Notre réfrigérateur est un nid à bactéries. Le tiroir, spécialement conçu pour accueillir les légumes, pourrait contenir à lui seul jusqu'à 750 fois la concentration de bactéries considérées comme sûres.
Nos frigos sont-ils bien plus dangereux que les produits que nous y stockons ?
Il faut savoir que l’on est entouré de bactéries. Il y a des germes qui sont inhérents à la nature, que l’on retrouve sur les mains par exemple. Il n'y a donc pas de raison qu'on ne les retrouve pas également dans les réfrigérateurs.
Ce sont notamment les différences de températures qui favorisent ensuite la prolifération des bactéries (à l’ouverture et à la fermeture de la porte) et qui expliquent la transformation des germes en agents pathogènes. Aussi, en été, les aliments subissent des chocs thermiques et provoquent la multiplication de germes. Tout ce qui est fermenté, les plats cuisinés et les fruits et légumes sont particulièrement à risques.
Laisser un yaourt entamé, une bouteille de lait ou encore un plat préparé sans les couvrir, c'est encourager le dépôt de germes.
Quelles sont les conséquences réelles de ce manque d’hygiène ?
Elles sont multiples, plus ou moins graves. En effet, le manque d’hygiène dans votre réfrigérateur peut provoquer des infections bénignes telles que de légers maux de ventre, mais elles sont parfois plus sévères : mycoses buccales ou intestinales (champignons dans le tube œsophagique) entraînant des diarrhées ou des œsophagites. Parfois même, des formes plus graves dont l’intoxication alimentaire impliquant fièvre et diarrhée aigüe, qui nécessitent la prise d’antibiotiques.
Quelque soient les symptômes, il ne faut pas négliger l’infection intestinale d’origine alimentaire dont la conséquence la plus grave est le botulisme. Cette maladie qui (pas d’inquiétudes) reste rare, se développe particulièrement bien dans les boîtes de conserve.
Les bons conseils à adopter ?
·Tout d’abord, le réfrigérateur ne doit pas être aseptisé, car ces produits très puissants enlèvent toutes les bactéries, hors ce n’est pas l’effet recherché. De plus, ils s’avèrent parfois allergisants… L’idéal est l’emploi d’une éponge, de savon, et éventuellement de vinaigre. Il faut nettoyer tous les étages, le moindre compartiment et ce une à deux fois par mois.
·La température du réfrigérateur doit se situer entre 0 et 5°C. Les produits laitiers, la viande et le poisson se situent de préférence aux étages du bas où la température est la plus faible.
·Ne jamais laisser un produit déjà consommé (yaourt, fromage, plats préparés) à l’air libre. Penser à le recouvrir de papier aluminium ou de cellophane.
·Bien sûr ne pas laisser la porte ouverte trop longtemps (typiquement, une fois les courses faites pour la semaine, ne pas prendre 15 minutes pour les ranger au frais).
Une pluie de météorites s’est abattue, ce vendredi 15 février,
sur la région de Tcheliabinsk de l'Oural en Russie, à 1500 kilomètres de
Moscou., accompagnée d'éclairs incandescents et de violentes explosions, blessant des centaines de personnes.
Elle n'a rien à voir avec
l'astéroïde 2012 DA14, ce gros
caillou de 50 m
de diamètre, d’une masse de 135.000
tonnes , qui passera à seulement 28 000 kilomètres de notre planète (soit un peu
plus du double du diamètre terrestre et seulement un dixième de la distance
Terre-Lune),
donc, il rasera la Terre de si près qu'il sera possible de
l'observer avec des jumelles à partir de 18h30. Les agences spatiales écartent
tout risque de collision. Même les satellites géostationnaires qui gravitent à 36.000 km au-dessus de
nos têtes en sont plus éloignés.
Mais les fragments de météorites de l’Oural, qui
n’ont pas de nom, ce qui est une manière de dire que nous ne les maîtrisions
pas, on fait renaître l’idée que le hasard n’était pas rassurant, que les
principes de la physique, celle d’Épicure ou celle de tout autre, ne font pas
de nous les maîtres de l’univers.
Située dans le village de Tinmel, dans les montagnes du Haut Atlas marocain. Bien qu'elle ne fonctionne plus comme une mosquée aujourd'hui, ses vestiges sont préservés en tant que site historique. Elle a été construite sur le site où Ibn Tumart, le fondateur du mouvement almohade, a été enterré et elle est considérée comme un exemple important de l'architecture archétypale. Tinmel est situé le long du col du Haut Atlas, connu sous le nom de Tizi N'Test, entre Marrakech au nord et la région du Sous au sud. Elle fut la première capitale du mouvement almohade fondé par Ibn Tumart. Il y établit ses partisans en 1124 ou 1125 de notre ère et ce lieu devient la base à partir de laquelle furent lancées des attaques contre les Almoravides, dirigeants de la région à l'époque. Une première mosquée a été construite ici à cette époque, ou peu de temps après..
