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A la découverte de la Sibérie

La Sibérie est une région sauvage de 13 millions de km2, soit environ 24 fois la France. Malgré les températures extrêmes qui tombent parfois jusqu'à moins 70° la Sibérie est un éden somptueux pour la faune et la flore. Les loups eurasiens qui chassent sur une neige immaculée,


 Le Loup Eurasien
 

le cheval Iakoute, obligé de s'enfoncer dans la neige et de bouger le moins possible pour supporter le froid polaire,
 Cheval Yacout
 

 la salamandre de Sibérie qui peut survivre plusieurs années entièrement congelée,
 La salamandre
 


 ou encore le phoque de Sibérie, un phoque d'eau douce qui doit se battre pour sa place au soleil.
 Le phoque
 




Dès le XVIIIe siècle, scientifiques et aventuriers européens se passionnent pour cette terre désertique, inhospitalière et regorgeant de richesses.

 
En 1737, le médecin et naturaliste Georg Wilhelm Steller quitte Saint-Pétersbourg pour un périple transsibérien qui le mènera jusqu'aux côtes américaines. Un siècle et demi plus tard, le commerçant Adolph Dattan ouvre à Vladivostok le premier grand magasin de la région. À la découverte de la Sibérie dévoile les mystères de ce territoire immense en reconstituant le parcours de ses premiers colons, complété par les explications d'explorateurs du XXIe siècle.
Au nord du cercle polaire, les éleveurs nénètses continuent d'accompagner les troupeaux de rennes et de vivre sous la tente, suivant leurs traditions immémoriales étudiées par l'ethnologue Florian Stammler. Dans le Kamtchatka vide d'hommes, la volcanologue Christel van den Bogaard et son équipe étudient la tectonique des plaques. Et au cœur de la taïga, les forages se multiplient pour extraire or, pétrole ou nickel. Sourgout, la ville des gazoviki, les travailleurs du gaz, illustre la prospérité de la région, véritable coffre-fort de la Russie. Mais cette richesse est une malédiction pour la faune et la flore. Un spécialiste du World Wide Fund for Nature (WWF) se bat contre les menaces qui pèsent sur l'environnement. La pollution du lac Baïkal met en péril le phoque de Sibérie, la seule espèce de phocidés à vivre exclusivement en eau douce. La déforestation fait des ravages et le célèbre tigre de Sibérie a failli disparaître, victime des braconniers


Les Bouriates, peuple d'origine mongole, sont présents depuis des siècles dans la région du lac Baïkal, où ils ont dû se sédentariser sous Staline.


En Yakoutie, dans le nord-est de la Sibérie, le mercure monte rarement au-dessus de - 40 °C en hiver. La grande majorité des Evenkis ont abandonné la vie itinérante de leurs ancêtres. De rares familles continuent de suivre les troupeaux de rennes à travers la toundra gelée. Leurs enfants passent donc l'hiver à l'internat de leur village, mais leurs pères ne manquent pas d'enseigner à leurs fils le maniement du traîneau en bois traditionnel ou la collecte de glace pour approvisionner leurs tentes en eau douce. Malgré leur attachement à leur mode de vie, les derniers nomades souffrent de ces conditions d'existence extrêmement pénibles, qui ne leur assurent qu'un maigre revenu.

C’est l’histoire vraie d’une fillette de huit ans, qui a beaucoup aimé et qui a cru que l’amour pouvait faire des merveilles.

Son petit frère, qu’elle adorait, se mourait d’une tumeur au cerveau. Et ses parents, qui n’étaient pas riches, avaient tout fait pour le sauver. Toutes leurs petites économies y étaient passées, et ils avaient dû changer de maison pour payer les factures d’hôpitaux ; rentrant un jour, épuisé, de ces tournées qui se terminaient toujours par un échec, le papa s’affala sur une chaise et dit à sa femme qui avait les larmes aux yeux : « Tu sais, chérie, je crois que c’est fini. Nous avons tout fait et nous sommes ruinés… Il y aurait peut-être une opération très chère qui pourrait le sauver. Mais c’est hors de prix et personne n’est prêt à nous avancer l’argent… »


Photo : C’est l’histoire vraie d’une fillette de huit ans, qui a beaucoup aimé et qui a cru que l’amour pouvait faire des merveilles.

