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Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Quel est le meilleur moment de la journée pour manger un fruit ?

On sait toujours qu'un fruit est un dessert sain et léger. Mais depuis quelque temps, d’autres voix s’élèvent. Les fruits en fin de repas ne seraient pas si bons pour la santé. Vraiment ?
Les fruits se digéreraient plus rapidement que les autres aliments et, arrivés en fin de repas, resteraient bloqués dans l’estomac. Là, l’acidité gastrique détruirait leurs vitamines et leurs minéraux. Pire encore, ils fermenteraient, ce qui entraînerait des problèmes de digestion…


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Les fruits sont bon pour la santé à condition
 de les consommer avec modération.

Oui, le fruit est un bon dessert

Pour toute personne en bonne santé, elle peut finir son repas sur un fruit. L’acidité gastrique ne détruit pas les minéraux ni les vitamines des fruits, elle les rend simplement plus petits pour qu’ils soient absorbés par l’organisme.
Seules les personnes qui ne digèrent pas bien le fructose, que l’on trouve en abondance dans les fruits, peuvent rencontrer des problèmes de ballonnements s’ils optent pour un fruit en dessert. Par ailleurs, il est déconseillé aux personnes qui ont des problèmes de reflux gastrique de consommer un agrume en fin de repas, car ces fruits sont plus acides.
Manger un fruit en début de repas permettrait aussi de mettre à profit les fibres des fruits. Les fibres sont excellentes pour la régulation du transit et permettraient d’absorber les acides gras du reste du repas. « Cependant, il n’existe pas de preuve scientifique.

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Manger un fruit en début ou 
en fin de repas ne change rien.

Au goûter, pas de pomme sans yaourt
Manger un fruit avant ou après le plat principal ne change rien. En revanche, il est déconseille de croquer dans une pomme ou grignoter du raisin sans rien d’autre entre deux repas. Manger un fruit déclenche la sécrétion d’insuline, l’hormone qui favorise la prise de poids. Il ne fera que vous ouvrir l’appétit. En cas de petit creux, il est préconisé plutôt d’associer le fruit à un produit laitier nature ou un produit céréalier.

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On ne peut pas le nier : les fruits sont bons pour la santé. Mais comme tout aliment, il ne faut pas en abuser. Deux ou trois fruits par jour suffisent.  Le matin, si on boit un jus de fruits, il faut s’assurer que c’est l’équivalent d’une orange et pas de trois oranges !.

Oum Kaltoum, en visite au Maroc en 1968.

Quand Oum Kalthoum se produisait au Maroc

C’était en 1968. Du 16 au 18 mars, la diva égyptienne Oum Kalthoum est accueillie au Maroc par les Forces armées royales (FAR) pour donner trois concerts au théâtre Mohammed V de Rabat. Elle y est reçue par le roi Hassan II et les grandes familles marocaines, à Rabat, Fès, Meknès et Marrakech, découvrant ainsi à l’art de vivre et la musique marocaine.
Si les tickets sont vendus à 300 dirhams, des centaines de Marocains se précipitent toutefois pour assister à l’événement de l’année 1968. A l’issue du concert, elle se verra offrir une vingtaine de bouquets de fleurs, un standing ovation de dix minutes et une bougie de deux mètres recouvertes d’or, provenant du mausolée Moulay Idriss Zerhoun de Fès.
Oum Kalthoum découvre lors de son séjour les musiques populaires marocaines. A Marrakech, près de 1.500 chanteurs et danseurs lui font découvrir les musiques amazighes. Le soir, elle est reçue pour un dîner par Hassan II, et chante accompagnée de l’orchestre royal.

Au Maroc, au cours des années cinquante et soixante, trois portraits étaient le plus souvent accrochés aux murs jusque dans les maisons les plus modestes : celui de Mohammed V en noir et blanc et, non loin, un diptyque représentant Oum Kalthoum et Mohamed Abdelwahab dans deux petits cœurs reliés comme des anneaux et grossièrement coloriés.


