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Séisme en mer égée, en Turquie et en Grèce.

Un violent séisme a touché l'ouest de la Turquie et l'île de Samos, en Grèce, ce vendredi. Séisme de magnitude 7... qui a fait des dégats très importants... et plusieurs victimes.


La Cappadoce

Située au centre de la Turquie, la Cappadoce est renommée pour ses cheminées de fée, ces formations rocheuses en pointe qui forment son paysage. Elles ont été sculptées par le temps dans la couche de tuf qui a recouvert la région. On les a nommées ainsi parce qu'on croyait que des fées vivaient sous terre. Il suffit de circuler dans cette région pour faire le plein d'images aussi inattendues qu'inoubliables, de villes souterraines et de maisons troglodytiques.Un volcan éteint, le mont Argée, domine ces étranges paysages créés il y a plusieurs millions d'années et ensuite sculptés par les siècles dans le tuf (cendre volcanique solidifiée). La Cappadoce est si unique qu'elle fait partie du patrimoine mondial de l'UNESCO.


C'est autour des villes de Nevsehir (la capitale de la Cappadoce), Ürgüp et Göreme que se trouvent les plus étonnantes formations. Ürgüp, qui compte plusieurs hôtels et restaurants, a gardé une atmosphère de village qui plaît beaucoup aux visiteurs.

La Cappadoce compte une trentaine de villes et villages, à quelques kilomètres seulement les uns des autres. Jusque dans les années 50, bon nombre d'habitants vivaient dans des maisons troglodytiques. L'érosion et l'effritement de la masse rocheuse les ont obligés à construire de nouvelles maisons au pied des montagnes.

Même si le tourisme est maintenant la principale source de revenus des Cappadociens, plusieurs continuent de cultiver la terre, très fertile grâce aux dépôts volcaniques. Une grande partie des céréales, fruits et légumes de la Turquie proviennent de la région. Quant à la viticulture, présente dans la région depuis le IVe siècle, elle ne cesse de se développer. Les vins de la Cappadoce sont très appréciés dans le pays.

À partir d'Istanbul, la région est facile d'accès. Il faut prévoir quelques jours pour la visiter, car il y a beaucoup à voir et de belles expériences à vivre.