Son petit frère, qu’elle adorait, se mourait d’une tumeur au cerveau. Et ses parents, qui n’étaient pas riches, avaient tout fait pour le sauver. Toutes leurs petites économies y étaient passées, et ils avaient dû changer de maison pour payer les factures d’hôpitaux ; rentrant un jour, épuisé, de ces tournées qui se terminaient toujours par un échec, le papa s’affala sur une chaise et dit à sa femme qui avait les larmes aux yeux : « Tu sais, chérie, je crois que c’est fini. Nous avons tout fait et nous sommes ruinés… Il y aurait peut-être une opération très chère qui pourrait le sauver. Mais c’est hors de prix et personne n’est prêt à nous avancer l’argent… »

Et se rapprochant de sa femme, il ajouta, d’une voix qui commençait à s’enrouer : « Oui, c’est fini, tu sais. Seul un miracle pourrait le sauver. »

A méditer ...

La petite fille, dans un coin de la pièce, suivait avec intensité 
cette conversation entre papa et maman. Elle ne saisissait pas tout car ils parlaient parfois à voix basse, mais elle savait que c’était la vie de son petit frère. « Seul un miracle pourrait le sauver. »

Elle grava ce mot qu’elle ne comprenait pas dans sa petite tête et s’esquiva de la pièce sans faire de bruit. Elle alla dans sa petite chambre, prit sa tirelire cachée dans un coin, vida les pièces sur son lit et les compta soigneusement : un dollar et onze cents. Elle referma la petite boîte, la mit dans sa poche, et quitta la maison sans faire de bruit. Elle se dirigea vers la pharmacie la plus proche. Lorsque son tour vint, elle s’approcha du comptoir, se hissa sur la pointe des pieds et devant le pharmacien étonné, elle aligna ses petites pièces sur le comptoir.

« Qu’est-ce que c’est que tout ça ? Qu’est-ce que tu veux ma petite ? »
— C’est pour mon petit frère, André, Monsieur le pharmacien. Il est très, très malade et je viens acheter un miracle.
— Que racontes-tu ? dit le pharmacien.
— Il s’appelle André, et il a un gros bouton qui lui pousse dans la tête, et papa a dit à maman que c’était fini et qu’il fallait un miracle pour le sauver. Vous savez, je l’aime beaucoup ; c’est pour ça que je suis venue : pour acheter un miracle.

Le pharmacien répondit, avec un petit sourire attristé :
— Tu sais, ma petite, nous ne vendons pas de miracles ici…
— Mais vous savez, si ce n’est pas assez, je vais essayer de ramasser un peu plus d’argent, ça coûte combien un miracle ? »

Il y avait, dans la pharmacie, un monsieur grand et bien habillé, qui écoutait cette étrange conversation. Il se rapprocha de la petite, qui était en train de ramasser ses petites pièces, et avait les larmes aux yeux.

« Pourquoi pleures-tu ma petite ? Qu’est-ce qui se passe ?
— Monsieur le pharmacien ne veut pas me vendre un miracle et me dire combien ça coûte… C’est pour mon petit frère André, qui est très malade. Maman a dit qu’il faudrait une opération, mais papa a dit qu’on ne pouvait pas payer ça (ça coûte trop cher) et qu’il faudrait un miracle pour le sauver. C’est pour ça que j’ai porté tout ce que j’avais.
— Combien as-tu ?
— Un dollar et onze cents… mais vous savez, murmura-t-elle d’une voix à peine audible, je peux trouver un peu plus.
Le monsieur sourit :
— Bon, tu sais, je ne crois pas que ce soit nécessaire ; un dollar et onze cents, c’est exactement le prix d’un miracle pour ton petit frère ! »

Il prit la somme dans une main, et dans son autre main, saisit doucement la petite main de la fillette :
« Amène-moi chez toi, petite. Je voudrais voir ton petit frère et aussi papa et maman, et voir avec eux si je puis trouver le petit miracle dont vous avez besoin. »
Et la petite fille et le grand monsieur partirent doucement, main dans la main.

Le monsieur bien habillé n’était autre que le Dr Carlton Amstrong, le grand chirurgien de neurochirurgie. Il opéra l’enfant et André rentra à la maison quelques semaines plus tard, complètement guéri.

« Cette opération, murmura la maman, est un vrai miracle. Je me demande combien cela aurait pu coûter… »

La petite fille sourit sans rien dire. Elle savait, elle, combien le miracle avait coûté… un dollar et onze cents… plus, bien sûr, l’amour et la foi d’une enfant. »

Histoire qui s’est authentiquement déroulée en Inde, et rapportée par le Père Ceyrac (dans « Mes racines sont dans le Ciel », Éd. Presses de la Renaissance, 2004).

Et se rapprochant de sa femme, il ajouta, d’une voix qui commençait à s’enrouer : « Oui, c’est fini, tu sais. Seul un miracle pourrait le sauver. »

A méditer ...

La petite fille, dans un coin de la pièce, suivait avec intensité
cette conversation entre papa et maman. Elle ne saisissait pas tout car ils parlaient parfois à voix basse, mais elle savait que c’était la vie de son petit frère. « Seul un miracle pourrait le sauver. »

Elle grava ce mot qu’elle ne comprenait pas dans sa petite tête et s’esquiva de la pièce sans faire de bruit. Elle alla dans sa petite chambre, prit sa tirelire cachée dans un coin, vida les pièces sur son lit et les compta soigneusement : un dollar et onze cents. Elle referma la petite boîte, la mit dans sa poche, et quitta la maison sans faire de bruit. Elle se dirigea vers la pharmacie la plus proche. Lorsque son tour vint, elle s’approcha du comptoir, se hissa sur la pointe des pieds et devant le pharmacien étonné, elle aligna ses petites pièces sur le comptoir.

« Qu’est-ce que c’est que tout ça ? Qu’est-ce que tu veux ma petite ? »
— C’est pour mon petit frère, André, Monsieur le pharmacien. Il est très, très malade et je viens acheter un miracle.
— Que racontes-tu ? dit le pharmacien.
— Il s’appelle André, et il a un gros bouton qui lui pousse dans la tête, et papa a dit à maman que c’était fini et qu’il fallait un miracle pour le sauver. Vous savez, je l’aime beaucoup ; c’est pour ça que je suis venue : pour acheter un miracle.

Le pharmacien répondit, avec un petit sourire attristé :
— Tu sais, ma petite, nous ne vendons pas de miracles ici…
— Mais vous savez, si ce n’est pas assez, je vais essayer de ramasser un peu plus d’argent, ça coûte combien un miracle ? »

Il y avait, dans la pharmacie, un monsieur grand et bien habillé, qui écoutait cette étrange conversation. Il se rapprocha de la petite, qui était en train de ramasser ses petites pièces, et avait les larmes aux yeux.

« Pourquoi pleures-tu ma petite ? Qu’est-ce qui se passe ?
— Monsieur le pharmacien ne veut pas me vendre un miracle et me dire combien ça coûte… C’est pour mon petit frère André, qui est très malade. Maman a dit qu’il faudrait une opération, mais papa a dit qu’on ne pouvait pas payer ça (ça coûte trop cher) et qu’il faudrait un miracle pour le sauver. C’est pour ça que j’ai porté tout ce que j’avais.
— Combien as-tu ?
— Un dollar et onze cents… mais vous savez, murmura-t-elle d’une voix à peine audible, je peux trouver un peu plus.
Le monsieur sourit :
— Bon, tu sais, je ne crois pas que ce soit nécessaire ; un dollar et onze cents, c’est exactement le prix d’un miracle pour ton petit frère ! »

Il prit la somme dans une main, et dans son autre main, saisit doucement la petite main de la fillette :
« Amène-moi chez toi, petite. Je voudrais voir ton petit frère et aussi papa et maman, et voir avec eux si je puis trouver le petit miracle dont vous avez besoin. »
Et la petite fille et le grand monsieur partirent doucement, main dans la main.

Le monsieur bien habillé n’était autre que le Dr Carlton Amstrong, le grand chirurgien de neurochirurgie. Il opéra l’enfant et André rentra à la maison quelques semaines plus tard, complètement guéri.

« Cette opération, murmura la maman, est un vrai miracle. Je me demande combien cela aurait pu coûter… »

La petite fille sourit sans rien dire. Elle savait, elle, combien le miracle avait coûté… un dollar et onze cents… plus, bien sûr, l’amour et la foi d’une enfant. »

Histoire qui s’est authentiquement déroulée en Inde, et rapportée par le Père Ceyrac (dans « Mes racines sont dans le Ciel », Éd. Presses de la Renaissance, 2004).

Un petit garçon souffle des bulles de savon qui se cristallisent dans le froid hivernal.

En hiver à Washington, avec des températures avoisinant les -10 C°, il n’est pas facile de mettre le nez dehors ! Un petit garçon de 7 ans souffle des bulles de savon en extérieur pour qu’elles gèlent, laissant ainsi apparaître de superbes formes à l’intérieur d’elles-mêmes créées par la glace.
 
