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Satan 2, le missile nucléaire russe capable de détruire un pays de la taille de la France

Le nouveau missile russe aura une capacité de 10.000 kilomètres,
 le mettant en capacité de frapper des villes européennes
 ou des villes de la côte ouest américaine.
 Entrée en service prévue pour 2020
 

Le missile nucléaire «Satan 2»  sera le plus puissant jamais conçu, et aucune technologie de défense antimissile n’est en mesure de l’arrêter. Outre sa puissance, il est équipé d’une technologie furtive pour tromper les systèmes radars ennemis. Son nom officiel est «RS-28 Sarmat». Fabriqué pour remplacer les vieillissants missiles «R-36M»qui étaient surnommés «Satan» par les experts de l’OTAN. C’est donc tout naturellement que son successeur a récupéré le surnom de Satan 2. 

Douze têtes nucléaires

Le missile aura une capacité d’action de 10.000 kilomètres, mettant des villes européennes comme Londres ou Paris, mais aussi des villes de la côte ouest américaine, dans sa ligne de mire. Par ailleurs, le missile pourrait contenir jusqu’à douze têtes nucléaires, lui donnant la capacité de détruire en quelques secondes un territoire «de la taille du Texas ou de la France» selon les informations de la télévision russe. 
La Russie a déclaré souhaiter tester son missile dès cet été, afin qu’ils puissent entrer en service en 2020.



ALGER-TINDOUF: LA VACANCE DU POUVOIR MENACE LE MAROC

Polisario Bouteflika

Gravement malades, le président Bouteflika, aussi bien que son protégé Mohamed Abdelaziz, chef du Polisario, continuent de briller par leur absence, à la faveur d’un vide institutionnel qui, au-delà d’Alger et Tindouf, fait planer de sérieuses menaces sur la stabilité de la région sahélo-saharienne.
Abdelaziz Bouteflika et Mohamed Abdelaziz ne donnent (presque) plus aucun signe de vie. Le premier est paralysé par un fâcheux accident vasculaire cérébral (AVC), diagnostiqué en 2011 à l’hôpital Val-de-Grâce, à Paris. Le second, lui, est atteint d’un cancer du poumon dont il essaie bon an mal an de se soigner. Ni l’un ni l’autre n’est en mesure de se manifester, à plus forte raison «gouverner». Pendant ce temps, à Alger comme à Tindouf, aucun maître à bord. Un silence d’enterrement que vient pourtant trahir, à intervalles inégaux, le bruit de coups en dessous de la ceinture, à la faveur d’une guerre qui ne dit pas encore son nom. Une guerre secrète sans merci que se livrent les prétendants à la succession d’Abdelaziz Bouteflika et de Mohamed Abdelaziz.

Alger: y a-t-il un maître à bord ?

Rappelez-vous : à l’été 2015, un groupe de 19 personnalités algériennes, dont la SG du Parti travailliste, Louisa Hanoune, avait demandé à rencontrer le président Bouteflika pour s’assurer s’il gouvernait réellement lui-même, ou si d’autres, -ses proches collaborateurs s’entend-, décidaient à sa place pour l’Algérie. Cette demande, baptisée alors «Initiative G+19», est jusqu’ici restée lettre morte, aucune suite n’ayant été donnée à la demande d’audience. Cela n’enlève rien à son bien-fondé, puisque, un an plus tard, notamment après le célèbre tweet de Manuel Valls montrant un Bouteflika complètement diminué par la maladie, la guerre de succession repart de plus belle. Et contre toute attente, la partie ne se joue pas qu’au sein du clan Bouteflika. Alors qu’il était question, jusque-là, d’une compétition bipartite entre deux proches collaborateurs du «président-fantôme», en l’occurrence Abdelmalek Sellal (actuel premier ministre) et le chef du cabinet de la présidence algérienne Ahmed Ouyahya, de nouveaux prétendants viennent changer la donne.

Passons sur l’ancien patron de la Sonatrach, ministre de l’Energie et des mines (1999 à 2010), retourné en mars dernier des Etats-Unis où il s’était retranché pour se soustraire à une action en justice pour corruption. Le retour de Chakib Khelil, faut-il le préciser, ne doit rien au hasard. Pas plus d’ailleurs que ses pérégrinations dans les zaouias algériennes où il ne recherche pas que de la spiritualité. Chakib Khalil, ami d’enfance de Bouteflika à Oujda, lorgne bel et bien le palais El Mouradia. C'est un sérieux candidat à la succession de Bouteflika qui agit comme s'il était en campagne présidentielle, tout en se défendant de briguer une résidence au palais d'El Mouradia (siège de la présidence algérienne). Les adversaires de Chakib Khelil (dont les relais de la DRS et de l'homme d'affaires Issab Rebrab) appellent le noyau dur autour de Bouteflika: "le clan d'Oujda".

Mais la surprise vient hors du cercle proche du président, puisque c’est un outsider qui vient de claironner haut et fort ses ambitions présidentielles. Issab Rebrab, homme d’affaires algérien, s’attaque de façon frontale à ce qu’il qualifie de «clan régionaliste au pouvoir». Ce richissime homme d’affaires, d’origine berbère, fait cette sortie alors qu’il se voit empêché de racheter le quotidien algérien «Al Khabar» par le clan Bouteflika, qui veut garder la mainmise sur les médias et du coup s’assurer une longévité à la tête du pouvoir.


Tindouf: un bateau sans gouvernail !

Ironie du sort, un autre Abdelaziz, en l’occurrence le chef du Polisario, disparaît complètement des écrans radar. Atteint d’un cancer du poumon, dont il a essayé de se faire soigner aussi bien à Cuba qu’en Italie, il ne participe plus à aucune activité officielle. Son absence lors de la dernière réunion du secrétariat national du Polisario nourrit les inquiétudes à Tindouf mais attise les convoitises des prétendants à sa succession à la tête d’un front qui n’est plus que l’ombre de lui-même. Parmi ces prétendants, figure l’ancien «ministre de la défense» Mohamed Lamine Bouhali, incarnation de l’aile dure du Polisario.

Bouhali, qui a été pointé en 2012 pour sa compromission avec les trafiquants de drogue essaimant la région sahélo-saharienne, sans oublier son rôle dans la rapt de trois humanitaires européens dans le camp de Rabouni, est connu pour être «l’homme d’Alger» par excellence. Seulement voilà, son passé sanguinaire risque de compromettre ses chances de succéder à Mohamed Abdelaziz à la faveur d’autres postulants comme l’actuel «premier ministre» Abdelkader Taleb Omar. En attendant, la crainte continue de grandir à la faveur du «grand saut vers l’inconnu».

La stabilité régionale en danger

Face à la vacance du pouvoir à Alger, comme à Tindouf, surgit cette question inquiétante : ce vide ne risque-t-il pas de plonger la région, au-delà de l’Algérie et des camps de Lahmada, dans le chaos total ? Une sinistre expectative que vient aiguillonner le spectre de la faillite annoncée de l’économie algérienne, en raison de la chute continue des cours de pétrole. Aux dernières nouvelles, l’on apprend que le Fonds algérien de régulations des recettes (FRR) suffit à peine à couvrir les dépenses de l’Algérie jusqu’en 2017 ! Une sombre perspective d’autant plus que le voisin de l’est, dont les hydrocarbures constituent 98% des exportations et 60% des recettes de l’Etat, a pris l’habitude (suicidaire) d’acheter la paix sociale. D’où la crainte d’une explosion sociale d’ici à 2017, avec ce que cela comporterait comme répercussions désastreuses pour la sécurité et la stabilité de toute la région sahélo-saharienne.

Il n'y a pas pire scénario pour le royaume que d'avoir un Etat algérien avec un pilote absent et plusieurs prétendants qui se livrent à une guerre intestine sans merci. Si l'on ajoute à cela que le protégé polisarien est également sans chef, l'on se retrouve en face d'un pays sans tête ou à plusieurs têtes, ce qui revient au même. Rien n'est plus dangereux pour le Maroc qu'une Algérie faible et sans chef d'Etat. Comme tout laisse à croire que la situation va empirer dans les mois à venir, le Maroc ferait mieux de se préparer très sérieusement à la menace de l'est. 

60 Minutes pour Comprendre: Maroc-Chine: un partenariat prometteur?

Vitre incassable

La société néerlandaise CGT-N en collaboration avec General Electric USA, a conçut la vitre incassable SR 5096, un type unique de verre pour des applications dans le domaine de la sécurité. 
Le verre de la SR 5096 est résistant aux raids de bélier, des fusils, des explosions et du feu jusqu’à 60 minutes. La RS 5096 est disponible en différents types, correspondant aux classes de résistance selon les normes. Pour plus de résistance contre les tentatives d’intrusion et dans des conditions extrêmes, La SR 5096 peut aussi être fabriquée sur mesure selon la structure existante d’un bâtiment ou d’un véhicule. 
Le SR 5096 est un verre feuilleté incassable. Des personnes essaient avec différents outils de briser la vitre mais sans succès.
















Les vitres blindées :


Les 7 Merveilles des Expositions universelles

Paris en 1900











Le Métropolitain Parisien.

La première ligne Porte de Vincennes-Porte Maillot est inaugurée, discrètement, le 19 juillet 1900, trois mois après l'ouverture de l'Exposition universelle. Fulgence Bienvenüe n'a eu le temps d'achever que huit stations. Les premiers voyageurs découvrent des rames composées de trois voitures. La première classe offre des sièges rembourrées et la seconde, des bancs en bois.





Grâce à la maîtrise de l'éclairage artificiel, il pourra être souterrain. 
Des carreaux blancs biseautés qui réfléchissent la lumière aux diffuseurs décoratifs, tout est mis en place pour améliorer l'ambiance lumineuse des stations. 
Le choix des sources lumineuses évoluent avec les avancées technologiques. Des lampes à filament de carbone qui éclairent faiblement, on passe aux tubes fluorescents dans les années 50. 
Aujourd'hui la RATP commence à changer ces millions de lampes pour des lampes LED, une nouvelle technologie économe en énergie et moins polluante.







Le Grand Palais

Révélations sur les secrets de construction de ce monstre hybride de pierre et d'acier construit pour l'Exposition de 1900.




Comme la tour Eiffel avait marqué l'Exposition universelle de 1989 par sa démesure, le comité d'organisation de l'Exposition suivante voulut à son tour étonner le monde entier avec un bâtiment remarquable. Ce sera le Grand Palais des beaux-arts. Un monstre hybride de pierres, de briques et d'acier. Il remplacera – avec le Petit Palais situé en face de lui – l'ancien Palais de l'industrie datant de l'Exposition universelle de 1855, un pachyderme lourdaud et sans grâce flanquant l'avenue des Champs-Élysées. Pour créer une superbe perspective, depuis les Invalides jusqu'au Palais de l'Élysée, les deux palais sont placés de part et d'autre d'une large avenue débouchant sur un nouveau pont ultra-large, le pont Alexandre-III.
Le malheur, c'est que la commission chargée de choisir le lauréat parmi les nombreux projets d'architecture ne parvient pas à se mettre d'accord. Comme le temps presse, elle décide de couper la poire en quatre. À Albert Louvet, le gagnant du concours, le salon d'honneur et la partie intermédiaire. À Henri Deglane, le deuxième, la façade principale. À Albert Thomas, le troisième, la façade arrière (le Palais d'Antin qui abrite aujourd'hui le Palais de la découverte). Et à Charles Girault, le quatrième du concours, la coordination des travaux. Autant dire que la carpe est sommée de se marier au lapin. D'un côté, la charpente métallique de 6 000 tonnes illustrant une architecture moderne ; de l'autre, une façade de pierre lourdingue et dont le style est déjà dépassé en 1900. Le Grand Palais est le dernier témoin d'une architecture grandiloquente où il fallait de nombreuses ouvertures pour éclairer les salles, faute d'électricité.

Réquisitionné en 1914

Les travaux commencent rapidement. Première mauvaise surprise, le terrain situé en bord de Seine est bien moins stable qu'on ne le pensait, il faut planter 3 400 pieux en chêne pour le consolider. Tous les matériaux nécessaires (17 000 m3 de pierres, 10 000 m3 de maçonnerie et 2 millions de briques) sont acheminés par la Seine. Un port est créé au pied du pont des Invalides, desservi par un mini-train. La coupole s'élève à 75 mètres (avec un campanile de 18 mètres). Le dôme fait 70 mètres d'ouverture. La nef s'étend sur 240 mètres de long pour accueillir ultérieurement des concours hippiques.
En effet, dès la fermeture de l'Exposition universelle, le Grand Palais est reconverti pour accueillir des salons artistiques, mais également de nombreuses autres manifestations. Le Salon de l'automobile s'y installe dès 1901, puis le Salon de l'aviation en 1909. En 1914, l'immense bâtiment sert de centre d'accueil aux troupes coloniales, puis aux fusiliers marins, avant que Deglane ne reçoive l'ordre de le transformer en un hôpital militaire doté de mille lits, de deux salles d'opération et d'un centre de rééducation. À la guerre suivante, les Allemands utilisent les lieux pour entreposer leurs camions et organiser des expositions de propagande nazie. Enfin, signalons la première présentation de la DS par Citroën lors du Salon de l'automobile de 1955.

La gare de Lyon

Les plus grandes horloges après Big Ben, le plus beau buffet de gare, l'architecte Toudoire s'est défoncé pour les visiteurs de l'Exposition de 1900.




Panique à la Ville de Paris : on attend plusieurs dizaines de millions de visiteurs pour L'Exposition universelle de 1900 ! Or, les gares existantes sont déjà submergées par le trafic en hausse constante. Il faut donc les agrandir. La Compagnie PLM décide de reconstruire sa gare de Lyon qui ne compte que cinq voies.
Petit retour en arrière : la toute première gare date de 1847. Stop ! En fait, nous faisons une erreur en parlant de gare, car, au milieu du XIXe siècle, on emploie encore le mot « embarcadère ». Un mot emprunté à la navigation fluviale. Donc, ce premier embarcadère, terminus de la ligne Paris-Montereau, n'est qu'un modeste bâtiment en bois. En effet, la compagnie ferroviaire refuse cet emplacement alloué par la Ville et situé juste en face de la prison Mazas. Elle espère toujours pouvoir s'installer définitivement sur la place de la Bastille. Finalement, en 1855, elle dépose les armes, se résout à l'emplacement alloué, et bâtit sa première gare en dur qu'elle juche sur une butte artificielle pour la mettre à l'abri des crues.
En 1898, la prison Mazas est démolie. L'agrandissement de la gare est confié à l'architecte toulonnais Marius Toudoire qui prévoit treize voies pour absorber tout le trafic. Le hall principal est un chef-d'œuvre de ferronnerie long de 220 mètres et large de 42. L'élément le plus remarquable, c'est bien sûr la tour de l'horloge, un beffroi qui culmine à 67 mètres. Sur ses quatre faces, une horloge géante – de Paul Garnier – renseigne de loin les voyageurs, qui, à cette époque, ne possèdent pas souvent de montre. Chaque cadran mesure 6,4 m de diamètre, ce qui les place, en dimension, juste après l'horloge de Big Ben (7,5 m). Les chiffres mesurent un mètre de haut. La grande aiguille s'allonge sur quatre mètres et pèse 38 kilos, tandis que la petite n'atteint que 2,8 m pour 26 kilos. Les vitraux formant le fond des horloges occupent 132 mètres carrés. Jusqu'en 1929, les quatre cadrans sont éclairés de l'intérieur par 1 000 becs à pétrole, nécessitant la présence de quatre employés pour les allumer et les éteindre soir et matin.
L'autre élément remarquable de la nouvelle gare, c'est son buffet. Un buffet considéré comme le plus beau au monde, entièrement dans le style Second Empire avec beaucoup d'or, beaucoup de peintures décoratives, beaucoup de luxe. Les cuisines situées dans les combles sont desservies par sept monte-charge. En 1966, le Train bleu (ainsi le buffet a-t-il été rebaptisé) est sauvé de la démolition par Malraux. Parmi les plus prestigieux habitués, on compte Brigitte Bardot, Sarah Bernhardt, Dalí, Cocteau, Chanel, Gabin, Mitterrand.
La salle des guichets est ornée d'une magnifique fresque longue (aujourd'hui) de cent mètres représentant toutes les villes desservies par la ligne Paris-Menton. En réalité, elle a été conçue en deux fois. En 1903, le peintre Jean-Baptiste Olive a représenté neuf villes de Lyon à Menton en l'ornant de nombreux personnages. En 1980, lorsque la salle a été allongée, onze villes ont été rajoutées par l'artiste Jean-Paul Letellier de Paray-le-Monial jusqu'à Paris.
Malgré tous les efforts consentis, la gare de Lyon n'est pas livrée à temps pour l'inauguration de l'Exposition universelle. Elle sera bien mise en service, mais au milieu d'un chantier. L'inauguration officielle se fera le 6 avril 1901 par le président de la République Émile Loubet.

 Le Petit Palais

Pour l'Exposition universelle de 1900, l'architecte Charles Girault a réussi un petit bijou alliant classicisme, Art nouveau et innovations techniques.




Tout le monde n'a les yeux de Chimène que pour le Grand Palais. C'est absolument injuste pour le Petit Palais qui est un véritable bijou. Conçu par un seul homme – l'architecte Charles Girault –, et contrairement au mastodonte qui lui fait face, il possède une beauté subtile et inégalée. C'est un palais de lumière.
Alors que tous les pavillons de l'Exposition furent construits pour un destin éphémère, la consigne avait été donnée aux architectes de prévoir pour les deux Palais des bâtiments suffisamment solides pour survivre longtemps à l'événement. Chargé de présenter les arts français durant l'Exposition universelle de 1900, le Petit Palais avait été promis à la Ville de Paris pour en faire son musée des Beaux-Arts. Girault choisit de concevoir un musée modèle associant avec élégance les références classiques, le style Art nouveau et les innovations techniques. Il opte pour un plan en losange avec un jardin semi-circulaire à l'intérieur. Des ouvertures partout pour favoriser la pénétration de la lumière. N'oublions pas qu'à l'époque l'électricité n'était pas généralisée. Le bâtiment est constitué d'un seul étage perché sur un soubassement élevé.

34 dessins avant d'être satisfait

L'entrée est forcément monumentale, mais la grille en fer forgé de la porte d'entrée en fait un chef-d'oeuvre absolu. C'est un véritable morceau de bravoure. Le dessin est l'œuvre de Girault en personne qui avait débuté dans la vie active comme dessinateur chez un ferronnier d'art à Cosne. Il réalisa 34 dessins avant d'être entièrement satisfait avec un décor floral d'inspiration Art nouveau. L'architecte est également l'auteur des rampes des deux magnifiques escaliers desservant les rotondes. À noter que les marches sont en béton armé (très nouveau à l'époque) d'un seul tenant.
Les voûtes de ces deux coupoles ont été réalisées sans cintre en briques. Une première couche de briques creuses a été montée assise après assise, à la main, par des maçons. Puis celle-ci a été recouverte d'une épaisseur de briques pleines de Vaugirard plus épaisses, avant d'être renforcée avec du ciment de Portland. Ainsi Girault obtient-il une voûte suffisamment légère pour ne pas nécessiter de gros murs. Enfin, il adopte un système de chauffage révolutionnaire pour l'époque. Jusque-là, les musées étaient équipés d'un seul calorifère distribuant la vapeur par une seule canalisation. Les salles les plus proches étaient trop chauffées et les plus éloignées restaient froides. Un véritable désastre pour les tableaux... Girault installe lui aussi un seul calorifère, mais avec un réseau complexe de tuyauterie qui assure une chaleur égale dans toutes les salles. Un astucieux système de thermostat permet même de réguler automatiquement la production de vapeur.
Les travaux durent deux ans. Le Petit Palais est prêt à temps pour l'ouverture de l'Exposition universelle. Et le 7 mars 1901, la municipalité en prend officiellement possession.

La tour Eiffel

La paternité de la tour doit être attribuée à Maurice Koechlin, l'ingénieur de la société Eiffel, qui en a eu le premier l'idée dès 1884.


Exposition universelle de Paris 1889.



La tour Eiffel, bâtie pour l'Exposition universelle de 1889, est certainement le monument le plus célèbre au monde, juste après la grande pyramide de Gizeh. Malheureusement, il y a erreur sur la personne. Celui qui a tracé la première esquisse de la Dame en fer n'est pas Gustave Eiffel, mais un de ses ingénieurs, un certain Maurice Koechlin. Rendons à César ce qui appartient à César !
La tour... Koechlin n'est pas sortie d'un chapeau comme un lapin magique. Bien avant 1889, les ingénieurs du XIXe siècle rêvaient déjà d'élever une tour géante, en fer ou en fonte. Par exemple, à l'occasion de l'Exposition universelle de Philadelphie de 1876, les deux Américains Clarke et Reeves proposèrent d'élever un pylône cylindrique en métal haut de 1 000 pieds et de 9 mètres de diamètre, maintenu par des haubans. Faute de crédits, ils durent y renoncer.

Un concours public sur mesure

En 1884, deux ingénieurs de la société Eiffel, Maurice Koechlin et Émile Nouguier, imaginent une tour très haute pour être le clou de la prochaine Exposition universelle de Paris. Koechlin dessine un grand pylône constitué de quatre piles courbes se rejoignant à 300 mètres de haut et reliées par cinq plateformes tous les 50 mètres. Sans être enthousiaste, Gustave Eiffel autorise ses deux ingénieurs à peaufiner leur projet. Ceux-ci montrent leur tour à l'architecte Stephen Sauvestre, qui la redessine entièrement, pour aboutir à celle que l'on connaît. Emballé, Gustave Eiffel fait breveter le projet à son nom et à celui des deux ingénieurs et, deux mois plus tard, rachète leurs droits, en s'engageant, en contrepartie, à associer leurs deux noms au sien.
Le ministre du Commerce et de l'Industrie, à qui Eiffel présente le projet, se montre enthousiaste. Il lui faut absolument cette tour dans « [son] Exposition universelle ». Mais tout édifice doit être attribué après un concours public. Impossible d'en passer directement commande à la société Eiffel ! Pour contourner cet obstacle, la description de la tour désirée est quasiment dictée par Eiffel : « Les concurrents devront étudier la possibilité d'élever sur le Champ-de-Mars une tour en fer à base carrée, de 125 mètres de côté à la base et de 300 mètres de hauteur… » Les éventuelles entreprises intéressées ayant moins d'un mois pour présenter leur projet, autant dire que Gustave Eiffel l'emporte dans un fauteuil. On lui demande simplement d'améliorer le système d'ascenseurs. 

