Tigre de Malaisie, Musaraigne-éléphant et Orang-outan de Sumatra sont au nombre des animaux dont la présence est de plus en plus rare. Découvrez ces espèces menacées d’extinction dont l’existence sur Terre ne tient qu’à un fil.
Ce grand oiseau serait le plus rare d’Afrique du Nord. Il n’en resterait qu’une centaine de couples au Maroc et deux en Syrie, bien qu’il s’agisse d’une bonne nouvelle puisqu’on croyait jusqu’en 2002 que cet oiseau avait disparu de ce pays. La désertification est la cause principale de sa disparition, bien que l’on tente d’inverser cette tendance ; leur zone de reproduction a été protégée en 2004, et de nombreux gouvernements régionaux et ONG sont intervenus pour œuvrer au maintien de la population syrienne en particulier.
La musaraigne-éléphant à croupe dorée du Kenya est considérée comme la plus menacée des quatre espèces connues de musaraignes-éléphants géantes. Endémiques des forêts côtières, elles-mêmes très menacées par le développement, il ne resterait que quelque 13 000 de ces petits mammifères. Malheureusement, il n’y a actuellement pas de surveillance de leur population ni de législation visant à la protéger.
À l’état sauvage, il ne reste qu’environ 300 de ces petites antilopes d’Afrique qui vivent dispersées dans les prairies sahariennes où elles trouvent difficilement de quoi se nourrir. Le Sahara Conservation Fund, avec l’aide d’un certain nombre de zoos, œuvre à la protection de cet animal au Tchad, au Niger et au Mali. Il mène parallèlement des programmes d’élevage en vue de réintroduire cet animal dans la nature.
Sur les huit espèces de pangolin vivant à l’état sauvage – quatre en Asie et quatre en Afrique –, deux sont en voie de disparition et les autres sont considérés au minimum vulnérables. Ces animaux bizarres, silencieux et couverts d’une imposante carapace sont parmi les plus braconnés dans le monde, car ils sont très prisés pour leurs écailles.
Les temps sont durs pour les primates : les forêts qu’ils habitent se réduisent comme peau de chagrin. Cet orang-outan subtropical subit de plein fouet la disparition de son habitat et on n’en trouve plus que neuf groupes dans ce qui reste des forêts de Sumatra, dont une grande partie a disparu à cause des incendies et de l’invasion des plantations de palmiers à huile. Il ne subsisterait de cette espèce que 14 000 individus. Le projet de construction d’une grande route représente une autre menace pour leur viabilité ; le WWF travaille de concert avec les entreprises et les gouvernements pour préserver les forêts qui restent.
- Saola (Pseudoryx nghetinhensis).
- Escargot peint de Cuba (Polymita picta)
- Ibis chauve (Geronticus eremita)
Ce grand oiseau serait le plus rare d’Afrique du Nord. Il n’en resterait qu’une centaine de couples au Maroc et deux en Syrie, bien qu’il s’agisse d’une bonne nouvelle puisqu’on croyait jusqu’en 2002 que cet oiseau avait disparu de ce pays. La désertification est la cause principale de sa disparition, bien que l’on tente d’inverser cette tendance ; leur zone de reproduction a été protégée en 2004, et de nombreux gouvernements régionaux et ONG sont intervenus pour œuvrer au maintien de la population syrienne en particulier.
- Tortue à soc (Astrochelys yniphora)
- Grand hapalémur (Hapalemur simus)
- Quetzal resplendissant (Pharomachrus mocinno)
- Rhinocéros de Sumatra (Dicerorhinus sumatrensis)
- Binturong (Arctictis binturong)
- Ange de mer (Squatina squatina)
- Musaraigne-éléphant à croupe dorée (Rhynchocyon chrysopygus)
La musaraigne-éléphant à croupe dorée du Kenya est considérée comme la plus menacée des quatre espèces connues de musaraignes-éléphants géantes. Endémiques des forêts côtières, elles-mêmes très menacées par le développement, il ne resterait que quelque 13 000 de ces petits mammifères. Malheureusement, il n’y a actuellement pas de surveillance de leur population ni de législation visant à la protéger.
- Mygale ornementale saphir (Poecilotheria metallica)
- Bourdon à tache rousse (Bombus affinis)
- Gazelle dama (Nanger dama)
À l’état sauvage, il ne reste qu’environ 300 de ces petites antilopes d’Afrique qui vivent dispersées dans les prairies sahariennes où elles trouvent difficilement de quoi se nourrir. Le Sahara Conservation Fund, avec l’aide d’un certain nombre de zoos, œuvre à la protection de cet animal au Tchad, au Niger et au Mali. Il mène parallèlement des programmes d’élevage en vue de réintroduire cet animal dans la nature.
- Pangolin
Sur les huit espèces de pangolin vivant à l’état sauvage – quatre en Asie et quatre en Afrique –, deux sont en voie de disparition et les autres sont considérés au minimum vulnérables. Ces animaux bizarres, silencieux et couverts d’une imposante carapace sont parmi les plus braconnés dans le monde, car ils sont très prisés pour leurs écailles.
- Cercopithèque Diane (Cercopithecus diana)
- Iguane terrestre de Cuba (Cyclura nubila)
- Condor de Californie (Gymnogyps californianus)
- Orang-outan de Sumatra (Pongo abelii)
Les temps sont durs pour les primates : les forêts qu’ils habitent se réduisent comme peau de chagrin. Cet orang-outan subtropical subit de plein fouet la disparition de son habitat et on n’en trouve plus que neuf groupes dans ce qui reste des forêts de Sumatra, dont une grande partie a disparu à cause des incendies et de l’invasion des plantations de palmiers à huile. Il ne subsisterait de cette espèce que 14 000 individus. Le projet de construction d’une grande route représente une autre menace pour leur viabilité ; le WWF travaille de concert avec les entreprises et les gouvernements pour préserver les forêts qui restent.
- Pithécophage des Philippines (Pithecophaga jefferyi)
- Gavial du Gange (Gavialis gangeticus)
- Gorille de montagne (Gorilla beringei beringei)
- Tigre de Malaisie (Panthera tigris jacksoni)
- Lycaon (Lycaon Pictus)
- Furet à pieds noirs (Mustela nigripes)
- Thon rouge de l’Atlantique (Thunnus thynnus)
- Le thon jaune (yellowfin),
- Le Thon rouge (bluefin),
- Le Pangasius,
- Le Saumon d’élevage de l’Atlantique,
- L’Espadon;
- La Morue de l’Atlantique,
- Le vivaneau rouge,
- et le Tilapia.
L’effondrement des stocks halieutiques a aussi eu pour effet de faire exploser les prix, ce qui a entraîné une augmentation de la pêche illégale qui a encore aggravé la diminution des stocks. Les tentatives de conservation de ce qui reste de ces poissons prédateurs nageant à grande vitesse ont donc été difficiles à mener.
- Dauphin du Gange ou sousouc (Platanista gangetica gangetica)
- Éléphant de Bornéo (Elephas maximus borneensis)
- Baleine bleue (Balaenoptera musculus)
- Libellule émeraude de Hine (Somatochlora hineana)
- Corail corne d’élan (Acropora palmata)
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