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Tout ce que vous devez savoir sur le Coronavirus MERS.


 

Apparu en juin 2012 en Arabie Saoudite, le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) a provoqué le décès de 93 personnes dans le monde, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé. Son origine est animale.

Le coronavirus MERS, c’est quoi ?





Le coronavirus appartient à la famille des virus à ARN comme celui de la grippe ou du SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère). 


 

Il est présent dans de nombreuses espèces animales comme les chats, les oiseaux ou les bovins.
Ce nouveau virus est appelé coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) car il a été détecté, pour la première fois, en juin 2012 en Arabie Saoudite.


 

 Des anticorps dirigés contre le nouveau coronavirus MERS-CoV ont été retrouvés dans 100 % des 50 sérums prélevés chez les dromadaires du sultanat d'Oman. Ces animaux seraient très probablement à l'origine de l'épidémie humaine.

Combien de cas dans le monde ?



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Dans son dernier bilan du 24 avril 2014, l'OMS fait état de 254 cas confirmés dans le monde et de 93 décès (dont un en France) suite au coronavirus.
Le nombre de victimes serait toutefois plus élevé : l'Arabie Saoudite, particulièrement touchée, vient d'annoncer avoir enregistré 102 décès sur son territoire.
Le virus est très actif au Moyen-Orient, notamment Jordanie, Qatar, Emirats arabes unis. Jusqu'alors épargnée, l'Egypte a déclaré le 26 avril 2014 son premier cas de contamination.
D’autres cas ont aussi été détectés en Tunise, en Allemagne, au Royaume-Uni, en France et en Italie.




Tous ces cas sont le fait de personnes ayant séjourné dans la péninsule arabique ou de patients ayant été au contact de ces voyageurs.

Comment le nouveau coronavirus se propage-t-il ?


Le coronavirus MERS est d’origine animale. Il a été retrouvé chez des dromadaires et des chauve-souris. Initialement, les scientifiques pensaient qu’il se transmettait uniquement de l’animal à l’homme.
Cependant, depuis la contamination de patients hospitalisés par leur voisin de chambre et celles de membres du personnel de santé d'un hôpital saoudien en contact rapproché avec des malades infectés, l'OMS (Organisation mondiale de la santé) juge la transmission interhumaine avérée.
Le virus peut se transmettre via des gouttelettes de salive et par l’air. Le contact rapproché (d'un à deux mètres) et de longue durée est nécessaire.
Il semble particulièrement contagieux en mileu hospitalier : plusieurs cas de“transmission rapide entre personnes dans les services de dialyse” ont ainsi été constatés dans les hôpitaux saoudiens.


Quels sont les symptômes ?



L’incubation est plus ou moins muette et peut durer de vingt-quatre heures à quatorze jours. 


 

Les symptômes sont ceux d’une infection respiratoire : fièvre, frisson, toux, essoufflement, difficultés respiratoires, douleurs thoraciques.


                                


 

Dans des cas plus graves, le patient peut développer, notamment, une insuffisance rénale ou décompenser une maladie chronique.

Quel est le traitement ? Existe-t-il un vaccin ?


Il n’existe pas, à ce jour, de vaccin.
Actuellement, le traitement est uniquement symptomatique c’est-à-dire qu’il cible les symptômes des malades : antipyrétiques pour la fièvre, assistance respiratoire si nécessaire, oxygénothérapie, etc.
Des chercheurs mènent des tests avec des antiviraux afin de voir s’ils agissent sur ce virus. Ainsi, une combinaison de deux médicaments, couramment utilisés dans le traitement de l'hépatite C, s'est révélée efficace chez le singe. Pour les chercheurs, qui ont présenté leurs travaux en septembre 2013 dans la revue Nature Medecine, elle devrait "être envisagée comme thérapie précoce”.


Est-ce que le risque d’épidémie existe ?


La transmission interhumaine indique qu’une épidémie est possible. Toutefois, à ce jour, ce risque semble faible. Ce que confirme une étude de l'Institut Pasteur publiée en juillet 2013, selon laquelle le MERS-CoV n'aurait pas de potentiel pandémique.
Ce risque pourrait devenir important si le virus mute et s’il se transmet plus facilement d’homme à homme. Les scientifiques de Pasteur ont souligné les différences entre le nouveau coronavirus et le SRAS qui s'était adapté à l'espèce humaine en quelques mois.


Que faire si on revient d’un pays de la péninsule arabique ?


Si aucun symptôme n’est ressenti, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. En revanche, il est impératif de consulter un médecin si une fièvre supérieure à 38 °C ou un autre symptôme caractéristique (toux, difficultés à respirer) apparaît dans les dix jours suivant le retour.
 Sont considérés à risque par les autorités sanitaires les pays suivants :
    Arabie Saoudite
    Bahreïn
    Emirats arabes unis
    Irak
    Iran
    Israël
    Jordanie
    Koweït
    Liban
    Oman
    Qatar
    Syrie
    Territoires palestiniens
    Yémen.


Quelles précautions prendre si on doit voyager en Arabie Saoudite ?


Face à l'ampleur du développement du MERS-CoV sur son territoire, l'Arabie Saoudite a publié une liste de conditions pour les musulmans désireux de se rendre à La Mecque pendant les voyages de pélerinage.
Le pélerinage est ainsi déconseillé aux personnes âgées, à celles souffrant de maladies chroniques, aux femmes enceintes et aux enfants. Aucun visa ne leur sera accordé.
De son côté, l'OMS recommande à ces populations à risque "d'éviter les contacts rapprochés avec des animaux lorsqu’elles se rendent dans des fermes ou des élevages situés dans des zones où l’on sait que le virus peut être en circulation”.

La CIA investit dans le contrôle du climat

Pourquoi envahir un pays quand on peut l'inonder ou l'assécher pour le ruiner ? Les États-Unis semblent vouloir faire du temps une arme de destruction massive.

Contrôler le climat, la plus redoutable des armes ?

S'il pleut tout le temps, c'est la faute des Russes, ou des Américains. Il suffisait d'y penser. Et si c'était vrai ? En matière d'arme de destruction massive, rien ne vaut une bonne vieille catastrophe naturelle... ou pas ! Pour les responsables du renseignement américain, les outils de manipulation du climat, justement imaginés pour combattre les méfaits du changement climatique, peuvent aussi être utilisés dans le but inverse : inonder, assécher, ruiner... Et ils savent très bien de quoi ils parlent. Aujourd'hui, la CIA enquête sur le sujet, et a bien du mal à le cacher. Mais sa préoccupation est claire : la question n'est pas de savoir si l'on peut contrôler les éléments, mais qui est en mesure de le faire, et surtout comment s'assurer que les États-Unis l'emportent ?

Le nouveau projet Manhattan
En soi, l'idée de transformer la météo en arme n'est pas nouvelle. Déjà, en 1959, E. P. Jacobs imaginait dans un album de Blake & Mortimer, SOS météores, qu'un envahisseur manipulait le climat pour envahir l'Europe. Du côté de la CIA et de l'US Army : Alan Robock a rappelé deux précédents, tous deux non pas russes mais américains, d'utilisation du climat en tant qu'arme : lors de la guerre du Vietnam, les scientifiques américains ensemençaient les nuages pour que la pluie ralentisse l'avancée des troupes adverses. À Cuba, la CIA avait fait de même pour que la pluie ruine la récolte de canne à sucre, et donc l'économie de l'île. Depuis, le concept de bio-ingénierie a bien évolué : on parle même de réorienter les rayons du soleil vers tel ou tel point du globe via des miroirs placés en orbite. Le professeur Robock a aussi révélé un fait plus embarrassant : la CIA vient de financer un rapport consacré à la géo-ingénierie, publié la semaine dernière par l'Académie nationale des sciences américaine. Seul hic : elle ne voulait pas que cela se sache ! Mais dans la liste des "sponsors" de cette étude est justement mentionnée "la communauté de l'intelligence américaine". "La CIA est un financeur majeur des rapports de l'Académie nationale, souligne le professeur Robock, et je m'inquiète de ce que cela implique en termes de contrôle."