Bar, restaurant, imprimerie et labo météo

Quelques mots sur le choix d'implanter la tour en bordure de Seine, où le terrain est gorgé d'eau. À l'origine, il avait été question de la bâtir au sommet de la colline de Chaillot, pour lui faire gagner 25 mètres d'altitude, mais le sous-sol est bourré de carrières. Reste le Champ-de-Mars. Seulement, l'armée, qui l'utilise pour ses manoeuvres, veut le récupérer après l'exposition. Voilà pourquoi il a fallu se rabattre sur la bande de terre longeant la Seine, qui, elle, appartient à la Ville de Paris.
On ne va pas refaire toute l'histoire de la construction, mais simplement signaler quelques faits. Le vent a très peu de prise sur l'édifice. Des rafales extrêmes de 180 km/h ne déplacent le sommet que de 9 centimètres, soit deux fois moins que le déplacement découlant de la dilatation du métal soumis aux rayons solaires. À l'ouverture, le premier étage accueille un restaurant français, un bar américain, plusieurs bureaux de tabac et des stands de photographes. Le deuxième étage propose des magasins de souvenirs, une buvette et une imprimerie pour tirer une édition spéciale du Figaro. Le public peut enfin accéder au troisième étage pour découvrir la vue. Gustave Eiffel y a également casé trois laboratoires pour la météorologie, l'astronomie et la physiologie.
Quand la tour atteint 300 mètres le 31 mars 1889, Eiffel l'inaugure avec des officiels de la Ville de Paris. Ceux-ci doivent grimper à pied les 1 710 marches, puisque les ascenseurs ne sont pas encore en fonction. Même punition pour le public qui accède à la tour le 15 mai, neuf jours après l'ouverture de l'Exposition. Les ascenseurs n'entameront leur noria qu'une semaine plus tard. Durant les six mois de l'exposition, 1,95 million de visiteurs escaladeront les trois étages. La tour « Koechlin » restera le bâtiment le plus haut du monde jusqu'à l'édification du Chrysler Building à New York en 1930.

Tour Eiffel Wikimedia Commons.jpg





A 17 ans, Timothy Doner parle couramment 23 langues !


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"Hyperpolyglotte", Timothy Doner, 17 ans, parle couramment une vingtaine de langues dont les plus difficiles à apprendre. Le jeune homme passe tout son temps libre à assimiler avec beaucoup de plaisir de nouvelles connaissances. Un jeu d'enfants qui nous impressionne. Timothy Doner est le plus jeune polyglotte du monde. A 17 ans, ce jeune Américain maîtrise une vingtaine de langues dont le chinois, l'arabe et le français. Toutes ces langues sont lues, parlées, et écrites par le jeune surdoué. L'apprentissage de nouvelles langues est devenu une passion pour l'adolescent qui prend un réel plaisir à découvrir un nouvel idiome. Timothy se passionnait déjà pour les langues étrangèresTimothy a toujours été fasciné par les langues. A l'âge de 8 ans, il découvre l'hébreu. Quelques semaines plus tard, il s'exprime parfaitement dans cette langue lors de sa Bar Mitzvah. Timothy prend aussitôt goût à l'apprentissage de nouvelles langues. Après l'hébreu, il ne tarde pas à parler, lire et écrire l'arabe. Un jeu d'enfants vous dira-t-il. Véritable autodidacte, il assimile très vite une dizaine d'autres idiomes. Aujourd'hui, Timothy peut se vanter d'en parler 23, a seulement 17 ans ! Autodidacte, Timothy apprend une vingtaine de langues en un rien de temps En plus des trois langues enseignées à l'école, le latin, le mandarin et le français, le jeune Timothy a appris sans l'aide de personne 20 autres langues dont l’allemand, l’anglais, l’arabe, le chinois, le français, l’haoussa, l’hébreu, l’hindi, l’indonésien, l’italien, le néerlandais, l’ojibwa, le pachtou, le persan, le russe, le swahili, le turc, le wolof, le xhosa et le yiddish. Timothy cherche toujours à enrichir ses compétences en langue que ce soit pendant les vacances ou pendant les weekends. Si les manuels de grammaire n'ont plus de secrets pour lui, Timothy passe aussi beaucoup de temps avec ses amis étrangers ce qui le pousse inévitablement à devenir meilleur encore.Timothy Doner utilise aujourd'hui YouTube pour partager ses compétences en langues. Dernièrement, le jeune homme a posté sa onzième vidéo dans laquelle il parle très aisément en hindi. De quoi impressionner ses futurs employeurs. 

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LES 12 PLUS BELLES ÎLES DU MONDE

Comment imaginez-vous le paradis ? Cela pourrait ressembler à une île… une île pleine de couleurs et de formes intrigantes, baignée d’eaux cristallines, avec des plages de sable blanc à perte de vue et des couchers de soleil d’or.

Mais quelles sont les îles les plus splendides? Difficile de répondre, très difficile ! Nous allons quand même tenter une réponse à travers ce classement des 12 plus belles îles du monde.

Tahiti, Polynésie Française

L’un des joyeux de la Polynési, Tahiti est un île paradisiaque plein de richesses. L’on comprend aisément pourquoi le peintre Paul Gauguin en tomba amoureux…

tahiti


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Bali

Celle qu’on ne présente plus est aussi belle à l’extérieur qu’à l’intérieur..Plages de rêve, inspirations hindous et coeur tropical, Bali a tout pour plaire.

Bali


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Barbados

Entre la mer des caraibes et l’Océan atlantique, les Barbados accueillent les vacanciers en recherche de paix et de beauté. Son relief volcanique est très contrasté par ses plages lisses et larges au couleurs azurs surréalistes.

Barbados


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Bora-Bora

Située en Polynésie française au nord-ouest de Tahiti, Bora Bora est dite « créé par les dieux » tant elle recèle de trésors et de beauté.

Bora-Bora


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Capri

Située dans la baie de Naples, Capri possède l’histoire, le charme et la richesse de l’Italie. Elle conquis tous les coeurs.
Capri

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Whitsunday Island, Australia

L’île parfaite pour les peintres et photographes en recherche d’inspiration, elle est très célèbre pour ses plages au sable blanc poudreux et les incroyables nuances de bleu de ses eaux.
Whitsunday island isole più belle del mondo

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Ile de Pâques

île mystérieuse, elle renferme bien des secrets cachés dans un splendide bout de terre aux plages à couper le souffle.
Ile de Pâques

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Ile de la Réunion

Sublime, riche, diversifiée entre montagnes, volcans, forets et plages sublimes, l’île de la Réunion est un condensé de paradis.
Isla Reunion

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Samui. Thaïlande

Plages à perte de vue, cocotiers, tranquilité, récif coraliens magnifique, Ko samui fait le bonheur des familles et des plongeurs.
Ko Samui.Thaïlande

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Phuket

Superbes panoramas, eaux turquoises, animaux colorées, soleil, spiritualité…Que demander de plus ?
Phuket

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Santorin

La plus célèbre des  îles Grecques saisi le regard grace à ses habitations blanches et bleues de la même couleur que le ciel, la mer et le sable.
Santorin

Santorin

Seychelles

Bordées de palmiers et de cocotiers, les plages des seychelles n’ont rien à envier aux autres . Pures et grandioses, elles semblent attendre les heureux voyageurs…
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L'homme qui a livré Ben Laden à la CIA croupit en prison


Shakil Afridi (à droite) avec son frère Jamil (au centre).

Shakil Afridi, un médecin pakistanais qui avait aidé les Etats-Unis à localiser le chef d'Al-Qaïda, a été emprisonné en 2011. Il a été condamné à une peine de 33 ans.
Le cas de Shakil Afridi au coeur des relations diplomatiques entre le Pakistan et les Etats-Unis. En 2011, grâce aux informations de ce médecin pakistanais, la CIA avait pu localiser Oussama Ben Laden et tuer l'ennemi public numéro 1 lors d'un assaut spectaculaire. Depuis cette date, Afridi croupit en prison. Une situation dénoncée par de nombreux défenseurs des droits de l'Homme.
En 2011, Shakil Afridi, médecin de campagne, qui a assisté à l'enracinement des talibans depuis les années 90 dans son pays, passe un marché, dont les conditions restent floues, avec la CIA. Sous le prétexte d'une fausse campagne de vaccination contre l'hépatite C, il sonne à la résidence où est supposé résider Ben Laden, dans la ville d'Abbottabad. L'ADN du chef terroriste récupéré et identifié, les Etats-Unis lancent l'assaut qui a conduit à sa neutralisation.
Placé à l'isolement
Quelques jour après cette fameuse nuit du 1er au 2 mai, les autorités pakistanaises procèdent à l'interpellation et l'emprisonnement de l'informateur, âgé d'une cinquantaine d'années. Ces dernières l'accusent d'avoir des liens avec les extrémistes. Jugé pour "implication dans des activités hostiles à l'Etat", il est condamné à 33 ans de prison. "Shakil est devenu un bouc émissaire", estime un militant des droits de l'homme, Zar Ali Khan Afridi, sans lien de parenté avec le médecin.
Aujourd'hui, la procédure judiciaire est à l'arrêt. En 2014, un procès en appel a bien débuté. Mais il a été ajourné à plusieurs reprises. Même si Shakil Afridi continue de recevoir la visite des membres de sa famille, selon son avocat, le médecin est placé à l'isolement dans une petite pièce. Pour autant, sa sécurité est menacée par les Talibans.

Trump le libérerait en "deux minutes"


Pour Me Nadeem, qui défend l'informateur, une issue ne pourra être trouvée qu'avec une intervention de Washington. En 2012, sa peine a été réduite à 23 ans après le vote de la réduction de 33 millions de dollars de l'aide américaine accordée au Pakistan, soit un million par année infligée à Shakil Afridi. Depuis, le médecin semble avoir été oublié.
C'était sans compter sur l'homme fort du moment aux Etats-Unis: Donald Trump. Le candidat à la primaire républicaine a déclaré vendredi dernier pouvoir faire libérer Shakil Afridi "en deux minutes" s'il était élu président. 

TOP 4 des ILES les plus DANGEREUSES au monde

Dans un monde où tout semble être sur et sans danger, il semble difficile d'imaginer qu'il existe encore des endroits isolés et dangereux où il n'existe aucune vie humaine. Notre planète semble devenir de plus en plus petite au fil du temps, mais il reste d'innombrables endroits qui sont tout aussi indomptable aussi bien aujourd'hui qu'il y a des centaines d'années. En plus de notre connaissance limitée de ce qui se trouve au fond de nos vastes océans, il existe des centaines d'iles vierges et inconnues.
De tous les endroits dangereux et reculés de la planète, les îles se distinguent par le fait qu'elles ne sont pas attachés à une masse importante. En outre, dans les grandes étendues de l'Atlantique, l'ocean Pacifique et l'océan Indien, les îles peuvent être situées à des centaines, voire des milliers de kilomètres des sources de civilisations les plus proches. Elles sont tellement isolées loin des grands masses terrestres, ces îles sont également dangereuses pour quiconque les visiterais ou qui souhaiteraient y vivre. Pourquoi? Certaines ne sont accessibles que par bateau, ce qui signifie qu'en cas d'urgence, vous allez devoir attendre au moins plusieurs jours pour recevoir de l'aide. Les Autres îles abritent des animaux dangereux, des volcans actifs ou sensibles aux temps horrible. Enfin, certains de ces endroits éloignés habritent des tribus d'indigènes qui pratiquent encore le cannibalisme ou veulent juste qu'on les laisse tranquilles.




D'où viennent les grandes familles marocaines ?

Les Bensouda, Benjelloun, Bennouna, Bennis, Guessous, Benkirane et autres grandes familles marocaines naviguent dans toutes les sphères dirigeantes du pays, Alors qui sont-elles ? Et d’où viennent-elles ? Le magazine Telquel a mené son enquête et voilà ce qui en ressort :
Pour savoir d’où viennent les grandes familles marocaines, il faut remonter à l’ascendance et à leurs histoires, en effet, il existe trois ensembles qui caractérisent l’élite marocaine : les Oulémas, les chorfas et les commerçants, chacune de ces catégories a des avantages qui lui permettent de se distinguer des autres classes sociales, par exemple, les Chorfas sont les descendants du prophète Mohammed , et représentent la noblesse musulmane, ils possèdent également la « Baraka », domaine de la foi pure.
Les oulémas représentent les pouvoirs de la science religieuse et de la science profane, quant-aux commerçants, ils représentent l’aristocratie marchande du Maroc et le pouvoir de l’argent.


