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L’histoire du thé au Maroc.

La consommation de thé au Maroc laisse penser que la richesse des traditions liées à cet usage a des origines très anciennes, mais elle est en réalité assez récente. Il court beaucoup de légendes sur le thé, le sucre…

Sous Moulay Ismail, un médicament.


Le sultan Moulay Ismail aurait importé le thé d’Angleterre, au début du XVIIIe siècle, en tant que médicament pour soigner un de ses fils qui appréciait un peu trop le jus de la treille. En remplacement du vin, le médecin anglais chargé de guérir le prince lui aurait conseillé de boire du thé, considéré comme une boisson aux vertus thérapeutiques. Il y a un siècle, la guerre de Crimée et le blocus de la mer baltique ont forcé les négociants anglais à se tourner vers d’autres marchés pour écouler leur thé. C’est à partir de Tanger et de Mogador (Essaouira) que leurs stocks de thé vert ont inondé le Maroc. On raconte que c’est la Reine Elisabeth d’Angleterre qui serait responsable de l’arrivée du thé à la cour marocaine, afin dit-on, que les artisans anglais puissent vendre au pays de la vaisselle et d’autres ustensiles nécessaires à la préparation du breuvage. Au début du XVIIIe siècle, le thé à la menthe était un produit tellement cher qu’il n’était consommé qu’au Palais royal.


Avec le sucre, le thé figurait d’ailleurs parmi les plus prestigieux cadeaux qui étaient offerts aux Sultans. Il reste aujourd’hui de cette tradition les cadeaux qu’on offre pour les mariages. Au cours du XVIIIe siècle, les grandes familles bourgeoises l’ont adopté aussi. Mais il a fallu près d’un siècle pour que sa consommation se répande à travers toutes les couches de la population. On restait le siroter dans les salons et les cafés pendant des heures tout en devisant. 


Pour l’anecdote, le sultan Moulay Abderrahmane (1822-1859) avait conseillé à ses sujets de ne le consommer que les jeudis.

La boisson de jeudi.
Du temps de la dynastie des Saâdiens, le sucre était produit au Maroc et il était même exporté à l’étranger, où il était apprécié par sa finesse. Mais à la mort d’Ahmed El Mansour en 1603, tué comme beaucoup de ses sujets par la peste, ce fut la guerre civile, car ses enfants se sont disputés le trône jusqu’en 1672, date de l’avènement de la dynastie des Alaouites.

Le sucre, outil politique :
Pendant cette période, les fabriques de sucre ont été détruites. Il a alors été importé de France pendant près de trois siècle, sous forme de pains de sucre, enveloppés dans du papier bleu, avec une fine ficelle et une marque rouge. 


Le Makhzen a bien essayé de construire une usine de sucre au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, en amenant de la main d’œuvre et des machines d’Europe, mais le projet a échoué et l’importation de sucre s’est poursuivie. A la fin du XIXe siècle, les puissances impérialistes (la France, L’Espagne, l’Angleterre et L’Allemagne) ont commencé à avoir des visées coloniales sur le Maroc. Certains Marocains pensaient alors que les puissances Européennes utilisaient le commerce du thé et du sucre pour ruiner l’économie du Maroc et le coloniser. Il s’ensuit un excès de consommation de thé par les pauvres, qui s’endettent et s’appauvrissent encore d’avantage. En 1904, Mohamed Abdelkébir Kettani (Fakih et chef de la Zaouia Kettania) a fait un voyage à la Mecque en bateau. Il a fait escale à Marseille pour mieux connaître la civilisation européenne et a insisté pour visiter une usine de sucre. De retour au Maroc, il a conseillé aux Marocains le boycott du thé et du sucre, car, pour lui, il s’agissait d’un moyen de pression des Français pour coloniser le Maroc. Selon, lui, au lieu d’acheter ces produits et de gaspiller son argent, le Makhzen devait plutôt équiper l’armée marocaine afin de faire face à l’impérialisme étranger. Cela lui avait ensuite valu des querelles avec des personnages très hauts placés.

Comment préparer le thé marocain ?



Les ingrédients (pour 4-5 verres) :
- thé vert non parfumé
- 1 bouquet de menthe fraîche
- beaucoup de sucre (25 à 30 morceaux)

La préparation proprement dite:
- Faire chauffer de l'eau, verser 1 petit verre d'eau bouillante sur 2 cuillères à café de thé vert.
- Après une minute, jeter le liquide, garder le thé (c'est pour enlever la première amertume du thé), puis verser le reste de l'eau (il faut avoir une petite théière, équipée idéalement d'un filtre dans le bec verseur, c'est + facile).
- Ajouter ensuite la menthe fraîche, en noyant tout de suite les feuilles dans l'eau (si elles surnagent, elles prennent un goût de brûlé, un peu amer -avec l'habitude, vous le reconnaîtrez- c'est pour les marocains quand le thé est brûlé).
- Par dessus, ajouter les sucres (au moins 25-30 sucres pour 4-5 verres).
- Pour mélanger, on ne remue pas avec une cuiller, on prend un verre, on verse de la théière dans le verre, puis le verre dans la théière, et ainsi de suite plusieurs fois, le contenu sera mélangé.
- On verse dans les verres en tenant la théière bien haut pour faire 'mousser' le sucre... et on boit très chaud.