 
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Ces bulles de savon cristallisées par le froid sont de toute beauté ! Les formes à l’intérieur de chacune d’elles sont sublimes.

Métamorphoses de paysages Finlandais par le froid polaire.

C’est le cas de cette forêt entièrement recouverte de neige, en hiver en Laponie, à des températures entre -40 et -15°C, ce qui donne l’impression d’admirer un paysage qu’on croirait venu d’une autre planète.





Et vous, que vous évoquent ces photographies ?

Bébés animaux photographiés dans le ventre de leur mère.

La vue d’un foetus animal dans le ventre de sa mère est très impressionnante. C’est un spectacle d’une grande rareté comme le font découvrir ces images :

L’éléphant.
 
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Les éléphants font parti des animaux dont la gestation est la plus longue.
En effet, celle-ci peut durer jusqu’à 22 mois !
 
L’ours polaire.
 
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Les ours polaires ont une période de gestation
relativement équilibré qui s’étend sur 5 mois

 
Le serpent.
 
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 Chez le serpent, la gestation n’excède pas les 7 mois.
 
Le dauphin.
 
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 La gestation de ce mammifère marin s’étend sur
environ une année : entre 350 et 360 jours !

 
L’Opossum.
 
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 Directement issues de la familles des marsupiaux,
les femelles opossums mettent bas très rapidement :
seulement 13 jours après fécondation !
 
Le requin tigre.
 
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 C’est l’un des requins les plus meurtriers au monde du fait
 de son appétit sans limite : du pneu à l’homme en passant
 par les boites de conserve, le requin tigre mange
tout et n’importe quoi ! Les femelles mettent leurs enfants
 au monde entre 10 et 11 mois après avoir été fécondées.

 
Le guépard.
 
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 Ce félin au pelage moucheté et élégant est l’animal
le plus rapide du monde. Il est d’ailleurs également
 assez rapide en matière de gestation,
celle-ci ne durant que 95 jours maximum.
 
Le requin citron.
 
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Ce requin au nom rigolo ne se distingue pas par sa férocité,
étant parmi les plus placide des mers, mais bel et bien par
l’étendue de sa période de gestation. Avec 10 mois,
le requin citron présente la plus longue gestation
enregistrée parmi toutes les espèces de requins. 

 
 
Le pingouin.
 
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 Les petits pingouins voient le jour en un tout petit peu plus
d’un mois. La période de gestation s’étend sur
 près d’une quarantaines de jours.

 

Le chihuahua.
 
 
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 Les femelles chihuahua portent leurs bébés
pendant environ 3 mois avant de mettre bas.

 
La chauve-souris.
 
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 Chez les chauves-souris, la durée de gestation varie
d’une espèce à une autre : de 40 jours à 8 mois !

 
Le cheval.
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 Chez les chevaux, les juments portent leur bébé
pendant 11 mois avant de mettre bas. Pour ce qui
 est de l’embryon, le petit poulain qui attend
sagement de sortir du ventre de sa mère affiche
 une magnifique robe blanche immaculée.

Ces photographies intra-utérines sont aussi adorables qu’impressionnantes

Les vents


Le vent naît sous l'effet des différences de températures et de pression. La pression sur la terre est haute si de l'air lourd et froid descend et basse si de l'air chaud et léger monte. L'air chaud (plus léger) monte naturellement dans les couches hautes de l'atmosphère pour y créer une zone de basse pression "L". Cependant, l'air chaud attire à lui une autre masse d'air: la zone de haute pression. C'est de cette différence de pression entre les deux masses d'air qu'origine le vent. Tout simplement parce que l'air contenu dans la "H" a naturellement tendance à s'engouffrer dans la "L" qui la voisine. L'air qui bouge, c'est le vent!
Le grand responsable de ce phénomène est le soleil. Il chauffe les mers et les continents mais pas au même rythme. Une fois réchauffés, ces derniers chauffent à leur tour les masses d'air qui les surplombent. L'air se met alors en mouvement, car il augmente de volume lorsqu'il est chauffé. Il devient plus léger et s'élève. Un exemple à l'échelle terrestre de ce déplacement de masses d'air est que l'air chaud s'élève de l'équateur et des masses d'air plus froides en provenance des pôles viennent le remplacer (Ce sont les vents alizés). Voici des exemples de vents dans la vie quotidienne:
  • ouvrir une porte crée une différence de température, d'où un courant d'air; 
  • laisser tomber une plume au-dessus d'un radiateur qui chauffe la fera s'élever;
    Le vent est un flux d'air que l'on peut représenter comme la grande roue d'une fête foraine: l'air chaud et léger monte, l'air froid et lourd descend. Le mouvement de l'air, comme de la grande roue, est circulaire. C'est un mouvement perpétuel: l'air monte et descend, il se réchauffe et se refroidit.
Près du sol, le vent a une légère tendance à être dévié vers les basses pressions.