Ces élites marocaines existent depuis des lustres, bien avant le début du protectorat, en 1873, le sultan Moulay Hassan avait fait appel à leurs services pour améliorer la gestion du pays, et depuis ce temps là, les grandes dynasties se sont enracinées et ont pris la mainmise sur les institutions étatiques.
Des noms que tous les Marocains connaissent comme les Fassis, les Bensouda, les Benjelloun, les Bennouna ont tous une histoire à raconter.
En 1873, les Bennis ont suscité le soulèvement des tanneurs contre la taxe imposée au marché des peaux, les Benslimane, les Benchekroun et les Bennani étaient chargées de l’exploitation des domaines fonciers et de la gestion du Trésor public.
Les Benkirane, Les Berrada, Chraibi et Guessous occupaient des postes importants dans la finance, la diplomatie, l’administration fiscale et le négoce.
Les Bensouda et les Guennoun se sont fait un nom grâce à leur ancêtre Mohamed El Madani Guennoun, un homme très influent qui avait rénové l’enseignement islamique en 1883.
Pour ce qui est des Chorfas, qui sont les Alaouites (rattachés à la dynastie régnante), les Idrissides, les SKalli, les Irakis et autres, ils bénéficiaient de concessions foncières et étaient exonérés d’impôts.
Les trois classes (marchands, oulémas, et chorfas) possédaient près de 40 000 hectares de terres, et après l’indépendance ils ont confirmées leur prédominance, en prenant 50 000 hectares de terres de colonisation.
Ces classes veillent à leur système de reproduction sociale, il est très rare qu’un membre de la famille se marie avec une personne issue de la classe populaire, et ce, afin de préserver la pureté du sang.
La seule chance pour qu’un fils du peuple gravit les échelons de la société est de naître la même année qu’un prince héritier, afin d’intégrer le lieu de formation des futures élites, le fameux collège royal.
En effet, cette institution a permis à plusieurs personnalités issues de la classe populaire de prendre les commandes des entités publiques, à l’exemple de Ali El Himma, Yassine Mansouri et autres…

Cartographie des liens de parenté :

Sri Lanka : Kandy, la cité des éléphants.



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L’été, la capitale religieuse du Sri Lanka s’anime de processions nocturnes qui culminent avec le défilé de cent pachydermes tout caparaçonnés. 


Haut lieu spirituel du Sri Lanka, Kandy est une cité verdoyante, qui s’étire au bord d’un paisible lac artificiel, au creux d’une vallée tropicale. Ici, les rois cinghalais résistèrent, jusqu’en 1815, aux Portugais, puis aux Hollandais et aux Britanniques. Leur bien le plus précieux était une dent de Bouddha, censée avoir été récupérée de son bûcher funéraire en 543 av. J.-C. Une princesse l’aurait introduite en fraude au Sri Lanka au IVe siècle, cachée dans ses cheveux. La croyance voulait que celui qui la possédait reçût le droit divin de diriger le pays. La relique repose toujours dans le temple de la Dent (XVIIIe siècle), qui côtoie l’ancien palais royal, devenu musée national.


Tout autour sont disséminés de nombreux monastères bouddhistes et hindouistes, objets de pèlerinage. Cette atmosphère sacrée atteint son apogée lors de la pleine lune, en juillet ou en août, à l’occasion des dix jours de l’Esala Perahera ("fête de la Dent"). Pendant les cinq premières nuits, rituels et danses ont lieu devant les cinq principaux sanctuaires de la ville. Lors de la sixième, des processions partent de chacun d’eux pour gagner le temple de la Dent. Nuit après nuit, elles sont plus importantes et spectaculaires : danseurs, jongleurs, cracheurs de feu, contorsionnistes, musiciens, percussionnistes… et des douzaines d’éléphants grimés, caparaçonnés et illuminés. Les processions fusionnent en un ultime défilé, où une centaine de pachydermes escortent leur doyen mâle, qui transporte une réplique du reliquaire sacré. 


En dehors de cette période, les visiteurs découvriront des démonstrations de musique et de danses organisées à leur intention toute l’année. Ils profiteront aussi des superbes promenades dans les jardins du complexe royal qui domine le lac, ou dans la réserve forestière d’Udawattakele, domaine des canneliers, des bétels et des palmiers, ainsi que d’une multitude d’oiseaux et de singes. 

Les Émirats arabes unis voudraient construire une montagne artificielle pour faire pleuvoir


MONTAGNE ARTIFICIELLE
MÉTÉO - Les Émirats arabes unis ont un problème de temps: il ne pleut pas assez. La dernière idée du gouvernement pour y remédier? Construire une montagne artificielle, tout simplement.
En effet, les EAU ont embauché des experts du Centre nationale de recherche atmosphérique américain (NCAR) pour travailler sur ce projet, rapporte le magazineArabian Business, dimanche 1er mai.
"Nous évaluons les effets sur les conditions météorologiques d'une telle construction, en fonction du type de montagne, quelle hauteur celle-ci devrait atteindre, avec des pentes de quel dénivelé", a explique au journal Roelof Bruintjes, chef du projet au NCAR. La présence d'une montagne participe à la création de nuages et donc potentiellement de pluie, selon le chercheur.
Ce projet, qui s'est monté en collaboration avec le centre national de la météorologie des EAU, a reçu un financement de 400.000 dollars en février 2015, précise Arabian Business. Un rapport sur cette phase du projet devrait être présenté à l'été.
Ensemencer les nuages pour faire pleuvoir
Mais rien ne dit que le gouvernement va véritablement construire une montagne artificielle. Si le coût du projet est trop élevé, il n'ira pas plus loin. Mais si c'est le cas, ce sera au tour d'ingénieurs de définir si l'idée est réalisable techniquement.
Une fois la montagne construite, il faudra encore "ensemencer" les nuages. Kézako? Cette technologie consiste à envoyer, via des fusées, des cristaux de sels dans les nuages afin d'augmenter la condensation et de faire pleuvoir.
Selon l'Organisation météorologique mondiale, des dizaines de pays travaillent sur des centaines de projets d'ensemencement. Les EAU sont clairement à la pointe sur ce sujet, note le Washington Post. 186 ensemencements ont été réalisés l'année dernière pour un budget de 558.000 dollars. Et les précipitations dans le pays sont en augmentation. Presque trop: en mars dernier, une pluie record est tombée sur le pays. En un jour, il y a eu autant de précipitations que dans une année moyenne.

