Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Khoubiza ou Bekkoula : c’est la mauve.
à fine racine pivotante et à tige ronde en partie dressée et velue, rayonnante à partir
du pied central. Les larges feuilles vertes arrondies longuement pétiolées,
palmilobées et dentées, sont également recouvertes d'un duvet velouté. Les fleurs, apparaissant à
l'aisselle des feuilles, à 5 pétales écartés (étroits à la base et échancrés au sommet)
et aux nombreuses étamines, sont grandes d'un très beau mauve pourpré veiné de
rouge. Les fruits sont des polyakènes ronds un peu aplatis (souvent appelés
"fromages" ou "fromageons").
Sa teneur en protéines est de l’ordre de 7,2 g/100 g.
Plante commune dans tous les douars d’Ain Défali, où elle pousse le long des murs et des chemins, dans les terrains
vagues, les prés, les champs et les terres de culture enrichies en azote.
La population d’Ain Défali est une grande consommatrice de khoubiza (à l’état cuit) associée à de l’huile d’olive, surtout aux deux premiers mois de son apparition.
Actuellement, la mauve est principalement utilisée :
• pour combattre la toux en général.
• dans la sphère respiratoire : Pharyngite - Laryngite - Enrouement - Extinction de voix - Trachéite -
Affections broncho-pulmonaires dans leur ensemble et plus particulièrement la bronchite aiguë, la
bronchite chronique et les pneumopathies virales).
• dans la sphère digestive : Constipation fonctionnelle - Douleurs colitiques.
Destruction de l'ancienne auberge de "Mme Robert"
N’oubliez pas qu’Aicha Kandicha de la gare est plus dangereuse que Sidi Ahmed El khadir ! Il a détruit cette fameuse cantine de la gare et il a rasé le cimetière de Sidi M'Hamed El Khadir. Il terminera mal ses derniers jours.
A suivre, et qui vivra verra.
C'est ce bâtiment qui a été rasé par Doghmi. C'est sa photo qui date des années 60.
Sa conscience ne sera jamais tranquille. De toutes les façons, ça suffit la paraplégie qu'il a et les souffrances qu'il endure à vie.
Que veut dire Nbeg ?
Les Nbegs ont un goût agréable et constituent une bonne source énergétique. Les nomades en font une farine qui entre dans la préparation de galettes. Avec les jujubes, on fait des infusions fébrifuges, adoucissantes et laxatives, aussi réputées comme remède efficace contre la rougeole. Les feuilles servent à préparer des tisanes vermifuges et anti-diarrhéiques. En cataplasme, elles activent la guérison des abcès et des furoncles. Quant à la cendre du bois de jujubier, on l'applique accompagnée de vinaigre sur les morsures de serpents. Ils sont bénéfiques pour les calculs rénaux et les affections rénales.
A Ain Défali, l’usage le plus visible des touffes de jujubier reste celui de haies défensives très efficaces entourant douars et lopins de terre.
3 - Versets 102 à 103 de la sourate al-Baqara
5 - Verset 255 de la sourate al-Baqara
6 - Verset 54 de la sourate al-Nisâ'
7 - Versets 117 à 122 de la sourate al-A'râf
8 - Versets 80 à 82 de la sourate Yûnus
9 - La parole d'Allâh te3ala : (...Mais Allah est le meilleur Gardien, et Il est le
plus Miséricordieux des miséricordieux) du verset 64 de la sourate Yûsuf
10 -Verset 67 de la sourate Yûsuf
11 -Verset 39 de la sourate al-Kahf
12 -Versets 64 à 70 de la sourate Tâ-Hâ
13 -Versets 51 à 52 de la sourate al-Qalam
14- Sourate al-Kâfirûn
15/ Sourate al-Ikhlâs
16/ Sourate al-Falaq
17/ Sourate al-Nâs
Combien de temps allaiter ?
L'origine des Beni Sennana.
Les Beni Sennana seraient originaires de Sennana, village de la commune Draâ-El-Mizan située dans la wilaya de Tizi Ouzou, au sud ouest de la Kabylie, en Algérie.
Leurs ancêtres seraient les béni hilal, tribus arabes installées en Algérie au 10 ème siècle. On sait que les Banu Hilal étaient présents en Algérie jusqu'en 1830, car à l'époque ils ont monté une armée (en ralliant des berbères avec eux) dans l'Ouest de l'Algérie pour combattre le Royaume de France.
Comment peut-on distinguer des "mendiants professionnels" qui se propagent de plus en plus au Maroc ?
En parlant des bus, des hommes y montent munis de petits papiers qu’ils font circuler parmis les passagers pour récolter l’argent, des papiers sur lesquels ils inventent des histoires de tout genre (exp : mon père est mort et ma mère est tombée du cinquième étage, j’ai trois frères handicapés et de plus je loue une baraka à 1000 DH par mois)... Il y a aussi ceux qui sont « mieux habillés que vous ! »
D’autre part, et c’est ce qui me fait le plus mal au cœur, ce sont les accords conclus entre des organismes de protection d’enfants et les réseaux des mendiants en ce qui concerne la "location" des petites bonnes pour les utiliser pour la collecte d’argent, sans oublier ceux qui droguent les bébés pour les faire dormir toute la journée et les garder dans leurs bras pour mendier (dans le but que l’on ait pitié d’eux)
Comment se fait-il que des femmes mendiantes soient avec des enfants innocents et très beaux ?
Ne voyez-vous pas que le Maroc est devenu une terre de phénomènes les plus "sales" du monde ? Devons-nous créer des unités spéciales pour combattre la mendicité professionnelle ?
