Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Il y a un sport qui consiste à jeter le parachute de l’avion et ensuite sauter pour le rattraper !
Une moto volante pour la police de Dubai
Mettez-vous à la place des policiers de Dubaï : les Ferrari, Lamborghini et autres Bugatti, c’est devenu banal. Une moto volante, ce serait quand même plus classe. Plaisanterie ? Pas tant que ça… Jugez plutôt ci-dessous.
La moto volante devrait être en test avant la fin de l’année ! |
En France, le métier de policier tient à la fois d’une vocation et d’un certain sens du service rendu à la Nation. Mais à Dubaï, être policier revient parfois à enfiler un costume d’essayeur d’engin hors-normes ! On sait déjà la police dubaïote détentrice de supercars type Lamborghini ou Bugatti. Mais au Salon local des nouvelle technologies, la police de Dubaï a dévoilé une moto volante !
5 mètres de haut et 70 km/h de pointe
L’Hoverbike vole jusqu’à 5 mètres de haut et atteint la vitesse de pointe de 70 km/h. Elle est destinée, d’après les dires de ses concepteurs, à surveiller le trafic et intervenir rapidement en cas d’urgence. En cas de besoin, l’Hoverbike peut également être pilotée à distance, comme un robot. Déchargée de son pilote et des contraintes de sécurité, elle pointe à 100 km/h. L’autonomie annoncée est de 25 minutes maximum et le temps de recharge de 4 heures. Les tests officiels pourraient commencer avant la fin de l’année.
Les premières dames de France de la Ve République
- Femme de Charles de Gaulle, Yvonne a passé dix ans à l'Élysée, de 1959 à 1969. Dix ans pendant lesquels elle n'a pas dit un seul mot publiquement. (Paris, février 1969.)
- Claude Pompidou, épouse de George Pompidou, a occupé le Palais de l'Élysée de 1969 à 1974, re-décorant l'interieur à son goût : des goûts de luxe qui lui ont parfois été repprochés dans la presse - Le Canard Enchaîné notamment la comparait à Marie-Antoinette et l'appelait «Madame de Pompidour». (Belgique, mai 1971.)
- Anne-Aymone Giscard d'Estaing a été l'atout de communication de Valéry Giscard d'Estaing pendant sa présidence de 1974 à 1981. (Brégançon, 6 mai 1979.)
- Danielle et François Mitterrand ont passé 14 ans à l'Élysée, de 1981 à 1995. (Paris, 10 novembre 1983.)
- Bernadette Chirac est l'une des seules à avoir apprécié être première dame, de 1995 à 2007 pendant la présidence de Jacques Chirac. Elle avoue même en 2008 : «L'Élysée me manque». (Canada, 15 juin 1995.)
- Cécilia Sarkozy (maintenant Cécilia Attias) n'est pas restée longtemps à l'Élysée : du 16 mai 2007 au 15 octobre de la même année et sa sépration du président Nicolas Sarkozy. (Paris, 13 juin 2007.)
Carla Bruni a épousé Nicolas Sarkozy pendant son mandat de président. Elle est devenue première dame en février 2008. (Paris, 22 décembre 2012.)
- 20 mois à l'Élysée, Valérie Trierweiler n'est pas restée longtemps première dame. Dès qu'elle a appris la liaison de François Hollande et Julie Gayet - annoncée par le magazine Closer en janvier 2014 - elle s'est séparée du président. (Paris, 7 mai 2013.)
Julie Gayet est «le fantôme de l'Élysée». Compagne non-officielle du président François Hollande, elle se fait discrète et attendrait impatiemment la fin de son mandat. (Deauville, 2 septembre 2016.)
- Brigitte et Emmanuel Macron à Salzburg, en Autriche. (23 août 2017.)
Les plus grandes catastrophes de ces dernières années
Une catastrophe naturelle est un événement d'origine naturelle, subi et brutal, qui provoque des bouleversements importants pouvant engendrer de grands dégâts matériels et humains.Si les catastrophes naturelles sont provoquées par des causes météorologiques, sismiques ou autres sur lesquelles l'homme n'a pas de prise, leurs bilans dépendent fortement du facteur humain.
Les gens qui rient plus tolèrent mieux la douleur à la fois physique et émotionnelle !
Une étude a été menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford a montré qu’un bon rire diminue la sensation de douleur. En effet, les rires stimulent la libération des hormones endorphines qui provoquent une sensation de bien-être et qui agissent comme des analgésiques naturels.
La série d’expériences a testé la tolérance à la douleur de personnes qui ont participé à des activités qui provoquent des rires comme regarder des vidéos comiques ou des spectacles, d’autres ont participé à des activités qui ne font pas rire. Ceux qui ont regardé des comédies et qui ont ri étaient capables de tolérer 10 % plus de douleur que les autres personnes. L’endorphine libérée lorsqu’ils ont ri les a aidés à résister à la douleur physique et émotionnelle.
Les 10 phobies les plus partagées au monde
La phobie est un handicap réel. Malaise vagal, crise de panique, nausées, palpitations, nœud à l’estomac, tachycardie, tremblements, impression de ne plus pouvoir bouger ni réfléchir, etc… Les phobies peuvent nous mettre dans des situations invivables, voire même nous gâcher la vie…
Ou la peur d'interagir avec autrui. Inclus la téléphonophobie (peur de répondre au téléphone) qui est très répandue.
Ou la peur des endroits publics ou de se retrouver dans des espaces ouverts ou des lieux publics, d’être "pris au piège" (par exemple dans une salle de concert ou de cinéma).
Ou la peur de vomir ou de voir quelqu’un vomir.
Soit la peur de rougir en public
Soit la peur de conduire une voiture
La peur d’être malade. Certaines personnes développent une nosophobie (peur d’être contagieux) ou une latrophobie (mot qui désigne la peur d'aller chez le médecin).
Ou la peur de l'avion
Soit peur des araignées
La peur des animaux (avec les serpents en tête de liste puis les chiens et même les oiseaux)
Ou la peur des endroits clos (comme un ascenseur ou lieu exigu avec beaucoup de personnes autour de soi)
D’où viennent les phobies ?
Spécialiste des phobies, Alexandra Sénéchal nous a expliqué l’origine des phobies, en majorité issues de l’enfance et même de la vie pré-utérine, et qui se développent notamment à l’adolescence : « Ca peut subvenir suite à un événement traumatique bien sûr, mais souvent c’est plus profond. A l’adolescence, on est plus sensibles, il y a beaucoup de changements, physiologiques, on a également prouvé que les casques d’orthondonthie tirent sur les muscles du crâne, que ça développe des phobies par un mécanisme encore étrange… Et c’est aussi souvent un changement hormonal ».
Certaines phobies comme la peur des araignées par exemple, seraient plus « culturelles », répétées et transmises de générations en générations par « mimétisme »…
Comment s’en séparer ?
Dans son ouvrage « En finir avec les phobies », Alexandra Sénéchal raconte – à la première personne – son parcours de phobique et comment elle s’en est sortie : « J’étais agoraphobe depuis l’âge de 13 ans, j’avais des sensations de vide, même dans ma chambre, mais j’ai décidé à à 20 ans de m’en sortir. J’ai tout essayé ou presque : la psychanalyse, l’hypnose mais je ne suis pas réceptive, et les théories comportementales. C’est l’EMDR, la désensibilisation par les yeux, cumulée avec autres techniques qui a fini par fonctionner. Mais surtout, il faut se confronter à soi-même. Je me parlais dans une glace, en faisant les questions et les réponses. Je m’en suis sortie comme cela ».
« Il faut faire de ses phobies une force. »
Exprimer ses émotions au moment précis où l'on est confronté(e) à une peur pourrait aider à réduire cette dernière, selon une étude publiée dans la revue Psychological Science. Il y a une région du cerveau, le cortex préfrontal ventrolatéral droit, qui semble être impliquée à la fois dans la capacité de nommer les émotions et dans la régulation de ces dernières.
Il y aurait en effet un lien entre le taux de sérotonine (« hormone du bonheur ») et les phobies : elle agit dans la régulation de certains comportements comme l’humeur ou l’émotivité, et des troubles psychiques tels que stress, anxiété, phobies, ou dépressions. Les pensées positives ou négatives impactent également le taux de sérotonine. La pratique d’un sport régulier, l’exposition à la lumière, la consommation d’aliments riches en tryptophane tels que riz complet, chocolat, banane ou noix de cajou, aideraient à réguler la sérotonine.
Il faut surtout éviter l’évitement, la stratégie principale des phobiques. Mais certaines personnes ont peur de cet « après », les phobies sont devenues un élément de leurs personnalités. Pour Alexandra Sénéchal : « On s’habitue, on a l'impression que ça fait partie de nous même si ça nous gâche la vie. Mais il faut plutôt faire de ses phobies une force, comme par exemple apprendre le contrôle de soi, l’art de prendre le dessus. Les phobiques ont des personnes très sensibles, très créatives, il faut dériver la phobie au profit d'autre chose de plus positif pour s’en débarrasser ».
- La phobie sociale
- L'agoraphobie
- L'émétophobie
- L'éreutophobie ou érythrophobie
- L'amaxophobie
- L'hypocondrie
- L'aérophobie
- L'arachnophobie
- La zoophobie
- La claustrophobie
D’où viennent les phobies ?
Spécialiste des phobies, Alexandra Sénéchal nous a expliqué l’origine des phobies, en majorité issues de l’enfance et même de la vie pré-utérine, et qui se développent notamment à l’adolescence : « Ca peut subvenir suite à un événement traumatique bien sûr, mais souvent c’est plus profond. A l’adolescence, on est plus sensibles, il y a beaucoup de changements, physiologiques, on a également prouvé que les casques d’orthondonthie tirent sur les muscles du crâne, que ça développe des phobies par un mécanisme encore étrange… Et c’est aussi souvent un changement hormonal ».
Certaines phobies comme la peur des araignées par exemple, seraient plus « culturelles », répétées et transmises de générations en générations par « mimétisme »…
Comment s’en séparer ?
Dans son ouvrage « En finir avec les phobies », Alexandra Sénéchal raconte – à la première personne – son parcours de phobique et comment elle s’en est sortie : « J’étais agoraphobe depuis l’âge de 13 ans, j’avais des sensations de vide, même dans ma chambre, mais j’ai décidé à à 20 ans de m’en sortir. J’ai tout essayé ou presque : la psychanalyse, l’hypnose mais je ne suis pas réceptive, et les théories comportementales. C’est l’EMDR, la désensibilisation par les yeux, cumulée avec autres techniques qui a fini par fonctionner. Mais surtout, il faut se confronter à soi-même. Je me parlais dans une glace, en faisant les questions et les réponses. Je m’en suis sortie comme cela ».
« Il faut faire de ses phobies une force. »
Exprimer ses émotions au moment précis où l'on est confronté(e) à une peur pourrait aider à réduire cette dernière, selon une étude publiée dans la revue Psychological Science. Il y a une région du cerveau, le cortex préfrontal ventrolatéral droit, qui semble être impliquée à la fois dans la capacité de nommer les émotions et dans la régulation de ces dernières.
Il y aurait en effet un lien entre le taux de sérotonine (« hormone du bonheur ») et les phobies : elle agit dans la régulation de certains comportements comme l’humeur ou l’émotivité, et des troubles psychiques tels que stress, anxiété, phobies, ou dépressions. Les pensées positives ou négatives impactent également le taux de sérotonine. La pratique d’un sport régulier, l’exposition à la lumière, la consommation d’aliments riches en tryptophane tels que riz complet, chocolat, banane ou noix de cajou, aideraient à réguler la sérotonine.