Un parcours ''à la Cendrillon''
A y regarder de plus près, le chemin de vie de Oum Kalthoum ne se distingue guère d’un parcours ''à la Cendrillon''. Née pauvre, paysanne, la diva (alors loin de s’imaginer qu’elle en deviendra une) frappe très tôt aux portes d’un monde qu’elle sait pourtant réticent aux femmes. Son père, imam, dépistant très vite la puissance de sa voix, l’invite à se joindre aux leçons de chants qu’il dispense à son frère, d’un an son aîné.
A l’âge de seize ans, deux hommes la prennent sous leur aile, le cheikh Abou El Ala Mohamed et le joueur de luth Zakaria Ahmed, l’invitant à se produire au Caire – tenue masculine exigée. Mais qu’importe; la légende Oum Kalthoum, déjà, prend forme.
Une première tournée orientale
Le poète égyptien Ahmed Rami, féru de littérature française qu’il a étudiée à la Sorbonne, lui compose pas moins de 137 chansons. Mohamed El Qasabji, virtuose du luth, lui ouvre les portes du Palais du théâtre arabe. En 1932, sa notoriété croissante lui permet d’entamer sa première tournée orientale; elle parcourt les capitales mythiques du monde arabe, de Tunis à Bagdad en passant par Beyrouth, Damas et Tripoli.
Elle n’en oublie pas pour autant son Egypte natale où elle partage, avec le charismatique président Nasser, le statut d’icône de l’unité nationale égyptienne et, dans une moindre mesure, panarabe. Elle s’éteint le 3 février 1975 des suite
s d’une longue maladie, deux ans après donné un dernier concert au Palais du Nil.

Émue aux larmes, Theresay May annonce sa démission

La Première ministre britannique Theresa May a annoncé ce vendredi sa démission, lors d'une allocution prononcée devant le 10 Downing Street. La voix étranglée par l'émotion, Theresa May a précisé qu'elle démissionnerait de ses fonctions de cheffe du Parti conservateur - et donc de cheffe du gouvernement - le 7 juin. Elle a exprimé, au bord des larmes, "un profond regret de ne pas avoir été capable de mettre en œuvre le Brexit".



Chongoing en Chine est la ville la plus grande du monde.

La plus grande ville du monde par sa superficie se trouve en Chine : Chongqing compte 34 millions d'habitants, et 300 000 nouveaux la rejoignent chaque année pour trouver du travail.



C'est la ville de tous les extrêmes au coeur de l'empire du Milieu. Une forêt de tours à perte de vue, des monstres de béton et d'acier, aux pieds des montagnes : Chongqing, mégalopole chinoise, vaste comme l'Autriche. Immense et verticale : rendez-vous au 29e étage chez Luo Da-Wan. Ce retraité a toujours habité la ville, aux premières loges de sa métamorphose : on surnomme Chongqing la ville montagne. "On voit la silhouette de la montagne au loin et de nouveaux bâtiments se dressent sans cesse ; du coup, ça lui donne un nouveau visage, c'est impressionnant, les bâtiments se multiplient comme des champignons qui poussent après la pluie", témoigne le retraité.

82 000 kilomètres carrés

Entre les photos en noir et blanc des années 80 qu'il nous montre à aujourd'hui, plus grand-chose en commun. Chongqing, l'histoire d'une ville à la croissance folle : aujourd'hui, la mégalopole compte 34 millions d'habitants. Loin des villes de l'Est, Pékin ou Shanghai, la ville s'étend sur un territoire de 82 000 kilomètres carrés, la plus grande agglomération du monde. 300 000 nouveaux habitants arrivent ici chaque année, l'équivalent d'une ville comme Rennes. Ce sont surtout des paysans chinois, venus des campagnes pauvres alentour. Et tant pis si le travail est souvent pénible, Chongqing est devenu leur eldorado.

LA VILLE FANTÔME QUI BRÛLE DEPUIS 57 ANS - LA "VRAIE" SILENT HILL



 Dans les années 1950, la ville minière de Centralia, en Pennsylvanie, comptait 2 000 âmes. Mais quand un incendie s'est déclaré dans la mine de charbon, il a tout ravagé sur son passage. Aujourd'hui, elle est abandonnée, et les flammes brûlent toujours sous la surface, d'où la brume toxique qui nimbe la ville depuis des décennies.



Les fêtes et festivals les plus insolites dans le monde

On vous plonge dans la culture d'un pays en découvrant l'une de ses fêtes populaires les plus insolites ? Ce sont des festivités beaucoup plus intimistes et vraiment inattendues ! Préparez-vous à plonger dans la boue en Corée du Sud, à faire une gigantesque bataille d'eau en Thaïlande et même à voguer sur les flots à bord d'un bateau en canettes de bière en Australie ! Si ces événements peuvent paraître fantasques à première vue, on vous promet une ambiance de tonnerre ! Voici notre sélection des fêtes et festivals les plus insolites dans le monde.
  • Boryeong, le festival de la boue en Corée du Sud
Chaque année à la fin du mois de juillet, la plage de Daecheon à Boryeong, en Corée du Sud, se transforme en une véritable piscine de boue. Le Mud Festival tend à promouvoir cette substance grise locale qui aurait des vertus thérapeutiques.



 Pour l'occasion, on s'amuse en pataugeant dans la gadoue ! Plusieurs animations sont au programme : piscines de boue, toboggans, châteaux gonflables pour les enfants, ainsi que des massages et un concours de lutte !



  • Groundhog Day, le festival de la marmotte canadien
Le 2 février, en France nous sommes plus occupés à nous goinfrer de crêpes pour la Chandeleur qu'à observer les marmottes ! Pourtant, ce même jour, un événement plus qu'original a lieu au Canada : le Groundhog Day. 


C'est à Punxsutawney qu'on observe le plus cette tradition qui consiste à patienter devant l'entrée du terrier d'une marmotte. Si cette dernière sort et ne voit pas son ombre, on considère que l'hiver est bientôt fini ; au contraire, si elle est effrayée et décide de rentrer dans son terrier, l'hiver durera encore six semaines ! À Punxsutawney, cette marmotte a été renommée Phil, c'est une vraie star locale.


  • Songkran, un Nouvel An bien arrosé en Thaïlande

En Thaïlande, nouvelle année rime avec purification. Pour ce faire, tout le monde s'asperge joyeusement d'eau durant trois jours à l'occasion de Songkran. Cette tradition est plutôt agréable car, au mois d'avril, il peut faire très chaud en Thaïlande. Originellement, les Thaïlandais n'arrosaient que les statues de Bouddha et versaient un peu d'eau sur les mains de leurs aînés, en guise de respect. 
Aujourd'hui, c'est une gigantesque bataille d'eau qui a lieu dans toutes les rues des grandes villes thaïlandaises pour se souhaiter une bonne année ! 
  • La Tomatina, la tomate comme projectile

Tradition controversée, la Tomatina fait partie du patrimoine espagnol. Célébrée tous les ans à Buñol, non loin de Valence, cette gigantesque bataille de tomates a vu le jour en 1945, lors d'une altercation entre plusieurs jeunes qui se seraient affrontés en utilisant ces fruits juteux comme projectiles.
 Aujourd'hui, on vient du monde entier pour se lancer les tonnes de tomates mûres déversées sur la place principale de Buñol pour l'occasion. Pour prendre part à la fête, sachez qu'il faudra vous acquitter d'un droit d'entrée. 
  •  Harbin, un festival de sculptures sur glace

Harbin, au nord-est de la Chine, a su profiter de la rudesse de son climat hivernal pour devenir le théâtre d'un incroyable festival de sculptures sur glace et neige. Chaque année, cet événement unique en son genre se consacre à un thème particulier.
 Des semaines de travail sont nécessaires aux artistes avant que leurs oeuvres soient exposées aux yeux de tous, mais le résultat vaut le détour : de jour, c'est un vrai musée glacé, de nuit, toutes les oeuvres s'illuminent pour former un décor féerique. 
  • Kanamara Matsuri, célébrer la fertilité à Kawazaki

Kanamara Matsuri pourrait se traduire par " fête du pénis de fer ", cet événement a lieu à Kawazaki, au Japon, chaque premier dimanche d'avril. 
Durant cette célébration shinto de la fertilité et de l'harmonie entre conjoints, une insolite procession où sont arborés des phallus géants a lieu. Cet événement est aussi l'occasion de récolter des fonds pour la recherche contre le sida et de lutter contre les discriminations homosexuelles. 
  • Darwin et sa régate des canettes de bière

