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L’homme qui défie le froid ou l'homme de glace..



Ce Néerlandais est connu pour affronter 
des températures extrêmes… en slip 
de bain ! Sa méthode pourrait être utile
dans le traitement de certaines maladies.

Il a affronté le Mont-Blanc en short, couru un semi-marathon sur le cercle polaire pieds nus et en short, est resté 72 minutes immergé dans de la glace et, tous les jours, il aime s’offrir un bain glacé, pendant des heures… Eh oui, il se sent parfaitement bien quand il fait tout ça ! Wim Hof, un Néerlandais de 58 ans, surnommé Iceman, « l’homme de glace » en français, parvient à défier le froid extrême avec seulement sa volonté, affirme-t-il, grâce à une méthode personnelle de méditation et de respiration, qu’il enseigne par ailleurs.





Wim Hof est connu pour être capable de résister 
à des températures extrêmes, comme lorsqu’il
est resté immergé dans un bac de 
glace durant 72 minutes.

Suffisamment intriguant pour intéresser la science. En 2011, des chercheurs hollandais lui avaient inoculé volontairement la grippe pour observer ses réactions – un simple mal de crâne de dix minutes. Cette fois-ci, des scientifiques américains de l’université de Wayne State, à Détroit (États-Unis), ont voulu percer le mystère de sa formidable résistance au froid. Leur étude, publiée dans la revue scientifique NeuroImage, est la première à observer les réactions du cerveau de Wim Hof, lors d’une expérience d’exposition complète du corps au froid.

Des résultats « surprenants »
Pendant trois jours, les docteurs Otto Muzik et Vaibhav Diwadkar, de l’université de Wayne State, ont étudié le cerveau d’Iceman et ses fonctions corporelles, à l’aide de deux types d’imageries différentes : l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour visualiser l’activité cérébrale et la tomographie par émissions de positons (TEP), qui permet de mesurer, en trois dimensions, l’activité métabolique ou moléculaire d’un organe.
Pendant toute la durée des examens, Wim Hof portait une combinaison spéciale dans laquelle les chercheurs pouvaient injecter de l’eau à la température voulue. Les données concernant le corps d’Iceman ont ensuite été comparées à celles d’un groupe de participants en bonne santé.



Pendant trois jours, Wim Hof a subi des tests
menés par des scientifiques de l’université 
de Wayne State, à Détroit.

Et les résultats sont « surprenants », écrivent les deux professeurs dans leur publication. « La régulation volontaire de la température de la peau et donc de la température corporelle, alors même que le corps est soumis au froid, est inhabituelle. Cela peut aussi expliquer sa résistance aux gelures », détaille Otto Muzik, professeur de pédiatrie, de neurologie et de radiologie.
Grâce à sa méthode de respiration et de méditation, Wim Hof, parvient à rendre sa peau insensible au froid. D’après les analyses des chercheurs, cette technique lui permet, entre autres, d’augmenter l’activité de son système nerveux et la consommation de glucose de son muscle intercostal. Par conséquent, cela génère de la chaleur qui se diffuse dans les tissus pulmonaires et réchauffe le sang qui circule dans les capillaires pulmonaires (de petits vaisseaux sanguins situés dans les poumons).

Une méthode pour le traitement de certaines maladies ?
Les tests effectués sur Wim Hof ont permis d’établir que l’homme, confronté au froid, mobilise une partie bien précise de son cerveau : la substance grise périaqueducale. Il s’agit d’un ensemble de neurones localisés autour de l’aqueduc cérébral, qui jouent un rôle important dans la perception de la douleur.
« Cette zone est liée aux mécanismes cérébraux de contrôle de la sensation de douleur, précise Otto Muzik. On suppose qu’elle gère ce contrôle en libérant des opioïdes et des cannabinoïdes. » Pour les chercheurs ces résultats sont donc « frappants ».
Ils émettent l’hypothèse que la méthode de Wim Hof « peut vraiment favoriser la libération spontanée d’opioïdes et de cannabinoïdes dans le cerveau ». Et a donc « le potentiel de créer un sentiment de bien-être et de réduire l’anxiété ».


La méthode de respiration et de méditation
mise au point par Wim Hof pourrait
servir à traiter certaines maladies.


Un espoir pour la science, concluent les chercheurs. Car selon eux, la méthode d’Iceman pourrait être intéressante pour le traitement de maladies du système immunitaire ou psychiatriques. Ils vont mener d’autres études à l’échelle internationale dans ce sens. « Ces possibilités sont trop intrigantes pour être ignorées ! »

Quel est cet étrange nuage dans le ciel helvétique?


Cette photo montre un nuage ressemblant étrangement ce qui suit l'explosion d'une bombe atomique dans le ciel, helvétique.
Il s'agit simplement d'un cumulonimbus. Cela n'a rien d'anormal. Le nuage était spécialement visible mercredi parce que le ciel était clair et dégagé.
Les cumulonimbus appartiennent à la famille des cumulus. Ils se caractérisent par une forte extension verticale. Lee nuage en question s'est étiré sur environ 14 kilomètres de haut avant de venir heurter une barrière climatique et de s'élargir.




La berce du Caucasse.

 Caractéristiques :




Résultat de recherche d'images pour "la berce du caucase"
La berce du Caucasse

C'est une plante exotique envahissante. Sa sève contient des toxines. Ces dernières sont activées par la lumière et rendent la peau extrêmement sensible au soleil, causant des dommages aux cellules cutanées superficielles (lésions apparentées à des brûlures, douloureuses et parfois graves).
La sève est liquide, incolore et inodore, et est exsudée sur toutes les parties de la plante. Le contact avec la sève de la plante est indolore, mais les toxines qu’elle contient peuvent produire des dermatites jusqu’à 48 heures après l’exposition. Après guérison des plaies, des taches brunes ou blanches peuvent persister pendant plusieurs mois, voire quelques années, sur les régions affectées et ces dernières peuvent demeurer photosensibles (sensibles à la lumière).

La plante colonise les milieux perturbés et humides (le long des berges de cours d’eau, des fossés, des chemins de fer et des routes) mais peut aussi se retrouver dans les prés et terrains vagues. Parce qu’elle produit une très grande quantité de graines, elle se disperse rapidement sans toutefois occuper nécessairement de grandes superficies.
Étant donné le caractère envahissant de cette plante et ses propriétés toxiques, il est important de freiner sa dispersion et d’éviter d’y être exposé. L’arrachage manuel ou mécanique est possible, mais doit être fait en prenant des mesures de protection adéquates, car il comporte un risque élevé d’exposition. 

Il est très important de limiter la propagation de la berce du Caucase, de ne jamais la semer, la planter, la multiplier ou la transporter. Dans la mesure du possible, il faut éliminer la plante et détruire sa repousse.
Avant d’effectuer tout arrachage, il faut prendre les mesures de sécurité suivantes pour éviter l'exposition à la sève toxique :
  • couvrir toutes les parties du corps par des habits protecteurs non absorbants (pantalons longs, manches longues et gants à manchons longs);
  • enlever les vêtements et les gants en les retournant à l'envers;
  • protéger les yeux ou tout le visage (visière);
  • s'assurer que personne ne se trouve dans un rayon où il pourrait être atteint par des gouttes de sève ou des débris de plante;
  • préférer l'utilisation d'un couteau ou d'une pelle ronde pour couper les tiges et les racines;
  • laver les outils en contact avec la sève de la plante (sécateur, débroussailleuse, etc.).
D’une manière générale, pour se débarrasser des plants coupés, il faut les sécher en les plaçant dans des sacs en plastiques robustes et hermétiques exposés au soleil pendant un minimum d’une semaine.
Si seules les tiges sont coupées et que la racine survit, la plante pourra produire de nouvelles tiges au cours de la même année et l’année suivante. Il est donc important de sectionner les racines de la plante à une profondeur d’environ 20 cm sous la surface du sol à l’aide d’une pelle ronde ou d’un couteau rigide à long manche pour la retirer du sol.
Attention de ne pas confondre avec des espèces similaires!
Il est important de bien identifier la berce du Caucase afin de ne pas la confondre avec une espèce indigène du Québec, la berce laineuse (ou grande berce), qui lui ressemble beaucoup, mais qui n'est pas envahissante et ne pose pas de risque pour l'environnement, la santé ou l'économie. Consultez la fiche Identification de la berce du Caucase pour bien comparer les deux espèces.
Plusieurs autres plantes peuvent être confondues avec la berce du Caucase. 