Il faut surtout éviter l’évitement, la stratégie principale des phobiques. Mais certaines personnes ont peur de cet « après », les phobies sont devenues un élément de leurs personnalités. Pour Alexandra Sénéchal : « On s’habitue, on a l'impression que ça fait partie de nous même si ça nous gâche la vie. Mais il faut plutôt faire de ses phobies une force, comme par exemple apprendre le contrôle de soi, l’art de prendre le dessus. Les phobiques ont des personnes très sensibles, très créatives, il faut dériver la phobie au profit d'autre chose de plus positif pour s’en débarrasser ».
Les Etats-Unis se retirent de l'Unesco
Le siège de l’Unesco, dans le VIIe arrondissement parisien. Le départ des Etats-Unis sera effectif à partir de la fin 2018. |
La menace planait depuis des semaines. Washington l’a mise à exécution jeudi. Dans un communiqué lapidaire, le département d’Etat américain a annoncé le retrait des Etats-Unis de l’Unesco, l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. «Cette décision n’a pas été prise à la légère et reflète les inquiétudes des Etats-Unis concernant l’accumulation des arriérés à l’Unesco, la nécessité d’une réforme en profondeur de l’organisation, et ses partis pris anti-israéliens persistants», précise la diplomatie américaine. Quelques heures après l’annonce, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé à son tour le retrait de son pays, qualifiant la décision américaine de «courageuse et morale».
Représailles.
De la part d’un président peu friand de multilatéralisme, cette décision n’est guère une surprise. Mi-septembre à New York, lors de sa rencontre avec Donald Trump, Emmanuel Macron aurait tenté, selon la revue Foreign Policy, d’obtenir le soutien du président américain à la candidature d’Audrey Azoulay à la tête de l’Unesco. L’ancienne ministre française de la Culture fait partie des favoris pour succéder à la Bulgare Irina Bokova. En guise de réponse, le secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, aurait laissé entendre au président français que Washington envisageait de quitter l’Unesco. Conformément au règlement de l’organisation basée à Paris, le retrait des Etats-Unis - qui souhaitent conserver un statut d’observateur - ne sera effectif que fin 2018. Mais en pratique, Washington a déjà pris ses distances depuis qu’en octobre 2011, l’Unesco a admis la Palestine comme Etat membre. En vertu d’une loi américaine des années 90, qui interdit à Washington de financer une agence reconnaissant la Palestine comme Etat, l’administration Obama avait dû cesser les financements.
Les représailles américaines ont porté un coup à l’organisation, contrainte d’opérer avec un budget amputé de 22 % (la part de la contribution américaine, de loin la plus importante). En six ans, les arriérés de paiement des Etats-Unis n’ont cessé de croître, pour dépasser ce mois-ci 540 millions de dollars (457 millions d’euros). Quoiqu’importantes pour Donald Trump, qui milite pour une baisse du budget de l’ONU, ces considérations financières n’expliquent pas à elles seules le retrait américain. Grands alliés d’Israël, les Etats-Unis accusent depuis longtemps l’Unesco de parti pris propalestinien. Une accusation relancée en juillet par la décision du comité du patrimoine mondial de l’Unesco de déclarer la vieille ville d’Hébron, en Cisjordanie occupée, «zone protégée» et ville «islamique». «Un affront à l’histoire», avait dénoncé l’ambassadrice américaine à l’ONU, promettant de réexaminer les liens de Washington avec l’organisation. C’est désormais chose faite.
Regrets.
