Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

LE TOUR DU MONDE DES DERNIÈRES TRIBUS

  • Les pacifiques Zo'é d'Amazonie
Les Zo'é désamorcent la moindre brouille par des chatouilles. Mais leur territoire, interdit aux étrangers, est aujourd'hui menacé.


L'Amazonie compte encore une cinquantaine de tribus dites « isolées », dont les contacts avec l'extérieur sont et ont été rares. Parmi celles-ci, il y les Zo'é installés dans le Nord de l'État brésilien du Para. Ils appartiennent aux peuples de langue Tupi et passent pour être le dernier peuple intact d'Amazonie. Chez eux, la guerre, l'agressivité, l'envie, l'égoïsme sont inconnus. Mais oui, c'est possible !



Ces Indiens préfèrent la solidarité, les rires, la danse, le chant et rêvasser dans leur hamac. L'amour n'est même pas source de jalousie ou de conflit.  
Premiers hommes à s'établir en Afrique australe, continuellement refoulés, les Bochimans sont en train de perdre leur dernier refuge.


Les Bochimans (ou San) ont déboulé sur la scène internationale en 1980 dans le film botswanais Les Dieux sont tombés sur la tête. Rappelez-vous, jeté depuis un avion, une bouteille de Coca-Cola tombe aux pieds de Xi, qui la ramasse, la rapporte dans son clan du Kalahari où chacun veut s'emparer de ce cadeau des dieux. Finalement, la bouteille devient un objet de discorde que Xi est chargé de porter aux portes du monde.


Aujourd'hui, ce n'est plus une bouteille qui est expulsée du désert du Kalahari, mais tous les Bochimans !


  • Les Mlabris de Thaïlande
En seulement trois décennies, ces chasseurs-cueilleurs sont passés de l'âge de pierre à celui d'Internet. Une reconversion unique.


Le peuple des Mlabris vit dans une région couverte de forêts à cheval sur la Thaïlande et le Laos. Il y a encore trois décennies, il vivait dans un dénuement total. Au-delà de toute imagination. Alors que les Mlabris sont entourés par des ethnies pratiquant l'agriculture, eux ne savaient même pas construire une hutte. Ils dormaient nus, derrière un petit paravent fait d'arbustes et de feuilles entrelacées. L'oreille collée contre le sol pour détecter l'arrivée du tigre. Aucun outil, aucune poterie. Ils ne connaissaient même pas l'arc.





  • Les irréductibles de l'île Sentinelle
C'est le peuple le plus isolé au monde. Tout étranger est accueilli par une volée de flèches. Pourra-t-il vivre encore longtemps sous cloche ?


Rappelez-vous, c'était il y a seulement neuf mois. Un jeune missionnaire américain nommé Allen Chau eut l'outrecuidance de croire qu'il avait été missionné par Dieu pour abattre la dernière « citadelle de Satan » sur Terre. Dans son délire, il crut certainement que les indigènes de l'île Sentinelle du Nord allaient l'accueillir à genoux, lui le porteur de la parole du Christ. À peine mit-il le pied sur l'île qu'il alla rejoindre illico son créateur. Les Sentinelles le traitèrent comme n'importe quel étranger tentant le contact : la mise à mort ! Pourtant, Allen avait été prévenu.







  • Les Ankavé de Papouasie-Nouvelle-Guinée
Ce peuple forestier vivant dans une région enclavée de la Papouasie a résisté jusqu'à présent à toute tentative de christianisation.


Encore récemment, peu d'étrangers ont rendu visite aux Ankavés du peuple Anga. Leurs trois vallées natales sont difficiles d'accès. Il faut franchir un col perché à 2 600 mètres d'altitude desservi par un raidillon bordé d'à-pics. La balade prend entre deux et quatre jours de marche. Un début de désenclavement s'est pourtant produit récemment avec la construction d'une piste d'atterrissage.
Environ un millier d'Ankavé habitent ce royaume isolé de quelques 700 km2, entre 700 et 1 400 mètres d'altitude, dans le centre-est de la Papouasie.






  • Les Himbas du désert du Namib
La civilisation toque à la porte de ces éleveurs qui vivent dans un coin reculé de Namibie. Sauront-ils n'en prendre que le meilleur ?




La canicule française de juillet ? S'ils l'avaient connue, les Himbas se seraient roulés de rire dans la poussière. Pour ces habitants du désert du Namib, 40 °C leur feraient presque réclamer une petite laine. La pluie ? Certaines années, il n'y en a pas du tout ! Et pourtant, le peuple rouge ne quitterait pas son désert pour tout l'or du monde. À l'exception, comme d'habitude, des plus jeunes, fascinés par les lumières de la ville.





Aucun commentaire: