Thaipusam (tamoul : தைப்பூசம்) est une fête hindoue célébrée principalement par la communauté tamoule lors de la pleine lune du mois tamoul de Thai (janvier-février). On parle également de cette fête sous le nom de Thaipooyam ou de Thaippooyam en langue malayalam. Le mot Thai pusam vient du nom du mois, Thai et de pusam, qui se réfère à une étoile qui est à son point le plus haut pendant cette fête. Celle-ci commémore à la fois la naissance de Murugan, appelé également Subrāhmanya, le plus jeune fils du dieu Shiva et de sa femme Parvati, ainsi que l'occasion au cours de laquelle Parvati donna à Murugan une lance (vel), pour qu'il puisse vaincre le démon Surapadman.
Hommes avec des crochets à travers la peau sur le dos à l'annuel festival hindou de Thaipusam dans les grottes de Batu, près de Kuala Lumpur en Malaisie en Asie du sud-est.
Impressionnant : ces fakirs qui repoussent les limites de la douleur
Un fakir ou faquir est un ascète soufi (mouvement de spiritualité de l'islam) dans le sous-continent indien. Ce mot d'origine arabe (faqīr qui signifie « pauvre ») devient fuqarā’ au pluriel. Ce mot a un sens proche du mot persan derviche, signifiant « mendiant », avec lequel il est parfois confondu.
Le terme est notamment employé pour désigner des individus qui réalisent des actes semblant magiques ou surhumains. Dans l'imaginaire occidental, ils sont communément associés aux planches à clous, à la lévitation et, parfois, au charme de serpents.
En Occident, le mot est parfois utilisé pour désigner un mystique hindou comme les sâdhu, voire certains saltimbanques et acrobates orientaux, sans aucune référence ou différence religieuse.
En ourdou et en hindî, le mot est de plus en plus employé pour désigner les pauvres, les mendiants. Shirdi Sai Baba employait le terme de fakir pour nommer Dieu. Ce qui doit être pris au sens figuré.
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