Les représailles américaines ont porté un coup à l’organisation, contrainte d’opérer avec un budget amputé de 22 % (la part de la contribution américaine, de loin la plus importante). En six ans, les arriérés de paiement des Etats-Unis n’ont cessé de croître, pour dépasser ce mois-ci 540 millions de dollars (457 millions d’euros). Quoiqu’importantes pour Donald Trump, qui milite pour une baisse du budget de l’ONU, ces considérations financières n’expliquent pas à elles seules le retrait américain. Grands alliés d’Israël, les Etats-Unis accusent depuis longtemps l’Unesco de parti pris propalestinien. Une accusation relancée en juillet par la décision du comité du patrimoine mondial de l’Unesco de déclarer la vieille ville d’Hébron, en Cisjordanie occupée, «zone protégée» et ville «islamique». «Un affront à l’histoire», avait dénoncé l’ambassadrice américaine à l’ONU, promettant de réexaminer les liens de Washington avec l’organisation. C’est désormais chose faite.
Regrets.
Dans un communiqué, la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, a dit regretter la décision américaine, «au moment où la lutte contre l’extrémisme violent appelle à un renouveau des efforts pour l’éducation et le dialogue des cultures». La France a également exprimé ses regrets, tout en soulignant son attachement à l’Unesco «et à ses domaines de compétence, en particulier dans les secteurs prioritaires de l’éducation, de la prévention de la radicalisation et de la protection du patrimoine en péril».
Un accord de réconciliation entre le Hamas et Fatah trouvé au Caire
L’annonce a été faite jeudi par les deux groupes rivaux palestiniens.
Le président palestinien Mahmoud Abbas effectuera une visite dans la bande de Gaza le mois prochain, une première depuis 2007, affirmant ainsi la réconciliation inter-palestinienne, a déclaré à la presse le responsable de son parti à Gaza.
Le chef du Fatah dans la bande de Gaza, Zakaria al-Agha, a annoncé que "le président Abou Mazen sera à Gaza dans moins d'un mois". Autre avancée du rapprochement, M. Abbas devrait lever "très bientôt" les mesures financières prises en 2017 pour forcer le Hamas à la conciliation, a souligné M. Al-Agha.
Le Hamas avait annoncé, peu avant, dans un communiqué qu'un "accord (avait) été trouvé jeudi entre le Hamas et le Fatah sous parrainage égyptien", ajoutant que la question de ses armes n'était pas négociable.
Toutefois, le contenu de l'accord n'a pas été dévoilé. Mais une conférence de presse est prévue au Caire en milieu de journée, a précisé Fayez Abou Eita, un porte-parole du Fatah et membre de la délégation de son parti au Caire.
Le Hamas et le Fatah ont engagé mardi des négociations entourées du plus grand secret au Caire pour concrétiser cette réconciliation annoncée en grande pompe la semaine précédente.
Les discussions sont censées porter sur les modalités pratiques du rapprochement entre les deux parties, tandis que les questions relatives au contrôle de la sécurité dans la bande de Gaza et le sort des 25.000 hommes du bras armé du Hamas seraient reportés à plus tard.
Les deux parties ont déjà annoncé que la finalisation de la réconciliation prendrait du temps étant donné que les dispositions tangibles d'un partage de pouvoirs sont annoncées comme extrêmement ardues tant les intérêts des uns et des autres semblent contradictoires.
Le Hamas a accepté, sous pression, en septembre le retour à Gaza de l'Autorité et de son gouvernement. Le raccommodement a été matérialisé la semaine passée avec le premier conseil des ministres se tenant à Gaza depuis 2014.
Les villes fantômes les plus terrifiantes de la planète
Les bâtiments en ruines, les rues désertes et les immeubles envahis par la végétation sont un vrai paradis pour les amateurs des vues apocalyptiques.
Retrouvez les villes fantômes les plus terrifiantes de la planète dans ce diaporama :
- En 1859 l’orpailleur William S. Bodey a découvert de l’or dans le comté de Mono en Californie. La ville fondée à cet endroit-là a été nommé Bodie. La ville a connu une croissance rapide au fur et à mesure de la découverte des nouveaux gisements d’or. Mais dès 1990 sa population a commencé à la déserter avec la chute des prix de l’or. Un grand incendie n’a fait que précipiter le départ des habitants. Depuis 1962 la ville est un parc historique où l’on trouve environ 170 bâtiments conservés intacts depuis leur construction il y a un siècle.