La berce laineuse : 

  • Hauteur : de 1 à 3 mètres
  • Tige recouverte de poils blancs et souples d’aspect feutré
  • Tige pouvant porter des taches diffuses et peu nombreuses, variant de rouge framboise à violet
  • Face inférieure des feuilles couverte de poils blancs abondants, souples et laineux
  • Feuilles divisées en 3, 4 ou 5 folioles, moins découpées et moins dentées
  • Ombelle en forme de parapluie inversé, de 15 à 20 centimètres de diamètre
  • Ombelle principale composée de 15 à 50 rayons
  • Fleurs blanches
  • Sève pouvant causer des dermatites bénignes
La berce laineuse


Brésil: quand un anaconda géant provoque un embouteillage

Sur une route de Manaus, au nord-ouest du Brésil, des automobilistes ont fait une découverte pour le moins surprenante. En effet, une créature insolite a temporairement barré la route aux conducteurs.
Dans une vidéo prise par un témoin de la scène, on peut apercevoir un anaconda géant long de près de 3,5 mètres qui essayait de traverser la route, causant un embouteillage.
Plusieurs conducteurs ont arrêté leurs véhicules pour regarder ce spectacle insolite, impressionnés par les dimensions du reptile.
Selon des témoins, il n’est pas rare que les animaux sauvages traversent les routes sans se soucier des usagers et créant des embouteillages.





FOOTBALL Une belle avancée pour les femmes en Iran..

Des iraniennes au stade de foot.
Des iraniennes au stade de foot.

Le foot pour faire bouger les lignes. Si la Coupe du monde peut réussir à faire évoluer les mentalités en Iran, alors tout ne sera pas perdu. Jusqu’ici, l’entrée dans une enceinte sportive était purement et simplement interdite aux femmes iraniennes mais les choses seraient en train d'évoluer.



Avant le Mondial, déjà, des Iraniennes avaient bravé l’interdiction en filoutant et en se déguisant en hommes pour pouvoir assister à une rencontre de championnat. Une sorte d’acte de résistance, en somme. Depuis, certaines Iraniennes se sont servies de la caisse de résonance que représente le Mondial pour revendiquer le droit à voir du foot au stade comme ces messieurs. Notre envoyé spécial vous relate tout cela dans un papier.

Une liberté au-delà du Mondial ?

Il faut croire que leurs revendications n’ont pas mis longtemps à être entendues puisqu’à l’occasion du match entre l'Iran et l’Espagne, retransmis à l’Azadi Stadium de Téhéran, les femmes ont pu assister à la rencontre en toute légalité.



Enfants migrants séparés aux Etats-Unis : "profondément choquant", selon Theresa May

Enfants migrants séparés aux Etats-Unis : "profondément choquant", selon Theresa May
Theresa May a sévèrement condamné la politique 
migratoire de l'administration Trump mercredi

"C'est une erreur, nous ne sommes pas d'accord avec cela, ce n'est pas l'approche britannique", a déclaré mercredi la Première ministre du Royaume-Uni.
La Première ministre britannique Theresa May a jugé mercredi "profondément choquante" la politique migratoire américaine en vertu de laquelle plus de 2.300 enfants ont été séparés de leurs parents sans-papiers.
"Ce n'est pas l'approche britannique". "Les images d'enfants détenus dans ce qui semble être des cages sont profondément choquantes. C'est une erreur, nous ne sommes pas d'accord avec cela, ce n'est pas l'approche britannique", a déclaré devant les députés la dirigeante conservatrice, qui recevra le président américain Donald Trump le 13 juillet au Royaume Uni.
"Il y aura une série de questions" avec Trump. "Quand nous ne sommes pas d'accord avec les États-Unis, nous le leur disons", a-t-elle dit, indiquant qu'elle évoquerait le sujet des enfants séparés avec le président américain. "Il y aura une série de questions dont je discuterai avec le président Trump (lors de sa visite au Royaume-Uni), une série de questions concernant nos intérêts communs", a-t-elle précisé, citant notamment "la sécurité et de la défense".
L'administration Trump sous une pluie de critiques. La séparation des enfants de leurs parents sans-papiers, pour beaucoup fuyant la violence en Amérique centrale, fait scandale aux Etats-Unis, et a déclenché une pluie de critiques à l'encontre de Donald Trump. Ce dernier se rendra le 13 juillet au Royaume-Uni, une visite longtemps repoussée de craintes de manifestations qui finiront très certainement par arriver, le président américain comptant de nombreux détracteurs au Royaume-Uni.

Le gendarme, un insecte inoffensif et utile


 Ces insectes rouges et noirs, souvent regroupés en nombre important, nous sont familiers !
  • Le gendarme, une punaise inoffensive
Le gendarme, Pyrrhocoris apterus, appelé aussi suisse, soldat ou cherche-midi, est facile à identifier : avec sa carapace rouge et noire et sa tendance au regroupement, il ne passe pas inaperçu au jardin. Il suscite parfois l'inquiétude : les jardiniers le soupçonnent parfois d'occasionner des dégâts sur les plantes, d'autres regardent d'un mauvais oeil cette foule d'insectes rouges et noirs massée sur les troncs ou le long des murs, au soleil... Que tout le monde se rassure ! Le gendarme, est un insecte totalement inoffensif. Il ne grignote pas les feuilles des végétaux, ni ses racines, ne pique généralement pas les humains, ne mord pas, et, contrairement à la majorité des punaises terrestres, n'a pas d'odeur !


La taille d'un gendarme adulte est d'en moyenne 1 cm. On le reconnaît facilement aux dessins de sa carapace : un triangle noir, deux grandes taches noires et rondes et 2 autres plus petites. Ces dessins auraient une fonction aposématique, c'est à dire de mimer l'aspect d'un animal plus gros pour effrayer les agresseurs, et il est vrai qu'ils évoquent un masque africain !
Le gendarme est un insecte hémiptère, et plus précisément hétéroptère (famille des punaises). En dépit de son nom, Pyrrhocoris apterus, il n'est pas aptère : il possède 2 paires d'ailes (1 paire postérieure, membraneuse, et une paire antérieure, partiellement cornée). Cependant, il ne vole pas car ses ailes sont trop courtes : on le qualifie de brachyptère (sauf certains individus, dits macroptères, qui sont capables de voler et apparaissent quand les conditions de vie dégradées imposent au gendarme d'aller voir ailleurs s'il y fait meilleur vivre !).


  • Que mangent les gendarmes ?
L'appareil buccal du gendarme est de type piqueur-suceur, comme le puceron (il est donc bien incapable de "grignoter" les feuilles, ce dont il est parfois injustement accusé). Il se nourrit de préférence de plantes de la famille des Malvacées (hibiscus, mauves, guimauve...) et des Tiliacées (tilleul). Il apprécie particulièrement leurs fruits et leurs graines, qu'il pique à l'aide de son rostre et dont il suce les sucs.








                                                  Source : Ould Lablad

Séisme au Japon. À Osaka, des milliers de foyers privés d’eau et d’électricité

Une route s'est effondrée après un tremblement de terre à Takatsuki, dans la préfecture d'Osaka, dans l'ouest du Japon, le 18 juin 2018.
 Une route s'est effondrée après un tremblement de terre à Takatsuki,
dans la préfecture d'Osaka, dans l'ouest du Japon, le 18 juin 2018.



Lundi matin, un tremblement de terre de magnitude 5, 9 a frappé la ville de Takatsuki, dans la région d’Osaka, peu avant 8 h. La préfecture de la troisième ville du Japon n’avait pas connu un tel séisme depuis 1920 et pour ses 9 millions d’habitants, la journée d’hier a été chaotique.




La région d’Osaka, à l’ouest du Japon, retroussait ses manches ce mardi et faisait le bilan du tremblement de terre qui a frappé la ville de Takatsuki, hier, à 7 h 58. Une quatrième victime, une octogénaire, est décédée des suites de blessures causées par l’effondrement d’un bâtiment tandis que les autorités comptabilisaient toujours 380 blessés. Plus de 170 000 foyers sont toujours privés d’électricité, plus de 100 000 privés d’eau et 110 000 de gaz. Plusieurs grandes entreprises, comme Panasonic, Sharp ou le groupe logistique Nippon express ont dû fermer leurs portes. Arrêtés hier, les transports ont repris mais restent très encombrés. De nombreux bâtiments se sont effondrés.





Parmi les habitants, l’inquiétude était palpable. Au Japon, on sait qu’un tel séisme ne vient jamais seul… Lundi soir et ce mardi, les habitants de la région attendaient avec angoisse l’arrivée des répliques promises par l’Agence météorologique japonaise dans les jours à venir. Ces dernières peuvent être aussi fortes, voire plus fortes, que le séisme initial. Autre crainte : les glissements de terrains potentiellement causés par les fortes pluies prévues pour le milieu de semaine.



La Corée du Sud et l’empire des caméras cachées



Une grande manifestation ayant eu lieu en juin 2018 en Corée du sud pour dénoncer les caméras cachées présentes des dans les lieux publics.
Si vous vous êtes déjà rendus au Pays du Matin Frais, vous avez obligatoirement vu des panneaux vous indiquant la présence de caméras de surveillance (CCTV). Il y a en partout dans la capitale et le reste du territoire. Aucun coin de rue n’est épargné et ce nombre est croissant d’année en année.
Il y avait 300 000 caméras dans les lieux publics en 2010 et ce nombre est passé à 740 000 en 2015, soit une augmentation de 49%.
Elles ont été installées pour la prévention des incendies, la régulation de la circulation et la lutte contre les actes criminels et leur résolution.


KOREA, SOUTH KOREA - May 21 : Korea street on May 21,2016 in Seo
Caméra de surveillance et son panneau 
dans une rue en Corée

Ces appareils de surveillance ont donc de sacrés avantages mais posent aussi les limites de la protection de la vie privée et des données personnelles.
Pour se faire, il existe une loi sur la protection des données personnelles, la PIPA (Personal Information Protection Act) qui encadre l’exploitation des données recueillies par les caméras mais aussi, plus largement, toutes les données informatiques. Par exemple, dès qu’une caméra est installée (et quelque soit le lieu), il y a obligation de nommer un responsable de la surveillance des données et en cas de délégation de cette tâche, cette dernière doit bien être expliquée à la nouvelle personne.



Les caméras cachées – Molka
Les Molka, contraction de « molae camera » (몰래 카메라 – littéralement caméra secrète), sont des caméras cachées utilisées dans le but d’espionner et de recueillir certaines images sans le consentement des personnes.
Les protagonistes sont souvent des hommes installant des appareils dans les toilettes publiques, les transports en communs et même au sein du propre foyer familial.
Ces personnes utilisent des caméras miniatures posées dans des endroits discrets, glissées dans des trous dans les murs, cachées dans une poche percée, accrochées sur une veste sous la forme d’un bouton etc… pour filmer l’intimité des victimes. Les téléphones portables sont aussi utilisés pour filmer en les glissant subtilement sous la jupe des femmes qui utilisent l’escalator.

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Les victimes sont donc majoritairement des femmes dont l’intimité est observée et parfois dévoilée sur internet.
Entre 2012 et 2017, 16 201 personnes ont été arrêtées pour ce délit et, parmi eux, 98% étaient des hommes. 84% des victimes étaient des femmes. On observe donc que certains hommes usent de cette pratique entre eux.
Ce phénomène ne date pas d’aujourd’hui. En 2012, la police avait recensé 920 cas et en 2015, ce fut 3 638 cas. En 2017, ce serait plus de 6 000 affaires qui auraient été rapportées aux autorités.
Les sanctions peuvent aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 10 millions de wons (environ 7 600 euros). Malheureusement, ces mesures sont peu appliquées. Une somme nettement plus modeste est généralement à la charge du criminel et il ne va pas en prison.

Juin 2018, une grande manifestation contre les molka.

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Le 9 juin 2018, une manifestation a eu lieu dans la capitale pour dénoncer les Molka. Elle fait suite à l’arrestation d’une femme de l’université de Hongik qui a filmé et diffusé des images d’un camarade posant nu lors d’une séance de dessin.
La rapidité de l’arrestation de la jeune femme a été l’élément déclencheur de ce mouvement. En effet, ce n’est pas son geste (qui doit être puni) mais le fait qu’une femme soit traduite en justice plus rapidement que si elle avait été un homme qui est remis en cause.
Cette injustice vis-à-vis du genre a donc été mise en lumière par plus de 22 000 femmes qui ont défilé dans le quartier de Hyehwa.
Elles ont aussi dénoncé ces actes de voyeurisme dont elles sont victimes, alors que leurs plaintes ne sont pas prises au sérieux.




