dort jamais vraiment. Encore plus quand on sait qu'il peut voler 6 mois sans s'arrêter ;
    • Le dauphin : on vous en parlait juste au-dessus mais le mammifère marin de la famille des baleines ne dort quasiment jamais non plus et désactive la partie de son cerveau qu'il veut mettre en sommeil.

    Combien de couleurs possède un arc-en-ciel ?


    L'on apprend à l'école que l'arc-en-ciel possède sept couleurs. Mais la réalité est plus complexe.
    Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet : ce sont les sept couleurs de l’arc-en-ciel (de l’extérieur vers intérieur) telles que les apprennent tous les écoliers du monde. Mais cela correspond-il vraiment à la réalité et d’abord, qu’est-ce qu’un arc-en-ciel ?
    Un prisme dans le ciel.
    C’est par temps pluvieux que l’on peut avoir la chance d’apercevoir un arc-en-ciel mais pas seulement : autour d’une cascade ou en vaporisant ses plantes, il est possible de retrouver le même phénomène. En fait, il suffit qu’il y ait de l’eau en suspension dans l’air... et du Soleil. C’est sa lumière qui est réfractée par les gouttelettes d’eau. Si elle nous apparaît blanche, elle est en fait composée de toutes les couleurs existantes et celles-ci sont séparées par l’effet de prisme des gouttes d’eau.
    Toutes les couleurs ? Alors pourquoi en avoir retenu sept ? Tout cela, à cause d’un célèbre physicien : Isaac Newton. Connu pour sa formulation de la loi de la gravitation universelle, il s’est aussi intéressé à l’optique et aux télescopes et avait remarqué que la lumière réfractée donnait des couleurs. Il a étudié le phénomène pour s’en affranchir, les aberrations chromatiques limitant l’usage des télescopes à lentilles. Après plusieurs expériences menées avec des prismes, il conclut que la lumière en apparence blanche du Soleil était composée de rayons colorés et il en dénombra cinq au départ : les trois primaires (le rouge, le jaune et le bleu) et deux secondaires (le vert et le violet). Il en rajouta deux (l’orange et l’indigo) pour faire correspondre la gamme des couleurs à la gamme des notes de musique (do, ré, mi, fa, sol, la, si). Toutes ses expériences sont résumées dans Opticks, un ouvrage qu’il publia en 1704. C’est donc à Newton qu’on doit la division en sept des couleurs de l’arc-en-ciel qui compte en réalité une infinie variation de teintes !

    voici les aliments à ne jamais laver avant de manger !


    Laver vos aliments n’est pas un si mauvais réflexe. Il peut être bénéfique dans certains cas, par exemple, pour les fruits et légumes dont on mange la peau. Passer ces aliments sous l’eau et les frotter permet d’enlever la poussière, les germes ou encore les pesticides (tomates, pommes, salade, carottes…).Cependant, ce geste est à omettre absolument pour certains aliments. Au mieux, c’est inutile et au pire, ça peut engendrer des effets indésirables…
    • La viande.

    Il peut être tentant de vouloir laver sa viande, surtout si elle présente un peu de sang, mais il ne faut pas céder ! La viande crue possède, dans sa chair, des bactéries qui peuvent se multiplier au contact de l'eau. Ces dernières ne s'éliminent pas forcément à la cuisson, alors il est plus prudent de mettre votre viande à cuire directement pour éviter de développer des infections alimentaires.
    Si vous voulez quand même laver votre viande, n'utilisez pas d'eau et favorisez le lavage au jus de citron ou au vinaigre.
    • Les oeufs.

    Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la coquille d'un oeuf n'est pas totalement hermétique. Ainsi, lorsqu'on la passe sous l'eau, l'eau peut s'infiltrer et provoquer une réaction similaire à celle de la viande : la prolifération de bactéries. Problème qui peut être facilement évité en s'abstenant de mouiller la coquille, de toute manière, on ne la mange pas alors ce n'est pas grave si elle est un peu sale.
    Si vous lavez les oeufs à la maison, on vous explique pourquoi il est préférable de retirer cette habitude de votre quotidien. Laver la coquille des œufs peut aider à la propagation de bactéries potentielles. Pourquoi ? Poreuse et enveloppé de sa cuticule (couche extérieure de l'oeuf), la coquille, une fois lavée, laisse la place à formation de bactéries sur celle-ci. Pénétrants dans l'œuf, elles peuvent être pas la suite responsable de la salmonellose.
    Alternative : s'il y a des débris, vous pouvez en revanche frotter vos œufs avec un chiffon sec. Pas besoin d'eau et pas de risques de contamination.
    • Les champignons.

    Les champignons sont de véritables petites éponges... En effet, ils sont composés de réseaux de polysaccharides capables de retenir beaucoup de molécules d’eau.
    Ainsi, certains champignons spongieux, comme les cèpes, ne doivent pas être rincés au risque de se gorger d'eau et de perdre de la valeur dans l'assiette. Pour les laver et enlever les résidus de terre, il va falloir s'y prendre avec une méthode délicate, que voici :Retirer les parties indésirables à l'aide d'un couteau.
    Prendre un pinceau pour aliment et l'humidifier.
    Passer le pinceau sur la surface du champignon.
    Rincer le pinceau et reproduire l'opération.
    C'est un peu long, mais ça en vaut la peine pour bien conserver leur texture. Cependant, d'autres champignons plus compacts peuvent facilement résister à des petits rinçages rapides à l'eau courante.
    • Le poisson.

    Tout comme les champignons, le poisson ne se passe pas à l'eau dans n'importe quel contexte. Par exemple, si vos filets et darnes ont été levés par votre poissonnier au moment de l'achat, il ne faut surtout pas les rincer au risque de perdre complètement les saveurs. Si ils ont été au contact de la glace, vous devez les rincer sous l'eau froide pour éviter la prolifération des bactéries.

    Pour des raisons d'hygiène, n'oubliez pas de vous laver les mains et de porter des gants lorsque vous manipulez votre poisson. Concernant les poissons fumés, c'est pareil, il ne faut surtout pas les laver si vous ne voulez pas qu'ils perdent leur goût.
    • Les avocats.

    L'épaisse peau de l'avocat protège parfaitement son fruit, il n'est donc pas nécessaire de le laver. D'autant plus que si l'eau entre en contact avec le fruit et que vous le mettez au frais avant de le consommer, il risque de noircir à vitesse grand V. Comme le reste, l'eau peut également entraîner une prolifération des microbes, alors, abstenez-vous de tout risques et contentez-vous de le manger sans le passer à l'eau...
    • Les aliments dont on ne mange pas la peau.
    Pour ceux-ci, il n'y a pas vraiment de risque encouru, mais le lavage reste inutile... Comme les avocats, les aliments dont on ne mange pas la peau sont protégés et n'ont pas besoin d'être lavés. L'épaisse peau sert de bouclier contre les pesticides et les microbes. Ne perdez pas de temps à rincer vos bananes, vos oranges, vos melons ou encore vos oignons et savourez-les directement.

    Quelle est la taille de l'univers ?

    Notre univers ne se limite pas à la Voie lactée ! Mais alors, quelle est sa taille ? Est-il fini ou infini ?

    La théorie de la relativité générale d'Einstein.

    ALBERT EINSTEIN

    Physicien américain d'origine allemande, Albert Einstein a changé par sa théorie fondamentale de la relativité, la conception humaine du temps, de l'espace et de l'univers.
    nous a appris que l'espace-temps pouvait se déformer comme une membrane élastique. La théorie du Big Bang, bien confirmée par l'expérience et découlant de la théorie d'Einstein, nous indique que l'espace est en expansion. Cette théorie est compatible avec l'idée que notre univers est une sorte de bulle de taille finie qui gonfle, mais aussi avec l'idée que cet univers était déjà de taille infinie au moment où a commencé son expansion.
    Cette dernière idée semble paradoxale mais elle est mathématiquement cohérente. On peut aussi penser que seule une petite portion de cet univers infini est entrée en expansion à un moment donné de son histoire.