Aujourd’hui, la Cappadoce est devenue l’excursion incontournable pour quiconque visite la Turquie. L’Unesco en a même fait un élément du Patrimoine de l’humanité. C’est toutefois un site encore bien mal protégé, notamment contre son propre succès touristique. Depuis la côte méditerranéenne, au sud, on accède à la Cappadoce par une route qui part de Tarse. Une autre route permet d’y parvenir par l’ouest en passant par Konya. C’est celle-là qu’on emprunte lorsqu’on vient de la côte égéenne ou d’Antalya. On peut encore venir en Cappadoce par le nord-ouest, Ankara se trouvant à un peu moins de 300 km.
Nevsehir est maintenant le chef-lieu de la Cappadoce. C’est une plaque tournante où les autocars assurant la liaison avec le reste du pays ou les aéroports de la région déchargent leurs passagers qui prennent le plus souvent une correspondance pour Avanos ou Ürgüp. Ces villes sont en effet beaucoup plus pittoresques. Avanos abrite de toute éternité des potiers qui tirent du limon rouge de la rivière la matière première de leur art. Ürgüp, quant à elle, renferme une cité troglodytique et bénéficie d’une position centrale idéale pour qui envisage de rayonner à partir d’un seul point. Non loin des deux agglomérations, Uçhisar mérite amplement qu’on s’y arrête. Les Hittites avaient déjà retenu ce site, un pic montagneux isolé, parce que facile à défendre. La montagne est depuis devenue un gruyère au fur et à mesure qu’on y installait des résidences semi-troglodytiques. Tout en haut, le panorama est proprement hallucinant.
La visite de la région peut durer plusieurs jours. Si l’on tient absolument à utiliser un moyen de transport, la voiture doit parfois céder sa place à l’âne sur les pistes non carrossables. On vient en Cappadoce pour y admirer les caprices de la nature, mais aussi pour constater l’acharnement séculaire des hommes à creuser la pierre, pour leur propre bénéfice ou pour la plus grande gloire de leur Dieu. Les églises et les monastères abondent un peu partout. Ils se distinguent par leur architecture. Comment pourrait-il en être autrement dans un coin de pays où l’on sculpte la montagne pour faire apparaître le bâti? En Cappadoce, les constructeurs ont adopté plusieurs styles, allant jusqu’à concevoir de faux piliers et de fausses voûtes pour recréer l’impression laissée par les grandes églises de Constantinople.
Ce qui retient l’attention à l’intérieur des églises, c’est l’ornementation picturale, qu’elle soit peinture ou mosaïque. Dans l’histoire de l’église byzantine, la question de la représentation du Christ et du message biblique a généré plus de 100 ans de conflits ouverts entre les empereurs et les autorités ecclésiastiques. Aux prétentions des iconoclastes, qui ne voulaient rien d’autre qu’une simple croix pour symbole, on a fait succéder un code strict pour éviter les excès. Heureusement d’ailleurs, puisque les dizaines d’églises intéressantes que compte la Cappadoce y ont gagné de véritables œuvres d’art, dont bon nombre sont malheureusement menacées parce que les ressources manquent pour les protéger adéquatement.
Parmi les sites dignes de mention, mentionnons Gorème, autant pour son charme que pour son art religieux. À ce propos, il ne faut pas manquer de visiter le musée en plein air à côté de la ville; on y trouve des fresques dans un état surprenant. Zelve est un village dont les habitants ont dû être relocalisés en raison des risques d’éboulement. Précisément parce qu’il n’est plus habité, il se prête à toutes sortes d’explorations. À Çavusçin, il ne faut pas manquer l’église Nicephor Phocas, qui a été nommée en l’honneur d’un empereur byzantin qui connut du succès dans sa lutte contre les envahisseurs musulmans.
Les habitants de la Cappadoce ont vu passer et repasser bien des conquérants au fil des siècles, et ils ont développé une méthode bien à eux pour leur échapper : disparaître. Pas facile de retrouver les habitants d’un village dans une région où le moindre ruisseau creuse des vallées encaissées, souvent invisibles à quelques dizaines de mètres. Et ça l’est encore moins lorsque ce sont les gens eux-mêmes qui creusent leurs propres abris. À cet égard, on compte une quarantaine de cités souterraines en Cappadoce, et il est presque certain qu’il y en a d’autres. Et il ne s’agissait pas de simples abris. On y avait conçu, sur plusieurs étages, des lieux de rassemblement, des magasins, des églises, des emplacements pour le bétail (plus près de la surface généralement), une ventilation centrale et des dispositifs pour se barricader efficacement à chaque étage. Les deux plus importantes cités souterraines sont situées à Kaymakli et à Derinkuyu. À Kaymakli, on peut visiter ainsi des salles et des couloirs sur quatre étages. La cité troglodytique de Derinkuyu est encore plus impressionnante avec ses kilomè­tres carrés de superficie; 10 000 personnes pouvaient y trouver tout le nécessaire!
Dans la vallée de Peristrema, une magnifique randonnée attend les promeneurs. Au fil des siècles, la rivière Melendiz Suyu s’est resserrée entre deux falaises. On laisse la voiture non loin d’Ihlara pour prendre un taxi jusqu’à Selime, à l’autre bout. Il faudra bien six heures de randonnée avant de revenir à son point de départ, pour peu que l’on s’arrête un peu pour admirer les églises et les monastères installés dans la paroi des falaises. Deux conseils : porter des chaussures de marche et faire attention à la rivière, qui peut devenir imprévisible au printemps et à l’automne. D’autres circuits, moins banals, promettent également des randonnées mémorables. Le mieux est encore de louer les services d’un guide pour explorer les sentiers des vallées avoisinantes.

Le chant «Bella Ciao» diffusé pendant l’appel à la prière en Turquie

Des inconnus ont piraté mercredi le système d'appel à la prière à Izmir, dans l’ouest de la Turquie.


Les rues désertes d'Izmir pendant
 le couvre-feu le 20 avril 2020.

Un incident qui a fait le tour des réseaux sociaux mais qui passe mal en Turquie. Les autorités turques ont annoncé avoir ouvert une enquête après que des inconnus ont piraté le système d’appel à la prière à Izmir (ouest) pour diffuser le chant de révolte italien Bella Ciao depuis les minarets de plusieurs mosquées de la ville.

L’hymne anti-fasciste a été diffusé par plusieurs mosquées mercredi après-midi, à l’heure de l’azzan, l’appel à la prière lancé cinq fois par jour. La séquence a été largement partagée sur les réseaux sociaux.


Turquie: Erdogan déclaré vainqueur de l'élection présidentielle

Recep Tayyip Erdogan célèbre sa victoire au siège de l'AKP, à Ankara, le 25 juin 2018.


Les autorités électorales turques ont annoncé dans la nuit la victoire de Recep Tayyip Erdogan à la présidentielle. Le président sortant l'avait revendiquée dès dimanche soir. 
Sa victoire a été confirmée par les autorités électorales. Le chef de l'Etat turc Recep Tayyip Erdogan a été réélu dès le premier tour de l'élection présidentielle dimanche pour un nouveau mandat présidentiel aux pouvoirs renforcés. Le président sortant, au pouvoir depuis 15 ans, est venu à bout d'une opposition pourtant revigorée.

Majorité absolue
"D'après les résultats, il apparaît que Recep Tayyip Erdogan a remporté la majorité absolue des voix valides", ce qui lui permet d'être réélu au premier tour, a indiqué le chef du Haut comité électoral (YSK), Sadi Güven, lors d'un point presse à Ankara.
D'après l'agence de presse étatique Anadolu, Recep Tayyip Erdogan est arrivé en tête de la présidentielle avec un score de 52,5% après dépouillement de plus de 99% des urnes, et l'alliance dominée par son parti islamo-conservateur, l'AKP, menait avec 53,61% dans le volet législatif du scrutin.

"Le vainqueur c'est la démocratie"
Recep Tayyip Erdogan, réélu pour cinq ans supplémentaires, n'avait pas attendu l'annonce de la commission électorale pour revendiquer la victoire. "Notre nation m'a confié la responsabilité de président de la République", avait-il dans la soirée lors d'une déclaration à sa résidence à Istanbul. "Le vainqueur de cette élection, c'est la démocratie, la volonté nationale", a-t-il encore clamé.
Ces élections sont particulièrement importantes, car elles marquent le passage du système parlementaire en vigueur à un régime présidentiel où le chef de l'Etat concentre la totalité du pouvoir exécutif, aux termes d'un référendum parlementaire qui s'est tenu l'an dernier.
Cris de joie
Son principal concurrent, le social-démocrate Muharrem Ince, arrive en deuxième position de la présidentielle avec 30,7%, et l'alliance anti-Erdogan formée par plusieurs partis d'opposition pour le volet législatif du scrutin récolte 34%, d'après les résultats partiels publiés par Anadolu. Muharrem Ince n'a fait aucun commentaire concernant les résultats dimanche soir, convoquant une conférence de presse pour lundi à la mi-journée à Ankara.
Plusieurs milliers de partisans de Recep Tayyip Erdogan se sont rassemblés dans la soirée aux abords de la résidence du président à Istanbul, chantant et brandissant des drapeaux.
Ces élections sont particulièrement importantes, car elles marquent le passage du système parlementaire en vigueur à un régime présidentiel où le chef de l'Etat concentre la totalité du pouvoir exécutif, aux termes d'un référendum parlementaire qui s'est tenu l'an dernier.

Cris de joie
Son principal concurrent, le social-démocrate Muharrem Ince, arrive en deuxième position de la présidentielle avec 30,7%, et l'alliance anti-Erdogan formée par plusieurs partis d'opposition pour le volet législatif du scrutin récolte 34%, d'après les résultats partiels publiés par Anadolu. Muharrem Ince n'a fait aucun commentaire concernant les résultats dimanche soir, convoquant une conférence de presse pour lundi à la mi-journée à Ankara.
Plusieurs milliers de partisans de Recep Tayyip Erdogan se sont rassemblés dans la soirée aux abords de la résidence du président à Istanbul, chantant et brandissant des drapeaux.




La Suède l’avoue : les « boulettes suédoises » viennent... de Turquie



Les fameuses boulettes de viande suédoises, un incontournable quand on visite le géant suédois Ikea, sont en fait d’origine... turque. C’est la Suède elle-même qui l’a reconnu, déclenchant de nombreuses réactions venues des deux pays sur le web.
Les boulettes de viande sont le plat national en Suède. Internet regorge de recettes de boulettes suédoises. Mais le pays a tenu à rétablir les faits et a admis que « les boulettes suédoises viennent en fait d’une recette que le roi Charles XII a rapportée de Turquie au début du 18e siècle ».

Si les raisons pour lesquelles la Suède a décidé de faire cette déclaration à ce moment-ci ne sont pas claires, il n’en fallait pas plus pour que les Turcs se réjouissent et réclament leur part de l’héritage culinaire suédois.
Charles XII, qui s’est exilé plusieurs années en empire ottoman, avait aussi rapporté en Suède la torréfaction du café et le chou farci.
Si des Suédois se sont plaints avec humour d’avoir vécu dans le mensonge toute leur vie, des Turcs ont quant à eux réclamé que la Suède rebaptise ses boulettes par le nom turc « kofte ».


Le New York Times souligne néanmoins que les recettes de boulettes de viande varient entre les deux pays. Les Turcs les cuisinent avec du bœuf et de l’agneau hachés, des oignons, des œufs, de la chapelure et du persil. Les boulettes suédoises contiennent, quant à elles, du porc, et sont généralement servies avec de la sauce brune.

Turquie : la castration chimique pour les pédophiles ? Le gouvernement y songe sérieusement

Suite à l'agression d'un enfant de quatre ans et demi, le ministre turc de la justice a réitéré son souhait de recourir à la castration chimique pourles auteurs d'agressions sexuelles sur mineurs. Une volonté qui va "à l'encontre des droits de l'homme" selon une ONG. L'idée fait d'ores et déjà frémir les ONG. Le ministre turc de la Justice a affirmé ce mardi que les autorités souhaitaient recourir à la castration chimique pour les auteurs d'agressions sexuelles sur mineurs. "Les tribunaux décideront de la mise en oeuvre et de la durée de la castration chimique pour supprimer ou réduire le désir sexuel. Nous mettrons cela en place à nouveau d'ici quelques jours", ainsi déclaré le ministre Abdülhamit Gül. "Toutes les options, toutesles mesures qui doivent être prises pour résoudre le problème
seront sur la table", a-t-il ajouté.Ces déclarations surviennent sur fond d'indignation dans le pays après l'agression d'une enfant de quatre ans et demi par un homme de 20 ans lors d'un mariage dans la province d'Adana la semaine dernière. Le parquet a requis,ce mardi, 66 ans d'emprisonnement pour l'agresseur présumé, selon l'agence étatique Anadolu.




5 fois plus d'abus sexuels contre des enfants en 10 ans. Le porte-parole du gouvernement Bekir Bozdag avait indiqué en début de semaine qu'une commission composée de 6 ministres, dont M. Gül, serait mise en place pour se pencher sur les moyens de lutter contre les abus visant les enfants. Le nombre d'affaires d'abus sexuels commis contre des enfants est passé de 3.778 en 2006 à 21.189 en 2016, selon des chiffres du ministère de la Justice diffusés par des organisations de défense des droits de l'homme. Près de 60% des suspects dans ces affaires en 2016 ont été condamnés, d'après l'Association turque des droits de l'homme (IHD).


Le mystère de la « porte de l’enfer » enfin résolu

                                               


Dans l’ancienne cité antique de Hiérapolis (Turquie), des prêtres
romains poussaient des animaux à travers une étrange porte,
où ceux-ci mouraient rapidement, sans intervention humaine.
Une nouvelle étude scientifique explique enfin ce phénomène.
                                        
La « porte de l’enfer » vient enfin de livrer ses secrets. Redécouverte il y a sept ans dans la cité antique de Hiérapolis, cette simple porte de pierre conduisant à une cave était considérée comme sacrée par les Romains. À cet endroit, des prêtres castrats y poussaient des animaux qui finissaient par mourir en suffoquant, alors que les religieux en ressortaient sain et sauf.

Baptisé Plutonium, en référence à Pluton, le dieu romain des enfers, ce lieu était entouré de gradins, d’un temple et jouissait d’une grande popularité. Décrits par l’écrivain romain Pline l’Ancien, les prêtres qui revenaient vivants de la porte de l’enfer étaient considérés comme des miraculés. Pourtant, ce phénomène possède une explication beaucoup plus rationnelle.

Créée vers la fin du IIe siècle av. JC, la cité de Hiérapolis se trouve sur une zone marquée par des singularités géologiques. Elle est située au sommet d’une colline à Pamukkale, site naturel réputé pour ses sources chaudes et ses concrétions calcaires. Par ailleurs, du dioxyde de carbone s’échappe d’une profonde fissure volcanique qui parcourt la cité. Le Plutonium est construit sur cette fissure toujours aussi mortelle : en 2011, une étude italienne montrait que les oiseaux qui survolent de trop près cet endroit suffoquent et meurent à cause du gaz.

Un lac de dioxyde de carbone

Une équipe menée par le professeur Hardy Pfazn, biologiste à l’université de Duisbourg et Essen (Allemagne) a voulu analyser de plus près la question. Publié le 12 février dans la revue scientifique Springer Nature, le résultat de ce travail montre que la zone entourant la « porte de l’enfer » se charge en dioxyde de carbone (CO2) durant la nuit, formant un « lac » au niveau du sol. Ce phénomène est particulièrement mortel à l’aube, lorsque la concentration en CO2 est suffisante pour asphyxier des animaux ou des humains. Cependant, cette concentration en CO2 diminue rapidement avec la hauteur.


La cité de Hiérapolis fut complètement
abandonnée à la fin du XIVe siècle.

Selon Hardy Pfanz, les prêtres devaient effectuer leurs sacrifices le matin. Les animaux n’étant pas assez grands pour maintenir leur tête hors de cette nappe de CO2 devaient finir par mourir d’asphyxie à cause du gaz. Quant aux prêtres, ils devaient se tenir à une hauteur suffisante pour échapper au nuage toxique. Ce biologiste allemand pense même que ces religieux romains auraient pu avoir connaissance du processus chimique et l’aurait utilisé en connaissance de cause dans leurs rituels.
                      


Cet octogénaire émeut le monde avec son chat



Alors que sa maison venait de brûler, Ali Mese, un vieil homme turc, a retrouvé son chat. Le moment a été immortalisé et a fait le tour du monde grâce aux réseaux sociaux.
L’image a fait le tour du monde. Dans les ruines de sa maison détruite par les flammes, un vieil homme en larmes, appuyé sur une canne, tient son chat contre lui. Il s’agit d’Ali Mese, 83 ans, un Turc qui habite dans le village de Ordular, à Mudurnu, dans la province de Bolu, dans le nord-ouest du pays.


Il y a quelques jours, alors qu’il essayait d’allumer son poêle à bois avec de l’essence, car les bûches étaient humides, le vieil homme a accidentellement déclenché l’incendie qui a ravagé sa maison de bois. Au sous-sol, ses treize poulets ont péri, raconte Ali Mese au quotidien turc Hürriyet. Les pompiers, prévenus par les voisins ont réussi à sauver le vieil homme, sa femme et leurs deux enfants.
En constatant les dégâts, Ali Mese a retrouvé un de ses chats, Sarikiz, son préféré raconte-t-il aux médias turcs locaux.




Solidarité internationale

La découverte du chat a été filmée par les journalistes sur place et a rapidement été reprise. La chaîne américaine CNN a partagé une capture d’écran bouleversante du vieillard et de son chat dans les décombres. Elle a été « aimée » par les internautes plus de 100 000 fois. L’animatrice humoriste américaine Ellen DeGeneres de l’Ellen Show, a posté une courte vidéo de l’événement. Celle-ci a été vue près de 10 millions de fois !
Des internautes du monde entier ont été touchés par cette histoire et ont décidé d’aider la famille Mese à retrouver rapidement une vie
normale. Plusieurs cagnottes ont été ouvertes sur des sites de financement participatif. L’une d’entre elle a déjà atteint son objectif de 7 000 dollars en six jours.


Sur place aussi, l’aide pour Ali Mese s’organise. Le vieil homme a d’abord passé quelques jours à l’hôpital pour soigner une brûlure à la main. Là, il a reçu la visite de membres de l’association turque Croissant Rouge (qui appartient au Comité international de la Croix-Rouge). Ils lui ont offert un lit pour son chat ainsi qu’une caisse de transport. La fondation d’assistance sociale et solidaire du district de Mudurnu a déjà lancé la construction d’une nouvelle maison pour la famille Mese.


un avion rate son atterrissage et finit sa course au bord d’une falaise

Ils ont eu la peur de leur vie : l'équipage et les 162 passagers d'un Boeing ont échappé au pire hier, samedi 13 janvier, au nord de la Turquie. Au moment de l'atterrissage, l'avion s'est arrêté à temps.
 




En équilibre sur la falaise, à quelques mètres de l'eau, l'avion a manqué son atterrissage à Trézibonde (Turquie). Un accident qui aurait pu finir dramatiquement. À bord de cet appareil turc, 162 passagers et 6 membres d'équipage. Selon les premières informations, il n'y a aucun blessé", a déclaré Yucel Yavuz, gouverneur de Trézibonde : "Certaines personnes ont été emmenées à l'hôpital par précaution, mais Dieu merci, il n'y a pas eu de problème".

Une enquête ouverte


Samedi, le Boeing de Pegasus Airlines décolle d'Ankara direction Trébizonde, au nord de la Turquie, au bord de la mer noire. Le voyage se termine de nuit, en glissade sur une falaise boueuse. Dans la cabine, c'est la panique. Les pompiers interviennent, des témoins évoquent de la fumée et des odeurs de carburant. Pour le moment, aucune information sur la cause de cet accident. Une enquête a été ouverte.

Turquie : un Boeing achève son atterrissage sur une falaise de la mer Noire

L’avion de la Pegasus Airlines a subitement
quitté la piste samedi soir.

L’avion transportait 168 personnes, toutes saines et sauves.
Les opérations de levage ont commencé vers 11h30, heure française, ce dimanche, pour retirer l’immense carcasse de la roche et de la terre qui a amorti sa glissade. Samedi soir, en Turquie, un avion de la compagnie Pegasus Airlines a dévié de sa trajectoire lors de son atterrissage à Trabzon, une ville située au nord du pays. Cette sortie de piste s’est achevée sur le contrefort de la falaise tombant dans la mer Noire.
Le Boeing 737 reliait Ankara à Trabzon. Le « dérapage » s’est produit de nuit, vers 23h25 (heure locale, 21h25, heure française). Les causes de cet accident restent à déterminer, et l’aéroport a été fermé jusqu’à nouvel ordre, le temps pour les enquêteurs de progresser. D’après les médias turcs, il pleuvait et la piste était humide. L’appareil aurait eu des difficultés à ralentir puisque, selon la trajectoire de vol, il roulait encore à 110 nœuds (204 km/h) sur le dernier tiers de la piste.

Turquie: le tourisme en forte chute en 2016

Le tourisme turc a fortement baissé en 2016 avec 25,352 millions de visiteurs étrangers, marquant un déclin de 30% par rapport aux 31 millions l’année précédente, selon les données du ministère du tourisme.
Le nombre des visiteurs russes a ainsi diminué de 76,2% sur toute l’année plongeant à 866.256 touristes contre environ 2,8 millions en 2015, un déclin quelque peu allégé après la normalisation entre Ankara et Moscou.
En dépit du recul d’environ 35% du nombre d’arrivées en provenance d’Europe, l’Allemagne est devenue le principal émetteur touristique à destination de la Turquie avec 3,890 millions de visiteurs.
La Géorgie a occupé la deuxième position avec 2,206 millions de touristes, suivie par le Royaume-Uni (1,711 million), selon le ministère.

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La mégapole d’Istanbul, l’une des destinations les plus prisées de l’offre culturelle turque, s’est maintenue comme plaque tournante du secteur avec 9,217 millions de visiteurs mais assez loin de son record de 2015 qui avait enregistré l’arrivée de 11,842 millions de touristes.

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Les recettes du secteur ont décliné à 22,107 milliards de dollars en 2016 contre 31,464 milliards l’année auparavant, soit une baisse de 29,7% ou plus de 9,35 milliards de dollars en mois.

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L’industrie touristique turque a été durement frappée, depuis 2015, par une série d’attentats meurtriers, par la tentative avortée du coup d’Etat de juillet et par la pire crise diplomatique entre Ankara et Moscou suite à la destruction en vol en novembre 2015 d’un bombardier russe par l’aviation turque pour avoir violé l’espace aérien turc.
Les deux pays ont normalisé, en juin dernier, leurs relations et Moscou a levé les sanctions imposées, depuis cet incident, au secteur du tourisme turc avec le retour des premiers charters russes en septembre dernier.