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LE TOP 15 CLASSIQUE DES ANIMAUX QUI FONT PEUR.

  • LE BOUC.


il a ce regard troublant à cause de sa pupille horizontale et il ne sent souvent pas très bon, mais qu’est-ce qui peut justifier sinon sa présence ici ? C’est qu’au Moyen Âge il était l’incarnation du Diable, un animal impur obnubilé par la procréation et dont l’odeur âcre était une manifestation de la présence du démon… Heureusement pour lui, en d’autres lieux et cultures le bouc était au contraire un fétiche, un protecteur : chaque village avait son bouc car il était réputé être le réceptacle de tout les malheurs qu’il captait et canalisait à la manière d’un paratonnerre et que plus il était barbu et puant, plus efficace il était dans l’exercice !
  • LE CORBEAU, OISEAU DE MALHEUR.


Il n’y a qu’en Europe que le corbeau soit perçu de manière négative. Symbole de mauvais augure dans l’interprétation des rêves, il est l’oiseau sinistre qui se nourrissait de la chair des cadavres sur les champs de bataille, un oiseau au plumage noir associé à la putréfaction. Dans nombre d’autres cultures il est au contraire un symbole très positif tour-à-tour solaire, protecteur et messager divin, une vision plus en phase avec ses capacités intellectuelles étonnantes qui seraient équivalentes à celles d’un enfant de cinq ans ! Il existe 130 espèces de corvidés, la famille des corbeaux dans laquelle on trouve aussi les corneilles, les pies et les geais.
  • CHOUETTES ET HIBOUX.

Fut un temps où les anciens clouaient chouettes et hiboux aux portes des granges dans les campagnes pour éviter le mauvais sort ! Les strigidés (nom de la famille des chouettes et hiboux), animaux nocturnes par excellence, étaient des symboles de ténèbres, de laideur et de mort avec une réputation de voleurs mâtinée de divination. Bref un méchant CV pour un animal inquiétant aujourd’hui réhabilité, notamment de par son rôle de régulateur des populations de rongeurs au point que la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) encourage les paysans dans certaines régions à installer des abris pour les chouettes plutôt que d’utiliser des anti-rongeurs chimiques.
  • LA CHAUVE-SOURIS.


S’il est un animal qui incarne à merveille la fête d’Halloween, c’est bien la chauve-souris, sinistre créature qui s’agrippe aux chevelures (une vieille légende pour dissuader les jeunes filles de sortir le soir !) et vide les innocents de leur sang (3 espèces sud-américaines sont effectivement hématophages sur les quelques 1.000 espèces qui constituent l’ordre des chiroptères). Elle est en réalité un animal qui fascine les scientifiques par sa capacité à utiliser l’écholocation pour chasser la nuit, le seul mammifère qui sache voler et un gros mangeur d’insectes et de moustiques. Victime d’une réputation injuste, il faut simplement respecter quelques règles de sécurité quand on veut recueillir une chauve-souris blessée qui peut être porteuse de maladies. Au passage, on vous encourage à lire le dossier ‘Chauves-souris les mal-aimées’ qu’on leur a consacré pour découvrir ces animaux fascinants !
  • LE RAT.

Originaire d’Asie, le rat noir (Rattus rattus) colonisa l’Europe au VIIIème siècle puis le monde entier avant d’être remplacé par le rat brun (Rattus norvegicus, aussi appelé surmulot) à partir du XVIIIème siècle. Rongeur adaptable, omnivore et très intelligent qui se reproduit rapidement, il a appris à vivre dans l’ombre de l’homme dont il a suivi l’expansion et est un de ces animaux qui se plaît particulièrement dans les habitats artificiels des villes (on parle d’un ratio de 1,5 à 2 rats/habitant à Paris par exemple). Surtout, le rat peut être un vecteur d’épidémies de maladies dont certains individus sont porteurs et qui sont transmis à l’homme via la piqûre de ses parasites (puces et poux), une des causes possibles de la redoutable épidémie de peste noire qui décima un bon tiers de la population européenne au XIVème siècle.
  • LES ARAIGNEES.

