- Le caméléon est capable de projeter et rétracter sa langue sur une distance deux fois supérieure à son corps
- Le grand requin-marteau : le meilleur détecteur d'électricité.
- Le ricin : la plante la plus meurtrière
- La rafflesia : la plus grande fleur du monde
La rafflesia ne possède ni tiges, ni feuilles, ni racines : seul un amas filamenteux constitue la partie végétative de cette plante parasite.
- L'isopode : la langue la plus monstrueuse
- Le chimpanzé : le plus grand consommateur de médicaments
- Le poisson-scie : l'épée la plus sensible
- Le népenthès : la plante la plus glissante
- La sterne arctique : les plus longues migrations.
- Le gris d'Afrique : l'animal qui parle le mieux
A l'état sauvage, les gris d'Afrique vivent en groupes dans la forêt pluviale et communiquent entre eux en toutes circonstances. Cette espèce de perroquet est d'ailleurs la plus à même de pouvoir parler le langage humain. Le plus célèbre gris d'Afrique est celui du Dr Irene Pepperberg qui est capable d'identifier les formes et les couleurs, de demander des choses, de tenir une conversation sommaire, voire même de raconter des blagues !
- Le gecko : la fixation la plus puissante
Le pied du gecko est couvert de quelque 500 000 poils élastiques microscopiques appelés "setae" d'environ 50 microns de longueur. Le setae est terminé par un "spatulae", réseau de poils minuscules, épais d'à peine 200 nm qui, lorsqu'ils rentrent en contact avec une surface lisse, interagissent au niveau moléculaire par des forces d'attraction de nature électrostatique.
- Les termites : les meilleurs architectes
- L'épaulard : le tueur le plus redoutable
orque ou épaulard
- Le morpho : le mâle le plus tape-à-l'œil
- La cercope des prés : le meilleur sauteur
Si la puce est capable de sauter d'une hauteur de 24 cm pour aller embêter les félins, c'est bien la cercope qui gagne la compétition du meilleur sauteur. Se nourrissant de sève, cet insecte peut soit sauter soit voler d'une plante à l'autre. L'énergie qu'elle déploie au cours d'un saut est comparable à celle d'un petit caillou envoyé par un lance-pierres. Agissant comme un Velcro, les rainures de ses pattes maintiennent une contraction permanente des muscles, ce qui donne à l'animal, lorsqu'il se détend, la force d'une catapulte. Son accélération lui permet d'atteindre en un millième de seconde une vitesse de 4m/s et de s'élever à plus de 70 cm de hauteur, développant ainsi une force égale à 400 fois son propre poids.
- Le criquet pèlerin : les plus grands essaims
- Le phrynosome cornu : le moyen de défense le plus spectaculaire
Ce petit iguane qui se nourrit essentiellement de fourmis et en mange une quantité impressionnante chaque jour. La longueur de sa digestion le rend donc d'autant plus vulnérable face à ses prédateurs. Si le camouflage est son premier atout, le phrynosome cornu possède une peau recouverte d'épines qui peuvent transpercer la gorge de petits prédateurs, devant lesquels il se gonfle pour paraître encore plus impressionnant. Face à ses plus gros prédateurs, il utilise une arme spectaculaire en faisant jaillir de ses yeux un flot de sang nauséabond en provenance de ses sinus. Il ne peut pas cependant utiliser ce moyen de défense de façon systématique car il perd un quart du total de son sang chaque fois qu'il y fait appel.
- Le welwitschia : les feuilles les plus âgées
- L'ours polaire : les plus grandes réserves de graisse
Le poids de l'ours polaire varie de 200 à 600 kg. N'hibernant pas, excepté les femelles fécondées, les ours polaires passent leur temps à chasser, notamment le phoque. Si la chasse du printemps est heureuse, la femelle peut doubler son poids, ce qui fait d'elle le mammifère terrestre pouvant emmagasiner les plus grandes réserves de graisse. Pendant son hibernation, la femelle voit son métabolisme ralentir et ne survit que grâce à ses réserves de graisse.
Le condor des Andes : le plus grand oiseau charognard
Plutôt charognards que rapaces, les condors sont d'excellents planeurs qui scrutent les charognes. Le condor des Andes est particulièrement adapté à ce mode de prédation : ses pattes lui permettent de freiner en vol, de marcher, mais pas de saisir une proie. Sa tête et son cou déplumés lui permettent de mieux s'insinuer dans les carcasses et son grand bec aiguisé peut lacérer la peau de ses victimes. Enfin ses mâchoires puissantes peuvent arracher de grands morceaux de chair.
- La dionée : la plante la plus mobile
La dionée utilise les deux lobes prolongeant chacune de ses feuilles comme un piège à mâchoire qui se referme sur les insectes dont la plante utilise les minéraux pour remédier à la pauvreté des sols tourbeux sur lesquels elle se développe. La pression de l'eau contenue dans les cellules de ses lobes foliaires exerce une tension différente entre les deux faces, ce qui les maintient ouverts de part et d'autre. Bordé de cils et de glandes qui sécrètent du nectar, chaque lobe porte au milieu de la face supérieure trois poils raides sensibles au moindre contact : dès qu'un insecte les frôle, des signaux électrochimiques sont émis, relâchent la pression de l'eau dans les cellules et les deux lobes se ferment en une fraction de seconde.
- Le jacana du Mexique : les doigts les plus longs
- Le gerris : le meilleur marcheur sur l'eau
- Le bambou : la plante à croissance la plus rapide
- L'otarie antarctique : les moustaches les plus longues
- Le séquoia : l'organisme vivant le plus haut
- L'autruche : l'oiseau le plus gros
- Le manchot empereur : l'incubation la plus spartiate