Le chercheur dit s'être senti effrayé après cet appel de la CIA : "J'ai appris beaucoup d'autres choses commises par la CIA au mépris des règles, et ce n'est pas comme cela que je voulais que l'on utilise mes impôts." Selon lui, "de telles recherches devraient être ouvertes et internationales, afin qu'il ne soit pas question qu'elles soient utilisées à des fins hostiles." Et si un nouveau projet Manhattan, cette fois météorologique et non nucléaire, existait bel et bien, la responsabilité des chercheurs dont les découvertes seraient ainsi utilisées serait tout aussi lourde que celle des concepteurs de la bombe atomique.

Ces animaux qui jouent les humains


  • L'ÉQUILIBRISTE
Bobo, le bulldog anglais qui fait le buzz depuis quelques années, fait du skate dans le quartier des affaires de Singapour, le 8 mai 2015.

  • ATTRAPE !

Deux écureuils se disputent une pomme de pin à Voronej en Russie, en janvier 2015.

           The squirrels fight over the pine cone; Squirrels fight over a pine cone, Voronezh, Russia - Jan 2015

  • LE SHOPPING

Un chihuahua pousse un autre chien dans un mini caddie dans un parc de Berlin, le 14 septembre 2011.  

Chihuahua 'Frivel' pushes friend 'Merlian' in a mini shopping trolley Treptow Park, Berlin, Germany - 14 Sep 2011

  • LA MUSICIENNE

Sara, une femelle morse, fait de la musique pendant un spectacle au delphinarium d'Istanbul, le 4 décembre 2

  • LE CYCLISTE

Barry se promène en vélo à Brough en Angleterre, le 24 mai 2015.  

Barry the dog on his tricycle; Barry the dog that rides a tricycle, Brough, Cumbria, Britain - 24 May 2015

  • LE RODÉO

Une grenouille se fait transporter par un scarabée à Sambas en Indonésie, en janvier 2015.  

The frog riding on top of the beetle; Frog rides a beetle like a rodeo cowboy on a bull, Sambas, Indonesia - Jan 2015

  • L'INTELLO.

Un phoque écrit pendant un spectacle à l'aquarium de Beijing en Chine, le 23 avril 2015.  

  • LE PHOTOGRAPHE

Un écureuil semble prendre la photo de son copain qui tient une boule de neige à Voronej en Russie, en février 2015.

  • UMBODINHO

Un éléphant joue au football pendant le festival des éléphants à Sauraha au Népal, le 30 décembre 2014.  

  • LE SURFER

Un chien surfe pendant le 6e concours de surf canin de Huntington Beach en Californie, le 28 septembre 2014.  

A dog surfs at the 6th Annual Surf City surf dog contest in Huntington Beach, California September 28, 2014.

  • L'HOMME ?

Julian, un hurleur roux, utilise les toilettes comme un humain à La Pintada en Colombie, le 12 février 2007.  

Julian, a pet Red Howler monkey (Alouatta seniculus), uses the toilet in La Pintada, Antioquia province, Colombia February 12, 2007. REUTERS/Albeiro Lopera (COLOMBIA)

  • TOPE LA !

Mogli tape la main de sa maîtresse Eva Kullmann à la maison de retraite de Lutherstift à Berlin, le 6 août 2014. Mogli rend visite aux personnes âgées de la structure une fois par semaine.  

BERLIN, GERMANY - AUGUST 06:  Mogli lifts a paw to touch the palm of his owner Eva Kullmann as facility residents, who both suffer from dementia, look on during the cat's weekly visit at the Lutherstift senior care facility on August 6, 2014 in Berlin, Germany. Mrs. Kullmann says the weekly visits are vital therapy and spark the curiosity, communication and delight of the facility residents. Friday, August 8, is World Cat Day.  (Photo by Sean Gallup/Getty Images)

  • L'ESCARGODILE

Cet escargot n'a pas peur de s'aventurer sur la gueule de ce petit crocodile à Tangerang en Indonésie, en février 2015.  

The snail crawls over the crocodile's head; Snail slithers over baby crocodile's head, Tangerang, Indonesia - Feb 2015

  • SA MAJESTÉ.

Une carouge à épaulettes se fait transporter sur le dos d'un aigle à Sterling dans l'Illinois, aux États-Unis, le 18 mai 2015.  

Redwinged blackbird rides eagle; Redwinged blackbird rides eagle, Sterling, Illinois, America - 18 May 2015

  • PETIT PHOTOGRAPHE, GROS APPAREIL !

Un écureuil semble prendre une photo avec un appareil au parc Kgalagadi au Botswana, en juillet 2014.  

The squirrel appearing to look through the camera; Squirrel appears to take a photo using a camera at the Kgalagadi Transfrontier Park, South Africa - Jul 2014

  • LES GÉNIES DES MATHÉMATIQUES

Deux saïmiris de Bolivie jouent avec un boulier au zoo de Londres, le 5 janvier 2015. 

LONDON, ENGLAND - JANUARY 05:  Bolivian Squirrel Monkeys play with an abacus during the ZSL London Zoo's annual stocktake of animals on January 5, 2015 in London, England. The zoo's annual stocktake requires keepers to check on the numbers of every one of the 800 different animal species, including every invertebrate, bird, fish, mammal, reptile, and amphibian.  (Photo by Dan Kitwood/Getty Images)

  • LE GOURMAND

Un singe-araignée mange une boule de crème glacée par une chaude journée d'été au zoo de Rio de Janeiro. 

A spider monkey eats ice cream during a hot summer day at Rio de Janeiro's zoo January 13, 2015. According to a local climate institute, temperatures in Rio de Janeiro on Tuesday rose up to 34 degrees Celsius (93.2 degrees Fahrenheit). REUTERS/Sergio Moraes (BRAZIL - Tags: ANIMALS ENVIRONMENT)

  • LE PIQUE-NIQUE

Un chien est installé pour un pique-nique à Londres, le 12 juin 2015.  

A dog hangs out at the Lily's Kitchen picnic London, Britain  - 12 Jun 2015

  • LE REPAS

Deux petits babouins attrapent leurs biberons au zoo de Hangzhou en Chine, le 17 septembre 2014.  

Baby Hamadryas baboons reach for milk bottles as a zookeeper feeds them at a zoo in Hangzhou, Zhejiang province September 17, 2014.
  • LE JOUEUR DE TENNIS
Un chien pose pour une séance photo à Londres, le 20 juin 2014.  

Lily's Kitchen Wimbledog Tennis Shoot - Promoting  - An English Garden Party -  Pet Food - 20 Jun 2014

  • UN MÉTIER À LA MODE !

Un koala d'Australie, né avec un œil abîmé, joue les photographes au zoo de Sydney le 3 avril 2014.  

  • LES CURIEUX

Des makis catta regardent un homme prendre des notes pendant l'inventaire annuel au Chester Zoo en Angleterre, le 2 janvier 2014. 

Ringtailed lemurs sit on a keeper as they look at a clipboard during a photocall for the annual stocktake at Chester Zoo in Chester northern England, January 2, 2014. 

  • LA BOUGIE

Une tortue est vêtue d'un manteau de laine à Washington, le 15 novembre 2013. 

  Woman creates quirky outfits for her pet tortoise and others, America - Nov 2013

Le ramadan à Saint-Pétersbourg, là où le soleil ne se couche jamais


Le ramadan, le mois sacré de l'Islam, a débuté jeudi 18 juin à l'aube pour tous les musulmans de la planète. Ces derniers sont ainsi notamment invités à s'abstenir de boire, de manger et d'avoir des relations sexuelles, dès premières lueurs de l'aube – dès que l'on peut "distinguer un fil blanc d'un fil noir", prescrit le Coran, soit bien avant le lever du soleil – jusqu'à son coucher. Toutefois, à Saint-Pétersbourg, dans le nord de la Russie, les croyants devront faire face à un obstacle de taille :  "En juin, le soleil ne se couche jamais vraiment."


L'ancienne capitale des tsars célèbre en effet les "nuits blanches", qui ont lieu de fin mai à début juillet, où la nuit ne tombe jamais totalement. Parfois, il fait si clair qu'il est possible de lire un livre sans lumière artificielle. Ce phénomène, appelé "tolga", est particulièrement visible à Saint-Pétersbourg.


Un défi lancé à leur foi :

Si cette période attire des milliers de visiteurs dans la capitale culturelle russe, c'est un moment difficile pour les 50 000 musulmans de la ville. Car le Coran n'a pas donné d'instructions explicites pour les populations du grand nord. Pour les autorités musulmanes de Saint-Pétersbourg, cela n'est pourtant qu'un défi supplémentaire lancé à leur foi. Plutôt qu'une malédiction, ils voient cela comme un test.
"Cette année, le jeûne prend fin très tard. On ne mange ou boit pas à partir de la prière du matin, à 2 heures, jusqu'à ce que le crépuscule arrive, vers 22 heures ou 22 h 30". Le jeûne dure donc près de vingt heures, là où il dure dix-huit heures en France. Face à ces difficultés, certains se sont interrogés sur le comportement à observer dans ces régions du monde. L'érudit tatar russe Musa Bigiev a tenté une explication dans un texte :
"Selon les instructions du Coran, prendre part au jeûne près des pôles n'est jamais obligatoire, car il est établi en ensemble de jours en ces endroits où la nuit et le jour sont comparables en longueur."
D'autres ont écrit que les musulmans vivant dans l'extrême nord pouvaient observer le jeûne du ramadan en suivant les horaires du lever et du coucher du soleil à La Mecque.
Pourtant, de nombreux musulmans qui travaillent dans les usines ou dans le bâtiment ne respectent pas le ramadan. Les ouvriers métallurgistes ont des travaux difficiles et les jours sont trop longs sans boire et manger. Pour cette raison, aucun d'eux n'observe le jeûne. Il n'y a pas de nuits blanches là où vivent la plupart des musulmans" !

Première sortie réussie pour « l’Harmony of the Seas » qui est le plus gros paquebot du monde.



Avec ses 362 mètres de long et ses 66 mètres de large, il est tout simplement le plus gros paquebot du monde. Au petit matin du 18 juin, « l’Harmony of the Seas », en construction aux chantiers navals STX de Saint-Nazare (Nantes), a pu effectuer son baptême de l’eau. Avec succès.


Il est 6 h 30. La mer est calme. Et si quelques curieux s’impatientent, ce n’est pas pour piquer une tête mais bien pour voir la première sortie de « l’Harmony of the Seas » qui n’est autre que le plus gros paquebot du monde. Sa coque terminée, l’imposant bâtiment a fait sa première sortie pour rejoindre un autre bassin.

En Chine, le Yulin Festival est le festival de la barbarie où des milliers de chiens et de chats sont torturés et mangés.

 
Organisé depuis des dizaines d’années en Chine, le Yulin Festival est au centre de nombreuses critiques. Des millions de personnes se révoltent contre ce festival barbare durant lequel des milliers de chiens et de chats sont torturés publiquement et ensuite mangés.
Yulin est une ville chinoise de plusieurs millions d’habitants. Située dans la région autonome de Guangxi, elle pourrait être inconnue du grand public comme de nombreuses autres villes chinoises. Mais un festival organisé chaque année choque le monde entier.
Entassés vivants dans des cages et tués à coups de bâtons



Le Yulin Dog Meat Eating festival a lieu chaque année le 21 juin pour célébrer le solstice d’été. Mais ce festival n’est pas un festival comme les autres et il écœure le reste de la planète. Des milliers de chiens et de chats y sont sacrifiés. Les jours et les semaines précédant le festival, les marchands d’animaux les exposent entassés dans des cages et vivants. Le jour du festival, les chiens et les chats qui vont être sacrifiés sont brandis avec une longue tenaille qui les tient au cou et sont ensuite tués à coups de bâton.




La foule se partage les restes des animaux
Ces exécutions barbares ont lieu sur la place publique et la population nombreuse qui y a assisté se partage les restes des chiens, que ce soient les pattes, les museaux ou encore les queues. Après ces "festivités", les habitants se retrouvent autour d’un grand "festin" de viande de chats et de chiens. Celle-ci est cuisinée à toutes les sauces et de différentes manières.

Le monde se révolte
Mais cette année, une grande partie du monde s’est révoltée contre ce festival barbare.  En chine aussi, ils sont deux millions à s’y opposer. Une campagne a été mise sur pied pour que le festival de cette année n’ait pas lieu. Le mouvement -StopYulin2015- a pris une grande ampleur ces derniers jours et est fortement relayé sur les réseaux sociaux comme Twitter, Facebook et Instagram, notamment via des pétitions adressées au président chinois Xi Jinping, l’une d’elles a d’ailleurs déjà récolté plus d’un million et demi de signatures. La fondation Bardot s'est également lancée dans une campagne contre l'organisation du festival.
Le gouvernement chinois n’a pas encore répondu à la demande internationale.

Le génocide des «Ouled Riah» par l'armée coloniale française (1845).

Les Enfumades de Ghar-el-Frachih. Les Algériens avaient décidé alors d’avoir leur propre sort entre leurs mains en se soulevant contre le farouche colonisateur et les affreux actes de barbarie commis par des troupes armées issues pourtant d’une nation dite «civilisée». Ils étaient savamment menés par des sanguinaires qui avaient pour noms à l’époque, Cavaignac, Saint-Arnaud, Cassaigne, Pelissier et autres Bugeaud…Mais bien avant cela, les Algériens auront eu le temps de payer le prix fort du sacrifice tout en subissant les pires humiliations de la part des soldats français, forts de leur imposant arsenal militaire face à la seule volonté et farouche détermination d’un peuple opprimé. 

Ainsi, dans les fins fonds de la région du Dahra, au cœur de laquelle est implantée Mostaganem, des crimes de guerre abominables et sans précédent ont été perpétrés par l’armée française contre quelque 1 150 habitants indigènes de la tribu des « Ouled Riah », dans la commune de Nekmaria, à l’extrême Est de la wilaya de Mostaganem. Il s’agira d’une importante opération d’enfumade de femmes, enfants, nourrissons, vieillards et hommes sans défense au fond des sinistres grottes où a eu lieu l’un des plus graves génocides que l’histoire de l’humanité ait connu jusqu’à présent et ce, sous l’ordre de Pelissier, sur instruction de l’administration centrale d’alors. 

Pour la conquête totale de l'Algérie, Bugeaud mena à partir de 1841 une « guerre de ravageur » fondée sur la razzia et la dévastation systématique des régions insoumises. En 1845, la guerre reprend un peu partout dans les « régions pacifiées » à l'appel des confréries. À partir d'avril 1845, le résistant Boumaza est déterminé à continuer la lutte, appuyé par la tribu des Ouled Riah. Il défait la tribu des Sendjas, collaborateurs des français et élimine leur agha. Le général Bugeaud réagit : il envoie cinq colonnes en différents points du territoire concernés par l'insurrection. Ces colonnes infernales sèmeront la désolation. Le général d'Abouville de la colonne de Sétif, le général Marey, commandant les troupes de Médéa, auxquelles s'ajoutent trois colonnes d'Orléansville (actuelle Chlef) confiées aux colonels Ladmiraut, Pélissier et Saint Arnaud. 