Quand Ibn Tumart meurt en 1130, il est enterré sur ce lieu. Un sanctuaire religieux et un lieu de pèlerinage se développent par la suite sur le site de sa tombe. Abd al-Mu'min, qui prend après lui la direction des Almohades, décide de la construction d'une nouvelle mosquée à proximité ou sur le même site, en 1148, comme le confirment les documents historiques d'époque – bien que la date de fondation de 1153 à 1154 CE (548 AH) donnée par le Rawd al-Qirtas reste encore citée par beaucoup. La nouvelle mosquée a très probablement remplacé une mosquée existante de Tinmel qui était présente sur les lieux. La construction de la mosquée commence peu de temps après la conquête de Marrakech (1147) et le début de la construction de la mosquée Koutoubia. L'architecture de la mosquée Tinmal présente de nombreuses similitudes avec la mosquée Koutoubia et a probablement été conçue et construite par des artisans de Marrakech. La mosquée est plus petite que les autres grandes mosquées almohades, car elle est conçue pour une petite ville, mais elle reste néanmoins un lieu de pèlerinage et les dirigeants almohades ultérieurs sont également enterrés à proximité. Elle sert de référence archétypale à la une bonne partie des mosquées du Maroc. Plus tard, alors que les Mérinides leur arrachaient le contrôle du Maroc, les Almohades de Marrakech ont pris position finale à Tinmel jusqu'à ce que leurs derniers dirigeants soient vaincus et capturés, en 1275. La mosquée tombe finalement en ruine et est en partie restaurée au milieu du XXe siècle. Les derniers travaux de restauration sont entrepris dans les années 1990. La mosquée n'est plus en fonctions mais reste ouverte aux visiteurs en tant que site historique, ce qui en fait également l'un des rares bâtiments de mosquée au Maroc ouvert aux personnes non-musulmanes
Les trésors naturels de la planète sont nombreux, témoignant de sa beauté et de son immensité. Ils laissent souvent le souffle coupé aux chanceux qui peuvent les découvrir. • Durdle Door, Royaume-Uni.
On y trouve une magnifique arche constituée de roches sédimentaires, qui semblent sculptée par les éléments. Cet endroit est une propriété privée, mais il reste cependant accessible au public. La beauté de l’arche est renforcée par la somptueuse plage de sable attenante. Attention, en hiver, celle-ci peut se parer de petits cailloux à cause des tempêtes. Vous aurez la possibilité de vous faire bronzer en observant le paysage, mais également de vous baigner, de pratiquer la plongée sous-marine ou simplement avec un masque et tuba ou de faire du kayak. Pour accéder à cette arche, vous pouvez prendre le sentier entre Lulworth Cove et Durdle Door. En arrivant, vous apercevrez l’arche en bas des falaises. Il vous suffira d’emprunter un escalier avec des marches un peu raide pour atteindre la plage.
• Delicate Arch, Arches National Park, Moab, Utah, USA.
Comme l’indique son nom, ce parc est réputé pour être le lieu où observer un elle porte le surnom de « jambière de cowboy ». Notez qu’en 2002, la torche olympique est même passée dessous ! Cette arche est non seulement très photographiée, mais sert également de symbole de l’Utah comme vous le remarquerez en grand nombre d’arches naturelles, mais aussi de rochers ou falaises sculptés par l’érosion. C’est un lieu idéal pour faire de la randonnée. Delicate Arch est la plus connue du parc, et aussi la plus prise en photo parmi les 2000 autres ! Cette arche est vieille de plus de 70 000 ans et aurait encore devant elle 15 000 années à vivre. Par sa forme, regardant les dessins sur les plaques d’immatriculation !
• Arch London, en Australie.
Dans le Parc national de Port Campbell qui se trouve dans l’état de Victoria, créé pour protéger les magnifiques formations rocheuses situées sur la côte de l’océan Indien. On compte parmi elles la fameuse Arch London. C’est une des attraction pour les touristes empruntant la route Great Ocean Road. Créé par l’érosion, il y avait initialement deux arches qui étaient reliées entre elles et qui donnait l’impression qu’un pont ressemblant au London Bridge. Mais en 1990, l’arche qui était proche de la côté s’est effondrée. Non loin de cette arche, vous pourrez douze énormes rochers ressemblant à des humains, ce qui leur valurent le surnom des douze Apôtres.
• La Colline de Trompe d’Éléphant, Chine.
Une arche magnifique, la Colline de Trompe d’Éléphant qui doit son nom à la ressemblance avec un énorme éléphant qui tremperait sa trompe dans la rivière. L’arche se situe au niveau de l’espace entre la trompe et les jambes de l’éléphant ! Une légende raconte qu’un roi venu du ciel accompagné de son éléphant a fait escale à Guilin. L’éléphant subjugué par les paysages ne veut plus repartir. Mécontent, le roi envoie des gardes pour ramener l’éléphant. Celui-ci combat et gagne, mais il a si soif qu’il se jette dans la rivière pour boire longuement. Mais c’est à ce moment là que le roi du ciel arriva et enfonça son épée dans le dos de l’éléphant qui se transforma en pierre ! Vous pourrez admirez des vestiges de cette légende : au sommet de la colline se dresse une pagode qui a la forme d’une poignée d’épée.
• La Colline de la Lune, Yangshuo, Chine.
Cette colline de la Lune également appelée Montagne de la Lune. Cette colline a la particularité d’avoir une arche naturelle formant un trou en forme de lune. Elle témoigne des restes d’une grotte calcaire qui se trouvait dans ce rocher et dont les dimensions était de 380 mètres de hauteur et 410 mètres de largeur. Pour atteindre l’arche, il faut environ une 20aine de minutes. Cela peut prendre plus de temps si vous souhaitez vous promener sur les 14 chemins de randonnée de la colline. Attention cependant, l’accès à la colline n’est pas gratuite. Mais si vous décidez de tenter d’aller tout en haut de l’arche, vous pourrez avoir un superbe panorama sur les champs et les collines des alentours.
• La Fenêtre Azur, Malte.
Sur le site de Dwejra, situé dans une réserve naturelle protégé des constructions. C’est dans un univers étonnant que vous pourrez admirer la Fenêtre Azur. Autour de l’arche, les rochers ont des formes étonnantes et sont surtout troués à cause des flaques d’eau de mer. L’arche est constituée d’un rocher de calcaire sur lequel est posé une pierre horizontale. Vous pourrez passer sous cette arche en bateau. Vous vous rendez compte de son immensité. En effet, elle mesure une taille équivalente à celle d’un immeuble de 10 étages !
• Pont-d’Arc, France.
En Ardèche. C’est ici que ce trouve le pont d’Arc, arche naturelle qui se découpe au dessus de la rivière Ardèche. Les dimensions de ce pont sont de 60 mètres de long et 54 mètres de haut. Ce magnifique pont est surnommé « la porte d’entrée naturelle des gorges de l’Ardèche ». Vous pourrez vous en approcher à pied, mais également en canoë-kayak si vous descendez la rivière. C’est l’occasion pour vous de passer sous ce pont naturel et même de pouvoir toucher la roche.
• Arco Naturale, Capri, Italie.
Sur l’île de Capri. C’est là que vous pourrez admirer une arche sculptée par l’érosion : Arco Naturale en Italien ou Arche Naturelle, qui semble dominer la côte et s’enfoncer dans l’eau de mer. Ses dimensions sont raisonnables, avec 18 mètres de haut et 12 mètre de large. Pour vous y rendre, plusieurs itinéraires pédestres sont disponibles. Avant d’arriver à l’arche, si vous venez de Capri, votre chemin sera peuplé de paysages magnifiques. Il est possible de passer sous l’Arco Naturale au cours d’une croisière en bateau ou de faire de la plongée.
• Rocher Percé, Québec, Canada.
A l’extrémité de la péninsule canadienne on trouve une véritable icône du Québec ainsi que l‘une des attractions majeure de la région de Gaspésie : Rocher percé, une petite île rocheuse aux falaises impressionnantes présentant une arche spectaculaire. Autrefois, cet îlot possédait 3 arches de plus, mais celles-ci ont disparu au fil du temps. L’arche restante, qui mesure 145 mètres de haut, devrait finir par disparaître elle aussi d’ici 400 ans. Vous pourrez vous approcher de l’arche notamment en bateau, mais il n’est plus possible de grimper à son sommet comme c’était le cas dans les années 1800 !
• Rainbow Bridge National Monument, USA.
la plus grande arche naturelle du monde ! Longue de 84 mètres, haute de 90 et large de 10 elle est constituée de grès datant d’il y a plus de 200 Millions d’années qui fut creusé par un affluent du Colorado durant la dernière glaciation. Célébrée par les Amérindiens comme une arche sacrée, elle fut découverte par John Wetherill en 1909 et obtient son nom de part sa ressemblance presque parfaite à un arc-en-ciel. Si Theodore Roosevelt fut l’un de ses premiers visiteur, elle est aujourd’hui devenu plus accessible et touristique grâce à la bonne popularité dont bénéficie le Colorado et la formation de lac Powell qui a permis aux bateaux de tourisme de s’en approcher.
CITE DU VATICAN. Un coucher de soleil sur la basilique saint Pierre.
BRESIL. Un visiteur embrasse à travers une vitre Mirella Ferraz, connue sous le nom de la sirène brésilienne, lors d'un spectacle à l'aquarium de Sao Paulo, le 10 février 2013. AFP/Nelson Almeida
INDE. Des femmes nouvellement initiées à "Naga Sadhvis" marchent le long de la rivière pour effectuer des rituels sur les rives du Gange pendant la fête de Maha Kumbh, à Allahabad, le 13 février 2013. AFP/Sanjay Kanojia
JAPON. Yu, une tortue de 25 ans, reçoit sa 27e paire de pattes artificielles au parc aquatique de Suma à Kobe, le 12 février 2013. Yu avait perdu ses pattes avant après une attaque de requins. AFP/Toshifumi Kitamura
FRANCE. Des policiers tiennent des boucliers recouverts d'oeufs face à des travailleurs de l'usine Goodyear à Rueil-Malmaison, le 12 février 2013. AFP/Patrick Kovarik
BRESIL. Une danseuse de l'école de samba de Rio lors du Carnaval de Rio de Janeiro, le 12 février 2013. AFP/Antonio Scorza
CITE DU VATICAN. Un coucher de soleil sur la basilique saint Pierre,
- Fête des couleurs en Inde.
En Inde, la pleine lune du mois de mars est l'occasion de fêter la fin de l'hiver avec Holî, la fête des couleurs. Ce jour-là, tout le monde s'asperge de poudres de couleurs jusqu'à transformer la ville en arc-en-ciel.
- Bataille d'eau en Thaïlande.
Durant la fête de Songkran, les statues de bouddhas sont sorties pour les rituels de purification. A leurs côtés, un pays entier se lance dans une immense bataille d'eau.
Du 15 au 17 Avril, et toute la semaine du 15 avril à Chiangmai, dans le Nord du pays.
- Queen's Day : à la santé de la Reine !
Enfilez votre plus beau t-shirt orange, et allez trinquer à la santé de la Reine dans les rues d'Amsterdam ou sur le pont d'un bateau.
Le 29 avril au soir et le 30 avril dans tous les Pays-Bas, en particulier à Amsterdam
- La Tomatina à Buñol en Espagne.
Tout a commencé par une baston entre copains il y a plus de 60 ans. Aujourd'hui, c'est la fête de village la plus déjantée du Monde. Tomates au poing, on vous donne rendez-vous à la fin de l'été sur la côte espagnole.
Le dernier mercredi d’août à Buñol, dans la région de Valence.
- Une fête dans le désert du Nevada
Burning Man ? C'est une ville éphémère où se rejoignent chaque année 50 000 personnes. Une semaine de délires artistiques pendant laquelle "personne n'est spectateur, tout le monde crée".
- Oktoberfest, à Munich en Allemagne : la meilleure fête du monde a plus de 200 ans et attire plus de 6 millions de visiteurs chaque année, à Munich, sous les tentes géantes du bonheur mousseux. Attention : la bière n’est servie qu’aux personnes assises (mais vous pouvez tricher et venir avec un tabouret). Cette fête a pour origine les noces du prince-héritier Louis Ier de Bavière et la princesse Thérèse de Saxe-Hildburghause le 2 octobre 1810 ; tous les habitants de Munich furent conviés et décidèrent de réitérer les festivités chaque année. La meilleure idée depuis 200 ans.
- Songkran, en Thaïlande : après les tomates, la flotte: marquant à la fois le Nouvel An thaï, le début de l’été, et la fête de l’eau cette fête met toutes les régions en effervescence. À Chiang Maï par exemple, il est impossible de se promener sans se faire asperger d’eau plusieurs fois, mais hormis les batailles d’eau, on peut assister à de nombreux spectacles, défilés, dégustations…
- Groundhog Day, Canada et Etats-Unis : la fête de la Marmotte a lieu le jour de la Chandeleur, le 2 février. les habitants des villes canadiennes et de certains États du nord des États-Unis passent leur journée à attendre qu’une marmotte veuille bien sortir de son terrier. La légende veut qu’à cette date, si la marmotte montre le bout de son nez et parvient à voir son ombre à cause du soleil, elle retournera se coucher pendant encore six semaines, et l’hiver continuera. Par contre, si le temps est nuageux et qu’elle ne prend pas peur de son ombre, elle restera éveillée, annonçant alors l’arrivée du printemps.
- La Fête des lanternes, en Chine : les légendes chinoises racontent que c’est afin d’apaiser la colère du Dieu du feu menaçant d’incendier la capitale le 15e jour du premier mois lunaire, que les habitants auraient défilé ce soir-là avec des lanternes rouges. Ils les auraient pendues à toutes les portes afin que le Dieu pyromane, croyant la ville déjà en flammes, s’en aille. De nos jours, c’est une fête très familiale durant laquelle les enfants, accompagnés de leurs parents, partent pour une promenade nocturne une lanterne à la main, au lieu de mettre le feu à des choses, ce qui serait tout aussi amusant mais sûrement moins joli.
- Walpurgis, en Europe du Nord : dans les pays du nord de l’Europe, pendant la nuit du 30 avril au 1er mai, est célébrée la nuit des Walpurgis communément appelée « nuit des sorcières ». Selon la légende, les esprits maléfiques seraient libérés ce jour là, donnant alors lieu à un grand nombre d’événements surnaturels. Aujourd’hui, ce sont les étudiants finlandais et suédois qui célèbrent le plus cette fête. Munis de leurs casquettes blanches, qu’ils reçoivent généralement à la fin du lycée, ils boivent du sima, boisson alcoolisée, parce que tous les prétextes sont bons pour picoler.
- La fête de la Tradition, en Argentine : le 10 novembre, si vous avez l’occasion d’être en Argentine, ne manquez surtout pas la fête de la tradition. Vous mangerez des empanadas et vous vous risquerez à une « jineteada » sur fond de musique traditionnelle. Le but de la jineatada est de rester plus de 30 secondes sur le dos d’un cheval « fou », défi que seuls les authentiques gauchos, peuplant la pampa sud-américaine, arrivent à surmonter. Un rodéo à l’argentine quoi.
- La Saint Patrick, en Irlande : la deuxième meilleure fête du monde. Mais qui était donc ce fameux Saint Patrick ? Gallois de naissance, il fut capturé durant son adolescence par des barbares et exilé en Irlande pendant six ans. Après quoi Dieu lui confia que son rôle futur serait de prêcher la parole du Christianisme aux Irlandais. Ainsi, pour expliquer le concept de la Sainte Trinité (le Père, le Fils et le Saint Esprit), il utilisa le trèfle à trois feuilles. En revanche, on ne sait pas pour quelle explication il a recouru à la bière, ou si c’était une séquelle de son séjour irlandais.
- Evala, au Togo : Evala, signifiant « première initiation du jeune garçon », est une cérémonie d’initiation où les jeunes Kabyès de différents villages s’adonnent à des luttes incroyables afin de pouvoir prétendre au passage à l’âge adulte. Mais beaucoup d’autres activités sont pratiquées durant cette fête : la danse, le chant ou la vente du Tchoukoutou, boisson alcoolisée traditionnelle.
- Fêtes de Bayonne, en France : c’est en 1932 qu’ont eues lieu les premières fêtes de Bayonne, inspirées de celles de San Fermin à Pampelune. Les festivités commencent généralement après qu’une personnalité invitée jette les clefs de la ville du balcon de la mairie. Bayonne est alors aux mains des citoyens durant 5 jours et 5 nuits, pour le meilleur (concerts de bandas, bals populaires…) et pour le pire (beuverie généralisée, corrida, courses de vaches…) Les participants sont tous vêtus de blanc et de rouge (couleurs du Pays basque).
S'immoler par le feu est un geste à la fois "protestataire et sacrificiel auquel on a recours lorsque l'on considère que l'on dispose plus d'autres moyens de se faire entendre".
Un dernier cri de désespoir, en somme. Poussé au vu et au su de tous : la plupart des suicidés choisissent de commettre leur acte en public. "On veut manifester aux témoins de la scène, et à travers eux à la société toute entière, la douleur de ce qui nous arrive".
"Par son caractère spectaculaire et bouleversant, représente-t-elle l'appel ultime lorsqu'une situation se révèle insolvable ? " "S'immoler par le feu traduit une volonté de faire bouger les lignes".
De la viande de cheval a été découverte en Europe dans 4,5 millions de plats surgelés officiellement à base de boeuf. Si ce scandale sanitaire ne présente aucun risque pour la santé, il pose la question de la traçabilité des produits.
Mais au-delà, de quoi s'agit-il ?
Difficile de se faire
une idée précise en écoutant ce qui se dit sur les plateaux. On sent bien que
les enjeux économiques sont très lourds, c'est toute une filière industrielle
internationale qui est en cause, les enjeux de la distribution de masse ne sont
pas moins importants, les exigences de contrôle exprimées par les associations
de consommateurs vont de soi. On a le désir de savoir ce que l'on mange. On n'a
pas envie d'être trompé. Tout cela coule de source, mais des questions plus
profondes semblent remonter à la surface de l'inconscient collectif. Il suffit
de regarder la télévision pour percevoir tous les paradoxes soulevés par ces
questions.
La consommation mondiale de chewing-gum est de 0,49 kilo par personne et par an, soit un peu plus de 99 nouveaux kilos de chewing-gum mastiqués chaque seconde !
En un an, la consommation mondiale de pâte à mâcher s'élève donc à près de 3 millions de tonnes.
Cette consommation varie beaucoup selon les tranches d'âge et les pays : les Français sont les deuxièmes consommateurs de chewing-gum au monde, derrière les Américains.
Les Nenets ont quitté la région d’Altaï-Sayan, près de la Mongolie, durant le premier millénaire avant J-C pour arriver en Arctique. Jusqu’au 17ème après J-C., ils étaient de simples chasseurs et cueilleurs et avaient quelques rennes pour le transport. Ils étaient en contact avec les revendeurs de fourrures Russes jusqu’au 11ème siècle après J-C. A la fin du 15ème siècle, début 16ème, les premières réglementations Russes apparurent sur le territoire des Nenets. Beaucoup d’entre eux entraînèrent des troupeaux de rennes nomades et fuirent vers le nord, dans le Yamal. La chasse est, alors, devenue non viable. Plusieurs avis ont été émis et sont encore débattus, sur les raisons de ce problème : le contact avec les Russes ou simplement le changement de climat et la diminution du nombre de rennes sauvages.
Les Nenets sont réparties sur une large zone. Nombre d’entre eux ne vivent pas dans la Péninsule du Yamal même. Leur territoire s’étend de la Péninsule du Kanin à l’Ouest à la Péninsule du Taymyr à l’Est. Chaque groupe de nomades est officiellement enregistré dans le village le plus proche. Beaucoup de nomades ont de la famille dans les villages. Dans la péninsule de Yamal, la moitié des Nenets sont des nomades et l’autre moitié vivent dans des villages.
Les Nenets nomades vivent dans des tchoums, des tentes coniques recouvertes de peaux de rennes. Ils portent deux épaisseurs de fourrures de rennes qui leur servent de manteau. Les gants en fourrure de rennes sont attachés au manteau. Leur capuche et leurs cuissardes sont elles aussi en fourrure de rennes. Les femmes cousent de nouveaux vêtements (en se servant des tendons de rennes comme fil) tout l’été pour tous ceux qui vivent dans leur tchoum.
Les lassos et les cordes sont faits grâce au cuir tirer des peau de rennes. Les traîneaux sont en bois. Ils sont faits à la main, sans métal ni clou. Il existe quelques outils traditionnels Nenets qui sont utilisés à ce jour pour construire leur traîneau. Les traîneaux sont tirés par les rennes. Les harnais des rennes sont faits à partir de la peau de rennes et certaines parties grâce à leur os.
Le plat préféré des Nenets est la viande et le sang de rennes. Ils le boivent et le mangent en l’extrayant directement de la carcasse du renne fraîchement tué. Des cordes sont attachées autour du cou du rennes. Sa tête est tournée vers l’Est et il est étranglé par deux ou trois personnes, chacun tirant sur l’une des cordes. Ensuite, ils le dépècent et étendent la peau pour qu’elle sèche. Les vêtements seront faits grâce à cette peau. Ensuite, les femmes ouvrent le renne. Tout le monde est assis par terre autour du renne. Alors, ils commencent à extraire le foie, les reins, la viande, les poumons, le cœur pour les manger directement. Ils se passent un bol ou une tasse qu’il plonge dans la carcasse du renne pour récupérer le sang chaud de celui-ci et le boire.
La plupart des groupes ont des pâturages d’été au Nord et des pâturages d’hiver dans le Sud. Ils changent de campement grâce à leurs traîneaux tirés par les rennes. Généralement, un homme conduit un traîneau tiré par cinq rennes, qu’il dirige grâce à une longue perche de bois appelée khorei. Les femmes et les enfants conduisent un ensemble de six ou sept traîneaux attachés entre eux qu’ils appellent argysh. Quelques rennes tirent chacun des traîneaux de l’argysh.
Les Nenets du Sud de Yamal, avec lesquels les futurs visiteurs pourront passer du temps, ont les plus grand troupeaux (plus de 10 000) et la migration la plus longue (1 200km) de tous les Nenets. Durant l’été, on les retrouve loin au Nord de la Péninsule de Yamal alors que durant l’hiver, on peut les trouver au Sud-Est de la Péninsule, dans le Golfe d’Ob dans la région de Nadym.
Lorsqu’ils changent de camp, ils commencent par démonter les tchoums et les mettre sur les traîneaux. Ensuite, les éleveurs attrapent au lasso et équipent les rennes “de transport” pour tirer les traîneaux. Les hommes conduisent le troupeau depuis leur traîneau. Les femmes et les enfants commencent à migrer sur l’argysh. Le convoi serpente dans le paysage et peut s’étendre sur 2km de long. Lorsqu’ils trouvent un endroit adapté à l’établissement du campement, c’est-à-dire un terrain arboré, à proximité d’une surface plane permettant de regrouper facilement le troupeau, les personnes en tête du groupe plantent leur khorei dans le sol à l’endroit où ils veulent que soit placé le centre de leur tchoum. Ensuite, chacun commence à décharger les traîneaux, à déharnacher les rennes et à monter les tchoums. Le haut de la tente doit se trouver à l’extrême droite vu de derrière, et les entrées des tchoums sont toujours tournées vers le même coté.
Il existe des douzaines de types de rennes différents que les Nenets reconnaissent facilement, même au milieu d’un troupeau de milliers d’entre eux. Pour chacun, il existe un nom dans la langue Nenets. Par exemple, il existe le renne sacré : chaque personne et chaque dieu possède son propre renne sacré qui ne doit jamais être tué avant qu’il ne soit trop vieux pour marcher. Lorsqu’un renne sacré est finalement tué, ils trouvent un autre renne qui ressemblait à l’ancien pour le remplacer et répandent le sang du renne mort sur lui.
Un autre exemple, est le renne orphelin (élevé par l’humain). Les Nenets amènent ces rennes dans leurs tchoums et les élèvent parmi eux jusqu’à ce qu’il soit assez grand pour se débrouiller seul. Ces rennes ne seront jamais tués. Lorsqu’ils sont trop vieux pour marcher, les Nenets donnent leurs rennes “orphelins” à d’autres familles. Cette famille pourra tuer le renne et donnera un autre renne élevé par l’homme en échange. Tout au long de leur vie, les rennes élevés par l’homme peuvent vivre avec le troupeau ou avec les Nenets dans les tchoums. Ils grandissent à l’intérieur, et une fois grands, ils sont libres de venir dans les tentes ou de rester avec le troupeau. Ce sont les seuls rennes qui mangent la même nourriture que les humains, comme le pain par exemple.
Pour les étrangers, il est incroyable de voir les Nenets reconnaître aussi facilement leurs rennes parmi un troupeau de 10 000 bêtes. Chaque personne dans le camp, mêmes les enfants de 6 ans, sont capables de reconnaître instantanément quels sont les rennes élevés par l’homme ou quels sont les rennes sacrés qui doivent être libérés. Ils reconnaissent aussi les différents types de rennes des autres familles. J’ai vu deux petites filles de 6 ans, qui devant leur tchoum regardaient le troupeau de 10 000 rennes galoper à 30 mètres d’elles. Quand les deux petites ont repéré les rennes élevés par leur famille, elles ont commencé à danser et sautiller en criant de joie.
Le renne ancêtre est aussi reconnu par les Nenets. Il est assimilé aux grandes idoles (d’environs 60 cm de haut), des plus puissants et importants ancêtres des leurs, que les Nenets gardent dans leur tente. Ces idoles sont vêtues d’habits Nenets et les familles fabriquent de nouveaux vêtements pour elles tous les ans. Il y a aussi beaucoup d’idoles de dieu.
Les idoles des ancêtres sont gardés dans la tente et les icônes de dieu sont laissés sur le traîneau sacré avec le matériel servant à fabriquer de nouveaux vêtements. Quand ils changent de campement, toutes les icônes doivent être mises sur le traîneau sacré. Personne ne doit s’asseoir sur celui-ci. Lorsque le traîneau sacré est usé et casse il est laissé sur le site sacré le plus proche.
On peut trouver une centaine de sites sacrés dans tout le Yamal. Ceux-ci peuvent simplement être des sites naturels comme une colline ou une rivière, un bois sur une colline ou encore des crânes de rennes sacrifiés pour les idoles de bois se trouvant dans la toundra, ou alors de grandes étendues couvertes d’idoles, de crânes d’ours, de traîneaux sacrés et autres objets sacrés.
Il existe une certaine force dans la vision du monde Nenets appelée sya mei. Cette force est connectée avec l’autre monde, celui de la naissance et de la mort, qui peut être maléfique quand elle entre en contact avec notre monde. Les femmes post-pubères sont en permanence affectées par cette force, il en est de même pour les nouveaux nés ou encore les personnes ayant récemment assistées à des funérailles. Le sujet des personnes touchées par sya mei reste un grand taboo et beaucoup de restrictions leur incombent. Elles ne doivent pas toucher le traîneau sacré, elles ne doivent pas passer au dessus des choses touchées par un rennes, ni passer le harnais au dessus de leurs têtes ou passer en dessous d’eux; elles ne doivent pas franchir une ligne imaginaire qui passe par le point central jusqu’au point sacré à l’arrière de la tente; elles ne peuvent pas sortir de la tchoum et se mettre à vue; elles ne peuvent pas visiter les sites sacrés et participer aux sacrifices; elles ne peuvent pas préparer certains poissons, traverser les routes des ours qui sont considérées comme sacrées, passer au dessus d’une chienne enceinte, porter les cuissardes fourrées des hommes, passer au dessus d’un homme ou encore accrocher leurs vêtements n’importe où car les hommes pourraient être amenés à passer dessous. Les femmes Nenets doivent prendre toutes ces restrictions en considération et font face tous les jours à ce type de situations. Si vous n’êtes pas au courant de ces pratiques, beaucoup des gestes ou des actions des femmes Nenets au travail peuvent paraître incompréhensibles. Des rituels doivent être réalisés pour nettoyer quelques choses affectées par sya mei. Le plus courant consiste à passer plusieurs fois au-dessus d’un feu. Après qu’un enfant soit né dans une tente, un renne doit être sacrifié devant l’entrée.
Au quotidien, les Nenets doivent regrouper les rennes, s’assurer qu’ils ne s’éloignent pas trop, couper du bois pour le feu, ramasser des blocs de glace pour récupérer de l’eau, trouver un endroit idéal pour installer les tchoums et le troupeau, tuer les rennes pour la viande, enlever les amoncellements de neige autour des tentes, réparer le matériel, cuisiner, s’occuper des enfants, coudre des vêtements et des couvertures en peau de rennes, fabriquer le plancher et les poteaux pour les tchoums, construire de nouveaux traîneaux, collecter de la mousse en guise de papier toilette, pêcher en été.
Les enfants Nenets de Yamal ne connaissent que la langue Nenets. Ils commencent à apprendre le russe quand ils vont à l’école du village à partir de 7 ans. A 14 ou 15 ans ils le parlent couramment. En général, les personnes nées durant les années 50 ou avant ne parlent pas très bien russe, car ils sont nés avant l’obligation d’aller à l’école imposée par les Soviétiques.
Toutes les informations mentionnées ci-dessus sont vraies en ce qui concernent les Nenets de la Péninsule de Yamal. Ils ont su, remarquablement bien, conserver leur culture, ce que pourront voir les visiteurs voyageant avec Yamal Peninsula Travel. Par exemple, en Russie européenne, certains groupes de Nenets Autonomes d’Okrug, travaillent trois mois dans la toundra, qu’il déteste, puis ils passent trois mois à consommer de l’alcool frelatée dans le village le plus proche. Ils ont complètement oublié le langage Nenets et les croyances spirituelles. Cependant lorsqu’ils travaillent, ils vivent encore dans des tchoums, utilisent les rennes pour les traîneaux et portent des vêtements de fourrure.
A l’opposé, les Nenets de la Péninsule de Yamal, sont accueillants. Ils aiment la toundra et tiennent à leur identité culturelle forte.
Ce sport de combat très populaire au Pakistan et dans le sous-continent indien a droit à une variante, le slap kabaddi, où le but est simplement... de se mettre des claques, jusqu'à l'abandon d'un des deux adversaires. Vous aimeriez être payé pour donner des claques à longueur de journée ? Le slap kabaddi est fait pour vous : cette pratique pakistanaise permet à deux hommes de s'affronter dans un match où le seul but est de claquer le corps de l'adversaire tout en esquivant les baffes de son rival.
Une dérive d'un sport populaire, le kabaddi Le kabaddi est à l'origine un sport de combat collectif qui oppose deux équipes de 7 joueurs : à tour de rôle, un "raider" de l'un des deux camps doit passer dans le camp adverse, toucher le maximum d'adversaires et revenir dans son camp en trente secondes. S'il y parvient, les joueurs touchés sont éliminés, mais s'il est plaqué dans le camp adversaire, il est lui-même éliminé, jusqu'à ce qu'une élimination effectuée par son camp lui permette de revenir sur le terrain. L'équipe gagnante est celle qui, à la fin du temps réglementaire, a remporté le maximum de points octroyés par les éliminations.