La peur des araignées (et celle des serpents) serait innée chez l’être humain, une phobie héréditaire d’origine évolutive où nos ancêtres auraient appris il y a bien longtemps qu’il vaut mieux éviter ces animaux en raison de leur dangerosité. Toutefois, même si on peut juger leur apparence inquiétante, rares sont les arachnides qui sous nos latitudes présentent un réel danger pour nous, les araignées étant souvent des créatures craintives qui ne feront de mal qu’à une mouche. Dans certains pays plus chauds, l’affaire se corse avec les mygales 


ou des araignées comme la veuve noire 


dont la piqûre peut être mortelle…
  • LES SERPENTS.
Il faut craindre les serpents, dont certaines espèces infligent des piqûres douloureuses voire mortelles. On trouve 11 espèces de serpents (sans compter les orvets 


qui eux sont en réalité des lézards) dont trois espèces, toutes des vipères, ont une morsure venimeuse et potentiellement dangereuse pour nous : la vipère péliade (au statut ‘Vulnérable’ à ‘En Danger’ selon la région),


 la petite vipère d’Orsini ('En danger') 


en région PACA et la vipère aspic, peut-être la plus connue.



Les autres espèces sont des couleuvres, plutôt inoffensives.


Les vipères sont des animaux craintifs qui ne mordront que si elles ne peuvent pas fuir.


Même si on ne les aime guère et qu’il vaut mieux les éviter, les serpents ont un rôle écologique majeur et tendent malheureusement à se raréfier en raison de la dégradation de leurs habitats. On peut aussi distinguer les vipères à leur tête triangulaire et les couleuvres à leurs paupières horizontale (‘elles clignent des yeux’) et leur pupille ronde.
  • L'OURS.

Puissant, malin, rapide, taciturne, endurant, opiniâtre, imprévisible et ne craignant pas l’homme : l’ours est un animal qui peut aisément disputer à l’homme son statut de super prédateur. Et avec ses énormes pattes aux griffes redoutables et sa gueule terrible, c’est même plutôt du bon sens que de le craindre comme devait le faire nos ancêtres préhistoriques… et c’est encore vrai quand on se trouve en Alaska ou dans une région sauvage du Monde où il règne encore en maître.
 

  • LE LOUP.

A grand renfort de contes et histoires qui nous bercent depuis notre enfance, on a appris à craindre le loup gris (Canis lupus) qui effectivement s’attaquait à l’homme dans les forêts et campagnes. 
La cohabitation avec les éleveurs de brebis demeure un sujet épineux.
  • LE REQUIN.

Le requin fait peur. Il y a de nombreuses explications à chercher à ces comportements et des solutions à imaginer pour réussir à mieux cohabiter avec ces poissons cartilagineux héritiers d’une lignée présente dans les océans de notre planète depuis des Millions d’années. Toutefois, au rythme où ils se font massacrer et pêcher (par millions !), on risque malheureusement de ne plus avoir à trop y réfléchir, au risque de faire disparaître un maillon essentiel de l’équilibre de la chaîne alimentaire et des écosystèmes des océans… 


  • LA BAUDROIE.


Les baudroies sont des poissons marins aux formes étranges et inquiétantes qui ont des gueules immenses (et extensibles !) pourvues de dents pointues et un corps dépourvu d’écailles. 

Ce sont des prédateurs qui vivent au fond des mers et utilisent une espèce de canne à pêche qu’elles agitent pour appâter leurs proies, en réalité une évolution du premier rayon de leur nageoire dorsale qui s’est spécialisée pour cet usage spécifique. La baudroie commune (aussi appelée lotte, dont les poissonniers vendent les queues sur leurs étals - à ne pas confondre avec la lote de rivière) est un poisson tout plat qui se tapit au fond l’eau et se confond avec le sol. Elle peut mesurer jusqu’à 2 m et peser jusqu’à 40 kg. Dans les abysses, on trouve d’autres espèces de baudroies beaucoup plus petites (une dizaine de cm) mais avec des têtes de cauchemar. Elles agitent leur leurre bioluminescent dans les ténèbres pour attirer leurs proies dans leur gueule immense. Autre fait étrange chez certaines espèces comme la baudroie abyssale barbue :


le mâle, cinq fois plus petit que la femelle, va pour se reproduire se coller à la femelle en la mordant puis en devenir progressivement un parasite qui va littéralement fusionner avec elle !
  • LA CUBOMEDUSE D'AUSTRALIE.