- Le réel pauvre est celui qui souffre en noir, il a un grand esprit de tolérance et de patience et il ne peut pas demander de l’argent à quelqu’un même s’il en a besoin. C’est cela que l’ont doit aider, ce sont eux les nécessiteux qui ont besoin de nous. La mendicité par nécessité : les mendiants professionnels ne laissent pas place aux vrais nécessiteux, ils ont pollué la sphère sociale. Personnellement je ne arrive pas à distinguer le nécessiteux de l’hypocrite.
Nos costumes traditionnels.
Le Caftan est l’habit de fête. Et pour cause, à travers lui, c’est toute la féminité qui est mise en exergue, avec en prime deux attributs qui lui sont propres : le faste et l’élégance en raison du travail méticuleux de fabrication dont il fait l’objet. De fines étoffes et soieries aux teintes chatoyantes au départ, le couturier traditionnel y mettra son savoir et son art pour créer l’habit somptueux. Broderies dorées, argentées, contours et extrémités délicatement décorés, le tout restituant des sensations de richesse et de féminité. Une ceinture brodée de fil de soie, ou d'or (ou alors, chez les femmes aisées, en argent ou en or massifs) serre le Caftan à la taille.
L’état primitif des moyens de transport au XIX ème siècle au Maroc.
Analyse d’un phénomène de plus en plus à la mode, à Ain Défali et ailleurs, … le mariage mixte.
D’autre part, nous constatons qu’actuellement, un nombre appréciable de nos enfants choisissent de se marier avec une ou un conjoint(e) étranger(e), mais aisé(e), profitant des possibilités matérielles pour mener une vie confortable et heureuse en faisant profiter toute sa famille. Certain(e)s réussissent, mais difficilement, à faire embrasser à leur partenaire la religion musulmane.
Aujourd’hui, les occasions de rencontre entre Marocaine(e)s et étranger(e)s ne manquent pas, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur du pays.
Mon petit bidonville connu sous le nom du douar Ain Défali
Les cabanes de tôle sont isolées de la route par la forêt d’eucalyptus, seules les paraboles dépassent. Des tas d'ordures et les excréments d'animaux jonchent les allées boueuses du douar Ain Défali. Dans ce bidonville, près de 1500 familles vivent entassées dans des baraques construites à partir de briques de terre, de plaques de métal, de matériaux de récupération. Les conditions de vie et le contexte sanitaire y sont problématiques.
Les services sanitaires de base y sont inexistants, comme l’accès à l’eau potable ou l’assainissement de l’eau et des toilettes. Les risques d’inondations et de glissements de terrains y sont nombreux, car les rues ne sont pas pavées pour permettre l'écoulement des eaux, et aucun système d’évacuation des eaux n'est construit dans ces quartiers.
Ce bidonville n’a pas de gestion des déchets, la pollution y est omniprésente, et les risques de maladies et d'épidémies y sont décuplés.
L’insécurité est le lot quotidien de ses habitants. Ce bidonville est surpeuplé : la densité de population y est très élevée. Des familles entières se partagent souvent la seule pièce qui constitue l’habitat de fortune.
Vaincre les bidonvilles est un grand défi que fait face le Maroc actuellement. Les départements gouvernementaux intéressés par l’éradication de ce fléau sont appelés à doubler d’efforts pour d’un côté, mettre fin à cette hémorragie d’habitat insalubre à Ain Défali, et de l’autre de trouver un foyer décent à ces centaines de marocains qui vivent dans des conditions qui sont loin d’être humaines.
Ain Défali constitue de nos jours une proie pour les charlatans, lesquels investissent ses douars et son souk hebdomadaire.
Ils prétendent être des guérisseurs de toutes les maladies et de tous les maux ou des voyants. Ces charlatans arrivent, par leur rhétorique bien calculée, à persuader de nombreux malades qui se font ainsi arnaquer à leur grand désarroi. Les uns remuent leurs chapelets pour bien assommer leurs victimes en leur faisant croire qu’ils sont capables de leur dévoiler ce que leur cache le sort. Les autres étalent sur un morceau de nylon de vieux livres aux pages jaunes pour appâter leurs clients qui sont souvent des mariées qui souffrent de conflits conjugaux, des personnes malades et des jeunes en proie à des problèmes sentimentaux. Ces victimes totalement blasées de la vie finissent facilement par mordre à l’appât et payent cher.
Le désespoir de certains patients fait qu’ils se laissent malheureusement tenter par ces remèdes miraculeux (potions magiques, plantes alchimiques…) dans l’espoir de voir leurs maux disparaître en un temps record, comme prétendu par ces pseudo-toubibs. Bien plus, la crédulité excessive des citoyens fait qu’ils croient même au miracle comme la guérison des maladies chroniques tels l’hypertension artérielle, le diabète, le rhumatisme... En fait, jurant par tous les saints que leurs solutés magiques sont d’une efficacité redoutable. Il faut dire aussi qu’il existe d’autres formes de charlatanisme, de plus en plus lucratives, pratiquées par des femmes nomades et des fquihs qui font du porte-à-porte. Ces dernières prétendent détenir le pouvoir de faire sortir les démons et les djinns. Malheureusement, elles ne font qu’attiser la haine entre les voisins et les amis par leurs voyances diaboliques, amorales et inhumaines. Les séquelles indélébiles laissées par ces faux guérisseurs illétrés, ces Chouafates, ces sehharates et autres charlatans, sont nombreuses, omniprésentes et continuent d’étendre leurs tentacules pour infecter même la frange intellectuelle. La prolifération de ces escrocs demeure un réel danger au sein de la population Gharbaouie. Malheureusement, ni la société, ni les autorités locales n’ont osé se débarrasser de la pesanteur de cet archaïsme.
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