Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

8 coutumes africaines que peu de gens connaissent

Avant toute chose, il faut savoir que la coutume n’est pas ethnique mais territoriale. Ce qui veut dire que d’un pays à un autre nous n’avons pas les mêmes traditions.

En Afrique du Sud, on privilégie la “flying-brocante” au Nouvel An

Dans le quartier de Hillbrow, à Johannesburg, les habitants célèbrent la Saint-Sylvestre en lançant par leur fenêtre de vieux frigos et appareils ménagers.
new_year_img_S

Au Kenya, on utilise sa salive le jour d’une naissance

Lorsqu’un nouveau-né Massaï vient au monde, aucun adulte de par sa religion ne peut le toucher. L’adulte ne pourra accueillir le bébé qu’en salivant sur lui.
4fff740de6896963d55821e8c524b144

Au Soudan, les balais et les œufs sont de coutume lors d’un mariage

Pendant la cérémonie de mariage appelée « nincak endog », la famille devra brûler sept balais. Les deux mariés doivent se placer face à face devant la porte de leur maison et une demoiselle d’honneur vient alors casser des oeufs sur les pieds du marié. La femme devra ensuite laver les pieds du mari. Après quoi, la mariée devra sauter au-dessus d’un bloc de bois prouvant ainsi sa soumission.
nincak_endog-10

Au Kenya, les femmes Massaïs confectionnent des bijoux

De mère en fille, les femmes de la tribu des Massaïs se transmettent l’art de la création de colliers en perles. Ces parures serviront aux filles Massaïs qui vont déclarer leur amour à un guerrier de la tribu autour d’un bon verre de lait.
c8e5e8e4d15f29e7f4e0cb8946da3c0a

À Madagascar, les jumeaux sont soumis à une malédiction

À Mananjary, l’ethnie des Antambahoaka est connue pour le « tabou des jumeaux». C’est une malédiction qui remonte au premier Antambahoaka. À son arrivée à l’embouchure du fleuve Sakaleona, au nord de Mananjary, cet homme aurait choisi une épouse. Elle tomba enceinte de jumeaux puis trouva la mort. Mais le malheur s’abattit aussi sur sa deuxième et sa troisième épouse. Il décida que sa descendance n’élèverait jamais de jumeaux. Depuis le 5 juillet 1982, seul le petit hameau de Fanivelona a levé ce tabou.
reporters-madagascar-en-m

En Éthiopie, les femmes Mursis se font belles d’une manière originale

Les femmes de la tribu expriment leur richesse et leur beauté avec leurs oreilles ou leur lèvres. Les jeunes filles fabriquent des plateau en terre cuite et les installent ensuite dans leur lèvre inférieure ou dans leurs lobes d’oreilles. Plus elles grandissent et plus les plateaux sont grands.
3a8796f4bf1dd225a16701e2f06a8401

Au Soudan du Sud, un mariage doit se conclure par deux nouveau-nés

La tribu Nuer considère que le mariage n’est pas complet tant que la femme n’a pas mis au monde deux enfants. Si les deux enfants ne sont pas nés, le marié peut demander le divorce.
STNMTZ_20091003_15065

En Nouvelle-Guinée, un père doit cracher par terre à la 

vue de son bébé

Chez les Papous Baruyas, un père ne doit pas voir le visage de son enfant avant la percée de sa première dent. Dans le cas contraire, il devra cracher par terre. Pour la tribu, la raison est simple : un enfant est souillé par la naissance et par les femmes.

Aucun commentaire: