Saviez-vous que les hyménoptères aussi connaissent le sommeil ? Un photographe américain a surpris en pleine sieste une espèce d'abeilles bien particulière. Les images sont surprenantes.
Pour les plus chanceux, qui dit été dit généralement vacances. Et qui dit vacances dit aussi siestes régulières. C'est vrai pour les humains, mais aussi pour les abeilles qui connaissent elles aussi des phases de sommeil.
En témoignent les surprenantes photos, à découvrir dans la vidéo ci-dessous, capturées par le photographe Joe Neely. On y aperçoit en pleine sieste deux spécimen d'une espèce bien particulière d'abeilles. Son nom : Diadasia diminuta.
En témoignent les surprenantes photos, à découvrir dans la vidéo ci-dessous, capturées par le photographe Joe Neely. On y aperçoit en pleine sieste deux spécimen d'une espèce bien particulière d'abeilles. Son nom : Diadasia diminuta.
Principalement présentes sur le continent Américain, ces abeilles ont pour habitude de dormir dans le pollen de certaines fleurs, notamment les Sphaeralcea. Comme toutes les autres espèces, elles sommeillent à l'âge adulte entre 30 minutes et une heure chaque nuit, par tranches de micro-siestes de 15 à 30 secondes.
Plus surprenant encore : comme chez l'Homme, la privation de sommeil peut s'avérer lourde de conséquences pour l'organisme, celui des hyménoptères mais aussi d'autres insectes.
Des conséquences sur la santé
L'Université de Floride s'est aperçue par exemple que chez les fourmis de feu, les reines dorment bien plus et vivent plus longtemps que les travailleuses. Dans une étude de 2009, les scientifiques ont ainsi noté que les reines se reposent 90 fois par jour pour des tranches de 6 minutes, soit un total de 9 heures de sommeil quotidien.
Les travailleuses en revanche prennent aléatoirement des courtes siestes d'une minute, 250 fois par jour, soit 5 heures de sommeil. Le but : assurer un roulement de présence, pour que 80% de la colonie puisse être active à un instant T.
Plus surprenant encore : comme chez l'Homme, la privation de sommeil peut s'avérer lourde de conséquences pour l'organisme, celui des hyménoptères mais aussi d'autres insectes.
Des conséquences sur la santé
L'Université de Floride s'est aperçue par exemple que chez les fourmis de feu, les reines dorment bien plus et vivent plus longtemps que les travailleuses. Dans une étude de 2009, les scientifiques ont ainsi noté que les reines se reposent 90 fois par jour pour des tranches de 6 minutes, soit un total de 9 heures de sommeil quotidien.
Les travailleuses en revanche prennent aléatoirement des courtes siestes d'une minute, 250 fois par jour, soit 5 heures de sommeil. Le but : assurer un roulement de présence, pour que 80% de la colonie puisse être active à un instant T.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire