Le combat de coqs est une discipline de loisir qui consiste à faire s'affronter deux coqs domestiques préparés aux combats sur une aire prévue à cet effet appelée gallodrome. Cette pratique très ancienne est devenue très controversée en raison des mutilations que subissent les coqs tant et si bien qu'elle est maintenant interdite dans de nombreux pays. Cette tradition reste néanmoins très populaire dans différentes régions du globe et fait l'objet de paris légaux mais aussi souvent illicites. En 2008, 27 pays autorisent ou tolèrent l'organisation de combats de coqs. C'est notamment le cas aux Philippines, en Andalousie, aux Canaries, au Mexique, au Pérou, à Porto Rico, en Haïti, en République dominicaine, à Cuba, aux îles Vierges américaines, à Guam. C'est aussi le cas en France où cette pratique est autorisée dans certaines localités des régions où elle perdure traditionnellement : les Hauts-de-France, La Réunion, la Guyane, les Antilles françaises et la Polynésie française.
Elle consiste à mettre deux coqs dans une sorte de ring circulaire au centre d'une salle appelée gallodrome. Les deux coqs, suivant leur instinct, se battent, des paris étaient faits sur le vainqueur. Dans un espace plus grand, le coq perdant fuirait mais dans le ring, les coqs de combats, issus de sélection génétique rigoureuse, se battent longtemps, ce qui peut entraîner de graves blessures ou la mort, les ergots étant parfois remplacés par des lames en acier.
Cette pratique est actuellement devenue marginale en occident mais elle subsiste dans certains pays d'Asie, où, support de paris, elle constitue un véritable secteur économique avec sélection génétique des animaux.
Elle consiste à mettre deux coqs dans une sorte de ring circulaire au centre d'une salle appelée gallodrome. Les deux coqs, suivant leur instinct, se battent, des paris étaient faits sur le vainqueur. Dans un espace plus grand, le coq perdant fuirait mais dans le ring, les coqs de combats, issus de sélection génétique rigoureuse, se battent longtemps, ce qui peut entraîner de graves blessures ou la mort, les ergots étant parfois remplacés par des lames en acier.
Cette pratique est actuellement devenue marginale en occident mais elle subsiste dans certains pays d'Asie, où, support de paris, elle constitue un véritable secteur économique avec sélection génétique des animaux.
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