Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Quelques plantes, les plus rares du monde

 L’homme, au fil du temps, a découvert des centaines de milliers de plantes qui nous étaient étrangères de part leur forme, leur couleur, leur goût… Aussi étranges les unes que les autres,

  • La Rafflesia arnoldii : 
C’est une plante parasite, sans tige, dont la racine ne croît que dans les forêts de l’Indonésie. La plante consiste simplement en fleurs de cinq pétales avec un diamètre supérieur à 106 cm mais qui peut atteindre jusqu’à 10 kg ! Il existe également une plus petite espèce, la Rafflesia manillaza, avec des fleurs d’environ 20 cm de diamètre.
La Rafflesia arnoldii est une espèce très rare et difficile à trouver, spécialement en fleur, puisque la floraison peut prendre des mois avant de se développer entièrement, et dure très peu de jours.


  • La Hydnora africaine :
La plante croît sous terre, à l’exception d’une fleur qui émerge sur le sol et émet une odeur d’excrément pour attirer ses pollinisateurs naturels, les scarabées du fumier, et autres. Les fleurs agissent comme des pièges à scarabées durant une brève période et les libèrent très rapidement quand la fleur est complètement ouverte.


  • La Dracunculus vulgaris ou herbe des sorcières :
C’est une plante permanente, de plus de 1 m de hauteur, dont le feuillage disparaît après la floraison. Une unique inflorescence de 30 à 130 cm apparaît au printemps ou au début de l’été suivant le climat.


  • L’Amorphophallus :
C’est une plante herbacée, tubéreuse qui produit une inflorescence appelée parfois la “plus grande fleur du monde”. En mai 2003, l’Université de Bonn (Allemagne) a présenté un exemplaire vivant de 2,74 m de hauteur. Cette espèce est originaire des forêts tropicales de Sumatra (Indonésie). En plus de sa taille extraordinaire, elle possède une autre caractéristique qui la rend unique : elle dégage une odeur fétide de viande pourrie qui empêche les hommes de s’en approcher. 


  • Wollemia nobilis :
C’est un arbre conifère rare découvert en 1994 considéré comme un fossile vivant. Wollemia est arbre qui atteint une hauteur de 25 à 40 m. Son écorce est d’une couleur marron très caractéristique, obscure et noueuse, comme s’il était recouvert de chocolat. L’arbre, si on le coupe, forme rapidement de nombreux rejets comme un arbuste.


  • Welwitschia mirabilis :
Elle croît en Angola et en Namibie, et spécialement dans le désert du Namib. La plante absorbe l’eau à travers ses propres feuilles, qui lui servent à mettre à profit la rosée nocturne du désert. On la considère comme l’une des plus rares plantes qui existent mais qui est malheureusement en voie de disparition.


  • Drakaea glyptodon :
C’est un type d’orchidée native de l’Australie. Ces orchidées ont développé une méthode curieuse de pollinisation, puisqu’elles sont uniquement pollinisées par la guêpe Thynnid. Pour réussir à être pollinisée, la plante femelle imite la forme de l’abdomen de la guêpe et dégage même des phéromones pour attirer le mâle.


  • Wolffia angusta :
Ce sont des plantes aquatiques assimilées aux flocons de maïs. Elles flottent librement, sont de couleur verte ou jaune et n’ont pas de racines. Elles sont souvent isolées ou réunies par deux et forment des populations denses à la surface des eaux douces stagnantes.


  • Bleeding Tooth Fungus :
Ce champignon non comestible ressemble à une boule de chewing-gum. Il pousse entre la fin de l’été et l’automne dans les bois de conifères (pins, épicéas), et y compris les dunes. Il est dispersé ou en groupes dans la mousse et le lichen.


  • Tacca chantrieri :
Le Tacca Chantrieri est une plante tropicale qui a besoin de beaucoup d’humidité. Ses feuilles doivent être remplies d’eau (mais non inondées) pour qu’elle puisse produire de nouvelles fleurs.


  • Actaea pachypoda :
C’est une plante qui atteint les 50 cm de hauteur. Ses feuilles dentelées mesurent 40 cm de longueur et 30 cm de largeur. Son fruit est de couleur blanche pareil au globe oculaire. Les fruits sont hautement vénéneux et toute la plante est considérée comme toxique pour les êtres humains.


  • Clathrus archeri :
Ce champignon déploie 4 à 8 bras de couleur rouge qui rappellent les tentacules. Il a une odeur nauséabonde de viande en décomposition qui attire les insectes qui transportent les spores. Il n’est pas comestible.


  • Harpagophytum :
C’est une espèce de plante herbacée rampante, originaire du sud de l’Afrique et qui croît à l’état sauvage dans le Désert de Kalahari. Elle est plus connue sous le nom de “Griffe du diable” puisque ses fruits sont des capsules ligneuse recouvertes d’épines crochues.


  • Porcupine Tomato :
La tomate porc-épic croît à Madagascar. En plus d’être vénéneuse, la tomate porc-épic est potentiellement une plante envahissante : il est très difficile de s’en débarrasser, même dans des cas de fortes sécheresses.


  • Euphorbia obèse :
C’est une plante dioïque (qui a seulement des fleurs de sexe masculin ou féminin sur chaque pied). A l’état sauvage, elle est en voie de disparition à cause des récoltes excessives puisque sa croissance est très lente). Cependant, elle est amplement cultivée dans les jardins botaniques.


  • Le baobab :
Il est endémique au sud du Sahara, en Afrique, où on le trouve en grande abondance. Il peut habiter entre le niveau de la mer et 1.250 mètres d’altitude, dans un climat chaud. Des spécimens ont également été découverts au centre et à l’Est du continent.


  • Dracaena cinnabar :
Le Dracaena est un genre d’au moins 40 espèces d’arbres et d’arbustes classés chez la famille Ruscaceae. La majorité des espèces sont natives de l’Afrique et des îles environnantes. Il en existe certaines au sud de l’Asie et une seule en Amérique centrale.


  • Mimosa Pudica :
Il possède de très petites fleurs, de couleur rose mauve et a l’habitude d’atteindre plus d’un mètre de hauteur. Sa vie est courte : 5 ans à peu près. Une caractéristique très remarquable consiste en ce que les bouts de ses feuilles se contractent sur la tige comme si elles se refermaient, et reviennent à la base de la plante grâce à leur poids.


  • Drosera capensis :
C’est la plante carnassière la plus populaire, pour être une espèce très résistante et d’une culture facile, en comparaison d’autres plantes insectivores. C’est une plante originaire du Cap, en Afrique du Sud. Ses feuilles sont recouvertes de duvets et de mucilage, substance collante qui attrape les insectes qui seront digérés tout de suite grâce aux enzymes de la plante.


  • Night-blooming cereus :
Les fleurs sont presque toujours blanches, grandes, et parfumées. La majorité des fleurs s’ouvrent après la tombée de la nuit, et à l’aube.




Le thym, un excellent antiseptique


Le thym (زعتر) est un genre de plantes aromatiques riche en huile essentielle de la famille des Lamiacées. Il en existe plus de 300 espèces. Il est utilisé depuis la nuit des temps pour assaisonner les plats cuisinés et les grillades estivales mais aussi, et surtout, pour ses vertus médicinales.
C'est un antiseptique aux innombrables propriétés qui lutte efficacement contre les infections des voies respiratoires. Il renforce et nettoie le système immunitaire et soutient la fonction hépatique. Le miel extrait de ses fleurs, de plus en plus rare à trouver, est un médicament naturel aux qualités thérapeutiques exceptionnelles.




L'estragon, un antistress qui favorise le sommeil


L'estragon est une plante herbacée aux feuilles parfumées de la famille des Astéracées. Séchées, fraîches ou en poudre, les feuilles sont utilisées pour aromatiser divers plats chauds ou crudités. Elles relèvent également les conserves au vinaigre et donnent de la saveur aux sauces. 


L'estragon (نبات الطرخون) occupe une place de choix dans la cuisine traditionnelle grâce à son goût prononcé. Il en existe plus de 300 espèces. Sur le plan thérapeutique, le végétal possède des vertus stimulantes de l'appétit, il soulage les crampes d'estomac et les maux de dents. C'est également un antistress favorisant le sommeil. Les herboristes d'antan lui donnaient le surnom d'« herbe dragon » car ils croyaient que la forme onduleuse de sa racine était en mesure de contrecarrer les effets du venin injecté par la morsure d'un serpent.



ELECTION AMÉRICAINE : QUI SONT LES GRANDS ÉLECTEURS ?

 

Ils sont un élément indispensable et pourtant méconnu de la démocratie américaine. Tous les quatre ans, les grands électeurs servent à élire le président des Etats-Unis lors d'une élection au suffrage indirect. Et cette année, elle a lieu ce lundi 14 décembre.
En tout, ces 538 citoyens au pouvoir politique très important forment le collège électoral. Ils sont répartis dans les différents Etats en fonction de leur poids démographique. Ainsi, la Californie, qui compte plus de 39 millions d'habitants, pèse pour 55 grands électeurs. En revanche, de plus petits Etats comme le Wyoming (577.000 habitants) ou le Vermont (620.000 habitants) n'en ont que trois.
Les grands électeurs ne peuvent pas être des sénateurs ou des représentants au Congrès, ni «aucune personne tenant des Etats-Unis une charge de confiance ou de profit». Le plus souvent, les partis nomment donc des militants ou des personnalités qu'ils souhaitent remercier et mettre en valeur. Cela peut donc aller d'élus à la retraite à des bénévoles. Si beaucoup sont donc des inconnus, l'on retrouvait par exemple Bill Clinton à New York en 2016.
 
270 POUR L'EMPORTER


Le jour de l'élection, lorsque les citoyens décident de voter pour l'un ou l'autre des candidats, ils choisissent en réalité ces grands électeurs. C'est pour cela que l'élection se joue au suffrage indirect. Lorsqu'un candidat du parti démocrate remporte l'élection au niveau de l'Etat de Californie par exemple, les 55 grands électeurs sont donc ceux choisis par son parti. C'est ce que l'on appelle le «winner takes all». Il existe cependant une exception. Dans deux Etats, le Maine et le Nebraska, une certaine forme de proportionnelle existe. Ainsi, chaque district fournit un électeur en fonction du candidat qui y arrive en tête. De plus, celui qui remporte le scrutin à l'échelle de l'Etat remporte deux grands électeurs. En 2016 dans le Maine, Hillary Clinton a donc remporté trois électeurs sur quatre.
À la suite de l'élection, les grands électeurs élus se réunissent pour former le collège électoral. Un vote a alors lieu, et le candidat qui l'emporte est celui qui possède plus de 270 grands électeurs. Théoriquement, rien n'empêcherait un grand électeur de voter contre son candidat pour favoriser l'opposant. Cela n'arrive cependant que très rarement.
En 2016, un mouvement a par exemple essayé de convaincre certains républicains de ne pas voter pour Donald Trump. Cependant, certains Etats possèdent des lois pour empêcher cela, et forcer un électeur de voter pour son candidat. Si celui-ci refuse, il est remplacé par une autre personnalité qui respecte le choix des citoyens. Il y a quatre ans, deux républicains seulement ont changé leur allégeance, contre cinq côté démocrate.
Quatre ans plus tard, le 3 novembre dernier, les électeurs américains s'étaient majoritairement prononcés en faveur de Joe Biden comme 46e président des Etats-Unis, au détriment de Donald Trump.
Charge à présent aux grands électeurs électeurs que le choix des citoyens américains soit formellement acté.

Guerre en Ethiopie : où en est le conflit dans la région du Tigré ?

Un conflit armé a éclaté le 4 novembre entre le gouvernement et le Front de libération du peuple du Tigré, plongeant la région du nord du pays dans une crise humanitaire, qui implique les Etats voisins.
Depuis le 4 novembre en Ethiopie, le petit Etat régional du Tigré est plongé dans un conflit qui oppose le gouvernement fédéral du premier ministre Abiy Ahmed, Prix Nobel de la paix 2019, et le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF). La zone, située à 700 kilomètres au nord de la capitale, Addis-Abeba, et qui compte 6 millions d’habitants, est depuis coupée du monde.
Après avoir annoncé, le 28 novembre, la prise de Makalé – capitale du Tigré – à la suite de violents combats, le gouvernement éthiopien a déclaré ouvrir la voie aux ONG, empêchées jusqu’à lors de se rendre sur place. Mais l’accès est très compliqué pour les organisations humanitaires, qui dénombrent des centaines de morts et près de 50 000 réfugiés au Soudan voisin. Un déplacement de population sans précédent depuis deux décennies, selon les Nations unies. La communauté internationale craint que le conflit ne s’enlise et ne déstabilise toute la Corne de l’Afrique.