Suite à ces protestations, le gouvernement n’a pas tardé à réagir. Il a annoncé qu’il allait prendre des mesures, dont celle de vérifier des centaines de toilettes publiques.



Dans le pays le plus connecté au monde, on les appelle les "netizens" : les internautes citoyens. A l’aide de vidéos prises à la volée, ils sont parvenus à faire tomber des hommes politiques corrompus, licencier des employés irrespectueux, mettre sous verrous des criminels en cavale… En Corée du Sud, le pays le plus connecté au monde, on les appelle les netizens : les internautes citoyens. A l’aide de vidéos prises à la volée, d’une parfaite maîtrise des réseaux sociaux et d’un redoutable sens de l’investigation, ces citoyens anonymes passent au crible à peu près tout le monde : les personnalités du showbiz, les milieux du pouvoir ou le voisin de palier. Scandales en ligne. En quelques années, ces netizens sont parvenus à faire tomber des hommes politiques corrompus, virer des employés irrespectueux, mettre sous verrous des criminels en cavale. Dans la péninsule coréenne, la crainte de se retrouver au cœur d’un scandale en ligne fait désormais partie du quotidien des habitants. Enquête sur ces nouveaux justiciers au pays de l’internet pour tous.


Comment se débarrasser des fourmis définitivement ?

Utiles dans le jardin pour leur capacité à chasser les prédateurs qui peuvent ravager vos plantes, les fourmis ne sont toutefois pas les bienvenues à l’intérieur des maisons ! Ces petits insectes qui paraissent inoffensifs peuvent être porteurs de germes et de bactéries, ce qui n’est pas très sanitaire ! Découvrez dans cet article comment vous débarrasser de ces petites bestioles.


Les animaux les plus étranges de la planète

Tortue à nez de cochon, poisson-vipère, taupe à nez étoilé... ces animaux sont tous plus étranges les uns que les autres. Et malheureusement en voie de disparition pour certains.

Le tarsier
Les tarsiers sont des petits primates d'Asie du Sud-Est, caractérisés par leurs yeux énormes et leurs pieds très développés. Le tarsier est une créature difficile à apercevoir. Il ne bouge presque jamais de l'arbre qu'il a choisi comme logement. Il y reste toujours et il bouge uniquement pour se nourrir.

Le tarsier

 Le lièvre de Patagonie
Le lièvre de Patagonie est en réalité un rongeur qui vit uniquement en Argentine et pourrait rapidement être menacé de disparition.
Le lièvre de Patagonie
La taupe à nez étoilé
Ce mammifère fouisseur vit dans l'Est du Canada et dans l'extrême Nord-Est des États-Unis. Il doit son nom à la forme très caractéristique de son museau.





Le Ouakari chauve
Le Ouakari chauve est une espèce de singe chauve avec un visage rouge caractéristique. Il vit dans les forêts marécageuses au Brésil, au Pérou et en Colombie. L'espèce est classée comme vulnérable dans la liste rouge de l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) à cause de la chasse et de la destruction de son habitat.

Le Ouakari chauve
Le tatou tronqué
Le tatou tronqué est une petite espèce de tatou (12 à 15 cm de long) que l'on trouve dans le centre-ouest de l'Argentine où les habitants l'appellent «Pichi ciego » (petit tatou aveugle). Il dispose d’une carapace rose sur un corps par ailleurs très poilu.  

Le tatou tronqué
Le dugong

Le dugong est une espèce de mammifère marin au corps fuselé, vivant sur les littoraux de l'océan Indien et de l'océan Pacifique ouest.

Le dugong
La gazelle de Waller
La gazelle de Waller, aussi appelée antilope girafe ou gérénuk, est une espèce d'antilope de taille moyenne, caractérisée par son long cou qui fait penser à celui d'une girafe. Elle se nourrit principalement d’acacias et vit en Éthiopie, au Kenya, en Somalie, et en Tanzanie.
La gazelle de Waller


L’axolotl
L’axolotl fait partie des animaux ayant la capacité de passer toute leur vie à l'état larvaire sans jamais se métamorphoser en adulte. Une autre des particularités qui ont fait la célébrité de l'axolotl est sa capacité à régénérer des organes endommagés ou détruits.

L’axolotl
La vessie de mer
La vessie de mer n’est pas une méduse, malgré son aspect. Il s’agit d’une espèce de siphonophore. Bien que les vessies de mer vivent habituellement dans les mers tropicales et subtropicales, les vents dominants peuvent les déporter sur de grandes distances, notamment vers les côtes européennes où l'on assiste certaines années à des échouages massifs.





La lamproie

Surnommé le « vampire aquatique », la lamproie est une espèce d’hybride, entre le serpent et l’anguille. Autrefois abondante, elle est aujourd’hui devenue plus rare.

La lamproie

Le crabe yéti
La Galathée yéti ou crabe yéti est un crustacé habitant dans les profondeurs abyssales de l'océan Pacifique sud. Elle mesure 15 centimètres de long. Ses yeux très atrophiés et sans pigmentation laissent supposer qu'elle est aveugle. Elle est reconnaissable aux soies abondantes qui couvrent ses pattes.

Le crabe yéti
L'aye-aye
L'Aye-Aye est une espèce de primate lémurien qui vit à Madagascar. Il est menacé d’extinction.

L'aye-aye

L'Ornithorynque

L'Ornithorynque est un animal semi-aquatique de l'est de l'Australie, y compris la Tasmanie. Il dispose d’une queue rappelant celle d’un castor, le bec d’un canard, et pond des œufs.  
L'Ornithorynque
Le poisson-vipère
Les poissons-vipères vivent dans les abysses et semblent avoir traversé le temps. Ils portent généralement des organes lumineux pour attirer leurs proies.


Le poisson-vipère

Le blob fish
Désigné animal le plus laid du monde, le blob fish est une espèce de poissons abyssaux vivant entre 600 et 1 200 m de profondeur, au large des côtes australiennes et tasmaniennes. Le chalutage de fond intensif fait du blob fish une espèce en danger de disparition.

Le blob fish

Le rat-taupe
L'Hétérocéphale, aussi appelé Rat-taupe nu ou Rat-taupe glabre est un petit rongeurprésent en Afrique de l'est (Somalie, Kenya, Éthiopie) et remarquable sur plusieurs points dont son organisation sociale, sa régulation de température limitée, sa capacité de reproduction, sa résistance aux maladies (notamment aux cancers) ou encore sa longévité qui peut dépasser 30 ans en captivité.




Le papillon caniche
Le papillon caniche est une nouvelle espèce découverte au Venezuela en 2009. Pour l’heure, il reste un mystère pour les scientifiques.


Le papillon caniche

Le Labre à tête de mouton
Le Labre à tête de mouton est une espèce de poissons de couleur grise vivant dans les mers du Japon, de Chine et Corée du Sud. Il habite les mers peu profondes et les bancs de coraux et se nourrit de mollusques et de crustacés.
Le Labre à tête de mouton
La grenouille noire de pluie


La grenouille noire de pluie vit sur la côte sud de l’Afrique et se gonfle en cas de danger. Autre particularité : elle sécrète une substance collante sur son dos afin que le mâle ne tombe pas durant l’acte sexuel.


La tortue à cou long
La tortue à cou long se rencontre en Australie et est aujourd’hui menacée d’extinction. D’autant plus qu’elle ne se reproduit pas en captivité. Elle est carnivore, se nourrissant d'insectes, de vers, de grenouilles, de petits poissons, de crustacés ou de mollusques.
La tortue à cou long
La glaucus atlanticus
La glaucus atlanticus est un mollusque gastéropode qui vit dans toutes les eaux tempérées ou tropicales, où il flotte à la surface.

La glaucus atlanticus

L'araignée sauteuse
Les araignées sauteuses semblent nous fixer de leurs surprenants yeux mais elles sont inoffensives pour l’homme. On les rencontre partout dans le monde.


L'araignée sauteuse

Le fossa
Le fossa ne vit qu’à Madagascar. Il est le plus gros mammifère carnivore de l'île et est parfois comparé à un petit puma. Il est généralement craint par la population locale mais celle-ci ne le chasse pas.

Le fossa
La tortue à nez de cochon
La tortue à nez de cochon se rencontre en Nouvelle-Guinée et dans le Territoire du Nord en Australie. C’est une espèce unique en son genre.