À Darwin, en Australie, rien ne se perd, tout se transforme ! Chaque année, en juillet, une course de bateau plutôt insolite est organisée à Mindil Beach : la beer can regatta. 
Les participants mettent à l'épreuve, dans les rouleaux de l'océan, leurs embarcations de fortune réalisées en canettes de bière. Un bon moyen de s'amuser tout en recyclant ! Tout au long de la journée, des concerts sont aussi organisés sur la plage. 
  • Kattenstoet, le cortège des chats en Belgique

Prenez vos agendas : à Ypres, tous les trois ans, le deuxième dimanche de mai se tient la Kattenstoet, soit le cortège des chats. Au Moyen Âge, la tradition voulait que ces animaux soient jetés du haut de la tour du beffroi chaque année. 
Compagnons des sorcières, les chats étaient, en effet, assimilés au mal. Aujourd'hui, bien sûr, ce sont des animaux en peluche qui sont jetés de la tour du beffroi, et pour l'occasion une grande parade a lieu dans les rues d'Ypres où chars et chats géants défilent.  
  • UFO festival, un festival extraterrestre dans l'Oregon

En 1950, un agriculteur de McMinnville prit une série de photographies sur lesquelles on pourrait voir un OVNI. Aujourd'hui, McMinnville est connue pour son UFO festival, le plus grand des États-Unis après celui de Roswell.
 Tous les ans, au mois de mai, une grande parade est organisée durant laquelle chacun exhibe son plus beau déguisement d'extraterrestre. Pendant trois jours, la ville entre dans une dimension festive parallèle !
  • Cooper's Hill Cheese Rolling and Wake, la course au fromage anglaise

Tous les ans depuis le XIXe siècle, les collines de Cooper's Hill à Brockworth, en Angleterre, accueillent une compétition plutôt insolite : la course aux fromages. Un énorme double Gloucester cheese de près de 4 kg dévale les pentes à une vitesse folle, l'objectif des participants est de tenter de le rattraper pour remporter la course.
 Leurs chutes sont souvent spectaculaires au vu de l'inclinaison de la colline : seriez-vous prêt à tout pour un savoureux fromage ? 

Les 10 villes fantômes les plus intrigantes

Paysages urbains désolés, maisons aveugles, volets qui claquent. L'ambiance des villes abandonnées fait froid dans le dos... ou séduit.
  • Pripiat (Ukraine)
Une grande roue dominant tristement la ville abandonnée, des autos tamponneuses envahies par les mauvaises herbes, des maisons écaillées ouvertes aux quatre vents, des épaves de voitures et des trains fantômes. Bienvenue à Pripiat, à 3 km de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine. Près de 50 000 personnes vivaient ici, une ancienne vitrine du régime soviétique aux larges avenues et aux carrefours symétriques, construite pour accueillir les ouvriers de la centrale. La ville fut évacuée en deux jours après l’explosion du réacteur qui, en 1986, propagea une pluie de matières radioactives alentour.


La visite guidée de Tchernobyl et de Pripiat coûte environ 180 € pour 2 personnes ; les tarifs sont moins chers si vous intégrez un groupe. Elle n'entraîne pas de risque particulier pour votre santé.

  • Pyramiden (Norvège)
Pyramiden, dans le Svalbard, sur l’île de Spitzberg, n’est plus habitée que par les ours blancs ou les rennes. Vendue en 1926 par la Suède à l’URSS, qui la céda par la suite à une compagnie minière, Pyramiden devint une ville soviétique modèle. Lorsque le charbon se raréfia, dans les années 1990, la compagnie exploitante abandonna la ville. On peut encore voir des livres sur des étagères, un piano à queue et des balançoires dans les jardins d’enfants. Comme de nombreuses autres villes du Spitzberg, une terre de grand froid, Pyramiden est appelée à rester figée dans le temps pour quelques années encore.

Pyramiden est accessible en bateau. Vous serez accompagné par un guide armé, chargé de faire peur aux ours blancs.

Vue de Pyramiden.