Pour ou contre le vaccin de la grippe A (H1N1) ?


Quand je regarde les médias nous diffuser des images d’émeutes ou de foules attendant leur vaccin, je pense à Orson Welles. Souvenez-vous, le 30 octobre 1938, à New York, le grand acteur-réalisateur, âgé de 23 ans, avait créé la panique en faisant croire aux Américains, par le biais de la radio, que la Terre était envahie par des Martiens. Il avait déclenché une panique terrible! Belle preuve que les médias sont capables de vous manipuler.



Dans le monde entier (!), quelques milliers de personnes sont décédées à cause de la grippe A (H1N1), d’autres sont mortes de la vache folle, de la grippe espagnole et du sida et j’en passe !





Combien de personnes meurent dans un accident de voiture, d’autobus, d’avions ? Les maladies courantes (diarrhée, tuberculose, malnutrition, etc…), les moyens de transport et l’alcool au volant font plus de morts que la grippe A (H1N1).






Si vous êtes terrifié par ce virus, je vous conseille vivement de vous faire vacciner.



Sinon, pourquoi vous faire inoculer un virus en risquant des effets secondaires inattendus légers ou graves et indésirables ( oedème de Quincke, paresthésie avec engourdissement des jambes, le syndrome de Guillain-Barré, etc …) ?

Brooke, un bébé de 16 ans !

Brooke Greenberg, née en 1993 au Maryland (état de l'est des Etats-Unis) marche à quatre pattes. De par sa taille et ses capacités mentales, elle semble présenter des attributs normaux pour un bébé. Elle ne vieillit pas. Sans équivalent dans l’histoire de la médecine, elle détient peut-être le secret d’un rêve aussi vieux que l’humanité : celui de la jeunesse éternelle…



Brooke, à l'âge de 16 ans en janvier 2009, avec sa soeur Carly, alors âgée de 13 ans.



L’espoir du Dr Richard Walker, biologiste de l’université de Floride, qui travaille sur son cas depuis 2005 est d’essayer de détecter l’origine de sa jeunesse éternelle par la recherche d’une éventuelle mutation génétique encore jamais observée.

Le Pissenlit

Le pissenlit est probablement la dernière plante sauvage comestible à être encore présente sur les étales des marchés. Malheureusement, il semble maintenant être de plus en plus souvent remplacé par des pissenlits de culture, beaucoup moins bons et moins gouteux. C’est une « plante de vieux », qui préservera la jeunesse des jeunes et des moins jeunes, et dont les plus âgé(e)s auront plaisir à transmettre l’usage aux plus jeunes.


Fleure de Pissenlit
Fleur de Pissenlit 

Le Pissenlit

En pratique : dans le pissenlit, tout peut servir à quelque chose! Seule la tige n’est pas comestible. Vous pourrez consommer la feuille ( dont les salades sont réputées… et vous revigore généreusement au sortir de l’hiver ), les racines ( qui furent longtemps torréfiées et utilisées comme ersatz du café et qui ressemble à la chicoré ), les fleures dont on fait un « thé solaire » ou même un vin ( pour ceux ou celles qui en boive ).

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Si vous-vous demandez pourquoi le pissenlit s’appel ainsi, vous pensez peut-être à une chose… et vous n’avez pas tort! La plante étant diurétique, elle peut en effet provoquer quelques envies d’aller rapidement aux toilettes ( n’oubliez pas qu’elle est également laxative… ).
L’effet diurétique de la plante, la rend potentiellement dangereuse aux insuffisants rénaux. Si par exemple votre médecin vous interdit le café pour cause de problèmes rénaux, alors ne consommez pas de pissenlit… mais mâchouiller une feuille pour en connaître le gout original et stimulant, vous sera sans danger ( l’effet diurétique n’apparait qu’en consommant une certaine quantité ).
Par ses composés dépuratifs, la plante favorise l’élimination des toxines ( comme l’ail ).
La tige est amusante, même si elle n’est pas comestible : vous y pratiquez plusieurs incisions en longueur depuis un bout, sur par exemple la moitié de la longueur de la tige… et vous verrez alors les lamelles se recourber sur elles-mêmes pour un effet très joli.
La fleure dont les graines ont mûrit, et qui est alors blanche, laisse s’échapper des nuages féériques quand on y souffle. Les enfants et les grand enfants apprécieront. Ce petit amusement a d’ailleurs été le symbole d’une marque de dictionnaire.
La sève laiteuse, qui donne la sensation d’être un peu caoutchouteuse, fût effectivement utilisée pendant la guerre pour produire du caoutchouc ( mais ce caoutchouc était de médiocre qualité ).

Gros plan sur une Fleure de Pissenlit
Gros plan sur une Fleur de Pissenlit, un vrai petit soleil…
Diététique : la plante contient…
  • Des composés toniques ( d’où les avantages à consommer des pissenlit au sortir de l’hiver )
  • Des composés des dépuratifs
  • Des composés cholagogues
  • Des composés laxatifs
  • Des composés diurétique
  • Des composés stomachiques