Le vent est un déplacement d'air qui permet d'effectuer des échanges de matière et d'énergie entre un anticyclone (air froid et dense) et une dépression (air chaud). La pression moyenne de l'atmosphère terrestre est constante et est d'environ 1 bar (1 bar = 1 kg/cm2) - pour être plus précis de 101325 Pascal (le Pascal étant l'unité internationale de mesure de la pression). Les lois de la thermodynamique nous apprennent qu'un système tend vers la stabilité maximum, c'est-à-dire qu'il procède aux échanges nécessaires pour uniformiser au maximum les différences éventuelles entre plusieurs parties du système, ces différences s'appliquant sur les variables d'état que sont la température, la pression, le volume, la densité… Or entre un anticyclone et une dépression, il y a une forte différence de pression qui est elle-même due aux différences de températures car l'air chaud est plus léger que l'air froid. Plus l'air se réchauffe, plus il devient léger et monte en altitude, ce qui provoque une dépression à sa base. Et inversement, plus l'air est froid, plus il devient dense et lourd.
Cette différence de pression et de température provoque le nécessaire échange de matière et d'énergie entre l'anticyclone et la dépression. L'air froid de l'anticyclone va s'engouffrer vers la dépression. Ce rapide déplacement d'air provoque des rafales de vent. Et l'intensité du vent est directement proportionnel à la différence de température entre l'anticyclone et la dépression.
Mais bien souvent les vents trouvent sur leur chemin des obstacles comme les montages. Lorsque l'air chaud monte le long d'une montage celui-ci se refroidi et évacue son humidité sous la forme de pluie par condensation de la vapeur d'eau qu'il contient. Puis redescend sous la force de son propre poids par l'autre versant en se comprimant ayant pour effet de se réchauffer (selon la loi des gaz parfaits (la loi des gaz parfaits s'exprime par la relation PV=nRT où P est la pression en Pascal, V le volume en mètre cube, n la quantité de matière en mole, R=8.314 est la constante des gaz parfaits et T la température en degrés Kelvin)où la température est proportionnelle à la pression).
Après cinq années de guerre en Syrie, de nombreux villages ont été désertés par leurs habitants et se sont transformés en ville fantôme. Pourtant certains syriens refusent de partir. Une équipe de télévision belge a rencontré l'un d'entre eux, un vieil homme qui refuse obstinément de partir.
Sa Majesté le Roi Mohammed VI est arrivé, dimanche soir, à Moscou pour une visite officielle en Fédération de Russie. À Sa descente d'avion à l'aéroport international de Vnoukovo, S.M. le Roi a été accueilli par Mikhail Bogdanov, vice-ministre russe des Affaires étrangères et représentant spécial de S.E. le Président de la Fédération de Russie pour le Moyen-Orient et l'Afrique. Après avoir salué les couleurs nationales au son des hymnes nationaux des deux pays, le Souverain a passé en revue un détachement militaire des trois corps d'armée (terre, mer, air), réservé aux hôtes de marque de la Fédération de Russie.
Il faut seize jours pour sillonner l‘Afrique australe à bord du Shongololo-Express – le mille-pattes comme l’appellent les autochtones. 2 650 kilomètres de paysages fascinants avec les chutes Victoria, le Parc national de Chobe au Botswuana, la mystérieuse et très ancienne cité bantoue de Grand Zimbabwe, Maputo, la capitale du Mozambique, la ville de chercheurs d’or Pilgrim's Rest, en Afrique du sud, jusqu’au terminus Johannesburg.
Le peuple marocain a été indigné et meurtri par les dérapages verbaux du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, au sujet du Sahara marocain et il a tenu à le faire savoir. Hier, dimanche, ils ont été quelque trois millions de Marocains à sillonner les grandes artères de la capitale, Rabat, pour crier toute leur colère et rejeter les propos inappropriés et partiaux d’un haut responsable onusien, censé incarner une des valeurs cardinales de l’ONU : l’impartialité.
Venus des quatre coins du Royaume pour prendre part à cette manifestation, quelque trois millions de citoyennes et citoyens marocains ont formé une véritable marée humaine qui a envahi le centre-ville de la capitale avant même l’heure prévue pour le départ, fixée à 10 h du matin. Brandissant des slogans à la gloire du Sahara marocain, de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et du peuple marocain, les participants à cette imposante manifestation ont dénoncé les propos impartiaux et tendancieux du secrétaire général de l’ONU au sujet de l’intégrité territoriale du Royaume. «Ban Ki-moon menace le processus onusien», «La légalité internationale n'est pas à vendre», «Ban Ki-moon a violé la Charte onusienne», «Tous unis et solidaires pour notre Sahara», ou encore «Non à la médiation biaisée» et «Le Sahara est marocain et le restera», pouvait-on lire sur les banderoles et pancartes brandies le long de cette marche historique, où la présence des provinces du Sud a été particulièrement remarquée.
En organisant cette grandiose marche, le peuple marocain a montré encore une fois sa mobilisation permanente pour défendre sa première cause nationale : la marocanité du Sahara. Dans un élan de patriotisme qui n’est pas sans rappeler celui ayant accompagné la glorieuse marche verte, les manifestants, représentant toutes les couches sociales et l’ensemble des catégories professionnelles, syndicales et partisanes, ont tenu à dire à Ban Ki-moon et au monde entier que l’intégrité territoriale du Royaume est une ligne rouge et qu’elle ne saurait faire l’objet de marchandages ou d’un quelconque compromis. À l’unisson, les Marocains ont donc rejeté en bloc les déclarations du responsable onusien qui, en parlant d’occupation des provinces du Sud, s’est départi manifestement de sa mission d’intermédiaire devant observer scrupuleusement les principes d’objectivité et de neutralité.
Dans le même esprit de mobilisation et de patriotisme, les membres des Chambres des représentants et des conseillers avaient dénoncé, samedi, «dans les termes les plus forts les positions partiales et irresponsables et les propos provocateurs» du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, tout en exprimant leur «rejet en bloc et dans le détail» de ces propos. Dans un communiqué rendu public à l'issue d'une session extraordinaire tenue à la demande de l'ensemble des groupes parlementaires pour débattre des développements de la cause nationale, les membres des deux Chambres ont considéré que les propos tenus par le chef de l'ONU «font dangereusement fi de la noblesse des objectifs, de la mission et de la nature de l'Organisation des Nations unies ainsi que de l'esprit de sa Charte fondatrice, des normes et des règles consacrées en termes d'impartialité au service de la paix et de la stabilité à travers le monde».
Déplorable et incompréhensible, la sortie de Ban Ki-moon a choqué autant les Marocains que les observateurs internationaux. Depuis le 5 mars dernier, les réactions dénonçant un parti pris flagrant fusent de toutes parts. Chercheurs, universitaires, diplomates et hommes politiques évoquent une prise de position indigne d’un responsable onusien. Quatorze eurodéputés ont condamné jeudi dernier dans communiqué commun les propos «irresponsables» tenus par le secrétaire général des Nations unies sur la question du Sahara. Selon eux, les déclarations de Ban Ki-moon à Alger «affaiblissent et décrédibilisent les instances onusiennes». Et d’ajouter que «ces propos créent des tensions inutiles et sont des attaques graves à l'encontre du Maroc, de sa souveraineté et de son intégrité territoriale en violation totale avec le droit international».
Pour sa part, l'ancien diplomate américain et spécialiste de la région, Robert Holley, estime que la récente visite de Ban Ki-moon à Alger et à Tindouf a été particulièrement décevante pour tous ceux qui espèrent voir ce conflit résolu, en premier lieu les milliers de familles sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf, et, de ce fait, porte sérieusement atteinte aux efforts onusiens visant une solution à ce différend artificiel. L'ONG britannique «Freedom for All» a déploré elle aussi les propos «inappropriés» tenus par le secrétaire général de l'ONU. Dans une déclaration à la MAP, la présidente de cette ONG, Tanya Warburg, s'est dite «choquée» par les déclarations «irresponsables» tenues par Ban Ki-moon en violation des principes de neutralité que doit observer cette organisation internationale.
Le satellite naturel de la Terre et dont l'origine reste encore inconnue (quatre hypothèses sont en présence) présente toujours la même face à un observateur terrestre. La Lune fait une révolution complète (trajectoire circulaire) autour de la Terre et dans le même temps, elle effectue une rotation complète autour de son propre axe. Et les deux périodes correspondantes sont égales : c'est 27,32 jours. C'est-à-dire que la Lune met 27,32 jours pour faire un tour sur elle-même et également 27,32 jours pour effectuer un tour autour de la Terre. C'est pourquoi un observateur verra toujours la même face lunaire et que l'autre lui est cachée.
Ce synchronisme est due aux forces qu'excerce la Terre sur la Lune qui freina cette dernière jusqu'à l'obtention d'un équilibre : le synchronisme. Rappelons que la face visible est éclairée par la lumière du Soleil, la lune reflète la lumière qu'elle reçoit du Soleil et est donc incapable de produire sa propre lumière.
De fortes pluies inhabituelles se sont abattues mercredi 9 mars sur les Emirats arabes unis, pays désertique du Golfe, provoquant des inondations et entraînant la fermeture d'écoles et de la Bourse ainsi que des perturbations dans le trafic aérien.
La femme Serpent : La femme Serpent est sophistiquée et élégante. Elle sait rester maître d'elle même dans toutes les situations, ce qui fait d'elle une femme assez insaisissable. Elle donne l'impression étrange de controler ses moindres battements de cils et de pèser chacun de ses mots. Ce qui fait d'elle une personne discrète mais un brin calculatrice. Elle sait mener les autres à son but en finesse. La femme Serpent est très mystérieuse et cultive son côté inaccessible pour charmer son entourage. Elle fait aussi preuve d'une grande perspicacité et devine facilement les gens leur caractère, leur sens moral... Elle n'est pas quelqu'un que l'on manipule facilement : en plus de cette perspicacité s'ajoutent une grande sagesse et une vigilance qui font aussi d'elle une femme légèrement casanière. La femme Serpent ne sort pas beaucoup et, quand c'est le cas, elle sait garder le contrôle.
La femme Serpent et les hommes :
Avec les hommes, la femme Serpent est à la fois séductrice et sage, sensuelle et tranquille. Elle se rend insaisissable par un jeu de chaud froid qui attire, fascine, trouble et énerve. Dans une relation, meme stable, la femme Serpent mettra très longtemps à faire confiance et à se dévoiler. elle aime se retrouver en tête à tête avec son amoureux dans une atmosphere feutrée plutôt qu'entourée de monde. Elle est aussi assez exigeante et difficile à satisfaire, son amoureux devra être élégant, presque autant qu'elle, ambitieux mais présent. Elle devrait s'entendre à merveille avec les hommes Boeuf et Coq, déterminés et persévérants, les hommes Chien et Rat car ils se respectent mutuellement, les hommes Serpent qui lui ressemblent, et enfin les hommes Dragon et Lapin qui devraient trouver un bel équilibre avec elle. Cela se complique avec les hommes Tigre et Cheval, qui ont une vision de la vie très différente de la sienne, les hommes Mouton, trop casaniers, les hommes Singe, dont elle se méfit, et enfin les hommes Cochon, diamétralement opposés à la femme Serpent.
Fleuve d'Afrique centrale, né sur le plateau du Katanga, qui se jette dans l'Atlantique ; 4 700 km (bassin de 3 800 000 km2).
Cinquième fleuve du monde et deuxième fleuve du continent africain par sa longueur, le Congo draine, grâce à un réseau très important d'affluents, un bassin qui vient immédiatement après celui de l'Amazone. Son débit en fait aussi le deuxième fleuve du monde, toujours après l'Amazone.
Le parcours du fleuve
Le Congo prend sa source dans le sud-est de la République démocratique du Congo, pays dans lequel il coule jusqu'à son embouchure (tout en formant sur une partie de son cours la frontière avec le Congo). Sa source officielle est celle du Lualaba : une mare, située à 1 420 m d'altitude au Katanga, sur une pénéplaine aux pentes incertaines, où prennent également naissance le Zambèze et la Kafue. Son cours s'enfonce assez vite dans les gorges de Nzilo, puis il débouche dans les plaines du Kamolondo, fossé tectonique en partie remblayé et semé de marécages et de lacs encombrés par les papyrus (lac Upemba, lac Kisale, etc.). C'est peu après que confluent la Luvua, qui, par la Luapula, lui apporte les eaux du bassin du lac Bangweulu (Zambie), puis la Lukuga, exutoire du lac Tanganyika.
Jusqu'à Kisangani alternent les biefs calmes et navigables – de Bukama à Kongolo, de Kindu à Ubundu –, où la pente est faible mais où les rives restent élevées, et les tronçons coupés de rapides infranchissables, comme les « Portes de l'Enfer », en aval de Kongolo, et les sept cataractes successives des Stanley Falls. À partir de Kisangani, le Lualaba prend le nom de Congo. Il décrit un immense arc de cercle vers l'ouest. Le fleuve s'élargit en entrant dans les plaines alluviales de la cuvette centrale. Les berges perdent rapidement de la hauteur, se réduisent à un simple bourrelet au-delà duquel s'étendent de vastes zones inondables ; des centaines d'îles parfois très longues divisent le lit en multiples bras dans lesquels sinue le chenal navigable. Le fleuve baigne Mbandaka. Après le confluent de l'Oubangui, son plus long tributaire (2 300 km), le fleuve forme la frontière entre la République démocratique du Congo et le Congo jusqu'au-delà de Kinshasa. Il passe dans une série d'expansions, les pools, que séparent des étranglements. La largeur du fleuve est en moyenne de 6 km, mais elle peut atteindre 14 km.
L'aspect change entièrement dans la traversée des plateaux Batéké. Pendant 210 km, les eaux roulent avec force dans une gorge étroite (800 à 3 000 m) creusée dans les grès, aux versants escarpés et ravinés. La profondeur du lit est en certains points de 25 à 30 m ; c'est le « Couloir ». Le Congo reçoit le Kwa, tronc commun du Kasaï, du Kwilu et du Kwango, et débouche dans le Pool Malebo, site de Kinshasa et de Brazzaville, vaste étalement du fleuve dans une zone basse d'origine partiellement tectonique, séparée en deux passes d'importance inégale par la grande île Mbamou, à demi submergée en hautes eaux. C'est alors que commence une succession de rapides qui interdisent toute navigation continue pendant 300 km ; ils témoignent du travail inachevé d'érosion que mène le fleuve pour rejoindre l'Océan à travers le bourrelet périphérique du bassin congolais. Après avoir franchi ainsi une dénivellation de 265 m, en partie par le barrage d'Inga, le Congo entre à Matadi dans sa partie « maritime », longue d'une centaine de kilomètres, accessible aux navires de haute mer mais localement dangereuse. Dans l'estuaire, vers le port de Boma, s'amorce une fosse sous-marine qui s'enfonce rapidement vers le large.