  • Mystra (Grèce)


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Perchés au coeur des montagnes du Péloponnèse en Grèce, les vestiges de la ville byzantine de Mystra, d’une très grande poésie, invitent à la rêverie et à la réflexion sur la fragilité des civilisations. Les ruines des églises et leurs superbes fresques, les bibliothèques, les forteresses et les palais de cette cité fortifiée constituent un témoignage unique sur la richesse artistique et intellectuelle de l’Empire byzantin alors à son apogée, avant sa chute presque 1 000 ans après sa fondation.
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La ville, elle, construite peu avant le déclin de l’empire, lui survécut. Très disputée durant des siècles, elle subit de nombreuses influences avant de décliner au XIXe siècle, et de finir par être abandonnée. La grandeur du site mérite une journée de visite.
Emportez de quoi boire, optez pour de bonnes chaussures et commencez par l’entrée haute du site pour le parcourir dans le sens de la descente.


  • Oppède-le-Vieux (France)
Oppède-le-Vieux, situé dans le Petit Luberon en Provence, constitue une visite pittoresque. Dans un décor de roches et de verdure, cette magnifique sentinelle campée en haut d’une crête élève la silhouette sauvage et dentelée d’une forteresse abandonnée.

 Partis dans la plaine au début du XXe siècle, les habitants laissèrent derrière eux ces ruines incroyables desquelles surgissent les vestiges d’un ancien château. Aujourd’hui, environ 20 personnes vivent dans le village, qui a également séduit des personnalités.


Le parking est obligatoire et payant (3 €) L’office du tourisme se situe dans le très beau village de Bonnieux.

L'église abandonnée d'Oppède-le-Vieux.

  • Craco (Italie)


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"Ne bâtissez pas votre maison sur de l’argile", telle serait la morale de l’histoire de Craco. Cette ville médiévale déserte se dresse sur une colline de la Basilicate, en Italie du Sud. Son histoire est ancienne, et même prestigieuse jusqu’à ce que sa population ne déserte le bourg dans les années 1960. La guerre et l’exode rural avaient déjà poussé une partie de ses habitants hors les murs. Séismes, infiltrations d’eau et glissements de terrain achevèrent de fragiliser ses fondations et la population restante migra dans la vallée. Si vous arpentez les rues de cette sentinelle isolée, vous serez assurément impressionné non par les vestiges des palais et des églises encore debout, mais par l’atmosphère de fin du monde qui s’en dégage.
  • Grytviken (Géorgie du sud)

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Il est rare de poser ses valises en Antarctique. Pourtant, l’île de Géorgie du Sud (à ne pas confondre avec l'état européen, la Géorgie) a connu plusieurs vagues de peuplement, des chasseurs de phoques au XIXe siècle, qui abandonnèrent les lieux une fois les animaux décimés, à l’établissement d’une station baleinière au siècle suivant ; les baleines étant en voie de disparition, la station périclita dans les années 1960. 



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Ouverte aux visiteurs, l’île compte notamment une Whaler’s Church (église de chasseurs de baleines) 


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et un cimetière –


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 arrêtez-vous sur la tombe de l’explorateur sir Ernest Henry Shackleton, mort ici en 1922.


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L’administration britannique gère un petit musée,



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 près de l’ancienne station baleinière.


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Ce qui reste d'un cinéma à Grytviken.

  • Sewell (Chili)

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Haut perchée dans la cordillère des Andes, la “ville des escaliers”, Sewell au Chili avec ses rues pentues (impraticables pour les véhicules à roues), ses bâtiments peints de couleurs vives et son école Art déco, donnerait presque envie de s’y installer.




 Née en 1905 pour accueillir les ouvriers de la mine de cuivre d’El Teniente, elle doit son nom à un dirigeant de la compagnie minière américaine. Une fois le filon épuisé, la compagnie rapatria la population dans la vallée, entraînant la fin de Sewell dans les années 1970. Le site figure sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité depuis 2006.
  • Bodie, Californie (États-Unis)

Version très photogénique de la cité fantôme du Far West, Bodiefut pourtant l’une des plus grandes villes de la ruée vers l’or en Californie. Cette localité prospère et violente, qui comptait plus de 10 000 habitants, se vida avec le tarissement des mines. Aujourd’hui, quelques centaines de milliers de visiteurs déambulent chaque année dans cette ville au délabrement étudié – c’est un site classé et surveillé, ce qui l’a préservé du vandalisme. Un voyage dans l’Ouest sauvage plus vrai que nature
Bodie se situe en altitude, dans la partie orientale de la Sierra Nevada. La route d’accès est souvent fermée l’hiver.