Le colonel Pelissier dirige sa colonne en vue de la répression des Ouled Riah, alliés irréductibles du grand chef de la résistance Boumaza. Les combats sont d'une rare violence en regard des moyens matériels et humains dont disposent les troupes françaises. Les populations n'ont d'autre choix que de se réfugier dans des grottes appelées « Frachih ». A noter que les dites grottes ; profonde d’environ cent quatre-vingt mètres ; sont creusées dans le plâtre et non dans le calcaire comme tant d'autres. Elles sont constituées de galeries sans ramifications latérales et à peu près rectilignes... Ce sont donc des couloirs obscurs longs d'environ 200 m. Les Ouled Riah utilisent de longue date cet abri séculaire leur servait à échapper aux mehallas des deys qui venaient ramasser les lourdes impôts imposés à la population locale. Alors le colonel Pelissier charge des médiateurs arabes d'établir un dialogue avec les chefs tribaux pour négocier un retrait en échange de la soumission des Ouled Riah pour isoler le chef de l'insurrection Boumaza. Les émissaires essuient un refus. C'est alors que Pelissier ordonne d'amasser des matières combustibles devant l'ouverture des grottes, en application des recommandations du général Bugeaud : «Si ces gredins ne se retirent pas des grottes, enfumez-les comme des renards.» Le lendemain, une compagnie d'hommes du génie et des tirailleurs pénètre dans ces grottes pour y mettre le feu. Un courant d’air active le foyer et entraîne à l’intérieur un flux brûlant de fumée. Près d'un millier de femmes et d'enfants ont été ainsi exterminés par le feu en ce triste 20 juin 1845. Un soldat a donné, dans une lettre, le récit de ce qu’il vit la nuit et le matin.




Les immenses champs éoliens offshore de la Grande Bretagne



Sirènes de Bali : des photos sous-marines à couper le souffle

Un photo shoot de rêve à Bali


Bali 1

Habitué aux photo shoots du genre épique, le photographe Benjamin Von Wong compte dans ses travaux cette étonnante session sous-marine, qui a impliqué deux modèles, sept plongeurs… ainsi que l’épave vieille de près de 50 ans d’un navire échoué sur les rivages de Bali. En résulte un photo shoot plutôt original, avec les modèles qui posent près du navire, les cheveux et les vêtements gonflés par le courant, évoquant tantôt des sirènes, tantôt des nymphes.

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Evidemment, la préparation de cette session sous-marine ne fut pas de tout repos pour Benjamin Von Wong et toute l’équipe, et notamment les modèles, qui n’avaient que peu de temps pour prendre la pose… en apnée évidemment.


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Côté matériel, Benjamin Von Wong a employé un appareil Nikon D90, couplé à un objectif Nikon 12-24mm f/4, le tout, protégé par une housse Aquatica. A noter que seule la lumière naturelle a été employée ici.

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Malgré les risques et les quelques difficultés à réaliser un tel photo shoot, Benjamin Von Wong est parvenu à un résultat très réussi, avec des clichés bluffants, qui se chargent de transporter le spectateur dans un autre monde, un monde rempli de fantaisie et de grâce, au coeur des profondeurs obscures de la mer de Bali.

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Parmi les difficultés rencontrées lors de cette session photo, Benjamin Von Wong évoque notamment la rapidité d’action, les modèles n’étant pas dotées d’une apnée infinie (encore plus à cette profondeur), mais aussi la difficulté de trouver un designer prêt à donner des vêtements qui seront irrémédiablement abimés par l’eau de mer.

Bali 6