    Un fabuleux voyage à travers l'univers observable de la Terre jusqu'à la sphère de dernière diffusion dont nous parviennent aujourd'hui les plus vieux photons de l'univers. Toutes les distances sont à l'échelle et les objets sont représentés avec le plus d'exactitude possible.

    Tragopan de Cabot.


    Le Tragopan de Cabot (Tragopan caboti) est une espèce d'oiseaux appartenant à la famille des Phasianidae. Il doit son nom à Samuel Cabot, Jr., ornithologue américain.
    La bavette déployée est de forme plutôt rectangulaire allongée avec la bordure dentelée et liserée de jaune clair. Le pourtour est bleu turquoise décoré de gros motifs rouge-carmin en escalier avec au centre un fuseau orangé à points bleus. Les cornes mesurent 8 cm de haut.
    Cet oiseau peuple le Sud-est de la Chine (Kouangsi, sud du Hounan, sud du Kiangsi, nord du Kouantong, Foukien, Tchokiang).
    Il est inféodé aux forêts de feuillus persistants et mixtes de conifères et de décidus entre 800 et 1 400 m mais il semble étroitement associé à la présence de l’arbre Daphniphyllum macropodum.
    il marque une préférence alimentaire pour les feuilles de Daphniphyllum macropodum en hiver et au début du printemps et pour les fruits en automne.
    Il visite en hiver des zones riches en glands des genres Lithocarpus et Cyclobalanopsis et en graines de Schima superba..
    Les mâles restent avec les femelles en début de saison de reproduction puis s’isolent pour se nourrir seuls ou en groupes de mâles ou même s’accoupler avec d’autres femelles ayant pénétré sur leur territoire.
    En parade latérale, le mâle se tient très droit, les plumets auriculaires orangés légèrement gonflé et laissant apparaître le bout des cornes non érigées. Les plumes des cuisses, également gonflées, donnent l’impression qu’il porte une sorte de culotte. La bavette n’est pas encore étalée mais laisse déjà apparaître la brillante bordure bleu turquoise marquée de rose framboise. Après ces préliminaires, il secoue frénétiquement la tête jusqu’à ce que ses cornes s’érigent et que sa bavette multicolore s’étende en émettant une série de tchi-tchi-tchi…aigus et obstinés. Soudain, pour paraître plus impressionnant, il se soulève de tout son corps en allongeant le cou et en s’étirant sur ses pattes tout en rentrant la tête en dedans, ce qui plaque la bavette contre la poitrine tout en lançant un long et puissant tchiiiiiiiiiiii. Cette dernière phase, l’apogée de la parade, ne dure que quelques secondes.
    Les nids sont souvent construits entre quatre et sept mètres du sol, dans des pins et des cryptomérias, généralement en lisière forestière. La femelle pond de 3 à 5 œufs et s’occupe seule de l’élevage des jeunes.
    Bien que le tragopan de Cabot bénéficiait de l’une des plus importantes réserves naturelles en Chine (Guangdong, 5000 hectares), il se raréfiait un peu partout en raison de la déforestation.

    11 bruits étranges de l'organisme.

    • L'éternuement.


      Atchoum ! L'éternuement est un bruit de l'organisme parmi les plus cocasses, souvent incontrôlé, dont le son et l'intensité varient selon les individus. En réalité, lorsque l'on éternue, on expire de l'air par le nez et par la bouche, à une vitesse qui peut atteindre les 200 km/h. Mais pour quelles raisons nos muscles expirateurs (diaphragme et muscles intercostaux en tête) se mettent-ils à expulser de l'air hors de notre corps à une si grande vitesse ? Et bien parce qu'un intrus essaye de se glisser dans notre organisme via notre nez ! En effet lorsqu'un élément indésirable et irritant (poussière, grain de poivre, pollen, etc.) se glisse dans nos narines, il est stoppé par les muqueuses de notre nez. Et pour évacuer l'intrus hors de notre corps, le cerveau lui ordonne d'éternuer pour faire un coup de balai !
    • Le ronflement.

    Le ronflement, quel exemple parfait d'un bruit involontaire mais très bruyant... et qui est à l'origine de maintes disputes de couples ! Le mécanisme du ronflement est en fait assez simple : lorsque l'on respire, l'air passe par notre nez et notre bouche puis dans la gorge pour arriver aux poumons. Mais quand on dort, les muscles et les muqueuses situées dans la gorge se détendent, et l'air qui passe dans notre organisme fait vibrer la langue, le voile du palais, les amygdales, etc.
    Ces vibrations peuvent être tellement sonores et intenses qu'elles réveillent parfois même le dormeur (en plus de son conjoint !). Le ronflement peut être aggravé par un surpoids, la prise d'alcool ou de médicaments avant le sommeil, et le fait de dormir sur le dos.

    • Les acouphènes.

    Pour bien comprendre ce qu'est un acouphène, il peut être intéressant de se pencher sur l'étymologie de ce mot. En effet, le terme « acouphène » nous vient du grec, et a été formé en juxtaposant les verbes « paraître » et « entendre ». Eh oui : quand on a un acouphène, on a l'impression d'entendre quelque chose !

    Il peut s'agir d'un sifflement, d'un bourdonnement, d'un tintement, que l'on perçoit soit dans une oreille, soit dans les deux, voire à l'arrière du crâne. Même si en réalité, ce son ne provient de nulle part, et n'existe pas.
    Dans l'écrasante majorité des cas, les acouphènes sont dits subjectifs : ils ne se manifestent que chez la personne qui en est atteinte. Même si les acouphènes sont souvent plus pénibles que graves, cette nuisance est difficile à appréhender, et donc à traiter.

    • La respiration sifflante.

    Inspirer et expirer sont des gestes que nous faisons tous au quotidien sans nous en apercevoir. Mais quand notre respiration devient sifflante, c'est qu'il y a un problème quelque part...
    Le sifflement lors la respiration (qui survient souvent lors de l'expiration) est le signe d'un dysfonctionnement au sein de notre organisme ; l'air qui est censé circuler normalement et sans problème dans le nez, le pharynx, le larynx la trachée et les bronches, a du mal à passer, en raison d'un rétrécissement au niveau de ces 5 voies. Et comme l'air circule moins bien, on est obligé de forcer un peu notre respiration dans des voies respiratoires obstruées, ce qui crée des sifflements.

    • Les articulations qui craquent.



    Faire craquer ses doigts, c'est un petit « jeu » que l'on a tous essayé de faire au moins une fois dans sa vie. Et si le petit bruit de craquement nous amuse quand on le fait volontairement, on rigole moins quand avec l'âge, nos articulations se mettent à craquer d'elles-mêmes !
    Mais puisqu'on ne se casse absolument rien quand on se fait craquer les doigts, d'où provient le « crac » ? Eh bien contre toute attente, ce bruit provient... d'un gaz ! Quand on fait craquer une articulation, un creux se crée entre les deux parties de l'articulation. Un gaz vient alors y prendre place, avant d'être expulsé lorsque les deux parties se remettent en place. D'où le bruit !
    • Le ventre qui gargouille.

    Le gargouillis du ventre répertorie des bruits parfois gênants que l’on entend à peu près tous les jours, en général vers midi. Normal : à midi, on a faim, et quand on a le ventre qui gargouille, c'est que notre organisme se prépare à manger et à digérer les aliments.
    Eh oui, les bruits de gargouillis sont en réalité la somme de deux activités parallèles qui ont lieu parce que notre tube digestif se prépare à travailler. D'une part, l'estomac qui produit un acide pour faciliter la digestion des aliments, et d'autre part, les muscles situés sur les parois de notre intestin qui se contractent pour acheminer la nourriture digérée en direction du côlon. Et tout ça, ça fait du bruit. Alors quand notre estomac ne contient que de l'air, forcément, le bruit est amplifié !
    • La flatulence.

    Qu'on le dénomme pet, vent, flatulence ou gaz, c'est un bruit toujours gênant quand notre organisme l'émet en public ! Mais il s'explique assez facilement : quand on ingère des aliments, l'estomac produit un acide pour les réduire en bouillie et les digérer plus facilement.
    Or, certains aliments contiennent des composés que notre organisme n'arrive pas à digérer entièrement. Ils arrivent donc dans notre gros intestin partiellement digérés. Ce qui fait le bonheur des bactéries présentes dans l'intestin, qui s'en régalent. Sauf que lorsqu’elles mangent, les bactéries produisent du gaz. Et plus elles mangent, plus on stocke du gaz à l'intérieur de notre intestin. Et quand il y a trop de gaz qu'on ne peut plus retenir à l'intérieur, il faut bien qu'il s'évacue...

    • Le rot.

    Roter (ou éructer), c'est ce qui arrive quand on avale trop d'air trop vite par la bouche : notre tube digestif, mécontent de ce trop-plein de gaz, le renvoie directement par où il est venu ! De manière plus ou moins bruyante, en fonction de la vibration de notre orifice œsophagien. Il peut également s’agir de dioxyde de carbone en cas d’ingestion de boissons gazeuses.
    Comme dans les sociétés occidentales le fait de roter est assez mal vu, si on veut limiter les éructations intempestives, il est conseillé de mastiquer la bouche fermée, de ne pas parler en mangeant, de limiter notre consommation de tabac et de chewing-gum. En somme, d'éviter tout ce qui nous fait avaler de l'air en excès !
    • Le hoquet.

    Le hoquet, c'est un phénomène presque toujours bénin. Mais quand il tombe mal et qu'on ne parvient pas à s'en débarrasser, quelle plaie ! Le hoquet est un réflexe totalement involontaire, qui survient après un repas trop copieux, une quinte de toux, voire un fou rire...
    Le hoquet et le bruit caractéristique (« hic ») qui l'accompagne résultent de deux phénomènes qui se produisent dans notre organisme. Le premier, c'est la contraction irrégulière et répétée de notre diaphragme, qui va créer une grosse arrivée d'air dans les poumons. Le second, c'est la fermeture de la glotte, qui bloque l'arrivée de l'air, et produit le fameux hic !

    • La toux.

    La plupart des gens associent toux et maladie. Mais en réalité, on peut tout à fait tousser sans être malade : la toux est un réflexe naturel et sain, que notre organisme met en route pour débarrasser les bronches des éléments parasites qui viennent les encombrer.
    En effet, pas besoin d'avoir un rhume ou une infection pour que des sécrétions se déposent sur nos bronches et viennent obstruer nos voies respiratoires. Il suffit d'attendre la nuit quand notre organisme est au repos. Voilà pourquoi de nombreuses personnes toussent légèrement le matin (voire pas très légèrement pour les fumeurs !).

    • Le bâillement.

    Le bâillement est un phénomène qui se décompose en plusieurs étapes : d'abord, on inspire profondément, puis on ouvre la bouche, on ferme les yeux, on coupe rapidement notre respiration, et on expire. De manière plus ou moins bruyante et élégante, c'est selon.
    Quoi qu'il en soit, personne n'est aujourd'hui en mesure d'affirmer qu'il détient LE pourquoi du bâillement. On a longtemps pensé que c'était pour apporter de l'oxygène à notre cerveau...Une théorie maintenant réfutée, et qui a laissé place à de nombreuses autres. Parmi elles, la plus courue du moment : si l'on bâille, ce serait en fait pour refroidir notre cerveau afin qu'il fonctionne mieux.