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30 animaux rares parmi les espèces menacées

Tigre de Malaisie, Musaraigne-éléphant et Orang-outan de Sumatra sont au nombre des animaux dont la présence est de plus en plus rare. Découvrez ces espèces menacées d’extinction dont l’existence sur Terre ne tient qu’à un fil.
  • Saola (Pseudoryx nghetinhensis).

Les experts du «Groupe de travail Saola» estiment que cet ongulé originaire des montagnes du Laos et du Vietnam est l’un des grands animaux les plus rares au monde. La perte d’habitat et le peu d’intérêt pour sa conservation seraient selon le Groupe les principales menaces qui pèsent sur l’existence de ce magnifique bovidé. Les spécialistes s’efforcent de maintenir l’espèce en vie et soutiennent aussi qu’avec des soins appropriés, sa disparition peut être stoppée.
  • Escargot peint de Cuba (Polymita picta)


Capturés jusqu’à la quasi-extinction par des braconniers qui les vendent pour faire des bijoux, ces gros escargots terrestres aux couleurs vives ont été inscrits sur la liste des espèces menacées en 2012. Avec des yeux qui leur sortent littéralement de la tête, ces hermaphrodites utilisent leurs coquilles pour attirer leurs partenaires sexuels.
  • Ibis chauve (Geronticus eremita)


Ce grand oiseau serait le plus rare d’Afrique du Nord. Il n’en resterait qu’une centaine de couples au Maroc et deux en Syrie, bien qu’il s’agisse d’une bonne nouvelle puisqu’on croyait jusqu’en 2002 que cet oiseau avait disparu de ce pays. La désertification est la cause principale de sa disparition, bien que l’on tente d’inverser cette tendance ; leur zone de reproduction a été protégée en 2004, et de nombreux gouvernements régionaux et ONG sont intervenus pour œuvrer au maintien de la population syrienne en particulier.
  • Tortue à soc (Astrochelys yniphora)


Il ne reste que 500 de ces animaux à l’état sauvage à Madagascar, et l’extinction d’Astrochelys yniphora, la tortue la plus menacée du monde, pourrait survenir dans les dix prochaines années. Heureusement, les efforts se sont intensifiés pour la sauver. Le Turtle Conservancy et le Durrell Wildlife Conservation Trust collaborent avec les communautés locales pour mettre fin au braconnage, récupérer les animaux dans des collections illégales et les placer dans des programmes de reproduction.
  • Grand hapalémur (Hapalemur simus)


On ne compte plus que 250 de ces lémuriens de Madagascar aux oreilles en touffes de poils blancs et pesant environ 3 kilos (6 livres). Comme le panda, il se nourrit exclusivement de bambou, ce qui le rend extrêmement vulnérable à la dégradation et à la destruction de la forêt tropicale humide dans laquelle il vit ; il a aussi été intensément chassé. Le Fonds mondial pour la nature (WWF) et d’autres organisations s’efforcent de protéger son habitat et de décourager la population locale de le chasser.
  • Quetzal resplendissant (Pharomachrus mocinno)


Le nombre de ces oiseaux vert et rouge au plumage extravagant diminue rapidement dans les montagnes d’Amérique centrale; les braconniers, qui les vendent comme animaux de compagnie, et la perte d’habitat sont les principales raisons de ce déclin. Les aristocrates et le clergé Mayas et Aztèques se paraient autrefois des plumes de cet oiseau sacré lors des cérémonies, nous apprend le National Geographic. Bonne nouvelle toutefois : leur succès auprès des ornithologues amateurs pourrait contribuer à redorer leur statut au niveau local et, en définitive, à les préserver.
  • Rhinocéros de Sumatra (Dicerorhinus sumatrensis)


C’est le plus petit de tous les rhinocéros (1,20 mètre – 4 pieds – de haut pour seulement 700 à 800 kilos en moyenne), et c’est le seul à posséder deux cornes. Comme la plupart de ses cousins, il est gravement menacé d’extinction. Deux sous-espèces peinent à survivre à l’ouest et à l’est de Sumatra, tandis qu’une troisième aurait disparu, d’après le WWF. Sumatran Rhino Rescue s’efforce de regrouper les 80 individus restants vivant à l’état sauvage et de les amener dans des sanctuaires où ils seraient à l’abri du braconnage et où ils pourraient se reproduire – efforts qui bénéficieraient à toutes les espèces de rhinocéros.
  • Binturong (Arctictis binturong)


Ces carnivores nocturnes, qui se déplacent lentement et se nourrissent principalement de fruits, sont étroitement apparentés aux civettes et vivent dans les arbres en Asie du Sud et du Sud-Est. Le zoo de San Diego considère que les binturongs sont vulnérables dans certaines régions et menacés dans d’autres, à cause du braconnage (animaux de compagnie et médicaments traditionnels) et de la chasse de subsistance. L’Association des zoos et aquariums a élaboré un plan de survie pour le binturong qui vise à mettre en place de solides mesures de protection avant qu’il ne soit trop tard.
  • Ange de mer (Squatina squatina)


Autrefois répandu dans l’Atlantique Nord-Est, en Méditerranée et ailleurs, l’ange de mer a vu ses populations décliner rapidement au cours des 50 dernières années. Le fait qu’il se laisse facilement capturer dans les filets de pêche ainsi que son faible taux de reproduction n’est pas de bon augure pour sa survie. Au cours des 15 dernières années, il est passé en très peu de temps d’espèce vulnérable à espèce en voie de disparition.
  • Musaraigne-éléphant à croupe dorée (Rhynchocyon chrysopygus)


La musaraigne-éléphant à croupe dorée du Kenya est considérée comme la plus menacée des quatre espèces connues de musaraignes-éléphants géantes. Endémiques des forêts côtières, elles-mêmes très menacées par le développement, il ne resterait que quelque 13 000 de ces petits mammifères. Malheureusement, il n’y a actuellement pas de surveillance de leur population ni de législation visant à la protéger.
  • Mygale ornementale saphir (Poecilotheria metallica)


La guerre, les troubles civils et les exercices militaires dans l’ouest de l’Inde ont entraîné le déclin marqué de cette araignée bleue tout à fait unique qui est également activement recherchée pour le marché des animaux de compagnie. Personne ne sait combien il en reste à l’état sauvage (mais quel que soit ce nombre, on estime qu’il est très faible). L’inscription de l’espèce sur la Liste rouge de l’IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature) précise que toute une série de mesures de conservation sera nécessaire pour aider cette magnifique tarentule à survivre.
  • Bourdon à tache rousse (Bombus affinis)


Au bord de l’extinction depuis des années, ce bourdon, dont la population a diminué de 90 %, a été officiellement inscrit sur la liste des espèces en voie de disparition en 2017 dans plus de la moitié des États américains et dans le sud du Québec et de l’Ontario. C’est le premier bourdon américain à obtenir ce triste statut, selon le National Geographic; il a rejoint sept espèces d’abeilles hawaïennes à tête jaune (Hylaeus) sur la liste des espèces devant recevoir une protection fédérale.
  • Gazelle dama (Nanger dama)


À l’état sauvage, il ne reste qu’environ 300 de ces petites antilopes d’Afrique qui vivent dispersées dans les prairies sahariennes où elles trouvent difficilement de quoi se nourrir. Le Sahara Conservation Fund, avec l’aide d’un certain nombre de zoos, œuvre à la protection de cet animal au Tchad, au Niger et au Mali. Il mène parallèlement des programmes d’élevage en vue de réintroduire cet animal dans la nature.
  • Pangolin


Sur les huit espèces de pangolin vivant à l’état sauvage – quatre en Asie et quatre en Afrique –, deux sont en voie de disparition et les autres sont considérés au minimum vulnérables. Ces animaux bizarres, silencieux et couverts d’une imposante carapace sont parmi les plus braconnés dans le monde, car ils sont très prisés pour leurs écailles.
  • Cercopithèque Diane (Cercopithecus diana)


Selon la Liste rouge de l’UICN, les populations de ce superbe primate noir et blanc sont en déclin et connaissent une grave fragmentation de leur habitat – les forêts autrefois abondantes de Côte d’Ivoire, de Guinée, du Libéria et de Sierra Leone. Les troubles civils, l’exploitation forestière et la chasse lui ont donné son statut actuel d’espèce vulnérable, tandis que le cercopithèque de Roloway (Cercopithecus roloway) du Ghana et de la Côte d’Ivoire, lui, est sur le point de disparaître.
  • Iguane terrestre de Cuba (Cyclura nubila)


Bien que des espèces proches de l’iguane terrestre soient menacées dans le monde entier, cet iguane de 1,5 mètre (5 pieds) et de 7 kilos (15 livres) originaire de Cuba n’en est heureusement pas encore là. Cependant, la perte d’habitat et la prédation des chiens, des chats et des porcs sauvages créent un environnement hostile qui pourrait bientôt entraîner le déclin de ce saurien. Le Zoo de San Diego est réputé pour son programme d’élevage d’iguanes terrestres.
  • Condor de Californie (Gymnogyps californianus)



Le plus grand oiseau d’Amérique a quasiment disparu à cause de la chasse : celle dont il fait l’objet lui-même et celle d’autres animaux – le plomb des balles empoisonne ces vautours qui nichent dans les falaises quand ils se nourrissent de la carcasse des animaux abattus. De nombreux efforts ont été déployés pour sauver cette espèce ; il est maintenant illégal d’utiliser des munitions au plomb en Californie, par exemple. Cet oiseau revient doucement à la vie : on ne trouvait que 25 condors sauvages en 1975, ils sont aujourd’hui 170.
  • Orang-outan de Sumatra (Pongo abelii)


Les temps sont durs pour les primates : les forêts qu’ils habitent se réduisent comme peau de chagrin. Cet orang-outan subtropical subit de plein fouet la disparition de son habitat et on n’en trouve plus que neuf groupes dans ce qui reste des forêts de Sumatra, dont une grande partie a disparu à cause des incendies et de l’invasion des plantations de palmiers à huile. Il ne subsisterait de cette espèce que 14 000 individus. Le projet de construction d’une grande route représente une autre menace pour leur viabilité ; le WWF travaille de concert avec les entreprises et les gouvernements pour préserver les forêts qui restent.
  • Pithécophage des Philippines (Pithecophaga jefferyi)


La Philippine Eagle Foundation classe ce rapace parmi les oiseaux les plus rares au monde puisqu’il ne subsiste que sur quatre des 7000 îles que compte le pays. Il resterait entre 180 et 500 oiseaux à l’état sauvage, et le fait que cet aigle ait besoin de 11 000 hectares de forêt pour chasser – une forêt qui disparaît rapidement – signifie que la lutte pour sa préservation se heurte à d’importantes difficultés.
  • Gavial du Gange (Gavialis gangeticus)


Ce prédateur d’une tonne est étonnamment vulnérable à la chasse et aux changements désastreux de son habitat en eau douce. Alors que ces gavials étaient abondants il y a moins de 100 ans du Pakistan au Myanmar, ils ont connu un déclin dévastateur au point que 98 % de leurs populations ont aujourd’hui disparu. On a mis en place des programmes de conservation dans les rares pays où ces crocodiliens continuent d’exister en petit nombre (Inde et Népal).
  • Gorille de montagne (Gorilla beringei beringei)


Dian Fossey a fait de l’étude et de la défense de ce majestueux primate à la fourrure épaisse la mission de sa vie. Mais malgré tous ses efforts et ceux que d’autres ont déployés au fil des ans, le gorille des montagnes de la République démocratique du Congo, du Rwanda et de l’Ouganda risque toujours l’extinction. Le WWF rapporte que grâce aux récents efforts de conservation, des progrès ont été faits pour préserver les populations. Seront-ils suffisants pour assurer sa survie? Une population a connu une augmentation de 124 individus depuis 2010, et le groupe compte maintenant plus de 1000 gorilles. Bref, il y a des progrès, mais ils sont lents.
  • Tigre de Malaisie (Panthera tigris jacksoni)


On ne trouve plus cette espèce rare qu’à un seul endroit sur Terre : la péninsule malaise dans le sud de la Thaïlande, où il ne resterait plus que 340 félins. Malheureusement, la Chine, où les os de tigre servent traditionnellement à la fabrication de certains médicaments, a récemment levé l’interdiction d’utiliser certaines parties de cet animal à des fins pharmaceutiques. Le WWF a qualifié cette décision d’«énorme revers pour la conservation de la faune sauvage». Pour ne rien arranger, les tigres sont souvent tués par les villageois qui protègent leur bétail. C’est toutefois un domaine dans lequel le WWF concentre ses efforts et peut obtenir de bons résultats.
  • Lycaon (Lycaon Pictus)


Il ne reste que 1409 de ces rapides chasseurs des déserts et des prairies d’Afrique, guettés par l’extinction. Comme pour les tigres de Malaisie, les affrontements avec les éleveurs de bétail ont largement décimé leurs populations, et les maladies endémiques comme la rage et la maladie de Carré ont en plus fait leur apparition. Leur habitat s’effrite aussi rapidement; les efforts de conservation visent à relier les corridors fauniques aux réserves de gibier.
  • Furet à pieds noirs (Mustela nigripes)


Enfin une bonne nouvelle: cet habitant des grandes plaines du nord des États-Unis, que l’on a déjà cru disparu, s’est vu offrir «une seconde chance» grâce à de multiples efforts de conservation qui ont duré des décennies (surtout parmi les groupes tribaux). Mais comme on n’en compte qu’environ 300, il est encore un peu tôt pour célébrer, d’autant plus que la seule espèce indigène de furet d’Amérique du Nord, qui est sujette à la peste sylvatique, perd aussi rapidement son habitat.
  • Thon rouge de l’Atlantique (Thunnus thynnus)


On pourrait dire de ce poisson qu’il est victime de son excellence : le thon rouge a été pêché au point qu’il a failli être anéanti – la forte demande de sushis en Asie étant en grande partie responsable de ce déclin. C’est la raison pour laquelle il fait partie des 8 poissons que vous ne devriez plus manger:
           - Le thon jaune (yellowfin),
           - Le Thon rouge (bluefin),
           - Le Pangasius,
           - Le Saumon d’élevage de l’Atlantique,
           - L’Espadon;
           - La Morue de l’Atlantique,
           - Le vivaneau rouge,
           - et le Tilapia.
L’effondrement des stocks halieutiques a aussi eu pour effet de faire exploser les prix, ce qui a entraîné une augmentation de la pêche illégale qui a encore aggravé la diminution des stocks. Les tentatives de conservation de ce qui reste de ces poissons prédateurs nageant à grande vitesse ont donc été difficiles à mener.
  • Dauphin du Gange ou sousouc (Platanista gangetica gangetica)


Ce dauphin d’eau douce aveugle originaire de l’Inde et des réseaux fluviaux gravement pollués du Népal est véritablement en mode survie, mis en péril par les déversements chimiques, la chasse et la faim. Le WWF surveille ses populations, analyse les diverses menaces et travaille également avec les communautés locales pour introduire de meilleures pratiques de conservation.
  • Éléphant de Bornéo (Elephas maximus borneensis)


Il ne reste que 1500 de ces éléphants, les plus petits d’Asie. Les organisations de conservation espèrent que l’interdiction de l’ivoire en Chine réduira considérablement le braconnage des éléphants en général, et de celui-ci en particulier, même si cela ne réduira en rien la menace de l’expansion des plantations de palmiers à huile dans la région.
  • Baleine bleue (Balaenoptera musculus)


C’est l’un des animaux les plus emblématiques de la Planète bleue, et il succombe rapidement au réchauffement des océans encombrés de plastique et d’autres polluants. Les changements climatiques sont aussi en train d’affecter les populations de planctons dont il se nourrit. Heureusement, la communauté des défenseurs de baleines est très active et se fait entendre, ce qui signifie que les efforts pour préserver les 10 000 à 25 000 baleines bleues qui nagent encore dans nos océans sont solides et constants.
  • Libellule émeraude de Hine (Somatochlora hineana)


Cet insecte d’un vert iridescent originaire de l’Illinois, du Missouri, du Michigan et du Wisconsin est de nouveau en danger. On l’avait d’abord cru disparu au milieu des années 1900 avant de le redécouvrir en 1988. Des efforts sont en cours pour préserver les terres humides, les marais et les cours d’eau, essentiels à sa survie. Certains proposent aussi de limiter la vitesse des voitures pour éviter que celles-ci ne tuent les libellules.
  • Corail corne d’élan (Acropora palmata)


Les récifs coralliens du monde entier sont menacés par l’acidification et le réchauffement des océans résultant de la crise climatique. Quatre-vingts pour cent des colonies de ce corail ont disparu au cours des 30 dernières années, et cet animal est désormais classé «en danger critique» sur la liste rouge de l’IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature). De nombreuses initiatives persistent dans le monde entier pour en limiter la récolte, mais la lutte contre les effets des catastrophes climatique exigera d’énormes efforts soutenus et coordonnés à l’échelle mondiale.

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