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Voyage aux fins fonds du Tibet

Le Chang Tang, haut plateau situé à plus de 5000 mètres d'altitude dans le Nord du Tibet est une région interdite par l'administration chinoise.
Pour y accéder l'ethnologue Michel Peissel et son équipe ont du attendre patiemment les autorisations chinoises puis entreprendre une expédition longue et difficile dans des conditions climatiques extrêmes. Il leur a fallu longer pendant 300 km la face nord de la chaîne himalayenne, puis suivre la vallée du Brahmapoutre et piquer droit vers le nord jusqu'aux monts Kun Lun. Au cours de ce périple de plus de 2400 km, ils ont rencontré des populations nomades jusque là mal connues, découvert des paysages fantastiques et une faune merveilleuse : ânes sauvages (kyangs), antilopes tibétaines, gazelles, loups rouges, grizzlis tibétains et surtout les derniers yaks sauvages...






Reportage sur le Tibet.

La vie au Tibet passe par les temples. Depuis le 8ème siècle, la pensée bouddhiste imprègne la vie des tibétains, malgré la révolution culturelle chinoise des années 60 qui a détruit presque tous les monastères.
Le bouddhisme a survécu : avant l'invasion chinoise, presque 5 millions de moines y vivaient, aujourd'hui ils sont encore 50 milles.
La foie des tibétains ne se rencontre pas seulement dans les monastères, mais aussi dans la vie de tous les jours.
Le bouddhisme tibétain a intégré une foule de traditions d'anciennes religions hindouistes : ainsi on vénère les divinités gardiennes des 4 éléments : la Terre, le Feu, l'Eau et l'Air.
La dureté de la vie et les conditions politiques n'empêchent pas les tibétains d'être gais et bons vivants.
La vie au Tibet passe par les temples.
Nomades et résidents s'y rencontrent pour faire des trocs et échanger des nouvelles...





Les enjeux du conflit du Tibet.


Contrairement à ce qu'affirment les autorités chinoises, les motivations qui ont conduit Mao Zedong à envahir le Tibet en 1950, et qui sous-tendent aujourd’hui encore la politique du Parti communiste dans la région, ne sont pas religieuses ou culturelles mais bien d'ordre économique. Plus que jamais, le gouvernement chinois veut contrôler les richesses naturelles qu’offre le "toit du monde". Ainsi, les ponts, les routes et les chemins de fer construits par les entreprises chinoises ne cessent de se multiplier, dénaturant les vastes étendues préservées du plateau tibétain. Mais le plus gros enjeu concerne une ressource des plus précieuses : l’eau. Afin d’approvisionner les métropoles chinoises, les barrages, centrales et autres ouvrages hydrauliques se développent de manière exponentielle sur les fleuves du Tibet. Ces projets démesurés en zone de haute montagne présentent des dangers considérables – la menace d’inondations dévastatrices notamment. Pour les mener à terme, les autorités chinoises misent donc sur la propagande, mais aussi sur la violence : les manifestations de 2008, qui ont réuni des milliers de Tibétains dans les rues, ont été réprimées dans le sang. Ce documentaire édifiant donne la parole à des Chinois qui osent braver le gouvernement en dénonçant la persécution des moines, les arrestations et les emprisonnements arbitraires : l’écrivain Wang Lixiong, dont les œuvres sont interdites dans son pays, lutte pour rétablir la vérité auprès de ses concitoyens, tout comme Liao Yiwu, exilé à Berlin après avoir connu l’enfer des prisons chinoises.