En effet, 99 % de nos télécommunications transitent sous les océans. Des milliards d'informations sont échangées, dont certaines, cruciales, suscitent les convoitises des grandes puissances.
Depuis plusieurs années, les grandes puissances se livrent une « guerre hybride », mi-ouverte mi-secrète, pour le contrôle de ces câbles. Alors que l’Europe se concentre de plus en plus sur les menaces de cybersécurité, l’investissement dans la sécurité et la résilience des infrastructures physiques qui sous-tendent ses communications avec le monde entier ne semble pas aujourd’hui une priorité.
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