- Un village englouti par le sable – voici comment on peut décrire le village de Kolmanskop situé en Namibie. Comme Bodie en Californie, il a vu le jour grâce aux ressources naturelles, plus précisément aux diamants dont un gisement avait été découvert à cet endroit au début du XXe siècle. Mais lorsque le gisement a été épuisé, les gens ont abandonné le village. Pendant longtemps il était en proie à la désertification, avant de devenir un lieu touristique.
- Ha-shima, une ville-île située japonaise située en mer de Chine orientale, doit son apparition à la découverte d’un gisement houiller. Vers les années 1930 on y a construit une trentaine d’immeubles, une école, un hôpital et même un cimetière. Pendant quelques décennies Ha-shima était l’un des endroits les plus densément peuplés de la planète avec plus de 139.000 habitants par mètre carré. La ville est devenue déserte en 1974 en seulement quelques semaines avec l’abandon de la mine. Aujourd’hui on peut faire une excursion sur l’île. Ha-shima fait partie de la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco.
- La Seconde guerre mondiale a laissé pas mal de cicatrices sur la surface de la Terre. Il a été décidé de laisser intactes certaines d’entre elles. C’est le cas de la commune d’Oradour-sur-Glane dans la Haute Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine en France. La population du village a été massacrée par une division SS en 1944. Depuis le «village-martyr» est conservé en ruines.
- Les catastrophes naturelles peuvent en quelques minutes transformer une ville entière en mémorial. Ainsi la ville de Beichuan en Chine est devenue un amas de ruines suite au séisme de 2008 qui a fait plus de 90.000 morts. Le séisme a par ailleurs provoqué de nombreux glissements de terrain. Aujourd’hui on peut visiter la ville fantôme en touriste. A côté des bâtiments en ruines on voit des panneaux sur lesquelles sont affichés des photos de ces mêmes bâtiments avant la catastrophe.
- Les catastrophes anthropiques sont une des causes les plus terrifiantes de l’abandon et de la dégradation des villes. Le bourg japonais de Tomioka a été totalement évacué en 2011 à la suite à l’accident nucléaire de Fukushima. En 2017 les habitants ont commencé à revenir dans leurs maisons.
- Pripiat est une ville fantôme ukrainienne abandonnée en 1986 à la suite de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986. La radioactivité ambiante y est très forte voire mortelle dans certains endroits. Les touristes doivent impérativement porter des vêtements spéciaux de protection et s’y aventurer uniquement accompagné d’un guide.
L’œil d’une autruche est plus gros que son cerveau !
Les yeux de l’autruche sont de la taille d’une boule de billard, ils prennent tant de place dans le crâne de ce grand oiseau. Son cerveau est effectivement plus petit que l’un de ses globes oculaires.
Cela peut être la raison pour laquelle l’autruche, en dépit de sa vitesse de course formidable, n’est pas très bonne à éluder les prédateurs. L’animal a tendance à courir en rond.
Les sans-abris en Russie - Ces SDF Russes sont appelés des «BOMJi»
Dominique Derda nous parle des conditions climatiques extrêmes à Saint-Petersbourg et des difficultés pour les sans-abri.
Le désœuvrement des gamins des rues : La Russie compte environ 700 000 enfants des rues. Ils viennent pour une part d'anciennes républiques soviétiques et tentent de survivre dans les grandes villes comme Saint-Pétersbourg où ils sont souvent exploités.
Partout dans le monde il reste de l'humanité, ça fait vraiment plaisir
Un plongeon dans l'eau glacée pour ces Australiens et Néo-Zélandais vivant à Moscou. Une initiative pour lever des fonds pour les sans abris russes.
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...