La cuboméduse d'Australie (Chironex fleckeri) est la méduse la plus venimeuse du monde et sa piqûre peut tuer un être humain en quelques minutes. On la connaît sous différents noms : piqueur marin, main de la mort, main qui tue ou encore guêpe de mer. 


Même si elle ne pique pas intentionnellement et qu’elle est plutôt rare, elle est extrêmement dangereuse car sa transparence fait qu’on ne la distingue guère, d’où les nombreux accidents mortels qu’elle a à son actif.


  • LE POISSON TIGRE GOLIATH.

Le poisson tigre goliath (Hydrocynus goliath), aussi appelé poisson-chien et connu localement sous le nom de 'mbenga' est un redoutable prédateur du fleuve Congo en Afrique. Il peut mesurer 1,80 m de long et peser 50 kg et est équipé d’une terrible mâchoire munie de 32 dents longues et pointues qui dépassent de sa gueule décharnée. L’homme est son unique prédateur (il s’attaque aux crocodiles de sa taille !) mais il ne le craint pas et n’hésite pas à l’attaquer, plusieurs agressions mortelles ayant été rapportées.

  • LE SOLIFUGE OU ARAIGNEE SOLEIL.

On l’appelle araignée du soleil, araignée à dix pattes, 'camel spider' en anglais ou encore scorpion du vent : le solifuge est un drôle d’arachnide nocturne qui n’est certes pas venimeux mais est équipé à la place de deux immenses pédipalpes super adhésifs (qu’on peut confondre avec des pattes) à l’avant du corps et d’une redoutable paire de chélicères hypertrophiés et proéminents qui pointent vers l’avant et lui permettent littéralement de broyer ses proies. Il existe plus de 1.000 espèces de solifuges réparties en 12 familles qu’on trouve un peu partout sauf en Océanie et qui ont une préférence pour les habitats chauds et secs voir arides. Même si leur morsure peut être douloureuse, les solifuges ne sont pas agressifs sur des créatures plus grandes qu’eux, même si leur apparence et leur taille (jusqu’à 15 cm pour la plus grande espèce pattes déployées) peuvent faire peur.
  • LE CROCODILE MARIN.

Les crocodiles sont des prédateurs redoutables, mais quand on en vient à parler du crocodile marin que les Australiens surnomment le ‘salty’ (celui qui vit dans l’eau salée) et que l’on trouve dans divers pays d’Asie du Sud Est et d’Océanie, on tient sans doute un champion. D’abord parce que c’est le plus grand des crocos (il peut atteindre les 7 m de long), ensuite parce qu’il fréquente les estuaires et qu’on peut le croiser aussi bien dans des marais qu'en mer le long des côtes et aux embouchure des fleuves, et enfin parce que c'est un crocodile féroce et très dangereux qui n’hésite pas à s’attaquer à l’homme !

20 aliments à ne pas réfrigérer !

  •  Les tomates.

Les tomates réfrigérées perdent de leur saveur ? C'est parce que l'air froid interrompt le processus de maturation et diminue leur goût. De plus, le froid peut rendre leur texture farineuse. Conservez vos tomates sur le comptoir pour les savourer au mieux de leur jus et de leur saveur.
  • Les bananes.

Les bananes et le réfrigérateur ne sont pas les meilleurs amis du monde. Les températures froides ralentissent le processus de maturation et peuvent même faire noircir la peau prématurément. Si vous recherchez la maturité jaune parfaite, la température ambiante est la meilleure solution. Placez-les sur le comptoir et regardez-les mûrir à merveille.
  • Pommes de terre.
Les pommes de terre conservées au réfrigérateur transforment plus rapidement leur amidon en sucre, ce qui affecte leur goût et leurs propriétés de cuisson. Elles finissent par être plus sucrées et plus granuleuses que vous ne le souhaitez. Conservez-les plutôt dans un endroit frais et sombre, comme un garde-manger. Elles conserveront ainsi leur texture idéale et leur goût de terre.
  • Oignons.

Les oignons ont besoin d'une circulation d'air pour rester frais, ce qu'ils ne peuvent pas obtenir dans les conditions humides et exiguës d'un réfrigérateur. De plus, ils peuvent donner à tout ce qui s'y trouve une odeur d'oignon. Conservez-les dans un endroit frais et sec, mais séparez-les des pommes de terre, qui risquent de les abîmer plus rapidement.
  • Ail.

Comme les oignons, l'ail préfère un endroit frais et sec avec une bonne circulation d'air. La réfrigération peut le faire germer prématurément ou le faire moisir. Un garde-manger sec ou un conservateur d'ail sur le comptoir font des merveilles pour garder votre ail frais et prêt à parfumer vos plats.
  • Avocats.

Si vous avez déjà mis un avocat non mûr au réfrigérateur, vous savez qu'il met une éternité à mûrir. Les températures froides retardent le processus de maturation. Laissez-les sur le comptoir jusqu'à ce qu'ils soient à point, puis réfrigérez-les pour les garder un peu plus longtemps à ce stade de maturité parfait.
  • Miel.

Cet édulcorant naturel devient épais et cristallisé lorsqu'il est réfrigéré, ce qui le rend difficile à utiliser. Le miel étant naturellement antibactérien, il se conserve parfaitement à température ambiante. Il suffit de le conserver dans un récipient hermétiquement fermé pour qu'il conserve sa consistance lisse et onctueuse.
  • Pain.

Le fait de réfrigérer le pain le fait rassir plus rapidement, car l'air froid affecte sa teneur en eau. Il est préférable de conserver le pain dans un endroit frais et sec si vous comptez le consommer dans les jours qui suivent. Pour une conservation plus longue, congelez-le et décongelez les tranches au fur et à mesure de vos besoins.
  • Le café.

Le café absorbe les odeurs, et le réfrigérateur en est rempli. De plus, les variations de température peuvent altérer son goût. Conservez votre café dans un récipient hermétique dans un garde-manger. Vous conserverez ainsi la fraîcheur et la saveur de votre café du matin.
  • Basilic.

Le basilic ne se fane pas seulement au froid, il peut aussi absorber les odeurs du réfrigérateur, ce qui nuit à sa fraîcheur et à sa qualité aromatique. Traitez-le comme des fleurs : une tasse d'eau posée sur le comptoir fait l'affaire. Changez l'eau tous les deux ou trois jours pour qu'elle reste vibrante et parfumée.
  • Huile d'olive.

L'huile d'olive se solidifie et se trouble au réfrigérateur, ce qui complique son utilisation. À température ambiante, elle conserve sa consistance liquide et est prête à être versée lorsque vous en avez besoin. Il suffit de la conserver dans un endroit frais et sombre pour préserver sa qualité.
  • Melons.

Les melons entiers tels que la pastèque, le cantaloup et le melon de miel conservent davantage d'antioxydants lorsqu'ils sont conservés à température ambiante. La réfrigération peut également altérer leur saveur et leur texture. Une fois que vous les avez coupés, c'est une autre histoire : conservez les tranches au réfrigérateur pour qu'elles restent fraîches.
  • Fruits à noyau.

Les pêches, les prunes et les nectarines mûrissent bien sur votre plan de travail. Les températures froides peuvent interrompre le processus de maturation et rendre la chair farineuse. Une fois qu'elles sont mûres et prêtes à être consommées, vous pouvez les mettre au réfrigérateur si vous les préférez fraîches.
  • Le chocolat.

La réfrigération peut affecter le goût et la texture du chocolat, en le rendant trop dur et en ternissant ses saveurs. La température idéale de conservation du chocolat est inférieure à la température ambiante, mais pas aussi froide que celle du réfrigérateur. Trouvez un endroit frais et sombre pour votre réserve de chocolat.
  • Les épices.

Les épices perdent leur puissance et leur saveur lorsqu'elles sont exposées à l'humidité et au froid d'un réfrigérateur. Il est préférable de les conserver dans des récipients hermétiques dans un garde-manger ou une armoire, où elles restent sèches et conservent leur punch. De plus, vous gagnerez de l'espace dans le réfrigérateur pour les produits qui en ont vraiment besoin.
  • Fromages à pâte dure.

Si les fromages à pâte molle gagnent à être réfrigérés, les fromages à pâte dure comme le parmesan peuvent se dessécher et devenir friables. Si vous les utilisez sur une courte période, vous pouvez les conserver dans un endroit frais et sombre. Pour une conservation plus longue, enveloppez-les dans du papier fromage et réfrigérez-les.
  • Agrumes.

Les citrons, les limes, les oranges et les pamplemousses se conservent très bien à température ambiante pendant une semaine environ. Ils peuvent perdre leur humidité et devenir durs au réfrigérateur. De plus, le fait de les exposer dans la cuisine permet de les colorer et de les parfumer.
  • Poivrons.

Le froid peut détremper les poivrons. Ils s'épanouissent à température ambiante, où ils conservent leur texture croquante et leur couleur éclatante. Il suffit de les conserver dans un endroit bien ventilé pour qu'ils restent frais et croquants.
  • Citrouilles.

Les citrouilles et autres courges d'hiver préfèrent le garde-manger au réfrigérateur. L'environnement frais et sec leur permet de durer plus longtemps sans se ramollir ni moisir. De plus, elles font de superbes décorations d'automne en attendant d'être utilisées.
  • Fruits secs.

L'humidité du réfrigérateur peut rendre les fruits secs collants et grumeleux. Il est préférable de les conserver dans un endroit frais et sec, dans un récipient hermétique. Ils restent ainsi moelleux et délicieux, parfaits pour le goûter ou la pâtisserie.
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    Top 10 animaux qui dorment le moins au monde.

    Saviez-vous que le dauphin est presque toujours éveillé ?


    Le dauphin ne dort jamais vraiment complètement. En effet, le cétacé désactive seulement la moitié de son cerveau en phase de sommeil, gardant toujours un œil ouvert.
    • L'autruche le plus grand oiseau vivant, pouvant atteindre les deux mètres de hauteur et peser plus de cent kilos, n'a besoin que de six heures de sommeil par jour ;

    • L'orque : aussi appelé épaulard, le super-prédateur marin capable de s'attaquer à des Grands requins blancs, ne dépasse pas non plus les six heures de sommeil quotidiens ;
    • La girafe : plus grand animal en termes de hauteur, la girafe peut mesurer plus de 4,60 mètres de haut, peser jusqu'à 2 tonnes et ne dormir que 4 heures par jour ;
    • Le mouton : animaux domestiques gardés par nos amis les chiens, les moutons ne se reposent que 4 heures par jour ;
    • La fourmi : nous avons vu le plus grand animal terrestre, regardons de plus près le plus petit et apprenons que l'insecte faisant partie du même ordre que la guêpe et l'abeille ne dort, lui aussi, que 4 heures par jour ;
    • Le cheval: fidèle et fier destrier, il n'a pas besoin de beaucoup de sommeil. En effet, trois heures quotidiennement lui suffisent pour se maintenir en forme ;
    • L'éléphant d'Afrique : de retour dans la Savane, le regard se pose, furtivement, sur l'animal terrestre le plus gros à qui deux heures de sommeil suffisent pour tenir la journée.

    Dans le top 3, les animaux présentés sont à peu près équivalents en termes de sommeil. Entendez-ici qu'ils ne dorment quasiment jamais ou jamais complètement :
    • Le ouaouaron : aussi appelé grenouille-taureau, cet amphibien se repose de temps en temps dans la journée mais reste constamment sur le qui-vive pour réagir rapidement en cas d'attaque de prédateur  
    • Le martinet à ventre blanc : pouvant être confondu avec une hirondelle, le martinet à ventre blanc dort de façon fractionnée. Ainsi, en laissant toujours une partie de son cerveau active, il ne dort jamais vraiment. Encore plus quand on sait qu'il peut voler 6 mois sans s'arrêter ;
    • Le dauphin : on vous en parlait juste au-dessus mais le mammifère marin de la famille des baleines ne dort quasiment jamais non plus et désactive la partie de son cerveau qu'il veut mettre en sommeil.

    Combien de couleurs possède un arc-en-ciel ?


    L'on apprend à l'école que l'arc-en-ciel possède sept couleurs. Mais la réalité est plus complexe.
    Rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet : ce sont les sept couleurs de l’arc-en-ciel (de l’extérieur vers intérieur) telles que les apprennent tous les écoliers du monde. Mais cela correspond-il vraiment à la réalité et d’abord, qu’est-ce qu’un arc-en-ciel ?
    Un prisme dans le ciel.
    C’est par temps pluvieux que l’on peut avoir la chance d’apercevoir un arc-en-ciel mais pas seulement : autour d’une cascade ou en vaporisant ses plantes, il est possible de retrouver le même phénomène. En fait, il suffit qu’il y ait de l’eau en suspension dans l’air... et du Soleil. C’est sa lumière qui est réfractée par les gouttelettes d’eau. Si elle nous apparaît blanche, elle est en fait composée de toutes les couleurs existantes et celles-ci sont séparées par l’effet de prisme des gouttes d’eau.
    Toutes les couleurs ? Alors pourquoi en avoir retenu sept ? Tout cela, à cause d’un célèbre physicien : Isaac Newton. Connu pour sa formulation de la loi de la gravitation universelle, il s’est aussi intéressé à l’optique et aux télescopes et avait remarqué que la lumière réfractée donnait des couleurs. Il a étudié le phénomène pour s’en affranchir, les aberrations chromatiques limitant l’usage des télescopes à lentilles. Après plusieurs expériences menées avec des prismes, il conclut que la lumière en apparence blanche du Soleil était composée de rayons colorés et il en dénombra cinq au départ : les trois primaires (le rouge, le jaune et le bleu) et deux secondaires (le vert et le violet). Il en rajouta deux (l’orange et l’indigo) pour faire correspondre la gamme des couleurs à la gamme des notes de musique (do, ré, mi, fa, sol, la, si). Toutes ses expériences sont résumées dans Opticks, un ouvrage qu’il publia en 1704. C’est donc à Newton qu’on doit la division en sept des couleurs de l’arc-en-ciel qui compte en réalité une infinie variation de teintes !

    Voici la vie au GUATEMALA | Le pays avec les FEMMES LES PLUS PETITES DU MONDE

     

    Le Guatemala, officiellement connu sous le nom de République du Guatemala, est un pays vibrant et diversifié situé en Amérique centrale. 
    La capitale du Guatemala est la ville de Guatemala, et c'est la ville la plus peuplée et la plus cosmopolite de l'Amérique centrale. La ville est le centre politique du pays, abritant les pouvoirs gouvernementaux qui régissent la politique du pays. La vie au Guatemala est un mélange de défis et de beauté. 
    La ville de Guatemala, la capitale, est connue pour sa propreté et sa beauté. Malgré de nombreuses constructions et bâtiments, la ville est assez arborée. Cependant, le Guatemala fait face à des défis significatifs.

    voici les aliments à ne jamais laver avant de manger !


    Laver vos aliments n’est pas un si mauvais réflexe. Il peut être bénéfique dans certains cas, par exemple, pour les fruits et légumes dont on mange la peau. Passer ces aliments sous l’eau et les frotter permet d’enlever la poussière, les germes ou encore les pesticides (tomates, pommes, salade, carottes…).Cependant, ce geste est à omettre absolument pour certains aliments. Au mieux, c’est inutile et au pire, ça peut engendrer des effets indésirables…
    • La viande.