Bodie, Californie

  • Real de Catorce (Mexique)


Son surnom, le “Nid d’aigle”, est plus évocateur que son nom d’origine, Real de Minas de Nuestra Señora de la Purísima Concepción de los Álamos de Catorce. Cette ville (presque) fantomatique du Mexique bénéficie d’un emplacement remarquable, à la lisière de la Sierra Madre Oriental. Riche cité argentifère jusqu’au début du XXe siècle, elle a ensuite été désertée. Pourtant, son aura ne cessa de grandir. La beauté de ses maisons coloniales et de ses églises à l’abandon attirèrent les voyageurs, tout comme les légendes nées de son histoire et les croyances des Huichols. 

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cactus hallucinogène, le peyoti.

Dans les années 1970, le peyotl, un cactus hallucinogène, attira des pèlerins d’un genre particulier. Aujourd’hui, Real de Catorce se repeuple et vit ses derniers moments de cité fantôme – dépêchez-vous d’aller goûter son atmosphère surannée !
Aménagée dans un bel édifice restauré, la Mesón de la Abundancia assure le gîte et le couvert.

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Le village de Real de Catorce.

  • Belchite (Espagne)
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Ce village de la province de Saragosse en Espagne du Nord fut entièrement détruit lors d’une bataille entre nationalistes et républicains en 1937. Un nouveau bourg fut édifié près de l’ancien, dont les vestiges, restés en l’état, font office de mémorial de guerre. L’ossature de l’église domine les ruines criblées de balles dont on aperçoit l’intérieur, même si plusieurs édifices sont interdits au public en raison de leur dangerosité. Cette ville dépouillée livre un témoignage poignant sur la guerre civile espagnole, qui détruisit de nombreuses vies ordinaires.




L’ancien Belchite, à environ 20 minutes à pied du nouveau bourg, est desservi par bus depuis Saragosse.

Belchite est connue pour avoir été le site de l'une des batailles les plus symboliques, si ce n'est les importantes, de la guerre d'Espagne. Le village fut pris et repris à de multiples reprises par les nationalistes puis par les républicains. Lors des combats de la bataille de Belchite, en août et septembre 1937, le village fut complètement détruit.

Ibn Khaldoun, père fondateur des sciences sociales


Ibn Khaldoun consacra sa vie à parcourir les pays en quête de savoir. Ainsi, il voyagea à travers le Maghreb, Al-Andalus, le Hejaz, le Levant de l’Egypte, travaillant notamment comme juge ou encore enseignant. Parmi ses ouvrages de références, le «Livre des exemples» posa les bases des sciences sociales modernes.


Abou Zeïd Abderrahman ibn Mohammed ibn Khaldoun al-Hadrami naquit le 27 mai 1332 d’une famille arabe originaire du Yémen. Il émigrèrent de Séville au début de la chute d’Al-Andalus, pour élire domicile à l’Ifriqiya (actuellement la Tunisie).
Là-bas, il étudia le Coran auprès d’érudits tunisiens grâce auxquels il apprit à interpréter les textes, tout en acquérant des bases solides dans les hadiths, la jurisprudence islamique, les sciences linguistiques et d’autres disciplines du savoir. Ibn Khaldoun se distinguait par sa soif d’apprendre, son esprit vif, son génie, et ses connaissances multidisciplinaires.


En effet, ce connaisseur était un savant encyclopédique à qui le savoir riche permit de poser les jalons de la sociologie moderne, tout en faisant partie de l’éminence des foqaha malékites maghrébins. A peine diplômé de l’Université Zitouna à Tunis, Ibn Khaldoun rejoignit la cour des Mérinides (1244 – 1465). Le sultan Abu Inan Faris (1348 – 1358) le désigna membre du comité scientifique de Fès, mais les choses changèrent rapidement. En effet, Abu Inan ordonna de mettre le savant en prison, après avoir appris que ce dernier préparait le retour des Hafsides (1207 – 1574) à Tunis.

