En France il y a des dizaines de villages déserts que l’on peut visiter en échange de quelques frissons. Certains de ces villages français cachent bien souvent un lourd passé et quelques mystères parfois non-élucidés…
Vos nuits qui étaient jusque là plutôt tranquilles seront rythmées de cauchemars après la visite du village de Celles dans l’Hérault. Tous les habitants de ce village ont été évacués à la fin des années 60 pour la mise à l’eau du barrage de Salagou. Le village devait se retrouver sous les eaux, mais le scénario ne s’est pas produit. Les habitants des dix-sept maisons du village ont donc été expropriés pour rien. Depuis des années, un projet de réhabilitation du village est en pourparler…
Parmi les villages fantômes en France, on retrouve celui de Brovès dans le Var rayé de la carte le 10 août 1970 lors de la création du camp militaire de Canjuers. L’ensemble des habitants a été relogé et l’accès à Brovès est devenu interdit au public.
L’Ile aux Marins était autrefois une annexe au port de Saint-Pierre-et-Miquelon, cet archipel français d’Amérique du Nord au large de Terre-Neuve au Canada. Après avoir connu une forte activité liée à la pêche à la morue, l’île est peu à peu désertée de ses habitants jusqu’à devenir totalement inoccupée en 1963.
Saint-Symphorien est un village abandonné depuis la fin des années 1960. Guerres, épidémies de choléra et exode rural auront eu raison de ce hameau reculé de la commune d’Entrepierres, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Depuis c’est un lieu apprécié des randonneurs qui aiment se faire peur.
Ce village de la Meuse à 15 km de Verdun compte parmi les neufs villages complètement dévastés pendant la Seconde Guerre mondiale et non reconstruits parce qu’ils sont classés en zone rouge. Il est possible de visiter la Chapelle St-Rémi construite avec les restes de l’ancienne église détruite.
Ce village dans les Alpes-de-Haute-Provence, abritant 600 habitants jusqu’au XIXème siècle est désormais en ruines. Exode rural, pénurie d’eau, première Guerre mondiale et déplacement du réseau routier ont eu raison du village aujourd’hui visité par les randonneurs et amateurs de lieux déserts.
Le village d’Occi perché à 400 mètres d’altitude a commencé à se vider de ses habitants au XIXème siècle, ceux-ci sont peu à peu partis rejoindre Lumio en contrebas. Si la visite des ruines du village est plutôt sympa en journée, dès la nuit tombée l’ambiance y est plutôt glauque.
- Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne)
L’histoire de ce village de Haute-Vienne victime de la barbarie des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale est épouvantable. Le 10 juin 1944, des SS se sont introduits dans le village qu’ils ont totalement détruit avant de massacrer une bonne partie de ses habitants… 642 personnes ont péri dans ce massacre, le plus grand massacre de civils perpétré par l’armée allemande en France. Ce village martyr est resté en l’état depuis, les ruines ont été préservées et les voitures laissées intactes en mémoire des victimes. Un Mémorial a été créé à proximité et regroupe entre autres, les objets ayant résisté aux flammes...
- Celles (Hérault)
Vos nuits qui étaient jusque là plutôt tranquilles seront rythmées de cauchemars après la visite du village de Celles dans l’Hérault. Tous les habitants de ce village ont été évacués à la fin des années 60 pour la mise à l’eau du barrage de Salagou. Le village devait se retrouver sous les eaux, mais le scénario ne s’est pas produit. Les habitants des dix-sept maisons du village ont donc été expropriés pour rien. Depuis des années, un projet de réhabilitation du village est en pourparler…
- Brovès (Var)
Parmi les villages fantômes en France, on retrouve celui de Brovès dans le Var rayé de la carte le 10 août 1970 lors de la création du camp militaire de Canjuers. L’ensemble des habitants a été relogé et l’accès à Brovès est devenu interdit au public.
- L’Ile aux Marins (Saint-Pierre-et-Miquelon)
L’Ile aux Marins était autrefois une annexe au port de Saint-Pierre-et-Miquelon, cet archipel français d’Amérique du Nord au large de Terre-Neuve au Canada. Après avoir connu une forte activité liée à la pêche à la morue, l’île est peu à peu désertée de ses habitants jusqu’à devenir totalement inoccupée en 1963.
- Saint-Symphorien (Alpes-de-Haute-Provence)
Saint-Symphorien est un village abandonné depuis la fin des années 1960. Guerres, épidémies de choléra et exode rural auront eu raison de ce hameau reculé de la commune d’Entrepierres, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Depuis c’est un lieu apprécié des randonneurs qui aiment se faire peur.
- Rombly (Pas-de-Calais)
Selon la légende, le village de Rombly dans le Pas-de-Calais aurait été totalement enseveli sous le sable au cours d’une nuit en 1646. En réalité, l’ensablement a bien eu lieu mais de manière plus progressive. La disparition de Rombly n’a eu lieu qu’en 1686. Depuis un autre village a été construit et porte le même nom.
- Cumières-le-Mort-Homme (Meuse)
Ce village de la Meuse à 15 km de Verdun compte parmi les neufs villages complètement dévastés pendant la Seconde Guerre mondiale et non reconstruits parce qu’ils sont classés en zone rouge. Il est possible de visiter la Chapelle St-Rémi construite avec les restes de l’ancienne église détruite.
- Châteauneuf-lès-Moustiers (Alpes-de-Haute-Provence)
Ce village dans les Alpes-de-Haute-Provence, abritant 600 habitants jusqu’au XIXème siècle est désormais en ruines. Exode rural, pénurie d’eau, première Guerre mondiale et déplacement du réseau routier ont eu raison du village aujourd’hui visité par les randonneurs et amateurs de lieux déserts.
- Occi (Corse)
Le village d’Occi perché à 400 mètres d’altitude a commencé à se vider de ses habitants au XIXème siècle, ceux-ci sont peu à peu partis rejoindre Lumio en contrebas. Si la visite des ruines du village est plutôt sympa en journée, dès la nuit tombée l’ambiance y est plutôt glauque.
- Périllos (Pyrénées-Orientales)
Voilà un autre site désertique… Au coeur des Corbières dans les Pyrénées-Orientales, Périllos s’est peu à peu vidée de ses habitants qui se sont exilés dans le village voisin d’Opoul. Le dernier habitant, un berger, a quitté le village dans les années 70. Le village n’est plus tout à fait à l’abandon depuis 2006, une association s’occupe de la restauration du village en été.
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