Le jour, la terre se réchauffe plus vite que la mer. L'air chaud s'élève donc de la terre et de l'air froid, situé au-dessus de l'eau, se déplace vers la terre pour le remplacer. C'est la brise de mer. Inversement, la nuit, la terre perdant sa chaleur plus rapidement que l'eau, le vent se déplace donc de la terre vers la mer: c'est alors la brise de terre.
La direction du vent est celle de sa provenance. On dit un vent du nord, quand le vent provient du nord et se dirige vers le sud.
Courant tubulaire aplati, presqu'horizontal, où le vent est maximal. Il est situé au niveau de la tropopause (i.e. en moyenne à une altitude de 10 km) et est caractérisé par de grandes vitesses (peuvant à l'occasion dépasser 400 km/h), mais aussi par de forts gradients transversaux de vitesse. Généralement, ce courant se déplace de l'ouest vers l'est au-dessus des latitudes moyennes. Pour être appelé courant-jet, les vents doivent être d'au moins 95 km/h. Il est lié à des fronts froids; partageant donc, ou délimitant, l'air froid (au nord) de l'air chaud (au sud du courant-jet). Par exemple, lorsque l'hiver est doux dans le sud du Québec, c'est parce que le courant-jet se retire vers le nord du Canada; alors qu'il n'est pas rare, lors d'un hiver rigoureux, de voir le courant-jet plonger jusque sur le golfe du Mexique amenant ainsi de l'air froid jusqu'au centre des États-Unis. Souvent, à l'intérieur même du courant-jet, il y a des zones où le vent est plus fort qu'aux alentours. Ces régions jouent un rôle important dans la formation des précipitations et des dépressions. De plus, on remarque que les systèmes ont tendance à emprunter leur trajectoire.
On catégorise les vents selon diverses échelles. Il est à noter que les vitesses terrestres et maritimes ne sont pas équivalentes. La vitesse des vents s'exprime en kilomètres à l'heure ou en noeuds (environ 1,85 km/h par noeud). En prévision nautique, deux unités sont souvent utilisées. Tout d'abord, une échelle graduée de 0 à 12 qu'on appelée "échelle de Beaufort" .
  • 0 ( inférieur à 2 km/h): tout est calme, la fumée monte en ligne droite, pas une feuille ne bouge.
  • 4 (entre 21 et 29 km/h): C'est une jolie brise. La poussière est soulevée et les petites branches remuent.
  • 8 (entre 63 et 75 km/h): C'est un coup de vent. De petites branches sont cassées; il est pénible d'avancer contre le vent.
  • 12 (supérieur à 117km/h): C'est un vent d'ouragan; arbres déracinés, toits arrachés, maisons renversées. Très rare, ravages étendus.
Puis, une autre échelle, celle-là en noeuds.
  • Vent léger (moins de 15 noeuds)
  • Vent modéré (15 à 19 noeuds)
  • Vent fort (20 à 33 noeuds)
  • Coups de vent (34 à 47 noeuds)
  • Vent: force de tempête (48 à 63 noeuds)
  • Vent: force d'ouragan (plus de 64 noeuds)
Pour les prévisions publiques (terrestres), on utilise les termes suivants:
  • Léger (0 à 9 km/h)
  • Modéré (10 à 40 km/h)
  • Fort/venteux (41 à 60 km/h)
  • Très fort/coups de vent (61 à 90 km/h)
  • Très fort/force de tempête (plus de 91 km/h)
  • Force d'ouragan (plus de 115 km/h)
Et ces unités associées à des phénomènes plus ou moins violents, deviennent:
  • Vents de moins de 35 km/h: perturbations tropicales.
  • Vents de 36 km/h à 60 km/h: dépressions tropicales.
  • Vents de 61 km/h à 114 km/h: tempêtes tropicales.
  • Vents de plus de 115 km/h: ouragans.
Un vent de 160 km/h peut permettre à une personne de se pencher dans le sens du vent, redresser les jambes et toucher le sol de ses mains sans tomber!...?