    Il peut être tentant de vouloir laver sa viande, surtout si elle présente un peu de sang, mais il ne faut pas céder ! La viande crue possède, dans sa chair, des bactéries qui peuvent se multiplier au contact de l'eau. Ces dernières ne s'éliminent pas forcément à la cuisson, alors il est plus prudent de mettre votre viande à cuire directement pour éviter de développer des infections alimentaires.
    Si vous voulez quand même laver votre viande, n'utilisez pas d'eau et favorisez le lavage au jus de citron ou au vinaigre.
    • Les oeufs.

    Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la coquille d'un oeuf n'est pas totalement hermétique. Ainsi, lorsqu'on la passe sous l'eau, l'eau peut s'infiltrer et provoquer une réaction similaire à celle de la viande : la prolifération de bactéries. Problème qui peut être facilement évité en s'abstenant de mouiller la coquille, de toute manière, on ne la mange pas alors ce n'est pas grave si elle est un peu sale.
    Si vous lavez les oeufs à la maison, on vous explique pourquoi il est préférable de retirer cette habitude de votre quotidien. Laver la coquille des œufs peut aider à la propagation de bactéries potentielles. Pourquoi ? Poreuse et enveloppé de sa cuticule (couche extérieure de l'oeuf), la coquille, une fois lavée, laisse la place à formation de bactéries sur celle-ci. Pénétrants dans l'œuf, elles peuvent être pas la suite responsable de la salmonellose.
    Alternative : s'il y a des débris, vous pouvez en revanche frotter vos œufs avec un chiffon sec. Pas besoin d'eau et pas de risques de contamination.
    • Les champignons.

    Les champignons sont de véritables petites éponges... En effet, ils sont composés de réseaux de polysaccharides capables de retenir beaucoup de molécules d’eau.
    Ainsi, certains champignons spongieux, comme les cèpes, ne doivent pas être rincés au risque de se gorger d'eau et de perdre de la valeur dans l'assiette. Pour les laver et enlever les résidus de terre, il va falloir s'y prendre avec une méthode délicate, que voici :Retirer les parties indésirables à l'aide d'un couteau.
    Prendre un pinceau pour aliment et l'humidifier.
    Passer le pinceau sur la surface du champignon.
    Rincer le pinceau et reproduire l'opération.
    C'est un peu long, mais ça en vaut la peine pour bien conserver leur texture. Cependant, d'autres champignons plus compacts peuvent facilement résister à des petits rinçages rapides à l'eau courante.
    • Le poisson.

    Tout comme les champignons, le poisson ne se passe pas à l'eau dans n'importe quel contexte. Par exemple, si vos filets et darnes ont été levés par votre poissonnier au moment de l'achat, il ne faut surtout pas les rincer au risque de perdre complètement les saveurs. Si ils ont été au contact de la glace, vous devez les rincer sous l'eau froide pour éviter la prolifération des bactéries.

    Pour des raisons d'hygiène, n'oubliez pas de vous laver les mains et de porter des gants lorsque vous manipulez votre poisson. Concernant les poissons fumés, c'est pareil, il ne faut surtout pas les laver si vous ne voulez pas qu'ils perdent leur goût.
    • Les avocats.

    L'épaisse peau de l'avocat protège parfaitement son fruit, il n'est donc pas nécessaire de le laver. D'autant plus que si l'eau entre en contact avec le fruit et que vous le mettez au frais avant de le consommer, il risque de noircir à vitesse grand V. Comme le reste, l'eau peut également entraîner une prolifération des microbes, alors, abstenez-vous de tout risques et contentez-vous de le manger sans le passer à l'eau...
    • Les aliments dont on ne mange pas la peau.
    Pour ceux-ci, il n'y a pas vraiment de risque encouru, mais le lavage reste inutile... Comme les avocats, les aliments dont on ne mange pas la peau sont protégés et n'ont pas besoin d'être lavés. L'épaisse peau sert de bouclier contre les pesticides et les microbes. Ne perdez pas de temps à rincer vos bananes, vos oranges, vos melons ou encore vos oignons et savourez-les directement.