Un savant au cœur des intrigues de pouvoir
«Le voyage d’Ibn Khaldoun» de Muhammad b. Tawit al-Tangi nota que «le règne des Mérinides fut marqué par des intrigues de pouvoir et des conflits politiques dont Ibn Khaldoun était toujours la victime, surtout sous le sultan Abou Inan Faris de Fès».
En effet, ce dernier avait appelé le savant à rejoindre le conseil scientifique princier après avoir entendu parler de sa grande renommée dans l’Ifriqiya. Mais la fin du règne de ce sultan qui avait pris sous son aile le voyageur Ibn Battuta fut entachée de dissidences. «Cette période, Ibn Khaldoun la passa en détention pour son engagement dans le jeu politique», nota la même source.
Au décès d’Abou Inan, Ibn Khaldoun fut relâché et gagna en notoriété scientifique. Au début de 1362, il se dirigea vers Grenade où il fût accueilli par le prince de Grenade, qui le chargea d’assurer la médiation avec le roi de Castille pour le maintien de la paix. Après cela, Ibn Khaldoun se rendit en Egypte, où il fût reçu par le roi Al-Dhaher Barquq qui le nomma juge en chef.


Dans son ouvrage éponyme consacré à Ibn Khaldoun, Omar Farouk Al-Tabaâ nota que le savant «enseigna dans le Maghreb, à Al Quaraouiyine à Fès, puis à Al-Azhar au Caire mais aussi à l’école Dhahiriya d’Alep, entre autres. Lors de son séjour en Egypte qui dura près d’un quart de siècle, Ibn Khaldoun exerça dans la magistrature à plusieurs reprises».
Pendant toutes ces années, Ibn Khaldoun écrivit dans différents domaines, de l’économie, à la philosophie en passant par la biologie. Mais ses ouvrages les plus célèbres de tous les temps restèrent «Le livre des exemples» (Kitab al-Ibar) et sa «Muqaddima» (Introduction).

Une œuvre fondatrice des sciences humaines contemporaines
Cette œuvre intarissable en savoir et en réflexion se composa de sept volumes, le huitième étant consacré entièrement à son index et l’ensemble de ses écrits se distinguèrent par ses théories fondatrices sur les lois de l’urbanisation et la asabiyya ( «la cohésion et l’unité sociales» dans les territoires arabes), ainsi que ses profondes réflexions sur l’édification des Etats, les cycles des régimes politiques et leur chute.
A ce propos, Muhammad b. Tawit al-Tangi écrivit qu’«aucun penseur et écrivain en arabe n’avait autant de succès qu’Ibn Khaldoun». Pour lui, «aucun des savants en histoire et en sociologie ne l’égalèrent, particulièrement pour sa Moqaddima et ses travaux qui créèrent le débat, associés depuis le temps à un large mouvement intellectuel arabe qui perça dans les domaines des sciences humaines».
Quant au géographe Yves Lacoste, il témoignât dans son livre «Ibn Khaldoun. Naissance de l’histoire. Passé du tiers-monde» : le plus «extraordinaire» dans la pensée d’Ibn Khaldoun était que ce dernier avait évoqué «nombre de questions posée par les historiens contemporains», en cherchant «des réponses à ces questions fondamentales dans l’analyse des structures économiques, sociales et politiques».
Et d’ajouter que «les travaux de recherche, d’analyse et d’écriture accomplis par ce génie maghrébin au XIVe siècle aident aujourd’hui à comprendre la problématique la plus saillante – sans aucun doute la plus tragique de notre temps – qu’est le sous-développement».
Ibn Khaldoun mourut au Caire (Egypte) en 1406. Il fut inhumé dans le cimetière soufi au nord de la ville et laissa une grande influence sur la pensée arabe et au-delà. Yusuf Ibrahim Qutrib l’écrivit avec brio à travers ces mots : «Ibn Khaldoun constitua une fierté en tant qu’icône, une figure du savoir et de la pensée arabe à al-andalous (…)»

La plus grande ville fantôme est en Chine !

Aéroport de classe International complètement vide. La ville de Ordos en Chine est totalement déserte. Cependant, la police continue de surveiller les rues, les cantonniers de nettoyer les voies de cette ville de plus de 80.000 Km2.



Tout savoir sur le pesticide des oeufs contaminés

La crise des œufs contenant le pesticide fipronil a secoué l’Europe.

Mais quels sont les risques réels ?