Comment a commencé le conflit ?
Selon le gouvernement éthiopien, c’est l’attaque par des forces du Tigré, le 3 novembre, de plusieurs positions de l’armée fédérale qui expliquerait sa violente réplique, estimant que les autorités tigréennes ont franchi « la dernière ligne rouge » après une série de provocations. Les autorités locales tigréennes, de leur côté, avaient répété que le mandat du premier ministre et des autorités fédérales venaient d’expirer, faute d’avoir vu se tenir des élections générales courant 2020 – repoussées à 2021 à cause de la pandémie de Covid-19.
Le Tigré a décidé d’aller à l’encontre de l’avis de l’Etat fédéral et a maintenu ces élections en septembre. Une prise de position qui a irrité Addis-Abeba, où des responsables électoraux ont clamé en juin que le scrutin au Tigré n’avait « pas de base légale » et où le Sénat a déclaré ces élections « nulles et non avenues ». Pour sanctionner les dissidents, le ministère des finances a transféré une allocation budgétaire – normalement destinée aux dirigeants de Makalé, la capitale de la région – aux administrations locales du Tigré. Les autorités du Tigré ont jugé la décision inconstitutionnelle car, contraire au pacte fédéral éthiopien, elle « équivaudrait donc à une déclaration de guerre ». Le conflit est alors amorcé.

Mais ce conflit à des racines bien plus profondes. Depuis avril 2018, date à laquelle le premier ministre Abiy Ahmed a pris ses fonctions – mettant fin à la prédominance du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), au sein de la coalition au pouvoir depuis 1991 –, les tensions s’intensifient entre Addis-Abeba et Makalé.
M. Abiy a rapidement expulsé de nombreuses personnes nommées par le TPLF des institutions fédérales et transformé la coalition en Parti de la prospérité, auquel le Front a refusé de se joindre. Cette décision va à l’encontre des discours de campagne, avec un accent sur l’unité nationale, qui ont largement contribué à le faire élire.

Un conflit opaque
Lundi 7 décembre, le gouvernement éthiopien a annoncé la fin de l’offensive militaire de ses troupes. Mais dans les faits, plus d’un mois après le déclenchement du conflit, la province du Tigré reste prise au piège des combats et commence à manquer de tout. Dans cette région du nord de l’Ethiopie, où vivent 6 millions d’habitants, il reste difficile de se rendre compte de l’ampleur des violences, car très peu d’informations parviennent aux yeux du monde : toutes les routes et communications ont été coupées.
L’administrateur provisoire du Tigré, Mulu Nega, nommé par le pouvoir central, a de son côté déclaré que la paix était revenue dans la région. Un scénario bien éloigné des scènes que décrivent au Monde les personnes en fuite vers le Soudan. Les réfugiés tigréens évoquent des persécutions et des scènes de massacre, ainsi que la présence de troupes érythréennes pour renforcer l’action de l’Ethiopie.

Les Etats-Unis ont jugé vendredi 11 décembre « crédibles » et « graves » les informations sur la présence de troupes érythréennes au Tigré. Une rumeur qui inquiète également la communauté internationale depuis plusieurs semaines. Car l’Ethiopie et l’Erythrée ont été en guerre pendant près de cinquante ans et n’ont trouvé la paix qu’en 2018 après l’élection d’Abiy Ahmed. Les observateurs s’inquiètent d’une résurgence des tensions entre les deux parties.

Une situation humanitaire « très inquiétante »
Le Tigré est privé d’aide et de tout approvisionnement depuis que le premier ministre y a envoyé le 4 novembre l’armée fédérale pour chasser les dirigeants de la région. « Il est extrêmement compliqué de déterminer le nombre de blessés et de morts, indique un représentant de l’ONG Amnesty International. La situation humanitaire y est très inquiétante. »
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a annoncé, mercredi 9 décembre, qu’un accord avait été trouvé entre l’ONU et l’Ethiopie, qui a longuement empêché l’accès aux ONG malgré la pression internationale. Il vise à organiser des missions conjointes d’évaluation au Tigré afin d’acheminer de l’aide humanitaire. Cet accord permettra « de s’assurer qu’il y a un total accès à l’ensemble du territoire et une pleine capacité à débuter des opérations humanitaires fondées sur des besoins réels et sans aucune discrimination possible », a ajouté Antonio Guterres. Un premier convoi est arrivé à Makalé samedi.

Près de 50 000 personnes ont fui les combats pour se réfugier au Soudan voisin et ont été réinstallées dans des camps, notamment celui d’Um Rakuba, à environ 70 km de la frontière. Mais beaucoup restent également autour d’un point de transit de réfugiés à Hamdayet, dans l’espoir de rentrer chez eux ou de retrouver leur famille une fois qu’ils seront en sécurité. « Ce rythme des arrivées de réfugiés éthiopiens au Soudan n’a jamais été vu au cours des deux dernières décennies », assure l’Agence des Nations unies pour les réfugiés. Depuis le 10 novembre, près de 4 000 femmes, hommes et enfants traversent la frontière par jour, ce qui accable rapidement la capacité d’intervention humanitaire sur le terrain.

Le fenouil et ses qualités thérapeutiques

Le terme « fenouil » (الشمر) )البسباس) s'applique à plusieurs taxons distincts de la famille des Apiacées (anc. ombellifères). C'est le fenouil commun que l'on utilise en cuisine. Son goût ressemble à celui de l'anis. On peut cuisiner toutes les parties de la plante : racines, feuilles et graines. On peut le consommer cru, en salade, ou cuit.
Connues depuis l'Antiquité, ses qualités thérapeutiques sont essentiellement carminatives, expectorantes et antispasmodiques.
 



Grimper le plus haut mur d'escalade au monde

Situés sur une usine d'incinération de déchets, les 85 mètres du mur d'escalade de Copenhill en font le plus haut du monde, avec de surcroît une vue imprenable sur la capitale danoise. Pour les grimpeurs, c'est une expérience envoûtante, « comme si on escaladait un immeuble », confie l'un d'eux.Le mur a été construit avec 55 tonnes d'acier inoxydable combiné à un mélange de 24 tonnes de fibre de verre et de plexiglas. A proximité des anciens docks de Copenhague, Copenhill combine l'escalade avec un sentier de randonnée et une piste de ski artificielle pour les sportifs urbains.



Le céleri, une plante diurétique et aphrodisiaque

Le céleri "en arabe krafess" est une plante potagère de la famille des Apiacées. Il est généralement cultivé pour son tubercule qui peut être servi râpé, en salade ou cuit, en pot-au-feu. Ses tiges et ses feuilles ciselées rehaussent de nombreuses préparations culinaires, principalement les soupes et les sauces. Les côtes du céleri branche se dégustent cuites en gratin. Le céleri est connu depuis l'Antiquité comme légume, mais également pour ses propriétés médicinales. 


Les feuilles et les racines sont dépuratives, diurétiques, stomachiques et toniques. La plante est donnée pour être aphrodisiaque. Elle possède une caractéristique photo-sensibilisante peu connue. Un contact prolongé avec la plante peut provoquer des lésions cutanées consécutives à une exposition prolongée au soleil.



La ciboulette, riche en vitamine K et antioxydants

La ciboulette (ثُوْم مُعَمِّر) est une plante aromatique de la famille des Amaryllidacées dont les feuilles, ou brins, sont utilisées comme condiment. Ciselées et crues, ces dernières aromatisent généralement les crudités et les salades mais peuvent également entrer dans certaines recettes telles que des sauces ou des omelettes. La ciboulette relève en finesse tous les plats à base de crème ou de fromage frais. C'est un des ingrédients du « bibalakas » alsacien que l'on sert avec des pommes de terre vapeur ou sautées, du munster et du jambon fumé. La plante est riche en vitamine K et en antioxydants. Elle facilite également la digestion.



Les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental

C’est une décision courageuse qui sera gravée dans l’histoire, tout comme celle de la reconnaissance par le Maroc des USA en tant que pays indépendant et souverain, à une époque où la reconnaissance n’était pas facile ni organisée.        Le pays des Etat-Unis, qui adopte le principe du réalisme dans la gestion de ses relations internationales, est conscient de l’importance d’aider le Maroc dans cette affaire du Sahara qui n’a que trop duré, au niveau du Conseil de sécurité de l’ONU, pris en otage l’avenir du Maghreb et porté préjudice aux pays du continent, en les privant de plusieurs opportunités de développement. 

Cette reconnaissance constitue un tournant décisif, puisque c’est la première fois que ce pays, grande puissance mondiale et membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, reconnait, de manière claire, la marocanité du Sahara.              Ce pays a été persuadé que la région sud du Maroc offre d’importantes opportunités d’investissement, la raison pour laquelle il a décidé d’ouvrir un consulat à Dakhla, notant que cette initiative profite non seulement au Maroc mais à l’ensemble des pays africains.                                                                  Le Conseil de sécurité de l’ONU doit désormais être persuadé que l’Algérie n’a plus à s’ingérer dans ce différend autour du Sahara marocain, monté de toute pièce, surtout que le Maroc offre une occasion pour le règlement de ce conflit, à travers l’Initiative d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine, en vue d’aboutir à une complémentarité économique qui profitera à l’ensemble des pays africains.



Le romarin officinal, un antibactérien


Le romarin officinal, (إكليل الجبل) (أزير) reconnaissable à ses fleurs bleutées, est un arbrisseau de la famille des Lamiacées. Il pousse à l'état sauvage sur le pourtour méditerranéen, dans les garrigues arides et rocailleuses.
La plante s'utilise de préférence fraîche mais les fleurs séchées parfument agréablement un plat ou un dessert. Il sert également à aromatiser les grillades ou à rehausser les ragoûts, les civets, les soupes ou les sauces.
Le romarin est mellifère et contient plusieurs agents actifs antimycosiques, antibactériens et antioxydants. Il est également utilisé en parfumerie depuis le 
XIVe siècle.



L' Everest, le "toit du monde" culmine désormais à 8848,86 mètres.


Après des décennies de débats, un accord a été trouvé mardi 8 décembre entre la Chine et le Népal sur la hauteur de l’Everest, le plus haut sommet du monde. Lors d’une conférence de presse commune à Katmandou, les deux pays ont annoncé la nouvelle altitude du "toit du monde", qui s’élève désormais à 8848,86 mètres, gagnant ainsi 86 centimètres par rapport à la mesure précédemment reconnue par le Népal, et plus de quatre mètres comparés à l’altitude mesurée antérieurement par la Chine.






Le persil, riche en vitamines A et C


Le persil (البقدونس) (معدنوس) est une plante de la famille des Apiacées que l'on utilise couramment en cuisine. Il est à la fois une garniture et un assaisonnement et se consomme aussi bien cru que cuit. C'est l'un des composants du bouquet garni.

Sa teneur en vitamines A et C se révèle évidemment davantage lorsque la plante est servie fraîche. Certaines variétés ont été cultivées pour leurs racines comestibles. Le persil est également utilisé en pharmacopée. La racine sert comme diurétique, tandis que les feuilles et les graines sont utilisées comme stimulant et emménagogue.


Coronavirus : Le Molnupiravir est-il le traitement miracle qu’on attendait ?

 Cet antiviral expérimental aurait la capacité de bloquer la transmission et l'évolution du coronavirus en un jour. 

Le Molnupiravir, un antiviral expérimental, a bloqué
 la transmission et l'évolution du coronavirus chez des furets.

  • Une étude publiée dans la revue « Nature Microbiology » démontre l’efficacité d’un médicament antiviral expérimental contre le Covid-19 testé sur des furets.
  • Ce médicament, le Molnupiravir, aurait la capacité de bloquer la transmission du coronavirus en un jour, mais aurait aussi la capacité de limiter les risques d’évolution vers une forme grave de la maladie.
  • Des résultats très prometteurs, qui doivent toutefois être confirmés chez l’humain.

Épidémies, Traitements, Vaccins

Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection.



Inde : une mystérieuse maladie fait son apparition

Cette maladie encore inconnue frappe des centaines d'habitants d'Eluru et provoque notamment des crises d'épilepsie et des pertes de mémoire.


Cette maladie peut causer "une crise d'épilepsie de 3 à 5 minutes, une perte de mémoire, de l'anxiété, des vomissements, des maux de tête et de dos. Elle ne se transmet pas d'une personne à l'autre.







Namibie : un élu régional s'appelle… Adolf Hitler

Adolf Hitler Uunona est devenu célèbre bien malgré lui en quelques heures. À 54 ans, ce Namibien a été élu la semaine dernière conseiller pour le district d'Ompundja, dans le nord de son pays, en remportant 85 % des suffrages. Sans que l'on sache comment, le tabloïd allemand Bild a repéré son prénom et a réussi à le contacter, lui offrant une soudaine notoriété à laquelle le principal intéressé ne s'attendait pas.

Interrogé par l'Agence France-Presse à ce sujet, Adolf Hitler Uunona, membre de la Swapo, le parti au pouvoir en Namibie, a refusé de s'épancher sur le sujet. « Il n'y a vraiment aucune raison pour que nous soyons là, assis à discuter de mon nom. En quoi est-ce que cela contribuera au développement de la Namibie ? » a-t-il balayé. Il s'est toutefois montré plus volubile avec le média allemand.

« C'était un nom tout à fait normal pour moi étant enfant »

Il a préféré jouer la carte de l'humour, expliquant que même s'il portait ce nom, cela ne signifiait pas pour autant qu'il souhaite « dominer le monde ». « Mon père m'a nommé d'après cet homme. Il n'a probablement pas compris ce qu'Adolf Hitler représentait », a-t-il également concédé.

« C'était un nom tout à fait normal pour moi étant enfant. Ce n'est qu'en grandissant que j'ai compris que cet homme voulait conquérir le monde entier. Je n'ai rien à voir avec aucune de ces choses », a ajouté Adolf Hitler Uunona, dont le patronyme a fait le tour du monde en quelques heures. Il précise toutefois qu'il se fait appeler Adolf Uunona en public et qu'il n'a pas pu changer de prénom car le sien est dans « tous les documents officiels. C'est trop tard pour ça ».


Ancienne colonie allemande, la Namibie a été ensanglantée de 1904 à 1908 par la répression féroce d'un soulèvement des Hereros et des Namas, qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts. Le pays a été sous protectorat de l'Afrique du Sud à partir de 1915, avant de devenir l'un des derniers États africains à accéder à l'indépendance, en 1990. Selon l'Agence France-Presse, de nombreux Namibiens portent toujours des prénoms et noms à consonance allemande, un siècle après la colonisation du pays.

Entre le Mexique et les Etats-Unis, le "Mur de Trump" avance un peu chaque jour

 

Progressant au rythme d'une centaine de mètres par jour, le "mur de Trump" qui sépare les Etats-Unis du Mexique, ressemble encore à une passoire loin de dissuader les migrants.


A voir la douzaine d'ouvriers au visage couvert qui travaillent pourtant jour et nuit à Puerta Palomas, au milieu des 3.142 km de frontière, il semble difficile de croire qu'aboutira le projet tonitruant du président républicain qui doit quitter la Maison Blanche dans 45 jours.
D'autant que son successeur démocrate Joe Biden a fait savoir que s'il ne démolira pas ce qui a été érigé, il ne poursuivra pas les travaux.
Dans la poussière du désert et le vent glacial, la construction se poursuit 24 heures sur 24.


A ce rythme, selon le service américain des douanes et de la protection des frontières (CBP), seuls 5,5 km de mur devraient être construits d'ici le 19 janvier, dernier jour du mandat de Trump.
"Nous avançons de 120 mètres chaque jour. On ne nous a pas dit d'arrêter. Avec tout ce qui a déjà été dépensé, comment peut-on laisser ce travail inachevé ?", s'étonne un ouvrier avant d'être contraint de se taire par son contremaître.


Une grue déplace une grille d'acier qui est ensuite déposée dans une étroite tranchée de 2,4 mètres de profondeur.
Prochaine étape : la pose d'énormes barres d'acier de près de dix mètres de haut qui sera effectuée par la prochaine équipe.


Le segment de Puerto Palomas fait partie d'une section de 92 kilomètres de mur dans le secteur d'El Paso, au Texas, plaque tournante de nombreux migrants, selon le CBP.
De facto, sous la présidence Trump, 661,4 km de mur ont été érigés sur les 1.187,7 km initialement prévus, selon des données du CBP. Sa promesse électorale de fortifier la frontière sud des Etats-Unis est donc loin d'avoir été tenue.
Et seuls 94,8 kilomètres de mur ont été édifiés sur une portion de frontière entièrement ouverte.
La plus grande partie des autres segments a été renforcée. Coût total: 14,9 millions de dollars.
- Rêves brisés de Terre Promise -
La hauteur du mur ne dissuade cependant pas les migrants bien que beaucoup aient vu leurs rêves de passer aux Etats-Unis s'effondrer à cause de lui.
"J'ai vu ici des hommes se briser le crâne, les bras, les jambes. Certains sont aujourd'hui en fauteuil roulant, gravement handicapés à cause du mur. Il y en a beaucoup", confie Alejandro Calderon, un migrant cubain de 55 ans.
Il a été contraint de rester au Mexique en raison des restrictions imposées par la pandémie de coronavirus et gère un refuge pour migrants.
Pour lui, le désespoir peut inciter ceux qui fuient la pauvreté ou la violence dans leur pays à escalader la structure géante et à sauter dans le vide pour s'écraser en "Terre Promise".
"Ils sont renvoyés ici et comme nous n'avons pas de médecins, nous devons leur donner les premiers soins. C'est notre devoir", dit le Cubain, ingénieur de profession.
- Avec Biden, l'espoir -


Domingo Barahona, un Guatémaltèque de 45 ans, a échoué lors de deux tentatives d'entrée aux États-Unis. Momentanément logé à Puerto Palomas, il va faire un troisième essai.
Il y a quelques jours, il a vu deux autres immigrants sans papiers dont les os de la jambe étaient exposés par une déchirure, après s'être jetés par-dessus la barrière.
"Ils n'ont même pas eu droit à une aspirine", s'insurge-t-il.
"Ils arrivent à grimper, ils mettent un harnais, mais pour redescendre, il faut s'attacher", dit Barahona qui n'exclut pas de sauter.
L'homme pleure en se souvenant de son fils de 12 ans, qui l'attend à la maison, et du meurtre de son frère, un policier victime d'une vengeance de la part de "gens méchants", selon lui. Lui-même menacé de mort, Barahona voit les Etats-Unis comme sa seule option.
"Je vais mourir en me battant et non pas en restant assis à attendre d'être tué", promet-il.
Joe Biden "semble être une personne très humaine, non pas que Trump ne le soit pas, mais il ne nous aime pas", estime Elienai Lopes, un Brésilien de 27 ans qui a tenté à quatre reprises de traverser la frontière.
"Nous avons beaucoup d'espoir", souffle-t-il.

Le covid-19 fait deux nouvelles victimes parmi le corps médical à Fès.


Le covid-19 fait deux nouvelles victimes parmi le corps médical à Fès. Dr BOUDALI Abdelmajid, éminent Traumato-Orthopédiste et Docteur BERRADA Ahmed, grand chirurgien viscéraliste sont décédés ces derniers quarante huit heures des suites du coronavirus.

Les défunts étaient placés en réanimation au centre universitaire Hassan II et après la détérioration de leur état de santé avant de rendre leur dernier souffle, malgré les multiples interventions médicales pour le sauver.

Rappelons que des dizaines de médecins au Maroc sont décédés des suites du covid-19 depuis le début de la pandémie.

Manifestation contre la loi Sécurité globale en France

 

De sérieux incidents ont éclaté samedi lors de la marche organisée par les opposants à la proposition de loi sur la sécurité globale à Paris où des voitures et des boutiques ont notamment été incendiées le long du parcours. En fin de journée, une trentaine de personnes ont été interpellées.