Le régime
Les différentes sections du Congo ont des régimes particuliers : de type tropical austral pour le Lualaba, de type équatorial pour le cours moyen. La situation géographique du bassin, à cheval sur les deux hémisphères, donne au régime du cours inférieur une réelle complexité, car il résulte du jeu variable de plusieurs facteurs : durée de l'écoulement des crues d'amont, époque des précipitations selon les latitudes, sévérité et longueur de la saison sèche, etc. Mais la taille du bassin versant est telle qu'une bonne alimentation en eau est toujours assurée. Si le débit moyen au Stanley Pool est de 39 000 m3s, les variations annuelles restent modérées : de 29 000 en août à 60 000 m3s en décembre. La crue s'amorce en septembre-octobre grâce à l'apport de l'Oubangui (15 000 m3s au confluent en octobre), que relaient ensuite le Kwa, ainsi que tous les affluents de l'hémisphère Sud. Un premier étiage se dessine en mars, effet de la saison sèche au nord de l'équateur. Il est suivi par une remontée des eaux en avril-mai, due à la fois aux pluies équatoriales d'équinoxe sur le cours moyen et à la seconde saison humide que connaît la partie méridionale du bassin ; les basses eaux principales se placent en juillet-août, au moment de la grande saison sèche australe, alors que le flot de crue de l'Oubangui n'est pas encore arrivé. Si le mécanisme semble régulier, des circonstances météorologiques particulières peuvent entraîner des paroxysmes, comme la crue de 1961 (80 000 m3s), génératrice d'inondations catastrophiques tout le long du cours.
Le rôle économique
Le Congo (et ses affluents) tient un rôle rôle majeur en Afrique centrale. En amont de Kinshasa, il offre un réseau navigable d'un développement total de 13 500 km, en partie accessible aux barges de 800 t, voire de 1 200 t. Le trafic est important, malgré les nombreux obstacles qui le gênent, tels les bancs de sable migrants, qui imposent un balisage constant, et la prolifération de la végétation aquatique (papyrus, jacinthes d'eau, etc.). Pour les populations riveraines, eaux courantes et lacs constituent une réserve de poissons utilisée quotidiennement ; de plus, des milliers de pêcheurs temporaires font une campagne annuelle, dont les produits sont commercialisés dans les villes. Le réseau fluvial représente enfin un formidable potentiel hydroélectrique, à peine équipé encore, et qui pourrait être un des facteurs de base d'une industrialisation à grande échelle.
Sur le fleuve Congo, on sait quand on part, on ne sait jamais quand on arrive. Entre la capitale Kinshasa et la grande ville du nord, Kisangani, à 1 700 kilomètres de là, le principal moyen de transport, ce sont des convois de barges de 450 mètres de long embarquant toutes sortes de marchandises et des centaines de passagers pour unvoyage hasardeux sur ce fleuve impétueux. Notre reporter et photographe Pascal Maitre a pris place à bord d’une de ces arches de Noé.
Les mystères du fleuve Congo - chutes de Zongo - Mangrove
Les pêcheurs Wagenia face au majestueux Fleuve CongoLe Fleuve Congo a nourri bien des gens, depuis une époque où le pays n'avait pas encore la forme et le nom qu'il a aujourd'hui. D'un bout à l'autre du fleuve, des tributs vivaient harmonieusement, en utilisant au mieux les ressources. Et, cela n'a pas tellement changé...
Le paquebot Harmony of the seas, le plus gros navire de croisière au monde, a quitté dimanche à la mi-journée son berceau de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) pour Southampton, devant plusieurs dizaines de milliers de curieux
Ce mastodonte long de 362 mètres, large de 66 m et haut de 72 m, soit l'équivalent d'un immeuble de 20 étages, a pris le large aux alentours de 13h45, aidé de deux remorqueurs, suivi depuis le littoral par près de 70.000 personnes, selon la mairie, mais aussi en mer par des dizaines d'embarcations de tous types, et dans les airs.
"Magnifique, unique, émouvant". Amarré dans le bassin C du port de Saint-Nazaire, le géant des mers, construit aux chantiers navals STX France, a débuté sa manoeuvre à 13h, à marée haute. Après avoir fait retentir une première fois sa corne de brume, il est sorti en marche arrière, puis a pivoté dans le chenal une vingtaine de minutes plus tard, en direction de l'océan. Sur la jetée, les spectateurs observaient le spectacle dans un silence quasi religieux, agitant des mouchoirs blancs ou sortant leurs appareils photos pour immortaliser ce moment, "magnifique, unique, émouvant", comme l'a ressenti Pierre, venu de Nantes pour "voir pour la première fois un départ de paquebot". "C'est comme un enfant qui part". Alors que le navire s'éloigne au large, Evelyne n'a pas pu retenir une petite larme. "Il est parti. On l'a vu évoluer, grandir pendant trois ans. C'est comme un enfant qui part", glisse la Nazairienne. L'Harmony of the seas, qui peut accueillir à bord jusqu'à 6.360 passagers et 2.100 membres d'équipage, avait été officiellement remis jeudi à son propriétaire, l'armateur américain Royal Caribbean International (RCI), une filiale du groupe RCCL qui exploite déjà 24 navires dans le monde.
Après une croisière inaugurale au départ de Southampton, le paquebot battant pavillon des Bahamas doit rejoindre ensuite son port d'attache, Barcelone, pour entamer ses croisières d'une semaine en Méditerranée, où il sera exploité jusqu'à fin octobre, avant d'être repositionné dans les Caraïbes.
Yisrael Kristal, âgé de 113 ans,
est le doyen de l'humanité, selon le Guinness des records. Né en 1903 en
Pologne, il a survécu à l'Holocauste avant de s'installer en Israël.
Le Guinness des records
a un nouveau membre: Yisrael Kristal. Âgé de 112 ans et 178 jours, il
est un survivant juif du camp d'Auschwitz, et est devenu ce vendredi le
plus vieil homme vivant au monde. Il succède ainsi au Japonais Yasutaro Koide,
mort en janvier à l'âge de 112 ans également. «Je ne connais pas le
secret d'une longue vie, je pense que toute chose est déterminée de
là-haut et que nous n'en connaîtrons jamais les raisons», a réagi
l'homme en recevant son certificat. Et d'ajouter, solennel: «Des hommes
plus malins, plus forts et plus beaux que moi ne sont plus de ce monde.
Tout ce que nous avons à faire est de travailler aussi dur que nous le
pouvons et de reconstruire ce qui est perdu». Yisrael Kristal est né le 15 septembre 1903 à Zarnow, au centre de la Pologne, soit trois mois avant que les frères Wright n'effectuent le premier vol avec un avion motorisé.
La même année, un programme radio est diffusé pour la première fois à
travers l'Atlantique, des États-Unis vers l'Angleterre. Maurice Garin
remporte le premier Tour de France, et Cuba concède la baie de Guantanamo à
perpétuité à Washington. Il traversa tant bien que mal un XXe siècle à
feu et à sang dans un pays qui attisa les convoitises de ses voisins. La
Pologne passa successivement de la domination russe à la conquête
nazie, avant de revenir sous le giron soviétique et, finalement, d'obtenir une indépendance totale à l'aube des années 1990.
«Je mange pour vivre, je ne vis pas pour manger»
Yisrael
Kristal survit à la Première Guerre mondiale à Lodz, dans le centre
d'une Pologne nouvellement indépendante, jusqu'à l'invasion des troupes
du troisième Reich en 1939. Il est alors déplacé avec sa famille dans le
ghetto de la ville et, quatre ans plus tard, il est déporté au camp de
concentration d'Auschwitz.
Il a perdu sa femme et leurs deux enfants durant l'Holocauste et survit
dans ce camp de la mort. Lorsque les Alliés libèrent finalement les
camps, il ne pèse plus que 37 kilos, rapporte le Guinness. Au total,
plus d'un million de juifs ont été tués dans le camp d'Auschwitz entre
1939 et 1945. Interrogé en 2014 sur les secrets de sa longévité par la
télévision israélienne, il avait déclaré: «Il n'y avait pas toujours de
nourriture dans les camps. J'ai mangé ce qu'on m'a donné. Je mange pour
vivre, je ne vis pas pour manger». Seul rescapé de sa famille,
Yisrael Kristal décide alors d'émigrer à Haïfa, dans le nord d'Israël,
avec sa seconde femme et leur fils en 1950. Il y tient une entreprise de
confiserie prospère jusqu'à sa retraite. Juif observant, il n'a manqué
aucun des rites depuis un siècle, sauf durant son internement à
Auschwitz. En raison des troubles du siècle passé, Yisrael Kristal
aurait pu ne jamais être déclaré doyen de l'humanité. Le document le
plus ancien dont disposait sa famille était en effet son certificat de
mariage à l'âge de 25 ans. Le Guinness a dû entreprendre des recherches
poussées afin de connaître avec exactitude sa date de naissance. Si le
vieil homme ne donne plus d'entretien à la presse, sa fille, interrogée
par l'AFP, le décrit comme «un homme positif, très optimiste, avec
beaucoup de cœur». Si Yisrael Kristal est bien le plus vieil
homme vivant au monde, il a cependant quatre ans de moins que la doyenne
de l'humanité, l'Américaine Susannah Mushatt Jones.
Née le 6 juillet 1899, elle est aujourd'hui âgée de 116 ans. Le record
de longévité humaine officiellement reconnu par le Guinness des records
est détenu par la Française Jeanne Calment, qui s'est éteinte en 1997 à l'âge de 122 ans et 164 jours.
Le démarrage des travaux de construction de ce gratte-ciel a été lancé ce 9 mars par le roi du Maroc, Mohammed VI. La tour qui sera édifiée par le Groupe banque marocaine du commerce extérieur (BMCE Bank) sur une superficie de 3 hectares, comptera 45 étages pour une hauteur de 250 mètres. le cout global de l’édifice est de 276,7 millions d’euros (3 milliards de dirhams).
Le bâtiment sera érigé dans la préfecture de Salé sur la rive droite du fleuve Bouregreg, à proximité de Rabat. Il abritera un auditorium de 350 places, des services et des commerces au rez-de-chaussée, 12 premiers étages de bureaux, une partie résidentielle du 13e au 26e étage (55 appartements) et un hôtel de luxe dans les étages supérieurs. Les quatre derniers étages seront réservés à des appartements de très haut standing.
Croisière à bord d'un bateau local aménagé pour la navigation touristique.Le voyage commence à Gao avec la visite du Tombeau des Askia, et de la découverte de la dune rose de Koïma plongeant dans le Niger. Navigation jusqu'à Tombouctou, la capitale du désert. Quittant Tombouctou, navigation à nouveau à la rencontre des agriculteurs Sonrhoï, des pêcheurs Bozos ou des éleveurs Peuls. Arrivée à Mopti, l'un des carrefours commerciaux les plus actifs de l'Afrique.
L'existence du Niger était connue depuis l'Antiquité, mais son cours n'a été reconnu qu'au XIXe siècle ; sa source fut découverte en 1879.Troisième fleuve d'Afrique, après le Nil et le Congo, par sa longueur et la surface de son bassin (4 200 km ; plus de deux millions de kilomètres carrés), le Niger est de loin le fleuve le plus puissant d'Afrique occidentale ; il traverse quatre pays, son cours et ses affluents intéressent huit pays. L'énergie et les possibilités de mise en valeur qu'il représente font l'objet de timides tentatives d'exploitation. Les grands travaux d'aménagement sont peu nombreux et affectent des surfaces limitées où la population est encore peu importante. Leur rentabilité n'est pas assurée.Un bassin hydrographique immense, mais saharien pour une grande part, le faible peuplement de la plupart des régions traversées, l'éloignement des centres actifs de l'Afrique occidentale sont les principales causes d'une sous-utilisation flagrante.Un cours et un régime variés Le Niger prend sa source à 800 m d'altitude, sur le versant nord de la Dorsale guinéenne. Il coule vers le nord-est, et se présente comme un torrent de montagne sur 250 km, jusqu'à son confluent avec le Milo.[...]
Au départ de Niamey, elles permettent de pénétrer lentement dans le pays profond, ses témoignages d'un temps où le Sahara était vert, ses éleveurs nomades et ses ultimes caravaniers transportant le sel de Bilma à Agadez. Maximilien Bruggmann avait même photographié le fameux arbre du Ténéré, unique à 400 kilomètres à la ronde, renversé en 1973 par un camion libyen...
Au Mali, à partir de fin juillet, avec l'arrivée des pluies, le trafic fluvial reprend sur le fleuve Niger. Des ferry-boat à deux étages et coque plate, à l'allure des vieux navires d'antan, glissent sur le fleuve pour emmener des populations hétéroclites, éleveurs avec troupeaux, marchands surtout, commerçants en tout genre, du sud vers le nord. Une croisière qui peut durer une semaine selon la météo. Un voyage à remonter le temps.
Abou Simbel fait partie des monuments les plus emblématiques de l’Égypte ancienne. Il faut dire qu’il bénéficie d’une architecture singulière avec ses deux façades colossales. Son histoire moderne pendant laquelle il fût sauvé in extremis des eaux grâce à une mobilisation internationale d’une ampleur inédite, lui confère également une notoriété immense.
On vient donc à Abou Simbel visiter cette merveille antique. C’est loin et isolé de tout : 1h30 de vol depuis Assouan, ou 3h de route en convoi, mais ça vaut le détour. Malheureusement, ce n’est le plus souvent qu’un détour de tout au plus une paire d’heures à peine sur place, comme si le monument était la seule chose existante à Abou Simbel. Il est vrai que dans le court trajet entre l’aéroport et le site, on ne perçoit pas grand-chose. Et pourtant… vous êtes en Nubie.
La Nubie est une région à cheval entre Égypte et Sudan. Traversée par le Nil, elle n’en reste pas moins une région totalement désertique, puisque ses rives sont faites de falaises ne permettant pas une agriculture en vallée. Les nombreuses cataractes ne permettaient pas non plus la navigation. La région est donc longtemps restée isolée ce qui lui vaut une singularité ethnique et culturelle préservée. Pour autant, elle donna une dynastie de pharaons à l’Égypte (la XVe) avant de passer sous le joue des ceux du Nouvel Empire.
On repère les Nubiens dans les sculptures et les bas-reliefs antiques par leurs traits physiques à l’africanisme marqué. La culture nubienne se distingue nettement des cultures égyptiennes et soudanaises modernes en possédant sa propre langue, le nobiin, une architecture spécifique, et une musique singulière. Sa reconnaissance est quasi nulle dans l’Égypte contemporaine, le combat de Fikri est de lui redonner une accessibilité.
Mais qui est Fikri ?
Fikri est naît à Abou Simbel. Pas dans le temple bien sûr, mais dans le petit village adjacent. À cette époque, il n’y avait pas de Lac Nasser, juste le Nil. Le site n’était pas alors aussi fréquenté qu’aujourd’hui, Fikri passait presque tous les jours devant les colosses de Ramsès sur le chemin de l’école. Puis le haut-barrage d’Assouan fut construit. Les eaux montèrent de 50 mètres. L’Unesco sauva le temple, mais pas le village…
Lac Nasser et Unesco
Années 60, l’Égypte de Nasser se modernise à grand pas. Elle a besoin d’énergie. Le Nil étant la source de tout, il le sera également pour l’électricité. Il est décidé de construire un haut barrage à Assouan (un premier plus modeste existait déjà). Après tout, plus au sud c’est le désert, on peut l’immerger. Ah et les temples ? l’Unesco se mobilise, un programme international inédit, 5 années pour déplacer pierre par pierre 22 monuments. Et les Nubiens ? et leurs villages ? Rien. Ils sont condamnés à quitter leurs terres et reconstruire leurs villages plus en aval. Lors de votre croisière entre Louxor et Assouan, si vous percevez au loin des villages très colorés, ce sont eux.
Un grand nombre de Nubiens partirent, le plus souvent rejoindre la Haute Egypte. Fikri, lui, partit bien plus loin, en Suisse où son père ouvrit un restaurant. C’est là-bas qu’il fit ses études : histoire de l’art, musicologie, gestion hôtelière. À l’âge adulte, il voulut remonter le courant et le temps, renouer avec ses racines nubiennes. Il abandonne le costume trois-pièces pour le turban et la djellaba de ses aïeuls. Il officia comme guide pour les touristes nombreux venus admirer le temple sauvé des eaux. Attristé de voir le village moderne comme un hub touristique, il décida de reconstruire la maison de son enfance, dans la pure tradition nubienne. Une fois réalisée, il a voulu la partager avec les voyageurs de passage, l’écolodge Eskuleh était né.
Une immersion nubienne
L’écolodge Eskuleh est une adresse d’immersion comme on les aime. Tout d’abord de part son architecture traditionnelle caractérisée par une maison composée de cours, de pièces voûtées aux murs épais et aux cloisons nombreuses pour conserver la fraîcheur. La structure est construite en brique crue faite à base de limon du Nil, difficile de faire plus local. Habituellement, les maisons sont peintes de couleurs vives, une activité réservée aux femmes. L’écolodge ne disposant pas de maîtresse de maison, il conserve sa couleur ocre naturelle, à l’image des maisons de la Nubie du Sud.
Sur place, on est hors du temps. On déambule librement de sa chambre à la bibliothèque (en grande partie francophone), de cours intérieures en terrasses sur les toits. On sirote le kawa (au gingembre), ou un limoun-nahnah(citronnade à la menthe), en admirant les rives du lac et le jardin fleuri. L’eau coulant dans les canaux d’irrigation fait office de bande son parfaitement adaptée. L’âne de Fikri se balade librement et vient de temps en temps nous tenir compagnie sur la terrasse du parvis.
Si la farniente vous pèse, les activités ne manquent pas. Fikri a son propre potager bio, sa petite ferme (poules, chèvres et biquettes), ses allées botaniques. Vous pouvez donner un coup de main. Sinon, on peut s’échapper sur le lac dans la petite barque à moteur, voir les temples d’Abou Simbel depuis l’eau, comme Pharaon quand il arrivait par le Nil pour les cérémonies annuelles, ou bien chercher les crocodiles du Nil, car c’est le dernier endroit où on en trouve encore des sauvages.
Le soir venu, l’ambiance est comme à la maison, on ne se sent pas du tout dans un hôtel. Fikri reçoit ses amis du village. Mélomanes, ils finissent le plus souvent par improviser un petit concert de musique nubienne. À table, c’est également la gastronomie locale qui prime avec des produits de première fraîcheur provenant principalement du jardin.
Finalement, c’est est le plus problématique ici, c’est de se dire qu’il faudra bien partir un jour…
Les propos tenus à Tindouf et à Alger par le Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-moon, constituent un dérapage inédit de la part d’un SG de l’ONU. Ban Ki-moon a tout simplement dévié de sa mission, impliqué l’organisation onusienne dans des positions qui ne sont pas les siennes, avec un réel risque de miner tout le processus de règlement de la question du Sahara et d’entraîner la région dans des perspectives sombres. Sa complaisance et son indulgence vis-à-vis d’un Etat fantoche, aux dépens de la neutralité et de l’équidistance nécessaires entre les parties, renseignent sur un tropisme évident. Un tropisme que renforce l’omission programmée de questions centrales telles le recensement des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, les détournements de l’aide humanitaire internationale, la menace terroriste qui pèse sur toute la région, sans parler des risques plus que sérieux de déstabilisation que représente l’établissement d’une entité indépendante qui n’en possède ni les attributs, ni les fondements légaux.
L’autre bourde révélatrice de l’alignement de Ban Ki-moon est le changement, selon son humeur à lui, de la terminologie traditionnellement utilisée par les Nations Unies s’agissant de la question du Sahara. Le terme “occupation” pour qualifier le recouvrement par le Maroc de son intégrité territoriale, outre qu’il soit sans fondement politique ou juridique, constitue une insulte pour le Maroc, Etat membre des Nations Unies et, plus grave encore, implique l’ONU dans le conflit et en fait à la fois juge et partie.
Alors que son périple dans la région devait promouvoir un règlement politique, durable et mutuellement acceptable, Ban Ki-moon a étonnamment fait preuve d’une incapacité de discernement déconcertante. Comment en effet peut-il remettre sur la table la question du référendum quand bien même l’ONU et le Conseil de Sécurité ont conclu, depuis longtemps et de manière définitive, que le référendum était inapplicable pour des raisons objectives que Ban Ki-moon ne devrait pas ignorer ? D’où d’ailleurs la recherche d’une solution politique négociée sous l’égide des Nations Unies, qui a donné lieu au plan marocain d’autonomie sous souveraineté du Royaume, proposition qualifiée par la communauté internationale de “base sérieuse et crédible”. C’est à croire que le SG de l’ONU ignore tout du dossier du Sahara et se laisse allégrement influencer par la propagande fallacieuse et toxique algéro-polisarienne et par les conseils de collaborateurs manifestement intéressés.
Le Maroc accueillera la plus haute tour d'Afrique et voici à quoi elle ressemblera.
Sur la rive droite de Bouregreg, le roi Mohammed VI a lancé
les travaux de construction de la plus haute tour en Afrique. Edifiée
par le groupe BMCE, cette tour de 45 étages et 250 m de hauteur
intègrera dans sa conception des technologies permettant une meilleure
efficacité énergétique, puisqu'un tiers de la surface totale de la
façade sera couvert de panneaux photovoltaïques devant satisfaire les
besoins de la tour en électricité.
Construite sur un
terrain de 3 hectares, le futur édifice devra abriter un auditorium de
350 places, des services et des commerces au rez-de-chaussée, une
composante bureaux sur les 12 premiers étages, une partie résidentielle
du 13e au 26e étage (55 appartements) et un hôtel de luxe aux étages
supérieurs. Les quatre derniers étages seront réservés à des
appartements de très haut standing.
Cette tour, dont la réalisation nécessitera un budget
prévisionnel de l'ordre de 3 milliards de dirhams constituera le point
culminant de la nouvelle séquence d'aménagement de la vallée de
Bouregreg, une des principales composantes du programme "Rabat Ville
Lumière, Capitale Marocaine de la Culture", lancé par le roi en mai
2014.
Ce plan d'aménagement prévoit en effet la
réalisation du Grand Théâtre de Rabat, la Maison des arts et de la
culture, la bibliothèque des archives nationales du royaume du Maroc, le
Musée archéologique et des sciences de la terre, un Cinéma multiplexe,
une galerie de sculpture, une Marina, un Art hôtel, une marina hôtel, un
Mall et des commerces, un Business Center, des résidences et des
équipements publics et privés.
D’après une étude scientifique, les poissons utilisés pour les sushis pourraient être toxiques, car contenant du mercure, un métal dangereux pour la santé.
Consommer trop de sushis pourrait causer des dommages au cerveau, En effet, les poissons utilisés pour les sushis (sauf le saumon), thons, espadons, requins, vivent dans des océans pollués, en particulier par le mercure. Ces grands prédateurs, en bout de la chaine alimentaire, sont surexposés, par leur alimentation à toute la pollution de l’univers marin. En effet le mercure même à faible dose représente un danger sur les fœtus et les enfants. Le métal toxique pourrait affecter le développement de leur cerveau ou créer d’autres problèmes de santé. Ce ne sont pas des effets triviaux mais des effets significatifs, Les effets du mercure sont néfastes sur le développement humain, en particuliers sur les populations à risque comme les femmes enceintes et les jeunes enfants. Les femmes enceintes ne doivent pas consommer de thon plus de deux fois par semaine.
Le poisson sans mercure de plus en plus rare
Les océans sont actuellement très pollués et il sera de plus en plus difficile de trouver du poisson non toxique. C'est pourquoi il faudra supprimer de l'alimentation certains poissons particulièrement toxiques, comme le marlin ou le thon rouge du Pacifique.
On compte aujourd’hui environ 800 fraudes quotidiennes dans les péages autoroutiers au Maroc. Ce chiffre inquiète le ministre de la Justice qui a demandé à la Gendarmerie royale de réagir.
Mustapha Ramid a envoyé une circulaire aux services de la Gendarmerie royale pour leur demander de sévir contre les fraudeurs aux péages et dresser systématiquement des procès verbaux et soumettre tous les cas à la justice.
Si le ministre a décidé de réagir aujourd’hui, c’est que les 800 cas de fraude relevés chaque jour constituent un manque à gagner pour Autoroutes du Maroc et par conséquent pour le budget de l’Etat, commente le journal.
Cela constitue également un danger pour les usagers des autoroutes marocaines mais aussi pour les éléments de la gendarmerie marocaine dans les points de péages.
Lessushissont votre nouvelle lubie ? Alors, gare à l'anisakidose. Cette maladie est provoquée par l'ingestion de poisson cru ou mal cuit contenant des larves d'un ver parasite appelé Anisakis. Aucun risque chez l'homme que cette larve ne devienne adulte, mais elle peut se fixer au tube digestif et entraîner des symptômes comme des douleurs ventrales, desulcères, des tumeurs bénignes de l'intestin, ou des réactions allergiques (urticaire, asthme, œdème de l'intestin). Cette pathologie semble être en nette augmentation depuis la démocratisation des recettes à base de poisson cru(sushis, carpaccio...).