L'étonnante tradition des Torajas, ce peuple indonésien qui cohabite avec ses morts

Pour se réconcilier avec la mort, le peuple Toraja de l'île indonésienne de Sulawesi, pratique une tradition pour le moins étonnante. Elle consiste à cohabiter durant quelques temps, des semaines voire des mois, avec les défunts comme s'ils étaient encore en vie.  Pour la plupart des cultures, la mort représente la fin d’une existence parmi le monde physique. Mais pas pour les Torajas de l'île de Sulawesi en Indonésie. 






Ce peuple a pour tradition de garder les défunts encore quelques temps auprès de leur famille après leur trépas. Cette habitude singulière a récemment été documentée dans un article du National Geographic qui met en lumière les croyances et habitudes des habitants de la région. "Un défunt qui réside toujours à la maison n’est pas mort" Parce que ces derniers sont très attachés à leurs ancêtres, les Torajas ont trouvé le moyen de se réconcilier avec la mort. Durant des semaines, des mois et même parfois des années en fonction des familles, ils gardent parmi eux la dépouille de leur proche. Pour eux, "un défunt qui réside toujours à la maison n’est pas mort", souligne le National Geographic. C’est pourquoi, il est impliqué dans un véritable séjour funéraire durant lequel il reçoit symboliquement des prières et de la nourriture quatre fois par jour. Il est habillé et sa famille entretient avec lui des conversations comme s'il était encore en vie. A ce stade, la mort est perçue comme un état de sommeil prolongé. Cette coexistence n’a d’ailleurs pour eux, rien de morbide comme l’explique l’une des personnes interrogées : "Nous n’avons pas peur du corps mort parce que notre amour pour nos ancêtres est beaucoup plus grand que notre peur". Et si garder un défunt pendant des semaines peut poser question quant à une possible décomposition, les Torajas ont une technique bien rodée. Après la mort, les corps sont traités avec du formol qui va stopper la putréfaction. Au lieu de cela, ils vont se momifier, se changeant en des statues figées dans le temps.   Un second enterrement Il faut un certain temps avant que le corps soit finalement déposé dans un grand cercueil et placé dans une tombe. Il arrive parfois que la famille organise une sorte de "second enterrement". Appelé ma’nene, la cérémonie consiste à retirer le défunt de son tombeau pour nettoyer son corps et le revêtir de nouveaux vêtements. La lecture de passages bibliques accompagne souvent ces événements. La culture du peuple Toraja est en effet fortement imprégnée de la religion chrétienne, une petite exception compte tenu la prédominance de l’Islam en Indonésie. Quant à cette tradition spécifique, il est impossible de savoir avec précision, depuis combien de temps elle dure. Ce genre de rite est transmis de génération en génération sans qu’aucun document n’y fasse référence. La plupart des anciennes traditions des Torajas qui n'ont commencé à écrire qu'au début du XXe siècle se transmettent encore de façon orale. Cependant, la datation de certains échantillons de cercueils suggèrent que la coutume pourrait remonter à plus de 1.000 ans. 


North Sentinel, l'île la plus dangereuse du monde.

 Découvrez North Sentinel, l'île la plus dangereuse du monde
L'île de North Sentinel, située dans le golfe du Bengale, a tout d'un endroit paradisiaque : eaux turquoises, plages de sable blanc, végétation luxuriante... Pourtant, cette terre est l'une des plus dangereuses au monde, et quiconque a essayé d'y mettre les pieds y a frôlé la mort. Car la population qui y vit n'a rien d'accueillante et est prête à tout pour conserver son île intacte.  C'est au large de l'Inde, au milieu des îles Andaman, que se trouve North Sentinel. Terre quasi vierge à la végétation abondante, l'archipel de 72 kilomètres carrés n'a pas de statut clairement défini par le droit international et est donc, depuis 1947, l'une des régions autonomes de l'Inde. Elle est pourtant habitée depuis plusieurs milliers d'années, et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle aujourd'hui, il est fortement déconseillé de s'y aventurer, au risque de succomber à une mort certaine.  


 Un peuple millénaire La tribu qui vit sur cette île est appelée les Sentinelles, un peuple chasseur-cueilleur originaire d'Afrique. Estimés au nombre de 250 environ, les habitants seraient arrivés de leur continent d'origine il y a plus de 60 000 ans et vivraient depuis en complète autarcie. Ils formeraient ainsi l'un des derniers peuples coupés du monde.
 
 
 Leur langue étant très différente des autres dialectes, on suppose en outre qu'ils n'ont eu que très peu, voire même aucun, contact avec l'extérieur. Selon les spécialistes, leur faible niveau de développement les rapprocherait de la période "pré-néolithique", les Sentinelles semblant par exemple connaître le feu, mais ne sachant pas le produire. Plusieurs approches infructueuses Très protecteurs envers leur île, ces guerriers attaquent quiconque s'approche de leur territoire, n'hésitant pas à tirer des flèches depuis la plage aux bateaux naviguant un peu trop près du rivage. Selon les derniers témoignages, les seules personnes s'étant aventurées aux abords de l'archipel sont soit mortes, soit passées tout près de connaître le même sort. En 1974, un réalisateur tombé amoureux de l'île aurait ainsi très vite renoncé à ses désirs de tournage suite à une flèche reçue dans la cuisse. En décembre 2004, quelques jours après le tsunami ayant ravagé les côtes asiatiques, un hélicoptère venu apporter des soins aux survivants s'est quant à lui retrouvé couvert de flèches et a dû rebrousser rapidement chemin. Le dernier contact en date avec la tribu des Sentinelles remonte à 2006, lorsque deux pêcheurs ont été tués alors qu'ils se trouvaient à proximité des plages. Depuis, le gouvernement indien a pris la décision de ne plus tenter de visites et de laisser le peuple en paix, recroquevillé sur son île et loin du reste du monde.