El Guerguerate : L'Azerbaïdjan soutient le Maroc

  


La République d'Azerbaïdjan a exprimé vendredi son soutien aux efforts du Maroc pour rétablir la libre circulation des biens et des personnes au passage d'El Guerguarat.


«La République d'Azerbaïdjan exprime son soutien à la souveraineté et à l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc ainsi qu'à ses efforts pour rétablir la libre circulation des biens et des personnes au passage d'El Guerguarat entre le Maroc et la Mauritanie», souligne le ministère des Affaires étrangères de l'Azerbaïdjan dans un communiqué. 
«L'Azerbaïdjan soutient les efforts de l'ONU visant à parvenir à une solution politique durable et juste à la question du Sahara sur la base des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l'ONU», ajoute le ministère.

El Guerguerate : Le Togo rejoint la liste des pays africains soutenant le Maroc


Plusieurs pays africains se sont rangés du côté marocain, condamnant les menaces du Polisario sur le passage d'El Guerguerate.
Après des Etats arabes, au tour de plusieurs pays africains d'apporter un ferme soutien à l’opération des Forces armées royales, du vendredi 13 novembre, dans la zone tampon d’El Guerguerate.

  • Le Gabon, allié traditionnel du royaume, a exprimé «sa vive préoccupation face aux opérations illégales menées par des milices du Polisario à El Guergarat depuis le 21 octobre 2020». «Ces actes de provocation, sources de tension, constituent des violations flagrantes des accords et des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations unies, entravent fortement la circulation civile et commerciale, et fragilisent le cessez-le-feu signé», ajoute le communiqué du ministère gabonais des Affaires étrangères. Libreville a ouvert, le 17 janvier 2020, son consulat général à Laayoune.
  • Même son de cloche auprès de l’Union des Comores. Dans un communiqué publié au nom du chef de l’Etat, le ministère des Affaires étrangères a déclaré «suivre avec attention la situation au Sahara marocain où les Forces Armées Royales font face à l’obstruction de la circulation civile et commerciale au niveau de la frontière d’El Guergarat par les éléments du Polisario». Moroni a saisi cette occasion pour saluer les efforts soutenus, déployés par le secrétaire général de l’ONU dans la recherche d’une solution politique et diplomatique à ce différend. L’Union des Comores a inauguré, le 19 décembre 2019, son consulat général à Laayoune.
  • Djibouti a rejoint la liste des pays africains soutenant l’action du Maroc visant à sécuriser la circulation des biens et des personnes à El Guerguerate. Le ministère djiboutien des Affaires étrangères «a exprimé son rejet de tout acte susceptible d’affecter le trafic au niveau de ce passage vital entre le Royaume du Maroc et sa profondeur africaine». Djibouti a également réitéré sa position de principe en faveur de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Maroc. Ce pays, situé sur la Corne de l’Afrique, a ouvert un consulat général à Dakhla, le 28 février 2020.
  • La République Centrafricaine a manifesté aussi «son soutien au Royaume du Maroc pour son attachement au respect de l'Accord de cessez-le-feu et sa position constate pour une solution politique en faveur de la sécurité et de la stabilité de la région», indique son ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. Bangui a, par ailleurs, «condamné toute violation des termes de l'Accord, et a appelé à son respect ainsi qu'à la poursuite des négociations politiques et diplomatiques». La Centrafrique a ouvert, le 23 janvier, un consulat général à Laayoune.
  • A Sao Tomé et Principe, l’appui au royaume a été exprimé par le président de l'Assemblée nationale, Delfim Santiago Das Neves. Le responsable condamne «l’acte criminel» consistant à bloquer El Guerguerate. «Nous pensons qu’au nom de la légalité des solutions plausibles permettant la circulation des personnes et des biens seront trouvées de manière à pouvoir assurer la sécurité de la population», a ajouté le parlementaire. La république de Sao Tomé et Principe a inauguré, le 23 janvier 2020, un consulat général à Laayoune.
  • Du côté du Caire, le soutien au Maroc est plus prudent. L’Egypte invite «les parties à la retenue et au respect des résolutions du Conseil de sécurité ayant appelé au cessez-le-feu et à s’abstenir de tout acte de provocation et tout acte portant préjudice contre les intérêts économiques et l’échange commercial dans cette région», indique le porte-parole du ministère égyptien des Affaires étrangères. Le Caire souligne la nécessité d’emprunter la voie du dialogue et la poursuite du processus politique en vue de parvenir à un règlement de la crise devant garantir «la stabilité et les intérêts de l’ensemble des parties et respecte les considérations particulières de la légalité internationale et surtout le principe de la souveraineté des Etats», a-t-il précisé. Le samedi 14 novembre, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Choukri, a eu des conversations téléphoniques avec ses homologues algérien Sabri Boukadoum, et marocain Nasser Bourita.
  • Le royaume d’Eswatini a réitéré aussi sa solidarité avec le Maroc dans la préservation de sa souveraineté et de son intégrité territoriale, a indiqué le ministère des Affaires étrangères d’Eswatini dans un communiqué. «Le Royaume d’Eswatini reconnait pleinement la souveraineté du Royaume du Maroc sur tout son territoire et le droit de son gouvernement de restaurer et d’assurer la libre circulation des personnes et des biens dans la zone tampon d’El Guerguerate». Eswatini a ouvert, le 27 octobre, un consulat général à Laayoune.
  • La Gambie, un autre allié du Maroc en Afrique de l’Ouest, a également apporté son soutien à Rabat. Le ministère gambien des Affaires étrangères a réaffirmé dans un communiqué «sa reconnaissance de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc» et salué «l’action pacifique et décisive prise par le Maroc afin d’assurer la libre circulation civile et commerciale au niveau du passage d’El Guerguerate». Le 7 janvier, la Gambie a inauguré son consulat général à Dakhla.
  • La Guinée Équatoriale a manifesté son appui au Royaume du Maroc, indique le ministère des Affaires étrangères de Malabo. L’exécutif déclare avoir suivi l’opération pacifique et inoffensive menée par les Forces Armées Royales afin de rétablir l’ordre et garantir la libre circulation des biens et des personnes. La Guinée Equatoriale a saisi cette occasion pour exhorter la MINURSO et le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, à multiplier leurs efforts pour aboutir à une solution pacifique et définitive qui favorise la sécurité et la stabilité dans la région. Malabo a ouvert un consulat à Dakhla, le 23 octobre 2020.
  • La Somalie se tient aux côtés du Maroc dans l'ensemble des mesures qu’il entreprend pour protéger sa sécurité et sa souveraineté sur ses territoires à travers l'intervention du Royaume pour rétablir la libre circulation civile et commerciale au niveau du poste-frontière d'El Guerguerate, a également indiqué le ministère somalien des Affaires étrangères.
  • La Guinée-Bissau a encouragé «l’action du Maroc pour la stabilisation pacifique à El Guergarat, en vue d'éviter l'affrontement, tout en envisageant le retour le plus rapide à la voie des négociations pour la résolution de la crise». Dans un communiqué, le ministre des Affaires étrangères a souligné que «la République de Guinée-Bissau demeure disponible à soutenir tous les efforts internationaux sous l'égide de l'ONU afin de parvenir à une solution politiquement consensuelle et durable à ce conflit». La Guinée-Bissau a ouvert un consulat général à Dakhla le 23 octobre 2020.
  • La Zambie a déclaré soutenir pleinement la libre circulation du trafic commercial et civil et a, par ailleurs, salué «l'action pacifique et décisive prise par le royaume du Maroc pour assurer la libre circulation des marchandises et des personnes dans cet important corridor». Dans ce communiqué, le Ministère zambien des Affaires Etrangères a également réitéré sa reconnaissance de l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc. La Zambie a inauguré son consulat général à Laâyoune, le 27 octobre 2020.
  • Le Gouvernement du Bénin a assuré suivre avec «beaucoup d’attention la situation de tension dans la zone tampon d’El Guergarat induite par des frictions qui ont interrompu la circulation et occasionné des actes attentatoires à l’ordre public et à la quiétude des populations». A travers ce communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, le Bénin a salué «la posture pacifiste adoptée par le Royaume du Maroc qui a une fois encore, prouvé son attachement à la paix et au développement de la région et de l’Afrique».
  • Le Tchad affirme suivre «avec une grande préoccupation l’évolution de la situation dans la zone tampon d'El Guerguarat, suite à l’intrusion opérée par le front polisario en y obstruant la circulation des biens et des personnes et ce, en dépit du cessez-le-feu établi sous l’égide des Nations Unies depuis une trentaine d’années». «Face à cette situation, le ministère des Affaires étrangères condamne ces agissements qui sont de nature à transgresser les Résolutions du Conseil de Sécurité, notamment les 2414 et 2440, et à remettre en cause les avancées obtenues sous la médiation des Nations Unies», lit-on dans le communiqué du ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Tchadiens de l’étranger. Le Tchad «salue et soutient l’attachement du Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, à la préservation et à la consolidation du cessez-le-feu, la voie ultime qui pourra amener la paix dans toute la région».
  • Le Sénégal réitère son soutien au Royaume du Maroc dans la défense de ses droits légitimes, a écrit le Président Macky Sall dans un message adressé au Roi Mohammed VI. «Je voudrais saluer le sens de la mesure et de la retenue dont le Royaume du Maroc fait preuve, en vue de maintenir la stabilité de la zone, conformément aux Accords militaires établissant le cessez-le-feu sous l’égide des Nations Unies», a ajouté le Président sénégalais.
  • Le Libéria a exprimé sa préoccupation au sujet des récents événements dans les provinces du Sud et soutient le maintien et la préservation de la libre circulation des biens, des personnes et des services. Appelant au respect de la trêve qui dure depuis trois décennies et appuyant l'initiative marocaine du Plan d’Autonomie, le Libéria a dit s’aligner sur la position des Nations Unies pour la recherche d’une solution politique et diplomatique au conflit du Sahara et reconnaître «les efforts pacifiques du Maroc pour aboutir à une solution durable et pacifique sous l’égide de l’ONU», ajoute le communiqué du ministère des Affaires étrangères. Le Libéria a inauguré son consulat général à Dakhla, le 12 mars 2020.
  • Le Malawi a salué l'action «pacifique» et «décisive» menée par le Maroc afin d'assurer la libre circulation civile et commerciale au niveau du poste-frontière d'El Guerguerate. Dans un communiqué de son ministère des Affaires étrangères, le Malawi a également assuré «s'aligner sur les efforts des Nations-Unies dans la recherche d'une solution politique, diplomatique et durable à la question du Sahara marocain». Enfin, Lilongwe reconnait «les efforts pacifiques engagés par le Maroc afin de parvenir à une solution durable sous l'égide de l’ONU, comme explicitement indiqué dans les résolutions du Conseil de Sécurité».
  • Le Burkina Faso a réitéré son soutien à l’intégrité territoriale du Maroc, tout en exprimant sa solidarité au peuple marocain. «Le Burkina suit, depuis le 21 octobre, avec une attention particulière les opérations et les actions entreprises par les milices du polisario dans la zone tampon d'El Guerguarat, empêchant la libre circulation des personnes et des biens», a indiqué le ministère dans un communiqué, ajoutant que cela fragilise le cessez-le-feu signé avec le Royaume du Maroc. Le ministère Burkinabé des affaires étrangères s'est dit aussi profondément préoccupé par ces actions illégales et soucieux du rétablissement d’une paix durable entre les parties, notant que ces actions portent un coup aux efforts du Secrétaire général des Nations unies visant à aboutir à une solution politique à la question du Sahara marocain. Le Burkina Faso a ouvert un consulat général à Dakhla le 23 octobre 2020.
  • Le président Alassane Ouattara, a assuré le roi «de la solidarité et du plein soutien de la Côte d’Ivoire aux initiatives du Souverain, visant à mobiliser davantage le secrétaire général des Nations unies en faveur du strict respect du statut de la zone tampon d’El Guerguarat». Dans une lettre adressée le jeudi 26 novembre au roi, le président ivoirien a salué la grande retenue dont a fait preuve le Maroc face aux provocations manifestes du Polisario «que nous sommes unanimes à condamner». «Mon pays, au regard de la coopération et des relations bilatérales remarquables qui nous unissent, accueille, avec gravité, la rupture des arrangements pertinents garantis par le Conseil de sécurité des Nations unies, et dénonce l’attitude unilatérale du Front Polisario qui pourrait contrarier durablement le processus politique, obtenu au sein de cet organe des Nations unies», a-t-il ajouté. A l’exception de la longue parenthèse de la présidence de Laurent Gbabgo (octobre 2000-avril 2011) marquée par sa reconnaissance de la «RASD», la Côte d’Ivoire a toujours soutenu la marocanité du Sahara. Abidjan a d’ailleurs inauguré en février 2020 un consulat général à Laayoune.
  • Le Président de la République Démocratique du Congo (RDC), M. Félix Antoine Tshisekedi, a exprimé sa solidarité avec le Royaume du Maroc par rapport à ses engagements internationaux dans la zone d'El Guerguarat. Dans une lettre adressée au Roi Mohammed VI, M. Tshisekedi a qualifié «d’inacceptable» la situation qui a prévalu dans la zone d’El Guerguarat suite à la pénétration illégale des milices du Polisario dans cette zone où ils ont mené des actes de banditisme empêchant la circulation des personnes et des biens et harcelant continuellement les observateurs militaires de la MINURSO. Félix Antoine Tshisekedi assumera en 2021 la présidence tournante de l’Union africaine à la place du Sud-africain Ramaphosa. Un poste qui l'autorise à diriger pendant une année la troïka africaine sur la question du Sahara.
  • Le Cap-Vert a également appuyé l’intervention des FAR à El Guerguerate. «Le Cap-Vert, qui entretient d’excellentes relations d’amitié et de coopération avec le Royaume du Maroc et œuvre pour la promotion de la paix, du respect des droits humains et du bon fonctionnement de l’Etat de droit démocratique dans le monde entier, exprime son soutien au Royaume dans sa décision légitime d’intervenir pacifiquement pour rétablir la circulation des biens et des personnes dans la zone, et ce en parfaite conformité avec la légalité internationale», a affirmé le ministre des Affaires étrangères, Luis Filipe Tavares, dans une lettre adressée au ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita. Tavares souligne dans son message que son pays «condamne fermement les provocations dangereuses survenues dans la zone tampon d’El Guerguarat», notant que «ces actes hostiles visant à semer l’insécurité et l’instabilité dans la région représentent une menace à la libre circulation civile et commerciale et une violation des accords en vigueur». Et de conclure que le Cap-Vert réitère son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie qu’il considère comme étant une voie crédible pour la résolution de ce conflit. Le Cap-Vert a retiré sa reconnaissance de la «RASD» en 2007.
  • Le Togo exprime son soutien au droit du Maroc à défendre sa souveraineté et son intégrité territoriale à travers le rétablissement de la libre circulation des personnes et des biens dans le passage d’El Guerguerate. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères appelle «tous les acteurs impliqués à privilégier la voie du dialogue et de la concertation pour le règlement des différends, dans le respect des résolutions pertinentes des Nations Unies».


 

Connaissez-vous le « halhal », ?

 Contre l’insomnie, on peut essayer la sauge, l’hibiscus, la camomille en infusion. ou le « halhal », autrement dit la lavande sauvage.

Elle a des effets relaxants et des vertus gustatives et, elle est souvent utilisée par les rares parfumeurs traditionnels.

Enfin, le « halhal » était utilisé en fumigation lorsqu’un enfant de sexe masculin naissait dans la famille. C’était la manière traditionnelle d’aviser le quartier ! Une tradition qui s’est perdue mais évoque tout un trésor de pratiques qui désormais nous échappent et qui structuraient notre savoir-faire et usages avec les plantes.

Ain Saddine, grand projet de mise en bouteilles d'eau minérale naturelle à Ain Défali

L'eau minérale d'Ain Saddine est une eau contenant des minéraux ou d'autres substances dissoutes qui lui confèrent une valeur thérapeutique. C'est une eau naturelle propre à la consommation humaine.





Buvez l'eau naturelle d'Ain Saddine, une eau d'origine souterraine et pure. Elle est extraite du sous-sol et naturellement minéralisée depuis son origine, en raison des matériaux à travers lesquels elle passe. Sa source est profonde et pure. C'est parce qu'elle est plus éloignée de la contamination microbiologique et chimique de la surface de la terre. C'est une eau agréable par son goût, son odeur et sa teneur en minéraux. 
 

Comprendre la Covid-19

L'ORIGINE DU VIRUS

La COVID-19, un nouveau coronavirus

Le virus identifié en janvier 2020 en Chine est un nouveau coronavirus, nommé SARS-CoV-2. La maladie provoquée par ce coronavirus a été nommée COVID-19 par l’Organisation mondiale de la Santé - OMS. Depuis le 11 mars 2020, l’OMS qualifie la situation mondiale du COVID-19 de pandémie ; c’est-à-dire que l’épidémie est désormais mondiale.

Les coronavirus sont une famille de virus qui provoquent des maladies allant d’un simple rhume (certains virus saisonniers sont des coronavirus) à des pathologies plus sévères (comme les détresses respiratoires du MERS, du SRAS ou de la COVID-19).

La dangerosité

La COVID-19 est un virus dangereux parce que :

  - il est très contagieux : chaque personne infectée va contaminer au moins 3 personnes en l'absence de mesures de protection ;
  - une personne contaminée mais qui ne ressent pas encore de symptômes peut contaminer d’autres personnes.

Les symptômes

La COVID-19 peut se manifester par :

   - la fièvre ou la sensation de fièvre (frissons, chaud-froid) ;
   - la toux ;
   - des maux de tête, courbatures, une fatigue inhabituelle ;
   - une perte brutale de l’odorat (sans obstruction nasale), une disparition totale
du goût, ou une diarrhée ;
- dans les formes plus graves : difficultés respiratoires pouvant mener jusqu’à
une hospitalisation en réanimation voire au décès.

La transmission

La maladie se transmet par ce qu’on appelle les gouttelettes : il s’agit de sécrétions invisibles qui sont projetées lors d’une discussion, d’éternuements ou en toussant. Les postillons correspondent aux gouttelettes visibles, mais la plupart des gouttelettes ne le sont pas.

Un contact étroit avec une personne malade est le principal mode de transmission de la maladie : notamment lorsqu’on habite ou travaille avec elle, qu’on a un contact direct à moins d’un mètre lors d’une discussion, d’une toux ou d’un éternuement, sans mesures de protection.

Le contact avec des mains non lavées ou des surfaces souillées par des gouttelettes est également à risque de contamination.

La maladie se transmet :
  • par projection de gouttelettes (comme les postillons) contaminées par une personne porteuse : en toussant, éternuant ou en cas de contacts étroits en l’absence de mesures de protection (distance physique, mesures barrières, port du masque). Les gouttelettes contaminées sont inhalées par la personne saine, et déclenchent la maladie ;
  • par contact direct physique (poignée de main, accolade, bise...) entre une personne porteuse et une personne saine. Le virus est ensuite transmis à la personne saine quand elle porte ses mains à la bouche ;
  • par contact indirect, via des objets ou surfaces contaminées par une personne porteuse. Le virus est ensuite transmis à une personne saine qui manipule ces objets, quand elle porte ses mains à la bouche ;
  • par l’air, essentiellement dans un espace confiné.
La meilleure des protections : les mesures barrières, les mesures de distanciation physique et l’aération régulière des pièces.

/