Tout savoir sur le pesticide des oeufs contaminés

Le fipronil est un insecticide utilisé principalement pour lutter contre les poux, les tiques et les puces chez les animaux de compagnie. Le produit Frontline, par exemple, en contient. Efficace contre ces parasites, il rentre toutefois dans la catégorie des neurotoxiques. Ces substances sont capables de dérégler le système nerveux, c’est pourquoi l’Union européenne a interdit son utilisation dans l’alimentation des animaux (et des êtres humains).
  Comment a eu lieu la contamination ?  : 
Il est difficile de déterminer la cause exacte de la contamination, mais les soupçons se portent vers un antiparasitaire, le DEGA 16, utilisé dans les élevages de volailles en Belgique et au Pays-Bas, où les premières traces de pesticide ont été identifiées.            Est-ce dangereux pour la santé ? : Chez les insectes, le fipronil se fixe sur certains récepteurs neuronaux censés inhiber le système nerveux. Sans cette action, l’excitation neuronale provoque une paralysie, puis la mort. Mais pour provoquer de pareils effets chez l’être humain, plusieurs grammes de fipronil devraient être ingérés. Or, d’après les autorités belges, la quantité de pesticide retrouvée dans les œufs incriminés serait dix fois inférieure au taux jugé dangereux par les normes européennes. A dose élevée, une consommation peut ne pas être létale mais provoquer des vertiges, des nausées et des vomissements. En France, le fait que les œufs aient été livrés dans le but de fabriquer d’autres produits diminue encore davantage le risque.

Taïwan, le trésor caché d'Asie

Bien que liée à l'histoire de la Chine et du Japon, Taïwan a sa propre identité. Ouvert sur le monde, parfois même en avance sur ses voisins, ce petit État a ses propres croyances, ses caractéristiques et ses savoir-faire. Taïwan, c'est une île pleine de surprises, de beautés naturelles, de spiritualité aussi, le tout encore préservé. Jérôme Pitorin aborde son voyage par la visite de la capitale, Taipei, dans laquelle les buildings côtoient les temples.

 Au sommaire :

- Carte d'identité 
- L'art du thé 
- Les superstitions à Taïwan 
- Le pays aux 286 sommets 
- La culture de la mer 
- Le théâtre de marionnettes

Les lieux secrets et l'histoire de Paris avec le récit de dix journées dans la vie de la capitale à travers les siècles, de 360 à 1949.

Découvrez les lieux secrets et l'histoire de Paris avec le récit de dix journées dans la vie de la capitale à travers les siècles, de 360 à 1949.

  • Quand les Hussards réveillent le Tout-Paris - 11 novembre 1949. Avec l'impertinence et l'élégance du style pour étendard, les écrivains Roger Nimier, Antoine Blondin, Michel Déon et Jacques Laurent caracolent dans Paris.


Ces journées capitales pour Paris : quand les Hussards réveillent le Tout-Paris




Ces journées capitales pour Paris : quand la ville vibre avec l'Exposition universelle




Ces journées capitales pour Paris : quand le surintendant des arts de Napoléon démissionne



Ces journées capitales pour Paris : quand Beaumarchais regarde la prise de la Bastille




Ces journées capitales pour Paris : quand la marquise Du Deffand donnent des soupers

  • Quand Henri IV inaugure le Pont-Neuf -  20 juin 1603. Le Pont-Neuf n'est pas achevé? Que diantre ! Le bon roi Henri ne saurait attendre davantage. Rien ne l'empêchera de l'inaugurer.


Ces journées capitales pour Paris : quand Henri IV inaugure le Pont-Neuf


  • Quand le poète François Villon est banni - 5 janvier 1463. Condamné au gibet, François Villon voit sa peine commuée en bannissement. Cette fois encore, il devra quitter Paris. proscrit, mais vivant.


Ces journées capitales pour Paris : quand le poète François Villon est banni



Ces journées capitales pour Paris: quand Saint Louis fait édifier la Sainte-Chapelle

  • Quand sainte Geneviève sauve Lutèce - 11 novembre 498. Elle s'en est toujours remise à Dieu : face aux Huns ou lors du siège de Paris par les Francs. Aujourd'hui, elle l'invoque pour que Clovis se convertisse.


Ces journées capitales pour Paris : quand sainte Geneviève sauve Lutèce



Ces journées capitales pour Paris: quand l'empereur de Rome rêve d'une nouvelle Athènes